5DWLR&RPPRQ(TXLW7LHUDXVVHGHVGSWVFOLHQWOHGHSXLV0G853URGXLWQHWEDQFDLUHKRUVUYDOXDWLRQGHODGHWWHOLHDXULVTXHGHFUGLWSURSUHHW9+ 566010010Banque de Grande Clientèle et Solutions InvestisseursHors Pôles0 9 1 88 28 28 28 18 58 38 48 78 0 2 1 0 90 38 38 7 9 47 58 67 320112012201320142015Banque de détail et Services FinanciersInternationauxBanque de détail en France25 623 122 823 625 6010Dépôts clientèle30528935232732031432833036035820112012201320142015Crédits clientèle&5 76(7 376352 8 71(7%1& 5( NSDKDRCNDROTAKHDRTSHSDCDRDDBHBDRBNBDRRTESHNRCDRNKAHKHSRTHSDTUDQRN 2&7 21 8&3 7 8 07 (5602<(11(118( (10 5 Md EUR9 9 Md EUR12 4 Md EUR2013 DontAct ivités de marché13 1 Md EUR10 0 Md EUR10 2 Md EURDontActivités de marché2014 DontActivités de marché14 7 Md EUR9 8 Md EUR9 6 Md EUR2015 Banque de détailen FranceBanque de Grande Clientèle et Solutions InvestisseursBanque de détail et Services Financiers Internationaux *(1&(60 216 (& (176&2 %257(856(1&2856 (&5 760G(85%14 8( ( 7 (1)51&(&2 %257(856&7 )66286*(67 210G(85&7 )6(1&216(597 210G(85(1&2856 (&5 760G(85%14 8( (*51 (& (17 ((76 2 87 216 19(67 66 (856Services Financiers aux Entreprises AssurancesBanque de détail à l International et Services Financiers aux Entreprises AssurancesBanque de détail à l International%14 8( ( 7 (76(59 &(6) 11& ( 56 17(517 218 Note voirp 10etsuivantes LyxorAssetManagementetBanquePrivée 0 216 (& (176&2 %257(856356(176 1636(1&2856 (&5 760G(85 + 56 6 Le présent Do cu ment de référence a été déposé auprès de l Autorité des March és F inanciers le 7mars 20 16 con formémentàl article212 13durèglementgén ér aldel AM F Ilpourraêtreutiliséàl appuid uneopérationfin an cières il est complété par une note d information vis ée par l AMF Ce documen t a été établi par l émetteur et engagela responsabilité de son signataire 2 8 0 1 7 5 5 1 CeDocumentderéférenceestdisponiblesurlesiteZZZVRFLHWHJHQHUDOHFRP5 3 3 2 5 7 ) 1 1 & ( 5 1 1 8 ( &HODEHOGLVWLQJXHOHVGRFXPHQWVGHUIUHQFHOHVSOXVWUDQVSD UHQWVVHORQ OHV FULWUHV GX &ODVVHPHQW QQXHOGHOD7U DQVSDUHQFH IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (6 2 0 0 5 + 6 72 5 4 8 7 3 5 6 177 2 1 6 2 7 1 5 +LV RULTXH2 PrésentationdeSociétéGénérale3 Unestratégiedecroissancerentable fondées urunmodèlerobustedebanqueuniverselleHVPLHUVGXURXSH533 2 57 p 7 9 7 8 5 28 3 1 PrésentationdesprincipalesactivitésdeSociétéGénérale2 ActivitéetrésultatsduGroupe3 Activitéetrésultatsdesmétiers4 Nouveauxproduitsouservicesimportantslancés5 Analysedubilanconsolidé6 Politiquefinancière7 Principauxinvestiss ementsetcess ionseffectués8 Acquisitionsencoursetcontratsimportant s9 Propriétésimmobilièresetéquipements10 Événementspostérieursàlaclôture11 Évolutionsrécentesetperspectives12 Informatio nsrelativesauximplantationsetactivitésau31décembre2015289 5 1 0 17 p 17 5 3 5 61 Structureetorganesdugouvernementd entreprise2 RapportduPrésident surlegouvernementd ent reprise3 RémunérationdesdirigeantsduGroupe4 Rapportspécialdescommissairesauxcomptessurlesconventionsetengagementsréglementés5 RapportduPrésident surlecontrôleinterneetlagestiondesrisques6 RapportdesCommissairesauxcomptes établienapplicationdel articleL 225 235duCodedecommerce surlerapportduPrésidentduConseild administrationdeSociétéGénérale5 64 8 6 7 4 8 7 2 1 6 21 6 3 52 3 5 61 chiffres clésHV LRQGHVULVTXHV3 Gestionducapitaletadéquationdes fondspropresHVULVTXHVGHFUGLHVULVTXHVGHPDUF6 Lesrisquesopérationnels7 Lesrisquess tructurelsdetauxetdechange8 Lerisque deliquidité9 Risquesdenon conformitéHGHUSXDLRQULV TXHVMXULGLTXHVX UHVULVTXH V5 63 2 16 % 7 6 2 7 19 52 11 0 17 Engagements enjeuxetambition1 GouvernanceetpilotagedelaRSE2 Mettreen uvreunefinanceres ponsable3 Agirenfaveurdel environnement4 Employeu rresponsable5 Accompagnerl entrepren euriatetl économiesocialeetsolidaire6 L engagementsociét aldeSociétéGéné rale mécénatetsponsoring7 Annexes8 Tablesdeconcordanc e 77 6 1 1 5 61 Étatsfinanc iersconsolidés2 Notesannexesauxétatsfinanciersconsolidés3 RapportdesCommiss airesauxcomptessurlescomptesconsolidés4 Rapportdeges tiondeSociétéGénérale5 Compt esannuels6 Notesannexesauxcomptesannuels7 RapportdesCommiss airesauxcomptessurlescomptesannuels7 2 1 3 7 7 0 1 76 85 48 61 L actionSociétéGénérale2 Informatio nssurlecapital3 Informationscomplémentaires6DXV5 RèglementintérieurduConseild administration*5 63 2 16 % 8 2 80 17 5 5 11 ResponsableduDocumentderéféren ce2 AttestationduresponsableduDocumen tderéférenceetduRapportfinancierannuel3 Responsablesducontrôledes comptesGlossairedes principauxtermes techniquesutilisés5 63 2 16 % 8 2 80 17 5 5 1TabledeconcordanceduDocument deréférenceTabledeconcordancedurapportfinancierannuel 26 6 5 6 3 5 1 3 87 50 6 7 +1 4 8 6 8 7 6 6Millionsd euros MEURMilliardsd euros MdEURETP Effectifsenéquivalenttempspleinlessourcesdesclassementssontmentionnéesexplicitement àdéfaut l informationestdesourceinterne IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (UN M OD ÈLE ROBUSTEDE BANQUE UNIVERS EL LE 39 000 collaborateurs*et 3 085 agencesà n201512 millions de clients dont810000clients professionnelsentreprise s et associationsBANQ UE DE DÉTAILEN FRANCE 73 000 collaborateursprésen tsdans52pa ys* 32 millions de clients particuliers professionnels et entreprise s (dont 1 2milliond entrepr iseset13 4millionsd assurés) 106 Md EUR d encoursdecréditBANQ UE DE DÉTAILET SERVICES FINANCIE RS INTER NATIONAUX BANQ UE DE FINANCE ME NT ET D INVESTISS EMENT BANQ UE PRIVÉE GESTION D ACTIFS ET MÉTIER S TITRES 22 000 collaborateurs*répartis sur28pays + de 5 500 clients 135 Md EUR d encoursdecrédit146 000 COLLABORATEURS* PRÉSENTS DANS 66 PAYSPRODUIT NET BANCAIRE25 6 Md EUR178 Md EUR d encoursdecréditRÉSULTAT NET PART DU GROUPE 4 0 Md EURNOTRE AMBITIONESPRIT D ÉQUIPE INNOVATION RESPONSABILITÉ ENGAGEMENT NOS VALEURS3marquescomplémentairesàl avant gardedelatransformationnumériqueDesmétiersleadersauxcompétencesreconnuesAuc urdes uxéconomiquesentreémetteursetinvestisseurs31 MILLI ONS DE CLIENTS PARTIC ULIERS DE GRANDE S ENTREPRISES ET D I NVESTISSE URS IN STITUTIONNELS(1 )Êtrelabanquerelationnellederéférencesursesmarchés prochedesesclients choisiepourlaqualitéetl engagementdeseséquipesArrondi Effectifndepériodehorspersonnelintérimaire Horsclientsdescompagniesd assuranceduGroupe * 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I 6 7 2 5 4 8 Le 4mai 1864 Napoléon III signe le décret donnant naissance àSociétéGénérale Fondéeparungrouped industrielsetdenanciersportés par des idéaux de progrès la Banque nourrit l a mbition de«favoriser le développement du commerce et de l industrie enBDuDès ses premières années d existence Société Générale se placeau servicede lamodernisationde l économieet prend les contoursd une banque universelle à la pointe de l innovation en matière denancement Sonréseaud agencesconnaîtundéveloppementrapidesurl ensemble du territoirenational passantde32 à1500guichetsentre1870et1940 Pendantl entre deux guerres laBanquedevientlepremierétablissementdecréditfrançaisentermesdedépôts Dans le même temps Société Générale acquiert une dimensioninter nationale en contribuant au nancement d infrastructuresindispensables au dé veloppement économique de plusieurs paysd Amérique latine d Europe et d Afrique du Nord Cette expansions accompagnede l implantation d un Réseau de Détail à l étranger En1871 laBanqueouvreunesuccursaleàLondres ÀlaveilledelaPremièreGuerremondiale elleestdéjàprésente dans14pa ys soitdirectement soitparlebiaisdesesliales en particulier en Russie Cedispositifeste nsuitecomplétéparl ouverturedeguichetsàNewYork BuenosAires Abidjan Dakar ou par laprise de participationsdanslecapitald établissementsnanciersenEuropecentrale Nationalisée par la loi du 2décembre 1945 la Banque joue un rôleactif dans le nancement de la reconstruction du territoire français Durant la période des Trente Glorieuses Société Générale connaîtune forte croissance et contribue à la diffusion des techniquesbancairesenlançantdesproduitsinnovantsqu ilmetauservicedesentreprises comme les crédits à moyen terme mobilisables ou lecrédit bailoùiloccupeunepositiondepremierplan À la faveur des réformes bancaires consécutives aux lois Debréde 1966 67 Société Générale démontre sa capacité à s adapterà son nouvel environnement Tout en continuant à soutenir sesentreprisespartenaires leGroupen hésitepasàorientersonactivitéendirectionde laclientèledeparticuliers Ilaccompagneainsil essordelasociétédeconsommationendiversiantsesoffresdecréditetd épargneauprèsdesménages En juin1987 le Groupe est privatisé Son capital est introduit enBourseavecsuccèsets ouvreauxsalariés Dansunenvironnementéconomique en profonde mutation le groupe Société Généraleréafrmesonidentitéetdémontresasolidité EnFrance ilétoffesesréseaux en créant Fimatex (1995) devenu Boursorama aujourd huiKDCDQdelabanqueenligne etenacquérantleCréditduNord(1997) Àl ét ranger ils implante notammentenEurope centrale etorientale(Komer ni Banka enRépublique tchèque BRD en Roumanie) ainsiqu enRussie(Rosbank) LeGroupecompte145700*collaborateursactifsdans66paysetaccompagneplusde31millionsdeclients Ilpoursuitunedynamiquedetransformationenadoptantunestratégiede croissance durable portée par ses valeurs d esprit d équipe etd innovation d engagement et de responsabilité Fort de plus de150 ans d expertise le groupe Société Générale engagé dans ledéveloppement de l économie réelle place la satisfaction client auBTCDRDRONBBTOSHNREffectifsndepériodehorspersonnelintérimaire Horsclientsdescompagniesd assuranceduGroupe IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 2 P R É S E N T A T I O N D E S O C I É T É G É N É R A L ESociété Générale est l un des tout premiers groupes européens deservices nanciers S appuyant sur un modèle diversié de banqueuniverselle leGroupealliesoliditénancièreetstratégiedecroissancedurable ande mettresaperformanceauservicedunancementdel économieetdesprojetsdesesclients Avec un ancrage solide en Europe et une présence dans lesgéographiesàfortpotentiel les145700*BNKKANSDTRCT &NTODprésents dans 66 pays accompagnent au quotidien 31millionsde clients particuliers grandes entreprises investisseursHRSHSTSHNDKR dans le monde entier en offrant une large palettede conseils et de solutions nancières sur mesure qui s appuie sur3pôlesmétierscomplémentaires laBanquededétailenFranceaveclesenseignesSociétéGénérale Crédit du Nord et Boursorama qui proposent des gammescomplètes de services nanciers avec une offre multicanal à lapointedel innovationdigitale laBanque de détailàl International l Assurance etles Servicesnanciers aux entreprises avec des réseaux présents dansles zones géographiques en développement et des métiersROBHKHRRKDCDQRdansleursmarchés la Banque de Financement et d Investissement Banque Privée Gestiond ActifsetMétierTitres avecleursexpertisesreconnues leurspositionsinternationalesclésetdessolutionsintégrées Au 7mars 2016 la notation long terme de Société Générale est A(FitchRatings StandardandPoor s) A(High)(DBRS)etA2(Moody s) SociétéGénéraleguredanslesprincipauxindicesdedéveloppementdurable DJSI (World et Europe) FSTE4Good (Global et Europe) EuronextVigeo(Europe EurozoneetFrance) ESIExcellence(Europe)d Ethibelet4desindicesSTOXXESGLeaders &+ ))5(6& 65VXOWDWVDM413URGXLWQHWEDQFDLUHGRQW%DQTXHGHGWDLOHQ)UDQFHGRQW%DQTXHGHGWDLOHW6HUYLFHV)LQDQFLHUV QWHUQDWLRQDXGRQW%DQTXHGH*UDQGH&OLHQWOHHW6ROXWLRQV QYHVWLVVHXUVGRQW+RUV3OHV5VXOWDWEUXWGHSORLWDWLRQCoefcientd exploitation(horsréévaluationdeladetteliéeaurisquedecréditpropreetDVA)67 7%67 7%67 4%67 5%69 7%5VXOWDWGpHSORLWDWLRQ5VXOWDWQHWSDUWGX*URXSH)RQGV3URSUHVDMC41&DSLWDXSURSUHVSDUWGX*URXSH&DSLWDXSURSUHVGHOpHQVHPEOHFRQVROLG52(DSUVLPSW5DWLRLQWHUQDWLRQDOGHVROYDELOLW&UGLWVHWGSWVDMC41&UGLWVFOLHQWOH SWVFOLHQWOHChiffres2015et2014déterminésselonlesrèglesCRR CRD4 2013 chiffresproformaBâle3 2011et2012enBâle2 5 Note donnéespubliéesautitredesexercicesrespectifs Dénitionsetajustementséventuelsprésentésennotesméthodologiquesenpages39à41 Effectifsndepériodehorspersonnelintérimaire Horsclientsdescompagniesd assuranceduGroupe * 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I 3 U N E S T R A T É G I E D E C R O I S S A N C E R E N T A B L E F O N D É E S U R U N M O D È L E R O B U S T ED E B A N Q U E U N I V E R S E L L ELe contexte macroéconomique a été caractérisé en 2015 par lachute des prix des matières premières et par un ralentissement dela croissance des pays émergents renforçant lesincertitudes sur leredressement de la croissance mondiale Ce échissement n a étéquepartiellementcompenséparuneactivitéunpeuplusdynamiquedans les pays développés La croissance a accéléré en zone euro soutenueparlabaissedesprixdupétroleetladépréciationdel euro Face à la faiblesse de l ination la Banque Centrale Européenne(BCE) a renforcé sa politique de taux négatifs et a mis en place un0TMSHSSHUDRHMF AuxÉtats Unis lemaintiend unrythmesoutenude créations d emplois a permis à la Réserve Fédérale Américaine(FED)dereleversontauxdirecteurendécembre2015 Au total la divergence des politiques monétaires pourrait renforcerla volatilité des marchés d actifs et constituer un risque pour leredressement de la croissance mondiale en 2016 La faiblessedes prix des matières premières devrait néanmoins favoriser lesexportationsetlademandeintérieure Lestauxdevraientresteràunniveauhistoriquementtrèsbasmaislerisquededéationdevraitêtrecontenuparl interventiondelaBCE Surleplan réglementaire l année 2015avu la poursuite de la miseen place de l Union Bancaire La Banque Centrale Europé enne superviseurcentraldelazoneeurodepuisnovembre2014 axélesexigences Pilier 2 applicables en 2015 au groupe Société Généraleetàcertainesdesesliales Parailleurs lemécanismederésolutionunique(MRU)estégalemententréenvigueur devantpermettre dansle cas de banques confrontées à de graves difcultés de procéderdemanière efcace àleurrésolution notamment en évitant de faireOODKTCDHDROTAKHBRLe groupe Société Générale a bâti un modèle solide de banqueuniverselle adapté aux besoins de ses 31millions de clients(entreprises institutionnels etp articuliers) centré autourde 3 pilierscomplémentaires permettantdediversierlesrisquesetbénéciantchacundepositionsdemarchérobustes BanquededétailenFrance BanquededétailetServicesFinanciersInter nationaux BanquedeGrandeClientèleetSolutionsInvestisseurs Le Groupe a poursuivi les transformations engagées ces dernièresannées Àl èredelarévolutiondigitale leGroupeadécidéd accélérerla transformation de son modèle de Banque de dé tail en France en s appuyant sur la complémentarité de ses 3 enseignes an derenforcersapromessedebanquerelationnellederéférence Le Groupe compte se développer en maintenant l équilibre actueldeson modèleentermesde présence géographique (environ80%des revenus dans les marchés matures et 20% dans les paysémergents enforte croissance) et de portefeuille d activités(environ60% des revenus et des encours pondérés dans les activités deBanque de détail environ 20% dans les activités de Financementet de Conseil de Banque Privée et de Gestion d Ac tifs et limités à20% dans les activités de marché) Dans les activités de Banquede détail le Groupeconcentreson développementen Europeet enAfriqueoùilbénécied uneprésencehistorique d uneconnaissanceapprofondiedesmarchésetdepositionsdepremierplan EncequiconcernelesactivitésdeGrandeClientèleetSolutionsInvestisseurs ledéveloppement dépasse les frontières de la zone EMEA (Europe Moyen Orient Afrique) encapitalisant aux États Unis et en AsiesurRDRDODSHRDRONCTHSKDCDQRetsonréseauàl international La priorité stratégique du Groupe est de maintenir son dynamismecommercial en s appuyant sur la satisfaction client la qualité desservices la valeur ajoutée et l innovation Cet objectif d excellencetraversel entrepriseettrouveunedéclinaisonspéciquedanschaquemétier chaque segment de clientèle ou zone géographique Enparticulier leGroupepoursuitsatransitionnumérique enaccélérantlatransformationdesessystèmesd informationetladigitalisationdeRDROQNBDRRAu delàdesmétiersvecteursdecroissance lacroissanceorganiquesera également stimulée par une part croissante des synergiesinternes dans les revenus réalisées grâce aux ventes croisées ausein de chaque pilier mais également entre les piliers (coopérationaccrue entre la Banque Privée et les réseaux de Banque de détail coopération sur toute la chaîne de services aux investisseursnotamment suite à l intégration du QHLD AQNJDQFD RRTBD&KNAK3QMRBSHNMMJHMFDSBDans un environnement qui restera exigeant tant sur le planéconomique que réglementaire le Groupe s attachera à poursuivreune gestion rigoureuse et disciplinée des coûts (poursuite duprogramme de réduction de s coûts engagés surveillance étroitedes coûts discrétionnaires meilleure efcacité opérationnelle) desrisques (maintien de la qualité du portefeuille de crédits poursuitedes efforts sur le risque opérationnel la conformité et la culturerisque renforcementdubilan)etdel allocationdecapital D%DQTXHGHGWDLOHQ )UDQFHFRQVWLWXHOHSUHPLHUSLOLHUGHODVWUDWJLHGHEDQTXHXQLYHUVHOOHGX*URXSHEn 2016 la Banque de détail en France poursuivra sa stratégiemultimarque ens appuyantsurses3enseignes la banque relationnelle multicanal Société Générale quiaccompagne une clientèle diversiée de particuliers professionnels entreprises collectivitéslocalesetassociations le réseaude Créditdu Nord qui développe son modèleoriginaldebanquedeproximitésurunréseaudebanquesrégionalesauplusprèsdeleursclients Boursorama leKDCDQ de la banque en ligne en France quis appuie sur un modèle innovant et un positionnement tarifaireSSBSHEParailleurs leGroupeaannoncél accélérationdudéploiementdesonnouveau modèle relationnel adapté aux nouveaux comportementsde ses clients à l ère dela révolution digitaleen s appuyant sur sestroismarques LeGroupeentendainsi IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( accélérerledéveloppementdeBoursoramaquidevraitdépasserles2millionsdeclientsd icià2020grâceà sonpositionnementCDKDCDQ de la banque en ligne en France En 2015 le groupeSociété Générale a réalisé l acquisition de l intégralité de laparticipation du groupe Caixa dans Boursorama soit environ20 5% du capital et des droits de vote À la suite de cetteopération legroupeSociétéGénéraleestdevenuseulactionnairede Boursorama et a réitéré ainsi sa volonté de poursuivre sondéveloppementsurlemarchédelabanqueenligne accélérerlatransformationdesréseauxSociétéGénéraleetCréditdu Nord autour de trois axes réinventer le modèle relationnel lancer de nouvelles initiatives digitales et accompagner lescollaborateursdanslatransformation La mise en place de ce plan permettra au Groupe d améliorerl expérienceclient ens appuyantsur unerelationomnicanal tout enétantplusefcient H SOH %DQTXH GH GWDLO HW 6HUYLFHV )LQDQFLHUV QWHUQDWLRQDXFRQVWLWXHOHGHXLPHSLOLHUGHODVWUDWJLHGHEDQTXHXQLYHUVHOOHGX*URXSHLe Groupe continuera d appuyerle développement des activités deréseaudebanques à l international surundispositifgéographiqueàpotentielet auseinduquelilpossède desfranchisesKDCDQRCNSDRd expertisesreconnues En Europe centrale et orientale où le Groupe bénécie depositions solides Troisième groupe bancaire en Républiquetchèque l ambition du Groupe est de maintenir sa rentabilitéen développant notamment l offre numérique et les synergies En Roumanie le Groupe entend s appuyer sur sa positionde deuxième groupe bancaire du pays pour bénécier del améliorationdel environnementéconomique Dansla régionAfrique et Outre mer le Groupeentend tirer partidu fort potentiel de croissance économique et de bancarisationdu continent en capitalisant sur sa place de troisième banqueinter nationaleenAfriqueetaccélérersondéveloppement lde manière organique comme illustré par l ouverture d unenouvellelialeauTogoaudeuxièmetrimestre2015 lpar croissance externe en procédant à des acquisitionsciblées comme récemment démontré avec l annonce dela prise de participation de 65% du capital de MauritiusCommercialBankauMozambique En Russie avec ses trois enseignes (Rosbank DeltaCrédit etRusnance) qui forment le deuxième groupe bancaire privé àcapitauxétrangers leGroupepoursuivranotammentl exécutiondu plan de transformation des activités sur le segment desparticuliersetledéveloppementdesactivitéssurlesentreprises ConformémentàlastratégieduGroupederecentrersesactivitésdeBanquededétailenEuropeetenAfrique legroupeSociétéGénéralea décidé de se concentrer au Brésil sur la clientèle entreprise etinstitutionnelle et a annoncéqu il se retiraitdes activités de créditàlaconsommationdanscepays LegroupeSociétéGénéraleacesséen 2015 les opérations de ses liales de crédit à la consommation LegroupeSociétéGénéraleresteengagéauBrésiletvacontinuerdeservirsaclientèleentrepriseetinstitutionnelleautraversdesesentitéslocalesBancoSocieteGeneraleBrasil Société Générale EquipmentFinance ALDAutomotiveBrasil etdesondispositifinternational Dans l Assurance le Groupe entend accélérer le déploiement dumodèledebancassurancesurtouslesmarchésdeBanquededétailetsurtouslessegments(assurancevie prévoyanceetdommages) Le Groupe a notamment annoncé en février2015 sa décisiond exercer son option d achat de la participation de 50% détenuepar Aviva France dans Antarius compagnie d assurance dédiéeaux réseaux Crédit du Nord et actuellement détenue conjointementO H BD DS KD CHS CT NC DSSDBTHRHSHN TH CDHSHSDDH D permettra de renforcer les synergies avec lesréseauxbancairesetlespositionsdelaligne métierSociétéGénéraleInsurance Dans les activités de location longue durée et de gestion de ottesautomobiles l ambition du Groupe est de renforcer sa position deKDCDQRGHOglobal en visant la position de numéro un des solutionsdenancementetdesservices de gestiondeparcsautomobilesenEurope et de numéro deux dans le monde Le 8janvier 2016 ALDAutomotiveaannoncélasignatured unaccorddénitifpouracquérir100%despartsdelasociétéhongroiseMKB EuroleasingAutópark spécialisée en gestion de ottes automobiles ainsi que de sa lialebulgare MKB Autopark eood Cete acquisition permet à ALDAutomotive d étayer ses positions deKDCDQ dans ces deux pays Le 17février2016 leGroupe aannoncé êtreentré en négociationsexclusivesavecWendelenvuede l acquisition parALD Automotivedu groupe Parcours 7D acteur français de la location longue durée(LLD) de véhicules Le contrat d acquisition a été signé par lespartiesle24février2016etlaréalisationdel opérationestsoumiseàl approbationdel AutoritéFrançaisedelaConcurrence Enn dans les activités de nancement d équipements le GroupeDSDC BOHSKHRD RT R ONRHSHN CDKDCDQ en Europe et parmi lesacteurs mondiaux de premier plan pour augmenter ses revenus etaccroîtresarentabilité LeGroupeambitionnededevenirlaréférencemondialepourlesUDMCNQR(fournisseurs)etlesclientsens appuyantsuruneorientationclientcohérente l innovationetl expertise Le pôle de Banque de détail et Services Financiers Internationauxsera un moteur de croissance du Groupe grâce au potentiel élevéde ses marchés et à des synergies accrues Le Groupe poursuivraainsisastratégiededéveloppementdessynergiesentrelesa ctivitésdu pôle mais également avec l ensemble des métiers du Groupe aveclesactivitésdeBanquePrivée aveclesplateformesrégionalesde la Banque de Financement et d Investissement et au travers dudéveloppementdesservicesdebanquecommerciale(tradenance cashmanagement affacturage) Laréalisationeffectivedecetteacquisition(quiestsoumiseàl obtentiondesautoritésréglementaires)devraitintervenir selonlesaccords en2017 * 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I H SOH %DQTXH GH *UDQGH &OLHQWOH HW 6ROXWLRQV QYHVWLVVHXUV FRQVWLWXH OH WURLVLPH SLOLHU GH OD VWUDWJLH GHEDQTXHXQLYHUVHOOHGX*URXSHLeGroupe bienpositionnépourrenforcersespartsdemarchédansun environnement concurrentiel où certains acteurs revoient leurstratégie et réduisent leurs activités est en mesure de tirer parti deladésintermédiationcroissanteenEuropeetdudéveloppementdesnouveauxservicespostmarché En2016 leGroupecontinuerad accompagneretdetoujoursmieuxservirsabasedeclientèlelargeetdiversiée(entreprises institutionsnancières gestionnaires d actifs entités du secteur public clientstrèsfortunés)encherchantàoffrirdessolutionssur mesureetàfortevaleurajoutée LeGroupeentendnotamment consolider ses positions de tout premier plan dans les activitésde marché et investir dans les activités de nancement enOSHBTKHDDCDKNOOSKDRRNKTSHNRNQHFHMSDSNCHRSQHATSDand accompagnerladésintermédiationducréditenEurope êtreauxavant postesdel évolutiondesservicespostmarchéendéveloppant la plate forme de conservation et d administrationCDENCRHRHTDKDRBSHHSRCD QHLD2DQUHBDR développer Lyxor en Europe ainsi que la Banque Privée enélargissant la base de clients fortunés en particulier en Suisse Le 27novembre 2015 le Groupe a conrméavoir négociéavecOddo&CieunaccordportantsurlerachatdeKleinwortBensonWealth Management (KB Bank Limited et KB Channel IslandsHoldings Limited) activité de Banque Privée au Royaume UnietdanslesîlesAnglo Normandesde BHFKBDSSD NOSHNs inscrit dans la stratégie de Société Générale Private Bankingd accélérer son développement sur ses marchés c ur enEurope notammentenGrande Bretagne En parallèle en adéquation avec sa stratégie d accompagnementau plus près des besoins de ses clients et en conformité avec lenouvel environnement réglementaire plus exigeant l optimisation de laconsommationderessourcesrares(capitaletliquidité)resterauneprioritéaumêmetitrequelamaîtrisedescoûtsetlastrictegestiondesrisques Dans un environnement économique et géopolitique instable lesmétiers duGroupeontànouveauprouvé leur capacitéàdélivrerunebonne performance opérationnelle avec des frais de gestion et uncoûtdurisquemaîtrisés Ens appuyantsurlaqualitédesesactifs surson modèle de banque universelle tournée vers sesclients et surleseffortsdetransformationengagésdepuisplusieursannées leGroupeDRSDANDONRHSHNONTRHRHKDRNOONSTHSRCDBNHRRBDCettetransactionestsoumiseauxconditionssuspensivesusuelles notammentlanégociationd uneconventiondecessiond actionsavecBHFKleinwortBenson IDOCUMEN T DE RÉFÉRENCE 2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( L E S M É T I E R S D U G R O U P E&+ ))5(6& 6 (63 (56%DQTXHGHGWDLOHQ)UDQFH%DQTXHGHGWDLOHW6HUYLFHV)LQDQFLHUV QWHUQDWLRQDX%DQTXHGH*UDQGH&OLHQWOHHW6ROXWLRQV QYHVWLVVHXUV1RPEUHGHFROODERUDWHXUV(enmilliers)1RPEUHGpDJHQFHVQVQVQV3URGXLWQHWEDQFDLUH(enMEUR)5VXOWDWQHWSDUWGX*URXSH(enMEUR)(QFRXUVEUXWVGHFUGLWVFRPSWDEOHV(enMdEUR)(QFRXUVQHWVGHFUGLWVFRPSWDEOHV(enMdEUR)FWLIVVHFWRULHOV(enMdEUR))RQGVSURSUHVDOORXVPRHQVQRUPDWLIV(enMEUR)Prêtsetcréancessur la clientèle prêtsetcréances surlesétablissementsdecréditetopérationsdelocationnancementetassimiléset locationssimples Hors pensionslivrées Excluantlesentitésquifontl objetd unreclassementselonlanormeIFRS5 FondsproprescalculéssurlabasedesrèglesCRR CRD4 Note Lesdonnéesconcernantl année2014sontcellespubliéesau31 12 2014BonnedynamiquecommercialeDXVVHGXSURGXLQHEDQFDLUHdesmétiersde+1 5%enrythmeannuelpourlapériode2013 2015%DLVVHGXFRGXULVTXHGDQVtouslesmétiersentre2013et2015RGXULVTXHGXURXSHSRLQVGHEDVHHQSRLQVGHEDVHHQRésultatd exploitationdesmétiersenhaussede19%entre2013et2015568 77 p( 3 2 77 21 (607 (56 41201364 3 %201465 1 %201566 1 %Coef cientd exploitation des métiers TOTAL MÉTIERSBanque de Grande Clientèle et Solutions InvestisseursBanque de détail et Services Financiers InternationauxBanque de détail en France1 8 1 9 2 2 1 6 1 7 1 8 1 8 2 4 2 1 5 2 6 0 6 1 * 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I %14 8( ( 7 (1)51&(La Banque de détail en France propose une large gamme deproduits et services adaptés aux besoins d une clientèle diversiéede 11millions de clients particuliers et de près de 810000clientsONEDRRHNDKRDSDOHRDRDSRRNBHSHNRS appuyant sur le savoir faire d une équipe de près de34000professionnels un dispositif multicanal performant dont3085agences la mutualisation des bonnes pratiques et lasimplication des processus la Banque dedétail en France combinela force de 3 enseignes complémentaires SociétéGénérale banquenationalederéférence CréditduNord groupedebanquesrégionales Boursorama Banque acteur incontournable de la banque en ligne Ces réseaux disposent de l appui de GTPS (&KNAK 3QMRBSHNM MC XLDMS2DQUHBDR)pourlagestiondesuxetdespaiements DRRDTCDTDCDCSHKHNDSONTBNRSTHDKATDrelationnellededemain LaBanquededétailenFrances illustrepar sonserviceclientreconnuetprimé RNRSSTSCDKDCDQdelabanqueenligneetmobileenFrance sondynamismecommercia l RNCOSSHNBNSHTDKKDTADRNHRDSSSDSDRCDRDRBKHDSRLaBanquede détailenFrances emploie pourtouteslesclientèles à améliorer la satisfaction de ses clients mais aussi à poursuivre ledéveloppeme nt de services à valeur ajoutée et à accompagner lesentreprises dans leurcroissance àl international Elle s appuie pource faire sur des synergies avec les métiers spécialisés notammentavecl Assurance laBanquePrivée oulaBanquedeFinancementetd Investissement Parexemple laBanquededétailenFrancedistribuedes produits d assurance de Sogecap et Sogessur liales logéesdans le pôle Banque de détail et Services Financiers Internationaux Surl année2015 lacollectenetted assurancevieestde2 8milliardsd euros Lesencoursd assurancevieatteignent88 3milliardsd eurosàn2015 contre85 1milliardsd eurosàn2014 Au traversde ses 3 enseignes legroupe Société Générale disposede solides positions sur le marché français tant sur les dépôts etcrédits des ménages (part de marché supérieure à 7% et 7 5%respectivement) que sur les dépôts(environ 12 5%)etcrédits desociétésnonnancières(environ7 8%) &5 76(7 376 41Moyennedesencourstrimestriels Les réseaux continuent de soutenir l économie et d accompagnerleurs clients dans le nancement de leurs projets avec uneprogressiondesencoursdecréditsmoyensde175milliardsd eurosen 2014 à 178milliards d euros en 2015 Dans le même temps etdans un contexte de concurrence vive sur la collecte d épargne laBanque de détail en France poursuit avec succès sa politique decollectededépôtsbilanciels Ladynamiquedecollectedesdépôtsapermis d améliorerleratio créditssurdépôtsencohérence aveclescontraintesréglementaires 5VHDX6RFLW*QUDOHD1RDT2NBHS&KDNEEDCDRRNKTSHNRCOSDRTADRNHRde 8millions de clients particuliers et de près de 490000clientsprofessionnels associations et entreprises qui luifont conance ens appuyantsur3atoutsmajeurs prèsde23500collaborateurset2186agences principalementlocalisées dans les régions urbaines concentrant une partimportantedelarichessenationale uneoffrecomplèteetdiversiéedeproduitsetdeservices allantdusupportd épargneàlagestionpatrimoniale enpassantpa rlesnancementsdesentreprisesetl offredemoyensdepaiement un dispositif multicanal complet et innovant internet mobile téléphoneetagencedirecte 7516)2507 21 8 6326 7 ) ( 675 %87 21SociétéGénéraleaannoncéàn2015unplandetransformationOKTHTDK CD RN CHRONRHSHE CD CHRSHATSHN ONT ONCD Tévolutions fondamentales des besoins de ses clients et être labanquequicombinelemieuxl humainetledigital Lesclientssouhaitentplusd immédiatetéetdequalitédeserviceauquotidien etd accèsàl expertiselorsdesmomentsimportantsCD KDT HD R BD BNSDSD 2NBHS&KD ONTRTHDl extension de sa gamme de services digitaux notammentUHson application mobile particulièrement appréciée des clients Les clients peuvent déjà effectuer la plupart de leurs opérationsBNTSDR D OODKS KDR DSDR CD DKSHN BKHDSR TH RNSaccessibles 6J 7 jusqu à 22h00 les jours de semaine 20h00lesamedi De plus la Banque prévoit d équiper près de 550agencessupplémentaires à horizon 2020 d espaces libre serviceaccessibles 7J 7 et sur des horaires élargis Enn l agenceva devenir un lieu d interactions plus personnalisées où lesclients pourront bénécier de conseils d experts En 2020 SociétéGénérale compte s appuyer sur un réseau de près de1800agences (pour 2221 à n 2014 soit 20%) présentes surtout le territoire national offrant un niveau d expertise plus élevépouraccompagnersesclientsdanslesmomentsclésdeleurvie Plaçantleclientauc urdesondispositif leréseauSociétéGénéralea été reconnu «Service client de l année» 2016 pour la quatrièmefois(ViséoConseil octobre2015) Ceprixrécompensel engagementCréditsDépôtsRatio crédits sur dépôts179 175 178 155 162 170 2013 2014 2015 116% 108% 104% Effectifenéquivalenttempsplein(ETP) LenombretotaldecollaborateursdelaBanquededétailenFranceestd environ40000(effectifdendepériodehorspersonnelintérimaire) Àn2015 partsdemarchéduGroupe sourcesSociétéGénérale BanquedeFrance IDOCUMEN T DE RÉFÉRENCE 2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( des collaborateurs toujours à l écoute des clients an de lesaccompagner au quotidien pour leur rendre la banque plus simple plusprocheetplusefcace 2NBHS&KD COKNHD TD NEED COSD T NTDT ADRNHRde ses clients L enseigne a fait de l innovation un de ses axes dedéveloppement leréseauSociétéGénérale accueilleenviron 4millionsde clients mobiles et plus de 67millions de connexions par mois auxservicesnumériques IlaouvertsurTwitterlepremiercomptedédiéàlarelationbancairequigarantituneréponseenmoinsdetrenteminutes Avecprèsde5 8millionsdecomptesàvue laclientèledeparticuliersestunecomposantecléduportefeuilleduréseauSociétéGénérale Les dépôts de la clientèle de particuliers ressortent à 79milliardsd euros en 2015 contre 76milliards d euros en 2014 Les encoursde crédit accordés à la clientèle de particuliers s établissent à75milliards d euros en 2015contre 73milliards d euros en 2014 etsontcomposésàhauteurde88%decréditsàl habitat Lemarchédesprofessionnelsafchesaplusforteperformancedepuis2009 en termes de conquête de nouveaux clients Le nombre decomptesàvueestenhaussede2 8% avecprèsd untiersdesentréesD DKSHNR KHRDR DB CDR BKHDSR HRSKKR CDOTHR OKTR CD SNHRans Lademande deproduitsetservices bancairesauxprofessionnels(servicesdebaseetmonétique)aétéparticulièrementdynamique Depuis 2014 SociétéGénérale a renforcé son dispositif de BanquePrivée et développe un dispositif commercial dédié à la clientèlepatrimoniale au travers d un partenariat avec SociétéGénéralePrivate Banking qui compte aujourd hui 80centres en France Lacollecte nette du nouveau dispositif de Banque Privée est en forteprogression (+75%) par rapport à 2014 portant les actifs sousgestionà52milliardsd euros Sur le marché de l entreprise l exercice 2015 se caractériseégalementparunetrèsfortedynamiquedenouveauxclients +69%pour les petites entreprises et +58% pour les PME de plus de7 5millionsd eurosdechiffred affaires LaBanquesertainsiplusde96000clients«Entreprises»àn2015 Le réseau Société Générale continue de soutenir l économie et àce titre d accompagner ses clients dans le nancement de leursprojets d investissement Les encours de la clientèle commercialeONEDRRHNDKR DSDOHRDR RRNBHSHNR DS RDBSDT OTAKHB D s élèvent à 43 1milliards d euros en dépôts et 58milliards d eurosen crédits contre 43 4milliards d euros et 60 2milliards d eurosrespectivementen2014 Dansle souci de développer une relationtoujours plus proche avecses clients entrepreneurs il peut s appuyer sur la plateforme MidCap Investment Banking (MCIB) MCIB la Banque de Financementet d Investissement des PME et ETI françaises accompagneen partenariat avec la Banque de Grande Clientèle et SolutionsInvestisseurslesentreprisesdetaillemoyennecotéesounoncotéesdans leur développement (croissance externe ou organique) et leurtransmission (cession réorganisation du capital) Elle leur proposeune palette intégrée de services de Banque de Financement etd Investissement (conseil nancement bancaire ouUHles marchésde capitaux investissement en capital) L équipe MCIB rassembleprèsde110professionnels basésàPariset dansles 6 délégationsrégionales de province du réseau SociétéGénérale Lille Rennes Strasbourg Marseille Lyon et Bordeaux Ce dispositif complètel offre spécique de Banque Privée tournée vers la clientèle desentrepreneurs axéesurlaproximitéetlaréactivité 5VHDX&UGLWGX 1RUGLe groupe Crédit du Nord est constitué de 8 banques régionales Courtois Kolb Laydernier Nuger Rhône Alpes SociétéMarseillaisedeCrédit TarneaudetCréditduNordetd unprestatairedeservicesd investissement laSociétédeBourseGilbertDupont spécialiséesurlesegment desHCOR Ildéveloppeavec sesclientsunerelationfondéesurlaproximité l expertise l innovationetlasatisfaction Lesclientsbénécientdesavantagesd unebanquerégionaleetdeceuxd ungroupededimensionnationale Connaissantparfaitementletissuéconomiquelocal lesbanquesduGroupesontorganiséescommedevéritablesPMEdotéesd unetrèsgrandeautonomiedanslagestiondeleuractivité Celle cis exprimenotamment par des prises de décision rapides et une granderéactivitéauxdemandesdesclients Prèsde9000collaborateursdugroupeCréditduNordetsonréseaude 899agences sont au service de plus de 2millions de clientsparticuliers de 274000clients professionnels et associations et deDSDOHRDRDSHRSHSTSHNDKREn moyenne en 2015 les encours de dépôts du Crédit du Nords élèvent à 36 4milliards d euros (contre 33 7milliards d eurosen 2014) et les encours de crédit à 36 3milliards d euros (contre35 1milliardsd eurosen2014) La clientèle de professionnels constitue l une des priorités Le réseauCréditduNordaainsimisenplaceundispositifrépondantauxbesoinsspéciquesdeleursmétiersandelesaccompagnerauquotidienetlesconseillerdansleursprojets avecnotammentuneoffreetdesconseillersCCHR T ONEDRRHNR KHAKDR 3NTSDR KDR SSDSDR ABHDR CDRclients qu elles soient d ordre privé ou professionnel sont prises encompteauseindelamêmeagenceetsouslaresponsabilitédumêmeHSDKNBTSDTL excellentequalité des relations fondées sur l écoute et le conseil que construisent chaque jour les banques de ce réseau avec leursclients sereètedanslesétudesconcurrentiellesmenéesparCSAauprès des clients des grands groupes bancaires français Selonces études réalisées au premier trimestre 2015 le Crédit du NordcontinueàêtrepositionnéparmilesKDCDQRentermesdesatisfactionglobale et se classe de nouveau à la première place sur le marchéCDROSHBTKHDRDGilbert Dupont et MCIB (Mid Caps Investment Banking) collaborentrégulièrement dans le domaine des marchés de capitaux pour lecompte de clients PME de SociétéGénérale Cette collaborationportesurdesopérationsd introductionsenBourse d augmentationsde capital de placements secondaires de titres de type actions ouobligations Gilbert Dupont ap porte son expertise spécialisée etrenforcelacapacitédedistributiond opérationsdemarchéMidCapdugroupeSociétéGénérale NUMÉRO 1DE LA SATISFACTION CLIENTMAR CHÉ D ES PA R T ICU LIE R SBaromètreconcurrentielCSA2015menéauprèsdesclientsdes11principalesbanquesfrançaises * 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I %RXU VRUDPDFiliale de SociétéGénérale à 100% depuis juin2015 Boursorama B D DRS OHNHD DSKDCDQ RT RDR BSHHSR OHBHOKDRen France la banque en ligne (57% du produit net bancaire) lecourtage en ligne (34% du produit net bancaire) et l informationnancière sur Internet (9% du produit net bancaire) avecboursorama com premierportaild actualitééconomiqueetboursièreDBDAprès avoir franchi le cap des 750000clients en décembre2015 l objectif pour 2020 est d atteindre plus de 2000000de clients enFrance Pourcefaire Boursoramapoursuivral accroissementdesonfondsdecommerceetconsoliderasonmodèleandegagnerencoreenefcacitéopérationnelle Boursorama première banque 100% mobile proposeàsesclientsd accéder depuis le terminal numérique de leur choix à une offrebancaire complète innovante peu coûteuse et p erformante allantdesproduitsbancairesclassiques(cartebancaire comptesépargne prêt immobilier ou prêt personnel) aux produits d épargne tels queles OPCVM et les placements en assurance vie ainsi que tous lesproduits pour investir sur les marchés (actions SQBJDQRwarrants certicats turbos SRD CFD Forex) Boursorama propose une gamme complète de produits et servicesbancaires quis appuiesur4piliersfondamentaux une tarication peu élevée et transparente (Boursorama Banque aété de nouveau élue «Banque la moins chère de France» par lebaromètreRTLLeMonde Choisir ma banque comenjanvier2015) laqualitédeservice(conseillersdisponiblesjusqu à22heuresettransactionssécurisées) lasimplicité et l innovation ouvrir un compte 100% en ligne en quelquesclics avec des outils exclusifs pour simplier la gestion del argent depuis son espace bancaire dans lequel le client peutgratuitement consolider et gérer ses comptes y compris ceuxdétenusauprèsd autresbanques LegroupeBoursoramaestégalementprésentenEspagne(courtageetbanqueen ligne) et enAllemagne (portail d information nancièreetcourtageenligne) en Allemagne et en Espagne le groupe Boursorama proposeà des investisseurs privés de gérer leur épargne en ligne demanièreautonomegrâceàunegammecomplè tede produitsetservicesd épargneetunaccèsauxprincipalesplacesnancièresinternationales Cette offre est accessible en Allemagne surwww onvista bank de enEspagnesurwww selftrade es en Espagne (SelfBank) la relance de l activité bancaire s estpoursuivie avec succès en 2015 Le capital de SelfBank estdétenuà100%parBoursoramadepuislemoisdejuin en Allemagne (OnVista) le portail www onvista de se positionnecommeKDCDQdel informationnancièreenligne OnVistaaenregistréune bonne performance commerciale sur l année avec un objectifd acquisitiondeclients2015atteintdèsletroisièmetrimestre *OREDO7UDQVDFWLRQ3DPHQW6HUYLFHVRattaché au pôle des Réseaux de Banque de détail en Francedu Groupe GTPS (Global Transaction & Payment Services) est lespécialistedespaiementsetdelabanquedeuxdeSociétéGénérale et offre ses services à l ensemble des réseaux de distribution du&NTODDSCDKDTRBKHDSRPrésent commercialement dans 55pays GTPS s adresse à toustypes de clientèle particuliers professionnels associations entreprisesetinstitutionsnancières Avec plus de 1800collaborateurs GTPS s articule autour de2activités Global Transaction Banking (GTB) assure la commercialisationd une offre aux entreprises qui souhaitent un accompagnementdans la gestion de leurs ux (bancaires et commerciaux) et deleurspaiements Cetteoffreregroupelesmétierssuivants lgestiondetrésoreried entreprisesBRGLMFDLDMSlservicesdenancementducommerceinternationalSQBDlBSHHSRCDBNQQDRONMCDMSAMJHMFlaffacturage lservicesdechangeassociésàcesactivités Le savoir faire des équipes GTB est régulièrementrécompensé GTB a été élu «Meilleur service deBRG LMFDLDMS» (EMEAFinance 2015) «MeilleurebanquedenancementducommerceHSDSHNK D BDu &KNAK HMMBD 2016) «Meilleureinstitutiond affacturage»(TFR 2015)et«#HRSHMFTHRGDC QNUHCDQNE3QMRBSHNMMJHMF2DQUHBDR»(Fimetrix 2015) Global Payment Services (GPS) assure en tant que prestataireinterne la conception des produits de paiement et deBRGmanagement l ingénierie des solutions bancaires (pilotage desprojets et des évolutions du dispositif de traitement) la gestiondesuxetletraitementdesopérations Lebaromètreconcurrentieldemesuredelasatisfactionclientèleaétéréaliséaupremiertrimestre2015auprèsd échantillonsreprésentatifsdeclientssurtouslesmarchésetsurplusieursthèmescités satisfactionglobaleclient image agence produitsetservices IDOCUMEN T DE RÉFÉRENCE 2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( %14 8( ( 7 (76(59 &(6) 11& (56 17(517 218 (1&2856 (&5 76DMC41(1&2856 ( 376DMC41HorsNSGB Geniki AVD Belorosbank cédésen2012et2013etFrannance(rattachédepuisle1Djanvier2014aupilierBanquededétailenFrance) Horsaffacturage LepôleBanquededétailetServicesFinanciersInternationaux(IBFS)regroupe lesactivitésdeBanque dedétailàl International organiséesen3zonesgéographiques Europe Russie AfriqueetOutre mer et 3 métiers spécialisés activités d assurances location longuedurée et gestion de ottes nancement de biens d équipementONEDRRHNDKRAu travers de ce pôle le Groupe a pour ambition de servir aumieux tous ses clients particuliers ou entreprises en veillant às adapter aux évolutions d environnement économique et social ainsi que d accompagner le développement des clients du Groupeàl internationalentirantpartidelarichessedesondispositifprésentdans des zones de croissance La stratégie d IBFS s appuie surle modèle relationnel de la banque universelle la valorisation dufondsde commerce parunegammedeproduitsélargieainsiqueladiffusionetlacombinaisondessavoir fairepermettantdedévelopperlesrevenusdansunsouciconstantd optimisationdel allocationdesressourcesraresetdemaîtrisedesrisques Avec plus de 73000 collaborateurs* implantés dans 52 pays etune présence commerciale dans 67 pays IBFS a vocation à offrirune large gamme de produits et services à plus de 32millions declients particuliers professionnels et entreprises (dont 1 2milliond entrepriseset13 4millionsd assurés) Fort de la complémentarité de ses expertises IBFS dispose depositionssolidesetreconnuessursesdifférentsmarchés %DQTXHG HGWDLOOp QWHU QDWLRQ DOLa Banque de détail à l International allie les services des réseauxbancairesàl internationaletdesactivitésducréditàlaconsommation DR RDT ONTRTHDS KDT ONKHSHTD CD BNHRRBD DS NBBTODSaujourd hui des positions de premier plan dans différentes zonesd implantationtellesquel Europe laRussie leBassinméditerranéenouencorel Afriquesubsaharienne Ilscontribuentaunancementdeséconomiesdesdifférentesrégionsdanslesquellesilssedéveloppent Ainsi le Groupe continuera d appuyer le développement de sesactivitéssurcedispositifgéographiqueàpotentiel E UROP E(XURSH GH OâRXHVW où le Groupe est implanté en France Allemagne et Italie essentiellement dans des activités de crédità la consommation les encours de crédits ont augmenté de5 6% sur l année 2015 à 14 3milliards d euros dans un contextede ralentissement économique La liale française CGI asigné un partenariat avec le constructeur Lotus concernantle nancement de stock et le nancementQDSHK chez lesrevendeurs de la marque La liale a également lancé son sitevivacar fr simpliantl expérienceduconsommateur enluipe rmettantl achat sécurisé de son véhiculed occasion nancement inclus enBKHBR5SXEOLTXH WFKTXH Komer ní banka (KB) se positionne autroisièmerangdesbanquesdupaysentermesdetailledebilan avecdesencoursdecréditsde20milliardsd euros prèsde396agenceset8149collaborateurs(ETP)àdécembre2015 Crééeen1990 KB devenue une liale de Société Générale en 2001 a développé ses11 514 320 06 17 918 215 510 813 617 66 413 518 016 980 010 913 818 26 19 418 815 077 177 8DÉC 13 DÉC 15 DÉC 14 Dont nancementd équipement(2)DONT SOUS TOTAL BANQUE DE DÉTAIL À L INTERNATIONALAfrique Asie Bassin méd et Outre merRussieRoumanieRépublique tchèqueEurope de l ouest (crédit à la consommation)Autre EuropeDÉC 14 DÉC 15 DÉC 13 9 11 523 68 18 517 568 31 710 21 725 28 16 719 270 91 611 01 724 89 16 418 071 01 3Effectifsndepériodehorspersonnelintérimaire * 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I activitésdebanqueuniverselledestinéesauxparticuliers(notammentavec une refontecomplète de son offre de banque au quotidien) eta renforcé sa présence traditionnellement importante auprès desentreprises et des municipalités Le groupe KB propose égalementunegammedeproduitsdestinésauxparticuliers avecESSOX(crédità la consommation) Modra Pyramida (crédits hypothécaires) ainsiqu uneoffredéveloppéeconjointementaveclaBanquePrivée 5RXPDQLH BRD est le premier réseau bancaire privé du paysavec829agencesetla deuxièmebanquepar latailledu bilan avecdes parts de marché de l ordre de 15% en dépôts et 13 5% encrédits à septembre2015 Le groupe Société Générale est devenul actionnaireprincipaldeBRDen1999 L activitédugroupeBRDestorganisée autour de 3 grandes lignes métiers la Banque de détailBRD (particuliers professionnels PME) la Banque de Financementetd InvestissementetlecréditàlaconsommationavecBRDFinance La Banque a reçu le prix de «MJDQ NE SGD 8DQu CBD O KDmagazinePiataFinanciara(8décembre2015) RKDRDXWUHVSDVGâ(XURSH2NBHS&KDDRSORDSCRpays essentiellementdanslesBalkansetenPologne oùilestunacteurrégional majeur En 2015 le Groupe est entré en relation avec plusde 97000 nouveaux clients Les encours atteignent 11 5milliardsd euros pour les crédits et 11milliards d euros pour les dépôts à ndécembre2015 soit des progressions de 5 9% et de 8 5% EnSlovénieetauMontenego SKBBankaetSocieteGeneraleMontenegroRD RNS TDR CBDD KD OH CD MJ NE SGD 8DQ u O KDmagazineTheBanker R U SS I ELe Groupe développe son modèle de banque universelle et sepositionnecommelede uxièmegroupebancaireàcapitauxétrangersen Russie (par le total de bilan) Société Générale y est présenteau travers de plusieurs entités couvrant les différents marchés departiculiers et d entreprises au sein de la Banque à l International l activité est exercée au travers des entités Rosbank Rusnance etDKSDCHSLa mise en uvre du plan de transformation de cet ensemble sepoursuit avec notamment le renforcement de la spécialisation dechaque enseigne les activités de prêts immobiliers sont exercéespar DeltaCreditBank etcellesdecréditautomobilesontregroupéeschez Rusnance Bank Rosbank poursuivant le déploiement d uneNEED ABHD OKTR D RT K ATD T TNSHCHDu BD THconcerne la clientèle d entreprises l accent est mis sur les activitésde nancement et d investissement (en partenariat avec SG CIB)à destination de la clientèle des grandes entreprises (russes oumultinationales) Parallèlement dans un contexte qui reste difcile une attention particulière continue d être portée tant à l efcacitéopérationnellequ àlamaîtriseetàlaréductionduprolderisques Le Groupe est par ailleurs présent en Russie au travers d autresentitésconsolidéesdansl activitéAssurancesoudanslesmétiersdeServicesFinanciersauxentreprises L ensembleSGRussieregroupel ensemblede cesactivitéset secomposede Rosbank DeltaCreditBank RusnanceBank SociétéGénéraleInsurance ALDAutomotiveetdeleurslialesconsolidées AFRI QU E E T O UT R E M E REn avril2015 Société Générale a réafrmé sa stratégie en Afrique qui vise une accélération de la croissance sur le continent commeannoncé dans le plan stratégiquedu Groupe à horizon 2016 Ainsi aprèsavoirréaliséunproduitnetbancairedeplusd 1milliardd eurosRT K YND D 2NBHS &KD HRD TD BBKSHN CDRDR DDTR D &NTOD DSDC BOHSKHRD RT KD ENS ONSDSHDK CDcroissanceéconomique(del ordrede5%paran)etdebancarisationdu continent (avec des taux inférieurs à 20% dans beaucoup depaysd Afrique) pouryaccélérersondéveloppementsurlecontinent R KD%DVVLQ PGLWHUUDQHQ le Groupe est présent notammentau Maroc depuis 1913 en Algérie (1999) et en Tunisie (2002) Autotalcedispositifcompte742agencesetunfondsdecommercedeplusde2 4millionsdeclients Au31décembre2015 lesencoursdedépôts s élèvent à 8 7milliards d euros et les encours de crédits à9 9milliardsd euros IULTXH VXEVDKDULHQQH le Groupe bénécie d une présencedans 14 pays importants avec des positions locales historiquesfortes notamment en Côte d Ivoire (KDCDQ O KDR BCHSR DS KDRdépôts) au Sénégal (deuxième par les crédits et les dépôts) et auCameroun (1D ATD O KDR DBNTR CD BCHSR D CHRONRHSHE été élargi en 2015 avec la création de Société Générale Togo ainsique de Société Générale Mozambique à la suite de la prise departicipation majoritaire dans le capital de MCB Moza mbique Surl année 2015 toujours la zoneafcheune croissancesoutenue desencours de crédits à 4 4milliards d euros (+23%) et des dépôtsà 5 7milliards d euros (+13%) Société Générale a reçu le prix de«MeilleureBanque»enCôted IvoireetauCameroun de«MeilleureBanqued Investissement»auCamerounégalement(attribuésparlemagazineEMEAFinanceendécembre2015) 2XWUHPHU le Groupe est fortement implanté à la Réunion età Mayotte aux Antilles (Martinique Guade loupe) et en Guyane ainsi qu en Polynésie française et en Nouvelle Calédonie où il estprésentdepuisplusdequaranteans SociétéGénéraleydéploiesesservicesdebanque universellepour lesparticulierscommepourlesDSDOHRDRVVXU DQFHV6RFLW*Q UDOH QVX UDQFHLemétierAssurancesdugroupeSociétéGénéralecouvrelesbesoinsde la clientèle de particuliers de professionnels et d entreprises duGroupe en matière d assurance vie épargne d épargne retraite d assurancesanté deprotectiondespersonnesetdesbiens Lemétieremploieplusde2100collaborateurs* Selon un modèle de bancassurance intégrée les compagniesd assurance vie et d assurance dommages de Société GénéraleInsurance mettent à la disposition des réseaux du Groupe enFrance et à l international une gamme complète de produits et deservices d assurance autour de 6 familles de produits assurancevieépargne assurancevie épargne retraite prévoyance individuelle(dont assurance santé) assurance des emprunteurs et prévoyancecollective assurancesdommagesetrisquesdivers En 2015 Société Générale Insurance a poursuivi le développementdesonoffre surl ensemblede sesactivités toutenenrichissantlesservicesproposésauxassurés tantenFrancequ àl international En assurance vie épargne Société Générale Insurance a vu sesencours croître de 5% à 95milliards d euros la part des unitésde compte s élève à 21% contre 20% en 2014 Société GénéraleInsurance a poursuivi l extension de sonpartenariat aveclaBanquePrivéeenlançantenCroatieuneoffredédiée En intensiant en 2015 l intégration du digital dans ses activités SociétéGénéraleInsurancedémontresacapacitéd innovationetsa IDOCUMEN T DE RÉFÉRENCE 2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( volontédeparticiperactivementàlatransitionnumérique Enprotection unenouvellefonctionnalitéwebpermetdésormaisauxclientsd accéderàleurscontratsdelagammeaccidentsdelaviesurl espaceinternetSociétéGénéraleetd yfairetoutesleursdémarchesen ligne l offre d assurance automobile a quant à elle été enrichieDBCDNTDTRDHBDRTRRTRDBRCDRHHRSDRRTHHC DRRHHRSDRUHdes outils extranets visio expertise informations parSMS ouencoreservice«e dépanneuse») Comme pour l ensemble des assureurs européens l année 2015a également été marquée par la n de la phase d adaptation auxnouvellesexigencesréglementaires«Solvabilité2»entréesenvigueurTDjanvier2016 Cetteannée SociétéGénéraleaenoutrepoursuivilesnécessairestravauxpréparatoiresàl intégrationd Antarius àlasuitedel exercicele25février2015del optiond achatdelaparticipationde50%détenueparAviva Francedans Antarius Parailleurs KomercniPojistovnaaétédoublement récompenséepourl année2015etélue«Meilleurecompagnied assurancevie»et«Compagnied assurancevielaplusprochedesesclients»surlemarchétchèque SogécapestnotéA parStandard&Poors 6HUYLFHV )LQDQFLHUVDX(QWUHSULVHVLOCAT I ON LO N G UE DU RÉ E ET GE S TI O NDE FLO TT E S DE V ÉH IC ULE S (A LD)Avec près de 4200 collaborateurs* ALD Automotive propose dessolutions de location longue durée de véhicules et de gestion deottesautomobilespourdesentreprisesdetoutestailles aussibiensur des marchés locaux qu à l international L activité rassembleles avantages nanciers de la location opérationnelle avec unpanel complet de services de qualité comprenant notamment lamaintenance la gestion des pneus la consommationde carburant l assuranceetleremplacementdesvéhicules ALD Automotive bénécie d une large couverture géographique àtraversuneprésencecommercialedans40payssituéssur4continents d uneexpertiseuniquesurlesmarchésdesBRIC(Brésil Russie Inde Chine) ainsi que des partenariats avec Wheels Inc en Amérique duNord FleetPartnersenAustralieetNouvelle Zélande AbsaenAfriqueduSudetJohnson&PerrotenIrlande L entitéoccupelepremierrangeuropéenen location longue durée de véhicules et gestion de ottesautomobiles Pionnier en solutions de mobilité ALD Automotive estdans une démarche perpétuelle d innovation an d accompagner aumieux ses clients gestionnaires de ottes et conducteurs et de leurproposeruneoffreadaptéeàleursbesoins Cettestratégieorientéeclientestreconnuepartous Pourlahuitièmeannéec onsécutive ALDAutomotiveFranceaété«Éluserviceclientdel année2016»(ÉtudeInferenceOperations ViséoConseilréaliséedemaiàjuillet2015)danslacatégorieLocationlonguedurée FIN AN CE M E N T D E S V EN TES E T DES B I E NSD É QU I PEM EN T PR O FES SI ONN ELS ( SG E F)Société Générale Equipment Finance est spécialisé dans lenancement des ventes et des biens d équipement professionnels L activité s effectue grâce à des partenaires prescripteurs(constructeursetdistributeursdebiensd équipementprofessionnels) les réseaux bancaires ou en direct Société Générale EquipmentFinancedéveloppesonexpertisedans3grandssecteurs Transport ÉquipementsIndustrielsetHigh tech N°1 en Europe SGEF est présent commercialement dans 35pays emploie plus de 2200 collaborateurs* gère un portefeuille de16 3milliards d euros d encours avec une forte diversité de clientèleallant des grandes entreprises internationales aux PME alliée à uneNEED HD CD ONCTHSR KDRHMF nancier crédit location rachat decréances ) et de services (assurances location de camions avecRDHBDRSouventprimépa rl industriedeKDRHMF SociétéGénéraleEquipmentFinance a reçu 3 prix majeurs «TQNODM +DRRNQ NE SGD 8DQu 5DMCNQHMMBD QNUHCDQNESGD8DQuDS2GLOHNMTQNODulors de la cérémonie des Leasing Life Awards le 3décembre 2015àBudapest Effectifsndepériodehorspersonnelintérimaire * 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I %14 8( (*51 (& (17 ((762 87 216 19(67 66(856La Banque de Grande Clientèle et Solutions Investisseurs (GBIS) apour mission d exercer au plan mondial les activités de Banque deFinancement et d Investissement de Gestion d Actifs de BanquePrivée et de Métier Titres au service d une clientèle sélectionnéed entreprises d institutions nancières d investisseurs degestionnairesdepatrimoinesetfamilyofces DSCDBKHDSROHRAu c ur des ux économiques entre émetteurs et investisseurs GBIS accompagne ses clients dans la durée en leur proposant uneoffre de services variés apportant des solutions intégrées et sur mesure adaptéesàleursbesoinsspéciques GBIScompte prèsde22000collaborateurs*répartissur28pays %DQTX HGH) LQDQFHPHQWHWGp QYHVWLVVHPHQ WSociété Générale Corporate& Investment Banking (SG CIB) est laBanque de Financement et d Investissement de Société Générale Avecprèsde 18000 collaborateurs* répartisdans 25 pays SG CIBest présent sur les principales places nancières dans les régionsd intervention du Groupe avec une large couverture européenne etdesreprésentationssurleszonesEuropecentraleetorientale Moyen Orient Afrique Amériqueset Asie Pacique SGCIB proposeàsesclients des solutions nancières sur mesure associant innovation conseil etqualitéd exécutiondans4 domainesd expertise banqued investissement nancements activités de marché et servicesHDRSHRRDTR SG CIB offre à ses clients émetteurs (grandes sociétés institutions nancières souverains ou secteu r public) desconseils stratégiques dans le cadre de leur développement etun accès aux marchés de capitaux pour se nancer et couvrirKDTRHRTDR SG CIB s adresse également aux investisseurs qui gèrent del épargnenancièreavecdesobjectifsderendementetderisquedénis Qu ils soient gestionnaires d actifs fonds de pensions BHRRDRCDDSHSDfamilyofces hedgefunds ENCRRNTDHRorganismes publics Banques Privées compagnies d assuranceou distributeurs la Banque leur fournit un accès global auxmarchés taux crédit changes matières premières et actionsainsiqu uneoffreuniquedesolutionsetdeconseilscrossasset s appuyantsurdesactivitésderecherchedepremierplan Cetteoffres accompagne d une gamme complètede services dédiésTHDRSHRRDTRL ambitiondeSGCIB est dese situer parmiles premièresbanquesdenancement et d investissement de la zone euro en s appuyantsurunmodèleéquilibréentremétiersetrégions toutenpoursuivantla transformation de son modèle an d améliorer son efcacitéopérationnelleetsonprolderisqueavec pourprincipalobjectif detoujoursmieuxservirsesclients An de renforcer ses positions et de favoriser les ventes croisées SGCIBorganisesesdomainesd expertiseautourde2métiers HVFWLYLWVGH0DUFKHW6HUYLFHV QYHVWLVVHXUVregroupenten une plateforme mondiale les Activités de Marché qui offrentunevision multiproduitset des solutionsBQNRRRRDSoptimiséesetlesactivitésdeservicesauxinvestisseursregroupantleMétierTitresetPrimeServices HV FWLYLWV GH)LQDQFHPHQW HW &RQVHLO intègrent la gestionet le développement des relations globales avec les clientsstratégiquesde la Banque de Financement et d Investissement KDBNRDHKDETRHNRDSBTHRHSHNRDSTSDRBSHHSRCDBNRDHKenopérationsdehautdebilan ainsiquelesactivitésdeBanquede Financement (nancements structurés solutions de levéede capitaux dettes ou actions d ingénierie nancière et decouverturepourlesémetteurs) AC T I V I TÉ S DE M A RC H É E T S E R VI C ESAUX I NV E ST I S SEU RS CHHRHNFWLYLWV GH 0DUFK HW 6HUYLFHV DX QYHVWLVVHXUVcontinue ainsi de développer pour ses clients une offre «Marché»intégrée constituée des départements «Taux Crédit Changes etMatières Premières» «Actions» h QHLD 2DQUHBDRv et «MétierTitres» Ladivisioncombineainsilaforced uneinstitutionnancièrede premierordreoffrantunaccès globalauxmarchéset l approcheclientd uncourtierKDCDQRTRDRBSHHSRAn d accompagner leurs clients dans des marchés nanciers deplus en plus interconnectés les experts de SG CIB (ingénieurs vendeurs opérateurs demarchéetspécialistesconseils)s appuientainsi sur une plateforme mondiale unique permettant de proposerdes solutions sur mesure adaptées aux besoins et aux risquesspéciquesdechaqueclient 78 &5 7&+1*(6(707 5(635(0 5(6Cesactivitéscouvrentunegammecomplètedeproduitsetservices permettant d assurer la liquidité la tarication et la couverture desrisquessurlesactivitésdetaux crédit changesetmatièrespremièresdesclientsdeSGCIB Taux changes et crédit les équipes basées à Londres Paris Madrid etMilan mais aussi aux États Unis eten Asie Pacique proposent un large éventail de produits de ux et de produitsdérivés Couvrant une variété de sous jacents (produits dechange obligataires privés et souverains marchés émergentsou très liquides BRG NT CHR DKKDR OONSDS T BKHDSRde Société Générale une recherche de qualité des solutionspersonnalisées aux besoins de gestion actif passif de gestiondu risque et d optimisation des revenus et sont régulièrementrécompenséesEffectifsndepériodehorspersonnelintérimaire h3NO6DRSDQMTQNOD UDQKKv hHQRSTQQDMBHDRv hHRSBKHDMS2DQUHBDR vOTQNLNMDX7RTQUDX IDOCUMEN T DE RÉFÉRENCE 2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( Matières premières fort de plus de vingt ans d expérience SG CIBest un acteur signicatif sur les marchés del énergie etdesmétauxetadéveloppéuneoffrematièrespremièresagricolesàdestination des producteurs IlestactifauprèsdesentreprisesDS CDR HDRSHRRDTR HRSHSTSHNDKR DS KDT OONSD CDR RNKTSHNRde couverture et d investissement Dans la sphère des matièrespremières SG CIB est reconnu en tête du classement1HRJ MDQFX1HRJNLLNCHSX1MJHMFREHD&7 216LaprésencehistoriquedeSGCIBsurtouslesgrandsmarchésactionsdu monde primaires et secondaires et une tradition d innovationde longueda teluiconfèrentune positiondeKDCDQsurune gammecomplète de solutions variées couvrant l ensemble des activitésBRG dérivés et rechercheactions Le métier Actions constitue l undes pôles d excellence du Groupe récompensée depuis plusieursDR RN DODSHRD DRS DBNTD SS O K ONEDRRHN TD Oses clients Société Générale à ce titre a été nommé «Meilleurétablissement nancier de l année sur les dérivés actions» (1HRJ VQCR janvier2015)et«DRSDPTHSXOQNCTBSRKDCDQNUDQKKuRTKDRONCTHSRBSHNR1HRJ(MRSHSTSHNMK(MUDRSNQ1MJHMF DSnombre d autres récompenses ont également couronné la capacitéd innovationetlaqualitéduservicedeSGCIBen2015Parailleurs lestravauxdeSociétéGénéraleenmatièrederecherchepermettent de faciliter l interprétation des tendances de marché etleur traduction en stratégies et sont régulièrement primés pour larechercheactions35 0(6(59 &(6LedépartementPrimeServicesaétéconstituéen2015àlasuitedel acquisition en mai2014 de la participation de 50% de NewedgedétenueparCréditAgricole Cette activité regroupe les métiers de compensation de QHLDQNJDQFDetd exécutionélectroniqueetsemi électronique PrimeServicesproposeunensembled expertisequioffreunaccèsmondialàunservicecompletmultisous jacentssurleBRGetlesinstrumentsdérivés Ledépartementconstituepoursesclientsunpointd entréeuniquepourunaccèsàplusde125placesnancièresetplacesd exécutiondanslemonde et un service de pointehNKKNV SGD 2TMv (24h 24) permettantderépondreenpermanenceauxbesoinsdesclients 07 (57 75(6Société Générale Securities Services (SGSS) offre une gammecomplète de services à la pointe des dernières évolutions desmarchésnanciersetdelaréglementation quicomprend l activitédeservicesdecompensationKDCDQsurlemarché l activité de conservation et de banque dépositaire couvranttouteslesclassesd actifs les services d administration de fonds et services destinés auxgestionnairesdeproduitsnancierscomplexes les services aux émetteurs administration de plan deRSNBJNOSHNMR d actionnariatsalarié etc lesservicesdegestiondelaliquiditéBRGettitres les activités d agent de transfert offrant toute une gamme deservicesdesupportàladistributiondefonds Avec3984milliardsd eurosd actifsconservésàndécembre2015(contre 3854milliards d euros au 31décembre 2014) SGSSRD BKRRD T D rang des conservateurs mondiaux et au 2D rangeuropéen Il offre ses services de dépositaire à plus de 3500 OPC(organismes de placementcollectif) et assure la valorisation de plusde 4000 OPC pour 589milliards d euros d actifs administrés enEurope(contre549milliardsd eurosau31décembre2014) En 2015 SGSS a de nouveau été récompensé par Global Finance etenremportantletitrede«Meilleursous dépositaired Europedel ouest»(mai2015) FIN AN CE M E N T E T CO N SEI LLe métier Financement et Conseil regroupe les activités deNRDHK NUDQFD MC (MUDRSLDMS MJHMFu DS KDR BSHHSR CDFinancement DRTHODRCDNUDQFDMC(MUDRSLDMSMJHMFproposentàleursclients entreprises institutions nancières ou secteur public uneapprocheintégrée globaleetsur mesure reposantsur desservicesdeconseilenstratégieétendus couvrantlesfusionset acquisitions les structurations d introductions en Bourse ouencore le placement secondaire d actions SG CIB occupe unepositionde premier plansurlesmarchésdecapitauxactionsenparticulierenEuropenotammentpourlesémissionsd actionsetàcaractèred actions lesémissions eneurosdesEntreprisesetInstitutionsFinancières(4) un accès à des solutions de levée de capitaux optimisées conjointementavecleséquipesdeFinancementetdelaBanqueCDCSHKS appuyant sur une expertise mondiale et une connaissancesectorielle les équipes de Financement proposent aux clientsémetteurs une offre complète et des solutions intégrées dans 3domaines clés levée de capitaux nancements structurés etcouverturestratégiquedurisquedetaux change inationetmatièrespremières DR RNKTSHNR CD KDD CD CDSSD ONONRDR DONRDS RT KcapacitéduGroupeàoffrirauxémetteursunaccèsàl ensembledes marchés mondiaux ainsi qu à élaborer des solutionsinnovantesdenancementsstratégiquesetd acquisitionsoudenancementsàeffetdelevier hDRS UDQKK#DKDQv hHQRS MDQFX#DKDQv h HQRSRD DSKR #DKDQQNJDQ v hHQRS HM1DRDQBGv hHQRS 2SQTBSTQDC DCFHMFv «HQRS2NESNLLNCHSHDRQNJDQ vO1HRJMDQFX1HRJNLLNCHSX1MJHMFh NRS (MMNUSHUD (MUDRSLDMS MJ ENQ PTHSX #DQHUSHUDR v O3GD MJDQ (MUDRSLDMS MJHMF VQCR DSh DRS &KNAK BNMNLHBR v h DRS &KNAK 2SQSDFX vhDRS(MCDW MKXRHRv hDRSTKSH RRDS1DRDQBGvOSDKhDRS UDQKKQDCHS2SQSDFXvDShDRS UDQKK3QCD(CDRvOTQNLNMDXHWDC(MBNLD1DRDQBG2TQUDX(4)h KK (MSDQMSHNMKTQN#DMNLHMSDC NMCRv h KK(MSDQMSHNMKTQN#DMNLHMSDCNQONQSD NMCRv « KK(MSDQMSHNMKTQN#DMNLHMSDCNMCRENQHMMBHK(MRSHSTSHNMRv(exclu CB)parIFRethHM NMUDQSHAKDRvparThomsonReuter * 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I Lemétiermetàdispositiondesesclientssonexpertisemondialementreconnue en nancements structurés dans de nombreux secteursd activité ressources naturelles et énergie commerce international infrastructures et actifs Les équipes de nancement export de laBanquesesontnotammentvuattribuerletitreprestigieux dehDRSWONQS HMMBD MJv toutes catégories confondues décerné par3QCDWONQSHMMBD(juin2015) Dansuncontextededésintermédiationaccrueetauvudesnouvellesréglementations SG CIB continue son repositionnement avecnotamment le renforcement de ses capacités de distribution et laréductiondesactivitésfaiblementgénératricesdesynergies *HVWLRQ GpFWLIVHW%DQTXH3ULYHCette ligne métier regroupe la Gestion d Actifs (Lyxor Assetmanagement et Amundi jusqu à l introduction en Bourse d Amundile 2novembre 2015) et la Banque Privée qui s exerce sous lamarque Société Générale Private Banking Elle compte près de3800collaborateurs*avecuneprésencecommercialedans17pays %148(35 9(SociétéGénéralePrivateBankingestunacteurmajeurdelagestiondefortune En2015 SociétéGénéralePrivateBankingaéténomméàdeuxreprises«MeilleureBanquePrivéeenEurope»( QHUSDMJDQ(MSDQMSHNMKDSWealthBrieng) ainsique«MeilleureBanquePrivéeàMonaco»( QNEDRRHNMK6DKSGMFDLDMSSociété Générale Private Banking offre des services de gestion defortune à une clientèle domestique et inter nationale en s appuyantsurl expertisedeseséquipesspécialiséeseningénieriepatrimoniale solutionsd investissementetdenancement danslerespectd uCodedeconduitescaletelqu approuvéparleConseild administration Depuis janvier2014 et en association avec le pôle Banque dedétailenFrance SociétéGénéralePrivate Banking a fait évoluer enprofondeur son modèle relationnel en France en étendant son offreà l ensemble de sa clientèle de particuliers disposant de plus de500000euros dans ses livres Celle ci peut bénécier d un servicealliantuneproximitérenforcéeautourde80implantationsrégionales des2186agencesduRéseauSociétéGénéraleetdusavoir fairedeséquipesd expertsdelaBanquePrivée SociétéGénéralePrivateBankingaégalementpoursuivisastratégiede recentrage sur la zone EMEA (Europe Moyen Orient Afrique)aveclerenforcementdesondispositifcommercialenEuropehorsdeFrance LacessiondesesactivitésdeBanquePrivéeenAsieàDBSet le lancement d une offre de Banque Privée en Croatie en 2014ainsiquelanégociationn2015avecOddo&Cied unengagementfermeportantsurlerachatdeKleinwortBensonWealthManagement(KB Bank Limited et KB Channel Islands Holdings Limited) activitéde Banque Privée au Royaume Uni de BHF KB HKKTRSDS BDSSDdynamique Fin 2015 les encours d actifs sous gestion de la Banque Privées élèvent à 113milliards d euros (contre 108milliards d euros à n2014) < 2566(701*(0(17Lyxor Asset Management («Lyxor») liale à 100% deSociété Générale fondée en 1998 dispose d une large gamme deproduits et de services d investissement innovants et performantspermettantdeproposerdessolutionsdegestionstructurée indicielleetalternativeàuneclientèleinstitutionnelle Grâce à sa recherche experte à sa gestion du risque de pointe etàson sens de la satisfaction client lesspécialistes de Lyxor offrentdesproduitsauxperformancesdurablesàtraverstouteslesclassesd actifs Parmi les acteurs les plus expérimentés du marché Lyxor est letroisièmefournisseurd ETFWBGMFD3QCDCTMCouFondsIndicielCoté)enEurope(10 7%departdemarché) Avec240ETFBNSRRT13placesnancières Lyxormetàladispositiondesinvestisseursdessolutionsd investissementexiblesandediversierleurallocationàtraversl ensembledesclassesd actifs(actions obligations marchésmonétaires matièrespremières) À Fin 2015 les encours d actifs sous gestion de Lyxor s élèvent à104milliardsd euros(contre84milliardsd eurosàn2014) 081 La Gestion d Actifs de Société Générale s est exercée au traversdes 20% de participation résiduelle de Société Générale jusqu aulancementdel introductionenBoursed Amundile2novembre2015surlemarchéréglementé d Euronext Paris Société Généralea cédéàcetteoccasionl intégralitédesaparticipation Les 2 sociétés restent liées par leurs accords de distribution quiont été renouvelés à compter de la réalisation de l introduction enBourse pour une durée de cinq ans renouvelable Société Généraleconrme ainsison partenariatindustriel de longterme avec Amundiqui demeure le fournisseur de référence de solutions d épargneet d investissement pour ses Réseaux de Banque de détail etd assurances Effectifsndepériodehorspersonnelintérimaire Cettetransactionestsoumiseàlaréussitedelacontre offrepubliqued achatlancéeparOddo&Cie etauxconditionssuspensivesusuelles notammentlanégociationd uneconventiondecessiond actionsavecBHFKleinwortBenson 2NTBDKBJQNBJ3KMCRBOD classementpartotald actifsgérésànjuin2015 D U G R O U P E* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I 1 PrésentationdesprincipalesactivitésdeSociétéGénérale2 ActivitéetrésultatsduGroupeAnalyseducomptederésultatconsolidévvvvvvvvvv243 ActivitéetrésultatsdesmétiersRésultatsparmétiervvvvvvvvvvvvvvvvvvvvTDCDCSHKDBDvvvvvvvvvvvvvvvvBanquededétailetServicesFinanciersInter nationauxvvvvvBanquedeGrandeClientèleetSolutionsInvestisseursvvvvv34HorsPôl esvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvDénitionsetprécisionsméthodologiquesvvvvvvvvvv4 Nouveauxproduitsouservicesimportantslancés5 AnalysedubilanconsolidéPrincipalesévolutionsdupérimètredeconsolidationvvvvvVariationssurlespostessignicatifsdubilanconsolidévvvv6 PolitiquenancièreOHSTONODRCT&NTODvvvvvvvvvvvvvvvvPilotageducapitalvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvSituationd endettementduGroupe*vvvvvvvvvvvvNotationslongterme courttermeetévolutionsaucoursdel exercicevvvvvvvvvvvvvvvvvvv7 PrincipauxinvestissementsetcessionseffectuésFTXLVLLRQVHQFRXUVetcontratsimport ants9 Propriétésimmobilièresetéquipements10 Événementspostérieursàlaclôture11 Évolutionsrécentesetperspectives12 Informationsrelativesauximplantationsetactivitésau31décembre2015 IDOCUMEN T DE RÉFÉRENCE 2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 1 P R É S E N TAT I O N D E S P R I N C I PA L E S A C T I V I T É S*5283(62& 7*15 (RUV3OHV%DQTXHGHGWDLOHW6HUYLFHV)LQDQFLHUV QWHUQDWLRQDX %)6)51&(6RFLW*QUDOH6RJHVVXUGénénance6RJHFDS*QYDO*URXSH&* 6*)LQDQFLDO6HUYLFHVROGLQJV7HPVV6RJSDUWLFLSDWLRQV6RFLW*QUDOH6)6RFLW*QUDOH6&)SogemHolding*HQHJLV *HQHYDOP9DOPLQYHVW6RJHPDUFK(8523((XUREDQNSPSKRIDQVHDWLF%DQNPPIEKRIKomer níBanka AS TFPMUILUI6*(SUHVV%DQNPKEMI6 %%DQNDPSRMI6*%DQND6UELMDIFMI6*6SOLWVND%DQND SEMI%5 *URXSH6*SERMI*URXSH5RVEDQNMI)LGLWDOLD63 EPMI HDVH)LQDQPPIEKRI*URXSH6*(TXLSPHQW)LQDQFHPPIEKRI*URXSH QWHUQDWLRQDOERI)5 48(0 7(551(6*0DURFDLQHGH%DQTXHVES6*OJULH6*GH%DQTXHVHQ&WHGLYRLUH IH SMI8QLRQ QWHUQDWLRQDOHGH%DQTXHVRMMI05 48(6 (8675 (Sociétémère OutresesactivitésrelativesàlaBanquePrivée SociétéGénéraleBank&TrustLuxembourgconduitégalementdesactivitéscommercialesendirectiondesDSDOHRDRDKDStantdesmétiersdeBanquededétailquedeBanquedeFinancementetd Investissement Remarques llestauxindiquéssontlestauxd intérêtduGroupedanslalialedétenue llesgroupesontétépositionnésdanslazonegéographiqueoùilsexercentprincipalementleuractivité * 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I *5283(62& 7* 15 (%DQTXHGHGWDLOHQ)UDQFH5% )%DQTXHGH*UDQGH&OLHQWOHHW6ROXWLRQV QYHVWLVVHXUV*% 6)51&(6RFLW*QUDOH6RFLW*QUDOH&UGLWGX1RUG QWHU(XURSH&RQVHLO (&%RXUVRUDPD RUVVHW0DQDJHPHQWFrannance& )Sogenancement6*66ROGLQJGéném3DUHO6RJHOHDVH)UDQFH HVFDUWHV7UDGLQJ6RJHEDLO6RJHSURP&RPSDJQLH*QUDOHGIIDFWXUDJH(8523(6RFLW*QUDOH%DQN7UXVWIFSK6*DPEURV LPLWHGSEIRM6* QYHVWPHQWV8 WGSEIRM6RFLW*QUDOH1HZHGJH8 WG RQGUHVSEIRM6* PPREHOIPKMUI6RFLW*QUDOH3ULYDWH%DQNLQJ196IPKMUI6* VVXHUIFSK6RFLW*QUDOHVXFFXUVDOHVGH RQGUHVSEIRM0LODQ EPMI)UDQFIRUWPPIEKRI0DGULGTEKRI)5 48(0 7(551(05 48(%DQFR6*%UDLO6MP6*PHULFDV QFERM6*PHULFDV6HFXULWLHV &ERM6RFLW*QUDOHVXFFXUVDOHVGH1HZ 1 an)(32 Md EUR)Émissions sécurisées (incluant CRH)(24 Md EUR) Dettes émises par les lialesconsolidées(dette sécurisée et non sécurisée)(20 Md EUR)14 %17 % 34 %13 %22 %Dettes subordonnées(incluant les dettes subordonnéesà durée indeterminée)(1)(23 Md EUR)Émissions seniorstructurées(53 5 Md EUR)Émissions senior vanille non sécurisées (incluant CD & CP > 1 an)(33 9 Md EUR)Émissions sécurisées (incluant CRH)(25 7 Md EUR) Dettes émises par les lialesconsolidées(dette sécurisée et non sécurisée)(19 Md EUR)12 %17 % 34 %15 %22 %Desélémentscomplémentairesrelatifsàlagestiondurisquedeliquiditésontdisponiblesdanslechapitre4duprésentDocumentderéférence page193etsuivantesetdanslaNote4 3desétatsnanciersconsolidés page338 IDOCUMEN T DE RÉFÉRENCE 2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( HRHKDplandenancementàlongtermeduGroupeDBTSCDmanièreprogressiveet coordonnée aucoursdel annéesuivantunepolitique d émissionnonopportuniste viseà maintenirunepositiondeliquiditéexcédentairesurlemoyen longterme À n 2015 la liquidité levée au titre du programme de nancement2015s élevaità39 1milliardsd eurosendettesenioretsubordonnée Auniveaudelamaison mère 33 1milliardsd eurosavaientétélevésau31décembre2015 Lessourcesderenancementserépartissententre7 2milliardsd eurosd émissionsseniorvanillenonsécurisées 18 2milliards d euros d émissions senior structurées 1 5milliardd euros d émissions sécurisées (SG SFH et SG SCF) 5 1milliardsd euros d émissions subordonnées Tier 2 et 1 1milliard d eurosd émissions subordonnéesAdditional Tier 1 Au niveau des liales 6 0milliardsd eurosavaientétélevésau31décembre2015 352*500( () 11&(0(170 (85352*500( () 11&(0(170 (851277 216 2 1* 7(50( &28577(50((792 87 2168&2856DEL EXERCICELetableauci aprèsrésumelesnotationslongtermeetcourttermedeSociétéGénéraleau31décembre2015 %56)LWFK5DWLQJV0RRGpV6WDQGDUG3RRUpV1RWDWLRQVHQLRUORQJWHUPHA(High)(Stable)6WDEOH6WDEOH6WDEOH1RWDWLRQVHQLRUFRXUWWHUPH50LGGOH)3Aucoursdel exercice2015 Moody s FitchRatingsetS&P(Standardand Poor s) ont conrmé les notations de Société Générale et ontrehaussé les perspectives à stables de négatives Chez DBRS lanotation long terme a été abaissée d un cran à «A (HFGu RTHSDau retrait du soutien étatique comme pour 30 autres banqueseuropéennesetlesperspectivessontdésormaisstables DRCBHRHNRBNBKTDSKDTDCTRNTSHDSSHTDONTKD&NTOD(retraitouréduction)parles4agencesdenotation Les notations court terme sont inchangées et s établissentrespectivement à «R 1 (middle)» «F1» «P 1» et «A 1» chezDBRS FitchRatings Moody setS&P 7 %21 % Dettes émises par les liales consolidées (sécurisées et non sécurisées)(5 8 Md EUR) 8 % Dettes subordonnées à durée indeterminée(2 1 Md EUR) 54 %Émissions senior structurées(14 6 Md EUR)7 %Émissions senior vanille non sécurisées(1 8 Md EUR)Dettes subordonnées(1 8 Md EUR)3 %Émissions sécurisées (incluant CRH)(850 M EUR)13 %15 % Dettes émises par les liales consolidées (sécurisées et non sécurisées)(6 Md EUR) 3 % Dettes subordonnées à durée indeterminée(1 1 Md EUR) 47 %Émissions senior structurées(18 2 Md EUR)18 %Émissions senior vanille non sécurisées(7 2 Md EUR)Dettes subordonnées(5 1 Md EUR)4 %Émissions sécurisées (incluant CRH)(1 5 Md EUR) * 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I 7 P R I N C I P A U X I N V E S T I S S E M E N T SE T C E S S I O N S E F F E C T U É SLe Groupe a poursuivi en 2015 une politique d acquisitions et de cessions ciblées conforme à ses objectifsde recentrage et de gestiondesDRRNTBDRDR0WLHUHVFULSWLRQGHVLQYHVWLVVHPHQWVQQH%DQTXHGHGWDLOHW6HUYLFHV)LQDQFLHUV QWHUQDWLRQDX3ULVHGHSDUWLFLSDWLRQGHGDQV0&%0RDPELTXH%DQTXHGHGWDLOHQ)UDQFHFTXLVLWLRQGHHWSULVHGHFRQWUOHWRWDOGH%RXUVRUDPDFTXLVLWLRQGHHWSULVHGHFRQWUOHWRWDOGH6HIWUDGH%DQNHQ(VSDJQHQQH%DQTXHGHGWDLOHW6HUYLFHV)LQDQFLHUV QWHUQDWLRQDXFTXLVLWLRQGHGH5RVEDQNSRUWDQWODSDUWLFLSDWLRQGX*URXSH%DQTXHGH*UDQGH&OLHQWOHetSolutionsInvestisseursFTXLVLWLRQGHHWSULVHGHFRQWUOHWRWDOGH1HZHGJH%DQTXHGHGWDLOHQ)UDQFHXJPHQWDWLRQGHGXWDXGHGWHQWLRQGX*URXSHGDQV%RXUVRUDPDàlasuitedel offrepubliqued achatsimpliéeetoffrederetraitobligatoire 3DUWLFLSDWLRQSRUWHGXFDSLWDOGHOD%DQTXH1XJHU+RUV3OHV3ULVHGHSDUWLFLSDWLRQGHGDQVOHFDSLWDOGp(XURQHW19QQH%DQTXHGHGWDLOHW6HUYLFHV)LQDQFLHUV QWHUQDWLRQDXFTXLVLWLRQGHGH5RVEDQNSRUWDQWODSDUWLFLSDWLRQGX*URXSH%DQTXHGHGWDLOHQ)UDQFHXJPHQWDWLRQGHGXWDXGHGWHQWLRQGX*URXSHGDQV%DQTXH7DUQHDXGVXLWHODFRQFOXVLRQGHOpRIIUHGHUHWUDLWREOLJDWRLUHGH&UGLWGX1RUG0WLHUHVFULSWLRQGHVFHVVLRQVQQH%DQTXHGHGWDLOHW6HUYLFHV)LQDQFLHUV QWHUQDWLRQDXCessiondesactivitésdecréditàlaconsommationauBrésil %DQTXHGH*UDQGH&OLHQWOHetSolutionsInvestisseursCessiondel intégralitédelaparticipationdansAmundi(20%)àl occasiondel introductionenBourseCDKRNBHS+RUV3OHVCessiondesactionsd autocontrôle(1%dutotaldesactionsSociétéGénérale) Cessiondelaparticipationde7 4%détenueparGeninfodansSopraStéria QQH%DQTXHGH*UDQGH&OLHQWOHetSolutionsInvestisseurs&HVVLRQGHVRSUDWLRQVGH%DQTXH3ULYHHQVLH+RQJ RQJHW6LQJDSRXU%DQTXHGH*UDQGH&OLHQWOHetSolutionsInvestisseurs&HVVLRQGHGpPXQGL&UGLWJULFROHSRUWDQWODSDUWLFLSDWLRQGX*URXSHQQH%DQTXHGHGWDLOHW6HUYLFHV)LQDQFLHUV QWHUQDWLRQDXCessionde77 17%deNSGBenÉgyptepour1974MUSD %DQTXHGH*UDQGH&OLHQWOHetSolutionsInvestisseurs&HVVLRQGHODSDUWLFLSDWLRQGWHQXHSDU6RFLW*QUDOH+ROGLQJGH3DUWLFLSDWLRQVGDQV7& WDWV8QLV%DQTXHGH*UDQGH&OLHQWOHetSolutionsInvestisseurs&HVVLRQGH6*3ULYDWH%DQNLQJ DSRQ IDOCUMEN T DE RÉFÉRENCE 2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 4 8 6 7 2 1 6 1 2 8 5 6E T C O N T R A T S I M P O R T A N T S)LQ DQ FHPHQWGHVSU LQFLS DX LQYHVWLVVHPHQWVHQFRXUVLes investissements en cours seront nancés par les modes denancementhabituelsetrécurrentsduGroupe FTXLVLWLRQVHQFRXUVD EHD 2NBHS &KD NB R CBHRHN CDCNTD KD OSDHS DRRTBDHD SAKH DSD H BD DSle Crédit du Nord au sein d Antarius et d exercer ainsi son optiond achatdelaparticipationde50%détenueparAvivadansAntarius La réalisationeffectivedecetteopérationdevrait intervenirnfévrier2017autermed unepériodetransitoirededeuxans Le27novembre2015 leGroupeaconrméavoirnégociéavecOddo& Cie un accord portant sur le rachat de Kleinwort Benson WealthManagement (KB Bank Limited et KB Channel Islands HoldingsLimited) activitédeBanque Privéeau Royaume Uni etdans lesîlesAnglo Normandes de BHF KB Cette transaction est soumise à laréussite de la contre offre publique d achat lancée par Oddo & Cieet aux conditions suspensives usuelles notamment la négociationd uneconventiondecessiond actionsavecBHFKleinwortBenson Le17février2016 leGroupeaannoncéêtreentréennégociationsexclusivesavecWendelenvuedel acquisitionparALDAutomotivedugroupe Parcou rs 7Dacteurfrançaisdelalocationlongued urée(LLD) de véhicules Cette opération s inscrit dans la stratégiede développe ment d ALD Automotive et lui permettrait de serenforcer enFrancesur le segmentde laclientèledesPME et TPEet d accélérer sa croissance sur le march é de la LLD Le contratd acquisition a été signé par les parties le 24 février 2016 et laréalisation de l opé ration est soumise à l approba tion de l AutoritéFrançaised elaConcurrence &HVVLRQVHQFRXUVL offrederachatdeVisaIncsurVisaEurope détenuejusqu alorsparl ensembledesbanqueseuropéennes dont Société Générale a étéacceptée le 2 novembre 2015 Son dénouement est attendu pouravril2016avecunrèglementennuméraire enactionsdepréférenceVisa Inc noncessiblesavant quatre à douze ans ainsi qu avec uneclause de complément de prix Les titres Visa Europe ont ainsi étéréévaluésparcapitauxpropresau31décembre2015pourunmontantde552 millionsd eurosavantimpôt représentant78% dumontantnominalattenduennuméraireetactionsdepréférence 9 P R O P R I É T É S I M M O B I L I È R E SE T É Q U I P E M E N T SLa valeur brute totale des immobilisations corporelles d exploitationdu groupe Société Générale s élève au 31décembre 2015 à28 0milliards d euros Elle comprend la valeur de s terrains etconstructionspour5 1milliardsd euros desactifsdelocationsimpledessociétésdenancementspécialiséspour17 3milliardsd euros etdesautresimmobilisationscorporellespour5 6milliardsd euros LavaleurbrutetotaledesimmeublesdeplacementdugroupeSociétéGénérales élèveau31décembre2015à0 8milliardd euros La valeur nette des immobilisations corporelles d exploitation etdes immeubles de placement du groupe Société Générale s élèveà 17 8milliards d euros soit seulement 1 3% du total de bilanconsolidéau31décembre2015 Defait deparlanaturedesactivitésdeSociétéGénérale les propriétésimmobilières etleséquipementsreprésententpeuàl échelleduGroupe 1 0 É V É N E M E N T S P O S T É R I E U R SÀ L A C L Ô T U R EAucunévénementsignicatifdenatureàavoiruneincidencesurlasituationnancièreoucommercialeduGroupen estapparupostérieurementàlaclôturedu31décembre2015 * 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I É V O L U T I O N S R É C E N T E S E T P E R S P E C T I V E S 1 1 É V O L U T I O N S R É C E N T E SE T P E R S P E C T I V E SEn 2016 l économie mondiale devrait pâtir de fortes incertitudesnotamment liées au contexte géopolitique («Brexit» crise desmigrants en Europe instabilité au Moye n Orient) et aux échéancesélectorales dans des pays clés Parallèlement la volatilité sur lesmarchésdematièrespremièresetdecapitauxdevraitsemainteniràunniveauélevédansun contextederalentissementdes économiesémergentesetdefortesdivergencesdespolitiquesmonétaires En zone euro la politique d assouplissement quantitatif et de tauxnégatifs menée par la BCE devrait maintenir les taux d intérêt demarchéàdebasniveauxen2016 dansuncontextedefaibleinationpersistante AuxÉtats Unis lerythmederesserrementdelapolitiquemonétaire de la FED dépendra de la dynamique de croissance del économie Dans les pays émergents la tendance à la modérationde la croissance s est conrmée en 2015 Si ce mouvement a étécontenu en Chine l activité dans les pays producteurs de matièrespremièresaéchiplusnettement Danscetenvironnementcontrasté lesbanquesvontdevoircontinuerà renforcer leurs fonds propres pour répondre à de nouvellesexigences des régulateurs dans la continuité des réformes deBale En particulier après les différents exercices de transparenceintervenus en 2015 et la publication des exigences minimales autitre du Pilier 2 les banques vont de voir respecter de nouveauxratios de passifs exigibles (MREL et TLAC) D autres réformes sontà venir le régulateur bancaire ayant engagé la revue fondamentaledesportefeuillesdenégociationetde smodèlesdepondération desHRTDRDans cet environnement l enjeu majeur des discussions de placereste plus globalement de faire émerger un modèle de croissancedurable et soutenable pour le secteur nancier qui préservepleinement la capacité des banques à nancer l économie dans uncontexte de politique budgétaire sous contraintes L addition desnouvelles contraintes réglementaires conjuguée aux éventuels biaisconcurrentielsentrelesdifférentspaysquipourraientvoirlejourvontpeserdemanièresignicativesurlarentabilitédecertainesactivités Elles pourront donc inuencer le modèle de développement deBDSHRBSDTRABHDREn 2016 le Groupe entend poursuivre l exécution de son planstratégiqueavecpourprioritésde accélérer la transformation de son modèle orienté clients ens appuyant sur ses valeurs d esprit d équipe d innovation deresponsabilitéetd engagement assurerlamaîtrisedesesrisquesetdesescoûts maintenir une politique de gestion rigoureuse de son capital(allocation de capital de 11% des RWA aux métiers CET 1non phasé supérieur à 11% à n 2016 maintien d un taux dedistribution de 50 %) ainsi qu une gestion dynamique de sonportefeuilled actifs T RDH CT OHKHD CD K TD CD CSHK D BD BBKD Ktransformation numérique des réseaux et le développement deBoursorama sur les activités de Banque de détail et Services nanciersInternationaux développer les activités de banque de détail notamment en Afrique et en Europe centrale et de servicesnanciers etpoursuivreleredressementdesactivitésenRussie engagédepuismi 2015 surlepilierBanquedeGrandeClientèleetSolutionsInvestisseurs poursuivrelatransformationdesactivitésdemarché notammentl intégration de la chaîne post marché et accompagner lacroissancedesactivitésdenancementàl économie deBanquePrivéeetdegestionspécialisée Comme il l avait annoncé dans son plan stratégique le Groupe estconantdanslacapacitédesonmodèleàgénérerunerentabilitésurfonds propres de 10% bien que l augmentation des exigences encapitaletl environnementéconomiqueetnanciernepermettentpasdeconrmercetobjectifdeROEde10%dèsn2016 Le Groupe travaille à un nouveau plan stratégique pour la période2017 2020 quiseracommuniquéen2017 IDOCUMEN T DE RÉFÉRENCE 2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 1 2 I N F O R M A T I O N S R E L A T I V E SA U XI M P L A N T A T I O N S E T A C T I V I T É SA U 3 1D É C E M B R E 2 0 1 5L articleL 511 45duCodemonétaireetnanciermodiéparl ordonnancen°2014 158du20février2014imposeauxétablissementsdecréditdepublierdesinformationssurleursimplantationsetleursactivités inclusesdansleurpérimètredeconsolidation danschaqueÉtatouterritoire SociétéGé néralepublieci dessouslesinformationsrelativesauxeffectifsetinformationsnancièresparpaysouterritoires LalistedesimplantationsestpubliéedanslaNote8 4desNotesannexesauxétatsnanciersconsolidés 3DV(IIHFWLIV31%5VXOWDWDYDQW PSWVXUlesbénéces* PSWVVXUlesbénéces* PSWVVXUlesbénécesGLIIUVXWUHVWDHV6XEYHQWLRQVIULTXHGX6XG OEDQLH OJULH OOHPDJQH XVWUDOLH XWULFKH %DKDPDV %HOJLTXH %QLQ %HUPXGHV %UVLO %XOJDULH %XUNLQD)DVR &DPHURXQ &DQDGD &KLQH &KSUH &RUHGX6XG &WHG YRLUH &URDWLH &XUDDR DQHPDUN PLUDWVUDEHV8QLV (VSDJQH (VWRQLH WDWV8QLVGPULTXH )LQODQGH )UDQFH * 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I 3DV(IIHFWLIV31%5VXOWDWDYDQW PSWVXUlesbénéces* PSWVVXUlesbénéces* PSWVVXUlesbénécesGLIIUVXWUHVWDHV6XEYHQWLRQV*RUJLH *KDQD *LEUDOWDU *UFH *XLQH *XLQHTXDWRULDOH +RQJ RQJ +RQJULH «OH*XHUQHVH OHV&DPDQV QGH4605 UODQGH WDOLH DSRQ HUVH HWWRQLH LEDQ LWXDQLH XHPERXUJ 0DFGRLQH 0DGDJDVFDU 0DOWH 0DURF 0DXULFH 0HLTXH 0ROGDYLH5SXEOLTXHGH 0RQDFR 0RQWQJUR 1RUYJH 1RXYHOOH&DOGRQLH 3DV%DV 3RORJQH 3ROQVLHIUDQDLVH 3RUWXJDO 5SXEOLTXHWFKTXH 5RXPDQLH 5RDXPH8QL 5XVVLHIGUDWLRQ 6QJDO IDOCUMEN T DE RÉFÉRENCE 2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 3DV(IIHFWLIV31%5VXOWDWDYDQW PSWVXUlesbénéces* PSWVVXUlesbénéces* PSWVVXUlesbénécesGLIIUVXWUHVWDHV6XEYHQWLRQV6HUELH 6LQJDSRXU 6ORYDTXLH 6ORYQLH 6XGH 6XLVVH 7DZDQ 7FKDG 7KDODQGH 7RJR 7XQLVLH 7XUTXLH 8NUDLQH 7RWDO131715256396109(1064)(1288)(IIHFWLIVeffectifsenéquivalenttempsplein(ETP)àladatedeclôture Leseffectifsdesentitésmisesenéquivalencenesontpasretenus 31%contributionde l implantation au produit netbancaire consolidéenmillions d euros LePNB encontributionaurésultatconsolidé duGroupe s entend avantéliminationdeschargesetproduitsrésultantd opérationsréciproquesréaliséesentresociétésconsolidéesduGroupe Laquote partderésultatnetdesentreprisesmisesenéquivalenceestenregistréedirectementdanslerésultatavantimpôt leurcontributionauPNBconsolidéestdoncnulle Résultat avant impôt sur les bénéces contribution de l implantation au résultat avant impôt consolidé du Groupe avant élimination des charges et produits résultantd opérationsréciproquesréaliséesentresociétésconsolidéesduGroupe Impôtssurlesbénéces telsqueprésentésdanslescomptesconsolidésenconformitéaveclesnormesIFRSetendistinguantlesimpôtscourantsdesimpôtsdifférés XWUHVWDHVlesautrestaxescomprennententreautreslestaxessurlessalaires laC3Setdestaxeslocales LesdonnéessontissuesduQDONQSHMFcomptableconsolidéetd informationsdegestion 6XEYHQWLRQV SXEOLTXHV UHXHV sommes accordées sans contrepartie ou revêtant un caractère non remboursable versées effectivement par une entité publique à titreponctueloureconductibleenvuedeconcouriràlaréalisationd unenalitéprécise LesrésultatsdesentitésimplantéesdanslesBermudessonttaxésauxÉtats UnisetenFrance Lerésultatdel entitélocaliséeàCuraçaoesttaxéenFrance LesrésultatsdesentitésimplantéesauxîlesCaïmanssonttaxésrespectivementauxÉtats Unis auRoyaume UnietauJapon (4)L essentieldeseffectifsprésentsenIndeestaffectéàuncentredeservicespartagésdontleproduitderefacturationestenregistréenFraisGénérauxetnonenPNB * 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I 1 StructureetorganesdugouvernementGpHQUHSULVHPrésentation delagouvernanceetdelastructuredescomités desupervis ionvvvvvvvvv64Conseild administrationvvvvvvvvvvvvvvvvvvDirectiongénéralevvvvvvvvvvvvvvvvvvvvInformationscomplémentairessurleDirecteurgénéral lesDirecteursgénérauxdéléguésetlesmembresduConseild ad ministrationv74Comitéexécutifvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvv74ComitédedirectionGroupevvvvvvvvvvvvvvvv 5DSSRUGX3UVLGHQVXUlegouvernementd entrepriseDéclarationsurlerégi medegouvernemen td entrep risevvvvLeConseild administrationvvvvvvvvvvvvvvvvLePrésidentduConseild administrationvvvvvvvvvvvLesComitésduConseild administrationvvvvvvvvvvvÉvaluationduCons eil d administrationetdesesmembresvvvFormationvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvModalitésparti culi èresrelativesàlaparticipationdesactionnairesàl AssembléegénéralevvvvvvvvvvvJetonsdeprésenceversésauxadministrateursdelaSociétévvRémunérationsetavantagesdetoutenatureaccordésauxmandatairessociauxetmentiondelapubli cationdesinformationsprévuesal arti cleL 225 100 3duCodedecommercevvvv 5PXQUDLRQGHV GLULJHDQVduGroupeRémunérationdesDirigeantsmandatairessociauxvvvvvvRémunérationsdesmembresduComitéexécutifautresquelesDirigeantsmandataires sociauxvvvvvvvvvvvTransactionsdesmandatairessociauxsurletitreSociétéG énéralevvvvvvvvvvvvvvvvTableauxnormalisésconformesauxrecommandationsdel AMFÉlémentsdel arémunérationdueouattribuéeautitredel exercice2015auxdirigeantsmandatairessociauxetsoumisàl avisdesactionnairesvvvvvvvvvvvvPlansd attributiond actionsauxsalariésvvvvvvvvvv4 Rapportspécialdescommissairesauxcomptessurlesconventionsetengagementsréglementés5 RapportduPrésidentsurlecontrôleinterneetlagestiondesrisques6 RapportdesCommissairesauxcomptes établienapplicationdel articleL 225 235duCodedecommerce surlerapportduPrésidentduConseild administrationdeSociétéGénérale IDOCUMEN T DE RÉFÉRENCE 2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 356(177 21 ( * 289(511&((7 ( 6758&785( (6&20 76 (683(59 6 21La composition du Conseil d administration estprésentéeenpages65 et suivantes du présent Document de référence Le règlementintérieur du Conseil d administration dénissant ses attributions estreproduitdanslechapitre7 enpage471 Sestravauxsontrapportésenpages81et82 La composition de la Direction générale du Comité exécutif et duComitédedirectiongurentdanslessectionsrespectivesduprésentchapitre(voirpages72 74et75) LesdifférentsComitésduConseild administrationetleursattributionsainsi que le compte rendu de leurs travaux sont présentés dans leRapport du Président sur le gouver nement d entreprise (p 76) et leRapportduPrésidentsurlecontrôleinterneetlagestiondesrisques(p 115) notamment rôleduPrésidentetrapportsursesactivités p 83 Comitéd auditetdecontrôleinterne p 84 Comitédesrisques p 85 rôledecesdeuxcomitésenp 119 Comitédesrémunérations p 86 Comitédesnominationsetdugouvernementd entreprise p 87 COMITÉ D AUDIT ET DE CONTRÔLE INTERNE COMITÉ DES RISQUESCOMITÉ DES RÉMUNÉRATIONS COMITÉ DES NOMINATIONS ET DU GOUVERNEMENT D ENTREPRISE Propose et supervise la mise en uvre de la stratégie déterminée par le Conseil d administration D I R E C T I O N G É N É R A L EAssure la mise en uvre de la stratégie du Groupe COMITÉ DES RESULTATSMENSUELS(CRM)Examine les résultats des pôles et mesure leur performance par rapport au budget COMITÉ DE LA CONFORMITÉ(COM CO)Dé nit les orientations de principe du Groupe en matière de conformité COMITÉ DE SUIVI DE LARÉGLEMENTATION(CSR)Traite de l ensemble des questions touchant à la réglementation COMITÉ DES RISQUES GROUPE(CORISQ) Supervise les grandes orientations en matière de risques notamment l encadrement des risques de crédit pays de marché et opérationnels COMITÉ FINANCIER(COFI)Valide le dispositif de suivi de gestion et d encadrement des risques structurels et revoit les évolutions des risques structurels du Groupe ainsi que les limites d expositions de chaque entité du Groupe COMITÉ DE COORDINATION DU CONTRÔLE INTERNE GROUPE (CCCIG)Responsable de l architectured ensemble du dispositif de contrôle interne du Groupe de sa cohérence et de son ef cacité COMITÉ EXÉCUTIF (COMEX)C O N S E I L D A D M I N I S T R AT I O N C O M I T É S S P É C I A L I S É S D U C O M I T É E X É C U T I F ( C O M E X ) COMITÉ AFFAIRES MOYENNESTraite de toute affaire en relation avec la clientèle d entreprisesmoyennes justi ant une information ou une décision de la Direction générale COMITÉ STRATÉGIQUE D ARCHITECTURE D ENTREPRISE (CSAE)Dé nit l architecture de l entreprise sur les plans des données et référentiels des processus opérationnelset des systèmes d information et s assure de la cohérence des projets du Groupe avec l architecture dé nie COMITÉ DES GRANDSRISQUES Valide la stratégie commerciale et la prise de risques à l égard des grands groupes clients COMITÉ GRANDES AFFAIRESTraite de toute affaire en relation avec la grande clientèle justi ant l implication de la Direction générale COMITÉ GRANDES AFFAIRESEUROPÉENNESTraite de toute affaire en relation avec la grande clientèle européenne hors Francejusti ant l information ou l implication de la Direction générale A U T R E S C O M I T É S P R É S I D É S PA R L A D I R E C T I O N G É N É R A L E 6T R U C T U R E E T O R G A N E SD U G O U V E R N E M E N T D E N T R E P R I S E * 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I &216( p 0 1 6757 218HU 19 (5N DY N B I N I SM AG HI3UVLGHQWGX&RQVHLOGâDGPLQLVWUDWLRQNéle29novembre1956Premièrenomination 2014 Échéancedumandat 2018AdministrateurindépendantSHDSBSHNRAdresseprofessionnelle ToursSociétéGénérale 75886ParisCedex18%LRJUDSKLHdenationalitéitalienne titulaired unelicenceenscienceséconomiquesdel UniversitécatholiquedeLouvain(Belgique) etd undoctoratdescienceséconomiquesdel UniversitédeChicago Acommencésacarrièreen1983entantqu économisteaudépartementRecherchedelaBanqued Italie En1994 estnomméResponsabledelaDirectiondespolitiquesdel InstitutMonétaireEuropéen Enoctobre1998 devientDirecteurgénéraldesRelationsnancièresinternationalesauseinduministèredel ÉconomieetdesFinancesd Italie PrésidentdeSACEde2001à2005 Dejuin2005àdécembre2011 membreduDirectoiredelaBanqueCentraleEuropéenne Depuis2012 PrésidentnonexécutifduConseild administrationdeSNAM(Italie) XWUHVPDQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVFRWHVPrésidentnonexécutifduConseild administration SNAM(Italie) XWUHVPDQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVQRQFRWHVWUDQJUHVAdministrateur TAGESHolding(Italie) WDLOGHVPDQGDWVHWIRQFWLRQVGHVDQQHVSUFGHQWHV QRHCDMSMNMDWBTSHECTNMRDHKCCLHMHRSQSH NMSNAM(Italie) CLHMHRSQSDTQTAGESHolding(Italie) MorganStanley(Royaume Uni)(jusqu au31mars2014) QRHCDMSMNMDWBTSHECTNMRDHKCCLHMHRSQSHNMSNAM(Italie) CLHMHRSQSDTQTAG ESHolding(Italie) QRHCDMSMNMDWBTSHECTNMRDHKCCLHMHRSQSHNMSNAM(Italie) SC HB O UD É ALUHFWHXUJQUDONéle3juillet1963Premièrenomination 2009 Échéancedumandat 2019Détient85934actionsendirectBSHNRUH2NBHS&KD BSHNHSNCRAdresseprofessionnelle ToursSociétéGénérale 75886ParisCedex18%LRJUDSKLHancienélèvedel Écolepolytechniqueetdel Écolenationaled administration De1987à1995 occupediverspostesauseindel Administration Servicedel InspectiongénéraledesFinances ministèredel ÉconomieetdesFinances DirectionduBudgetauministèreduBudgetetCabinetduministreduBudgetetdelaCommunication En1995 rejointSociétéGénéraleetprendsuccessivementlesfonctionsd adjointauResponsable puisResponsabledudépartementCorporateBankingàLondres En1998 devientResponsabledelasupervisionglobaleetdudéveloppementdudépartementActions NomméDirecteurnancierdéléguédugroupeSociétéGénéraleenmai2002 DevientDirecteurnancierenjanvier2003 En2008 estnomméDirecteurgénéralduGroupe Président DirecteurgénéraldeSociétéGénéraledemai2009àmai2015 Enmai2015 leConseild administrationdissocielesfonctionsdePrésidentduConseild administrationetdeDirecteurgénéraletnommeFrédéricOudéaDirecteurgénéral XWUHVPDQGDWVHHUFVNedétientaucunautremandat WDLOGHVPDQGDWVHWIRQFWLRQVGHVDQQHVSUFGHQWHV S S S S1N A DS CA STAI G NEGPLQLVWUDWHXUGHVRFLWVNéle27avril1946Premièrenomination 2009 Échéancedumandat 2018Administrateurindépendant membreduComitéd auditetdecontrôleinter neetduComitédesrisques SHDSBSHNR%LRJUDSKLHingénieurdel ÉcolecentraledeLilleetdel Écolenationalesupérieuredupétroleetdesmoteurs Docteurenscienceséconomiques AfaittoutesacarrièrechezTotalSA d abordenqualitéd ingénieur puisdansdiversesfonctions De1994à2008 aétéDirecteurnancieretmembreduComitéexécutifdeTotalSA XWUHVPDQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVFRWHVIUDQDLVHVAdministrateur Sano Vinci XWUHVPDQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVFRWHVWUDQJUHVAdministrateur Novatek(Russie)(depuisle24avril2015) WDLOGHVPDQGDWVHWIRQFWLRQVGHVDQQHVSUFGHQWHV CLHMHRSQSDTQSano Vinci CLHMHRSQSDTQSano Vinci CLHMHRSQSDTQSano Vinci CLHMHRSQSDTQSano Vinci CompagnieNationaleàPortefeuille Note l adresseprofessionnellen estmentionnéequepourlespersonnesencoreenactivité Pourlesautres toutcourrierpeutêtreenvoyéàl adressepostaledeSociétéGénérale cf chapitre7 page464 IDOCUMEN T DE RÉFÉRENCE 2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( Mich el CI C U R E L3UVLGHQWGH0LFKHO&LFXUHO&RQVHLONéle5septembre1947Premièrenomination 2004 Échéancedumandat 2016Administrateurindépendant membreduComitédesnominationsetdugouvernementd entreprise etduComitédesrémunérations SHDSBSHNR%LRJUDSKLHaprèsunecarrièreàlaDirectionduTrésorde1973à1982 estnomméChargédemissionpuisDirecteurgénéraladjointdelaCompagnieBancairede1983à1988etDirecteurgénéraldeCortalde1983à1989 AdministrateurdéléguédeGalbani(groupeBSN)de1989à1991 AdministrateurDirecteurgénéralpuisVice Président DirecteurgénéraldeCERUSde1991à1999 PrésidentduDirectoiredelaCompagnieFinancièreEdmonddeRothschildetdeCompagnieFinancièreSaint Honoréde1999àjuin2012 MichelCicurelestPrésidentdeMichelCicurelConseildepuisjuillet2012 XWUHVPDQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVFRWHVIUDQDLVHVMembreduConseildesurveillance Publicis 0DQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVIUDQDLVHVQRQFRWHVPrésident MichelCicurelConseil PrésidentduConseild administration BanqueLeonardo* Administrateur BouyguesTelecom Cogepa 0DQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVWUDQJUHVQRQFRWHVPrésidentduDirectoire LaMaison*(Luxembourg) WDLOGHVPDQGDWVHWIRQFWLRQVGHVDQQHVSUFGHQWHV QRHCDMSMichelCicurelConseil QRHCDMSCTNMRDHKCCLHMHRSQSHNMTDDNCN QRHCDMSCT#HQDBSNHQDLaMaison(Luxembourg)(depuisaoût2014) MembreduConseildesurveillance Publicis CLHMHRSQSDTQBouyguesTelecom Cogepa QRHCDMSMichelCicurelConseil QRHCDMSCTNMRDHKCCLHMHRSQSHNMTDDNCNDLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDPublicis CLHMHRSQSDTQBouyguesTelecom Cogepa QRHCDMSMichelCicurelConseil QRHCDMSCT#HQDBSNHQD LaCompagnieFinancièreEdmonddeRothschild CompagnieFinancièreSaint HonoréDLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDPublicis CLHMHRSQSDTQBouyguesTelecom QRHCDMSCT#HQDBSNHQDCompagnieFinancièreEdmonddeRothschildBanque CompagnieFinancièreSaint Honoré QRHCDMSCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDEdmonddeRothschildCorporateHBD5HBD QRHCDMSCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDEdmonddeRothschildPrivateEquityPartners DLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDPublicis SiaciSaint Honoré NewstoneCourtage Milestone QRHCDMSCTNMRDHKCCLHMHRSQSHNMERS EdmonddeRothschildSGRS p A (Italie) EdmonddeRothschildSIMS p A (Italie) EdmonddeRothschildInvestmentServicesLtd (Israël) CLHMHRSQSDTQEdmonddeRothschildLtd (Londres) BanquePrivéeEdmonddeRothschildSA(Genève) BouyguesTelecom 1DOQRDMSMSODQLMDMSCD+NLOFMHDHMMBHQDCLNMCCD1NSGRBGHKCMPTDEdmonddeRothschildAssetManagement(PrésidentduConseildesurveillance) EdrimSolutions 1DOQRDMSMSODQLMDMSCDNLOFMHDHMMBHQD2HMSNMNQCogifrance DMRDTQParis Orléans TDDNCNNote l adresseprofessionnellen estmentionnéequepourlespersonnesencoreenactivité Pourlesautres toutcourrierpeutêtreenvoyéàl adressepostaledeSociétéGénérale cf chapitre7 page464 * 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I A D ALI B AR DLUHFWULFHJQUDOHGH61&)9RDJHXUVNéele23mai1958Premièrenomination 2015 Échéancedumandat 2019Administrateurindépendant SHDSBSHNRAdresseprofessionnelle 2 placeauxÉtoiles 93210LaPlaine Saint Denis%LRJUDSKLHdiplôméedel Écolenormalesupérieure(ENS)deParis agrégéedemathématiques diplôméedel Écolenationalesupérieuredestélécommunications AexercédiversesfonctionschezFranceTélécomde1982à1998 ElleaensuiteétéDirectricegénéraled AlcanetInternationalSAS lialedugroupeAlcatel LucentpuisDirectricedumarché«Enterprises»OrangeFranceetVice Présidented OrangeBusiness De2003à2006 Directricedeladivision«SolutionsGrandesEntreprise»puisDirectricedeladivision«ServicesdeCommunicationEntreprises»auseindeFranceTélécom De2006à2010 Directriceexécutived OrangeBusinessServices En2010 ellearejointlegroupeSNCFoùelleaétéDirectricegénéraledeSNCFVoyagesetmembreduComitédeDirectiongénéraleduGroupeSNCF Enn depuis2014 elleestDirectricegénéraledeSNCFVoyageurs MmeBarbaraDalibardestégalementmembreduConseildesurveillancedeMichelin XWUHVPDQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVFRWHVIUDQDLVHVMembreduConseildesurveillance Michelin 0DQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVQRQFRWHVIUDQDLVHVPrésidente VSCGroupe* 0DQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVQRQFRWHVWUDQJUHVAdministrateur NTV(NuovoTrasportoViaggiatoriS p A )(Italie)(jusqu au20octobre2015) EurostarInternationalLimited(Royaume Uni) MembreduConseildesurveillance WoltersKluwer(Pays Bas)(jusqu au30avril2015) WDLOGHVPDQGDWVHWIRQFWLRQVGHVDQQHVSUFGHQWHVDLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDMichelin WoltersKluwer(Pays Bas) QRHCDMSD52&NTOD CLHMHRSQSDTQ 35 TNN3RONSNViaggiatoriS p A )(Italie) EurostarInternationalLimited(Royaume Uni) DLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDMichelin WoltersKluwer(Pays Bas) QRHCDMSD52&NTOD CLHMHRSQSDTQ 35 TNN3RONSNViaggiatoriS p A )(Italie) EurostarInternationalLimited(Royaume Uni) DLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDMichelin WoltersKluwer(Pays Bas) QRHCDMSD52&NTOD CLHMHRSQSDTQ 35 TNN3RONSNViaggiatoriS p A )(Italie) EurostarInternationalLimited(Royaume Uni) DLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDMichelin WoltersKluwer(Pays Bas) QRHCDMSD52&NTOD CLHMHRSQSDTQ 35 TNN3RONSNViaggiatoriS p A )(Italie) EurostarInternationalLimited(Royaume Uni) &NTOD2 8 D ELA BR I È R E3UVLGHQWLUHFWHXUJQUDOGH)DXUHFLDNéle19décembre1950Premièrenomination 2012 Échéancedumandat 2016Administrateurindépendant SHDSBSHNR CDRRDONEDRRHNDKKDTD DOD SDDDCD%LRJUDSKLHancienélèvedel Écolenormalesupérieureetdel Écolenationaled administrationetagrégédemathématiques AcommencésacarrièreàlaCourdescomptes DirecteurnancierdelaCoface(1982 1987)etdugroupePrintemps(1987 1990)avantdedevenirDirecteurnancierdePSAPeugeotCitroënde1990à2007 IlaégalementétéPrésident DirecteurgénéraldeBanquePSAFinance AdministrateuretPrésidentduComitéd auditdeCapgeminidepuis2003 Depuis2007 M DelabrièreestPrésident DirecteurgénéraldeFaurecia XWUHVPDQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVFRWHVIUDQDLVHVPrésident Directeurgénéral Faurecia Administrateur Capgemini WDLOGHVPDQGDWVHWIRQFWLRQVGHVDQQHVSUFGHQWHV QRHCDMS#HQDBSDTQFMQKTDBH CLHMHRSQSDTQCapgemini QRHCDMS#HQDBSDTQFMQKTDBH CLHMHRSQSDTQCapgemini QRHCDMS#HQDBSDTQFMQKTDBH CLHMHRSQSDTQCapgemini QRHCDMS#HQDBSDTQFMQKTDBH CLHMHRSQSDTQCapgemini Note l adresseprofessionnellen estmentionnéequepourlespersonnesencoreenactivité Pourlesautres toutcourrierpeutêtreenvoyéàl adressepostaledeSociétéGénérale cf chapitre7 page464 IDOCUMEN T DE RÉFÉRENCE 2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( *yr a HA ZO UGPLQLVWUDWHXUGHVRFLWVNéele13décembre1956Premièrenomination 2011 Échéancedumandat 2019Administrateurindépendant membreduComitéd auditetdecontrôleinter neetduComitédesrisques SHDSBSHNR%LRJUDSKLHdenationalitésaméricaineetbritannique diplôméeendroitdel UniversitéJ D GeorgetownauxÉtats Unis elleaexercédesfonctionsdeDirectricegénéraleetDirectricejuridiqueauseindeSalomonSmithBarney Citibankde1985à2000 aprèsavoirexercéenqualitéd avocatàLondresetàNewYork Elleaensuite de2001à2007 étéadministrateurnonexécutif membreduComitéd auditetduComitédesrisquesdelaFinancialServicesAuthorityàLondres WDLOGHVPDQGDWVHWIRQFWLRQVGHVDQQHVSUFGHQWHV S S S S)D D C 5 83UVLGHQWLUHFWHXUJQUDOGâ()Néle18mars1955Premièrenomination 2009 Échéancedumandat 2017Administrateurindépendant PrésidentduComitédesrémunérations membreduComitédesnominationsetdugouvernementd entreprise SHDSBSHNRAdresseprofessionnelle 22 30avenuedeWagram 75008Paris%LRJUDSKLHancienélèvedel ÉcolepolytechniqueetdeTélécomParisTech De1978à1986 ingénieuràFranceTélécom De1986à1988 ConseillertechniqueaucabinetdeM GérardLonguet ministredéléguéauxPostesetTélécommunications De1988à1993 DirecteurdessatellitesdetélécommunicationsàMatraMarconiSpace De1993à1994 DirecteurducabinetdeM GérardLonguet ministredel Industrie desPostesetTélécommunicationsetduCommerceextérieur De1995à1998 Président DirecteurgénéraldeMatraCommunication De1998à2002 DirecteurgénéralpuisAssociéGérantenchargeCTNONSDFinancechezOddoetCie RejointVivendienaoût2002danslesfonctionsdeDirecteurgénéral PrésidentduDirectoiredeVivendide2005à2012 Président DirecteurgénéraldeThalèsdu20décembre2012au27novembre2014 Président Directeurgénérald EDFdepuisle26novembre2014 XWUHVPDQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVFRWHVIUDQDLVHVPrésident Directeurgénéral EDF* Administrateur Vinci(jusqu au14avril2015) 0DQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVQRQFRWHVIUDQDLVHVAdministrateur Dalkia* EDFEnergiesNouvelles* 0DQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVFRWHVWUDQJUHVPrésidentduConseild administration EdisonS p A (Italie) 0DQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVWUDQJUHVPrésidentduConseild administration EDFEnergyHoldings*(Royaume Uni)WDLOGHVPDQGDWVHWIRQFWLRQVGHVDQQHVSUFGHQWHV QRHCDMS#HQDBSDTQFMQK(depuisle26novembre2014) Thalès(jusqu au27novembre2014) QRHCDMSCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDViroxis(jusqu au25mai2014) QRHCDMSJBLConsulting&InvestmentSAS(jusqu au19décembre2014) QRHCDMSCTNMRDHKCCLHMHRSQSHNMEdisonS p A *(Italie)(depuisle12décembre2014) CLHMHRSQSDTQVinci DCNS(jusqu auDdécembre2014) Dalkia*(depuisle17décembre2014) EDFEnergieNouvelles*(depuisle18décembre2014) QRHCDMS#HQDBSDTQFMQKThalès QRHCDMSCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBD5HNHR QRHCDMSJBLConsulting&InvestmentSAS CLHMHRSQSDTQ5HBH 2 QRHCDMS#HQDBSDTQFMQK21 QRHCDMSJBLConsulting&InvestmentSAS QRHCDMSCT#HQDBSNHQD5HDCH QRHCDMSCTNMRDHKCCLHMHRSQSHNMActivisionBlizzardInc GVT(Brésil) QRHCDMSCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDGroupeCanal+ Canal+France Viroxis 5HBD QRHCDMSCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDMarocTélécom(Maroc) CLHMHRSQSDTQ5HBH QRHCDMSCTNMRDHKCCLHMHRSQSHNMActivisionBlizzardInc GVT(Brésil) InstitutTélécom QRHCDMSCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDGroupeCanal+ Canal+France Viroxis 5HBD QRHCDMSCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDMarocTélécom(Maroc) CLHMHRSQSDTQ5HBH21&NTODNote l adresseprofessionnellen estmentionnéequepourlespersonnesencoreenactivité Pourlesautres toutcourrierpeutêtreenvoyéàl adressepostaledeSociétéGénérale cf chapitre7 page464 * 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I Ana M a ria LL OP IS RI VA S3UVLGHQWLUHFWHXUJQUDOIRQGDWHXU*OREDO GHDVDOONéele5août1950Premièrenomination 2011 Échéancedumandat 2019Administrateurindépendant SHDSBSHNR%LRJUDSKLHdenationalitéespagnole atravailléonzeansdanslesecteurbancaireespagnol(BanestoetgroupeSantander) oùelleanotammentfondéunebanqueetuncourtierenligne PrésidentExécutifdeRazona sociétédeconseilausecteurnancier elleaensuiteétéVice PrésidentExécutifdesmarchésnanciersetassurancesdelasociétédeconseilIndra parallèlementadministrateurnonexécutifetmembreduComitéd auditdeReckitt Benckiser puismembreduConseildesurveillancedeABNAMRO De2013à2015 administrateurd AXASpain ActuellementPrésident DirecteurgénéralfondateurdeGlobalIdeas4allS L etPrésidentnonexécutifduConseild administrationdeDIAGroupSA XWUHVPDQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVFRWHVWUDQJUHVPrésidentnonexécutifduConseild administration DIAGroupSA 0DQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVQRQFRWHVWUDQJUHVPrésident Directeurgénéralfondateur GlobalIdeas4allS L Administrateur AXASpain(jusqu au31mai2015) WDLOGHVPDQGDWVHWIRQFWLRQVGHVDQQHVSUFGHQWHV QRHCDMS#HQDBSDTQFMQKENMCSDTQGlobalIdeas4allS L QRHCDMSMNMDWBTSHECTNMRDHKCCLHMHRSQSHNMDIAGroupSA CLHMHRSQSDTQAXASpain R&RMusic(jusqu au31décembre2014) QRHCDMS#HQDBSDTQFMQKENMCSDTQGlobalIdeas4allS L QRHCDMSMNMDWBTSHECTNMRDHKCCLHMHRSQSHNMDIAGroupSA CLHMHRSQSDTQAXASpain(depuisjuillet2013) R&RMusic QRHCDMS#HQDBSDTQFMQKENMCSDTQGlobalIdeas4allS L QRHCDMSMNMDWBTSHECTNMRDHKCCLHMHRSQSHNMDIAGroupSA CLHMHRSQSDTQServicePointSolutions R&RMusic(aupréalablePolyphonic&MusicIntelligentSolutions) QRHCDMS#HQDBSDTQFMQKENMCSDTQGlobalIdeas4allS L QRHCDMSMNMDWBTSHECTNMRDHKCCLHMHRSQSHNMDIAGroupSA CLHMHRSQSDTQServicePointSolutions BritishAmericanTobacco Polyphonic&MusicIntelligentSolutions & C M E S T RA LLET3UVLGHQWLUHFWHXUJQUDOGâ(QJLH KDDavril1949Premièrenomination 2015 Échéancedumandat 2019Administrateurindépendant PrésidentduComitédesnominationsetdugouvernementd entreprise membreduComitédesrémunérations SHDSBSHNR CDRRDONEDRRHNDKKD1 placeSamuel de Champlain Faubourgdel Arche 92930ParisLaDéfense%LRJUDSKLHdiplômédel Écolepolytechniqueetdel Écolenationaled administration Aoccupédiverspostesdansl Administrationavantderejoindreen1984laCompagnieFinancièredeSuezoùilaétéchargédemissionauprèsduPrésidentpuisdéléguégénéraladjointpourlesaffairesindustrielles Enfévrier1991 ilaéténomméadministrateurdéléguédelaSociétéGénéraledeBelgique Enjuillet1995 ilestdevenuPrésident DirecteurgénéraldelaCompagniedeSuezpuis enjuin1997 PrésidentduDirectoiredeSuezLyonnaisedesEauxetennen2001 Président DirecteurgénéraldeSuez Depuisjuillet2008 ilestPrésident DirecteurgénéraldugroupeEngie(exGDFSUEZ) XWUHVPDQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVFRWHVIUDQDLVHVPrésidentduConseild administration SuezEnvironnementCompanyPrésidentDirecteurgénéral Engie*(exGDFSUEZ) Administrateur Saint Gobain(jusqu au4juin2015) 0DQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVQRQFRWHVIUDQDLVHVPrésidentduConseild administration EngieEnergieService* XWUHVPDQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVFRWHVWUDQJUHVMembreduConseildesurveillance SiemensAG(Allemagne) 0DQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVQRQFRWHVWUDQJUHVPrésidentduConseild administration Electrabel*(Belgique) GDFSUEZEnergyManagementTrading(Belgique) Vice PrésidentduConseild administration AguasdeBarcelona*(Espagne) Administrateur Inter nationalPower*(Royaume Uni) WDLOGHVPDQGDWVHWIRQFWLRQVGHVDQQHVSUFGHQWHV QRHCDMS#HQDBSDTQFMQKGDFSUEZ* QRHCDMSCTNMRDHKCCLHMHRSQSHNMGDFSUEZEnergieServices* SUEZEnvironnementCompany Electrabel*(Belgique) GDFSUEZBelgium*(Belgique) 5HBDOQRHCDMSCTNMRDHKCCLHMHRSQSHNMAguasdeBarcelona*(Espagne) CLHMHRSQSDTQ2HS&NAHInternationalPower*(Royaume Uni) DLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDSiemensAG(Allemagne) QRHCDMS#HQDBSDTQFMQKGDFSUEZ* QRHCDMSCTNMRDHKCCLHMHRSQSHNMGDFSUEZEnergieServices* SUEZEnvironnementCompany Electrabel*(Belgique) GDFSUEZBelgium*(Belgique) QRHCDMSSASGDFSUEZRassembleursd Énergies* 5HBDOQRHCDMSCTNMRDHKCCLHMHRSQSHNMAguasdeBarcelona*(Espagne) CLHMHRSQSDTQSaint Gobain PargesaHoldingSA(Suisse) InternationalPower*(Royaume Uni) DLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDSiemensAG(Allemagne) QRHCDMS#HQDBSDTQFMQKGDFSUEZ* QRHCDMSCTNMRDHKCCLHMHRSQSHNMGDFSUEZEnergieServices* SUEZEnvironnementCompany Electrabel*(Belgique) GDFSUEZBelgium*(Belgique) QRHCDMSSASGDFSUEZRassembleursd Énergies* 5HBDOQRHCDMSCTNMRDHKCCLHMHRSQSHNMAguasdeBarcelona*(Espagne) CLHMHRSQSDTQSaint Gobain PargesaHoldingSA(Suisse) InternationalPower*(Royaume Uni) DLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDSiemensAG(Allemagne) QRHCDMS#HQDBSDTQFMQKGDFSUEZ* QRHCDMSCTNMRDHKCCLHMHRSQSHNMGDFSUEZEnergieServices* SUEZEnvironnementCompany GDFSUEZBelgium*(Belgique) QRHCDMSSASGDFSUEZRassembleursd Énergies* 5HBDOQRHCDMSCTNMRDHKCCLHMHRSQSHNMElectrabel*(Belgique) AguasdeBarcelona*(Espagne) CLHMHRSQSDTQSaint Gobain PargesaHoldingSA(Suisse) InternationalPower*(Royaume Uni) GroupeEngie Note l adresseprofessionnellen estmentionnéequepourlespersonnesencoreenactivité Pourlesautres toutcourrierpeutêtreenvoyéàl adressepostaledeSociétéGénérale cf chapitre7 page464 IDOCUMEN T DE RÉFÉRENCE 2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( ath al ie R A CHOUGPLQLVWUDWHXUGHVRFLWV DKDHKPremièrenomination 2008 Échéancedumandat 2016Administrateur indépendant Présidente du Comité des risques membre du Comitéd auditetdecontrôleinterne Détient1048actionsAdresseprofessionnelle RouvierAssociés 20ruedelaVillel Evêque 75008Paris %LRJUDSKLHdiplôméed HEC De1978à1999 aexercédenombreusesfonctionsauseindelaBanqueIndosuezetdeCréditAgricoleIndosuez cambisteclientèle Responsabledelagestionactif passif fondatricepuisResponsabledeCarrFuturesInternationalParis(lialedecourtagedelaBanqueIndosuezsurleMATIF) SecrétairegénéraledelaBanqueIndosuez Responsablemondialedel activitéChange OptiondechangedeCréditAgricoleIndosuez En1999 acrééTopiaryFinanceLtd sociétédegestiond actifs baséeàLondres ConseillerducommerceDSHDTCDKBDCDOTHRXWUHVPDQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVFRWHVIUDQDLVHVAdministrateur VeoliaEnvironnement Altran 0DQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVFRWHVWUDQJUHVAdministrateur LairdPLC(Royaume Uni)(depuisle1Djanvier2016) 0DQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVQRQFRWHVWUDQJUHVAdministrateur TopiaryFinance(encoursdedissolution) WDLOGHVPDQGDWVHWIRQFWLRQVGHVDQQHVSUFGHQWHV CLHMHRSQSDTQTopiaryFinance VeoliaEnvironnement Altran CLHMHRSQSDTQTopiaryFinance LiautaudetCie VeoliaEnvironnement Altran CLHMHRSQSDTQHTSTCDSHDVeoliaEnvironnement Altran CLHMHRSQSDTQHTSTCDSHD KD C S CH A AP VE LDGPLQLVWUDWHXUGHVRFLWVNéele5septembre1958Premièrenomination 2013 Échéancedumandat 2017Administrateurindépendant PrésidenteduComi téd auditetdecontrôleinterne membreduComitédesrisques SHDSBSHNR%LRJUDSKLHdenationaliténéerlandaise estdiplôméedel Universitéd Oxfordenpolitique philosophieetéconomieetesttitulaired unemaîtriseenéconomiedudéveloppementobtenueàl UniversitéErasmus AcommencésacarrièreauseindugroupeABNAMROauxPays Basoùelleaoccupédifférentspostesde1984à2007danslabanqued investissement étantnotammentchargéedusuividesgrandsclientsdelabanqueavantd êtreen2008Directricepourl Europedel ouestdelabanqued investissementchezRoyalBankofScotlandGroup MembredesConseilsdesurveillancedeFMO(Pays Bas) BumiArmada(Malaisie)etVallourecBDXWUHVPDQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVFRWHVIUDQDLVHMembreduConseildesurveillance VallourecSA XWUHVPDQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVFRWHVWUDQJUHVMembreduConseildesurveillance BumiArmadaBerhad(Malaisie) 0DQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVQRQFRWHVWUDQJUHVMembreduConseildesurveillance FMO(Pays Bas) WDLOGHVPDQGDWVHWIRQFWLRQVGHVDQQHVSUFGHQWHVDLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDVallourecSA FMO(Pays Bas) BumiArmadaBerhad(Malaisie) DLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDVallourec(France) FMO(Pays Bas) BumiArmadaBerhad(Malaisie) DLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDVallourec(France) FMO(Pays Bas) BumiArmadaBerhad(Malaisie) DLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDVallourec(France) BumiArmadaBerhad(Malaisie) Note l adresseprofessionnellen estmentionnéequepourlespersonnesencoreenactivité Pourlesautres toutcourrierpeutêtreenvoyéàl adressepostaledeSociétéGénérale cf chapitre7 page464 * 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I B D HO US SAY EAnimatricedelaprescriptionetdespartenariatsàl agencedeRouenNéele27juillet1967Premièrenomination 2009 Échéancedumandat 2018Administrateuréluparlessalariés membreduComitédesrémunérations Adresseprofessionnelle ToursSociétéGénérale 75886ParisCedex18%LRJUDSKLHRKHDCD2NBHS&KDCDOTHRWDLOGHVPDQGDWVHWIRQFWLRQVGHVDQQHVSUFGHQWHV S S S SS H BD LE PA GN OLConseillerd activitéssocialesàl agenced Agen DKDNBSNADPremièrenomination 2012 Échéancedumandat 2018Administrateuréluparlessalariés Adresseprofessionnelle ToursSociétéGénérale 75886ParisCedex18%LRJUDSKLHRKHDCD2NBHS&KDCDOTHRWDLOGHVPDQGDWVHWIRQFWLRQVGHVDQQHVSUFGHQWHV S S S SNote l adresseprofessionnellen estmentionnéequepourlespersonnesencoreenactivité Pourlesautres toutcourrierpeutêtreenvoyéàl adressepostaledeSociétéGénérale cf chapitre7 page464 Listedesadmin istr ateursdontl emandatarriveàéchéanceen2016Mich el CI C U R ELNéle5septembre1947356 (17 (0 &+( & &85( &216( Administrateur indépendant membre du Comité des nominationset du gouvernement d entreprise et membre du Comité desrémunérations Premièrenomination 2004 Échéancedumandat 20168 D E LA BR I ÈR ENéle19décembre1950356 (17 5(&7(85*15 ()85(& Administrateurindépendant Premièrenomination 2012 Échéancedumandat 2016 ath al ie R A CH OU DKDHK 0 1 6757(85 (62& 76Administrateur indépendant Présidente du Comité des risquesetmembreduComitéd auditetdecontrôleinter ne Premièrenomination 2008 Échéancedumandat 2016 IDOCUMEN T DE RÉFÉRENCE 2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 5(&7 21*15 (8HU 19 (5C HB O UD É ANéle3juillet1963 5(&7(85*15 Voirpage652D H 2Néle21juillet1958 5(&7(85*15 *8SHDSBSHNRDCHDBS1346actionsUH2NBHS&KD BSHNHSNCRXWUHVPDQGDWVHHUFVGDQVGHVVRFLWVQRQFRWHVIUDQDLVHVDSSDUWHQDQWDXJURXSH6RFLW*QUDOHAdministrateur AmundiGroup(jusqu au27octobre2015) Créditdu NC%LRJUDSKLH après avoir exercé d es fonctions au Crédit National chez Elf Atochem puis au Groupe La Poste (1983 2001) rejointen 2001 SociétéGénérale comme Directeur nancier du Groupejusqu en2002 Directeur généraladjointenchargedelastratégieetdes nances du groupe Steria puis Directeur général (2002 2007) Enjanvier2007 DirecteurdesressourcesdugroupeSociétéGénérale puisDirecteurgénéraldéléguédepuismai2008 D CN S ANC HE Z I NC ER ANéle9mars1960 5(&7(85*15 *8SHDSBSHNRXWUHV PDQGDWV HHUFV GDQV GHV VRFLWV FRWHV WUDQJUHVDSSDUWHQDQWDXJURXSH6RFLW*QUDOHAdministrateur Banque Roumaine de Développement SociétéGénérale de Banques en Côte d Ivoire (jusqu au 23juinMembre du Conseil de surveillance PJSC Rosbank Komer níBankaA S(jusqu au23avril2015) 0DQGDWV HHUFV GDQV GHV VRFLWV QRQ FRWHV IUDQDLVHVDSSDUWHQDQWDXJURXSH6RFLW*QUDOHPrésident CréditduNord Boursorama(depuisle28octobre2015) Administrateur Sogecap 0DQGDWV HHUFV GDQV GHV VRFLWV QRQ FRWHV WUDQJUHVDSSDUWHQDQWDXJURXSH6RFLW*QUDOHAdministrateur SociétéGénérale de Banques au Cameroun(jusqu au 25juin 2015) SociétéGénérale de Banques au Sénégal(jusqu au20novembre2015) Membredu Conseil desurveillance SociétéGénéraleMarocainedeTDR%LRJUDSKLHdenationalitéespagnole De1984à1992 estexploitantentreprises et Directeur adjoint du centre d affaires de La Défenseau Crédit Lyonnais à Paris De 1992 à 1994 est administrateur etDirecteurduCréditLyonnaisBelgique De 1994à 1996 devient administrateur délégué de la Banca JoverEspagne De 1996 à 1999 Directeur général de Zara France De 1999 à 2001 exerce les fonctions de Directeur international augroupe Inditex puis de 2001 à 2003 Président de LVMH Mode etMaroquinerieEuropeetde LVMHFashion GroupFrance De2003à2004 estDirecteurgénéralFrancedeVivarte puisen2004 DirecteurgénéralexécutifdugroupeFrancedeMonoprixjusqu en2009 Entréà SociétéGénérale en nove mbre2009 exerce les fonctions deDirecteurgénéraldéléguédepuisle1Djanvier2010 * 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (IDOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016I 01 76( (5&68&2856 (6& 14 (51 5(611(6)UGULF28v LUHFWHXUJQUDO CQDRRDOQNEDRRHNMMDKKD7RXUV6RFLW*QUDOH3DULV&HGH1pDHHUFDXFXQDXWUHPDQGDW6YHULQ&%11(6 LUHFWHXUJQUDOGOJX CQDRRDOQNEDRRHNMMDKKD7RXUV6RFLW*QUDOH3DULV&HGH CLHMHRSQSDTQCHSduNord AmundiGroup(jusqu auNBSNAD CLHMHRSQSDTQCHSCTNord AmundiGroup DLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBD&NTOD2SDH2B CLHMHRSQSDTQCHSduNord TCWGroup AmundiGroup DLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBD&NTOD2SDH2B CLHMHRSQSDTQCHSduNord TCWGroup AmundiGroup DLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBD&NTOD2SDH2B CLHMHRSQSDTQCHSduNord TCWGroup AmundiGroup DLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBD&NTOD2SDH2B%HUQDUGR61&( 1&(5 LUHFWHXUJQUDOGOJX CQDRRDOQNEDRRHNMMDKKD7RXUV6RFLW*QUDOH3DULV&HGH QRHCDMSCHSCTNord Boursorama(depuisKDNBSNAD CLHMHRSQSDTQBanqueRoumainedeDéveloppement Sogecap 2NBHS&KDCDBanquesauCameroun(jusqu au25juin2015) 2NBHS&KDCDBanquesenCôted Ivoire(jusqu au23juin2NBHS&KDCDTDRTSénégal(jusqu au20novembre2015) DLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDPJSCRosbank Komer níBankaA S (jusqu au23avril2NBHS&KDMarocainedeBanques QRHCDMSCHSCT NC CLHMHRSQSDTQBoursorama ALDAutomotiveGroup BanqueRoumainedeDéveloppement Frannance Sogecap CompagnieGénéraledeLocationd Équipements 2NBHS&KDCDBanquesauCameroun 2NBHS&KDCDBanquesenCôted Ivoire 2NBHS&KDCDBanquesauSénégal DLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDPJSCRosbank Komer níBanka 22NBHS&KDMarocainedeBanques CLHMHRSQSDTQ AutomotiveGroup BanqueRoumainedeDéveloppement Frannance Sogecap CompagnieGénéraledeLocationd Équipements SHNK2NBHS&KDJ1NRAJ2NBHS&KDCDBanquesauCameroun 2NBHS&KDCDBanquesenCôted Ivoire 2NBHS&KDCDBanquesauSénégal DLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDKomer níBankaA S 2NBHS&KDMarocainedeBanques CLHMHRSQSDTQ AutomotiveGroup BanqueRoumainedeDéveloppement Frannance Sogecap CompagnieGénéraledeLocationd Équipements SHNK2NBHS&KDJ1NRAJ2NBHS&KDCDBanquesauCameroun 2NBHS&KDCDBanquesenCôted Ivoire 2NBHS&KDCDBanquesauSénégal DLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDKomer níBankaA S 2NBHS&KDMarocainedeBanques CLHMHRSQSDTQ AutomotiveGroup BanqueRoumainedeDéveloppement Frannance National2NBHS&KDJ1NRAJ2NBHS&KDCDBanquesauCameroun 2NBHS&KDCDBanquesenCôted Ivoire 2NBHS&KDCDBanquesauSénégal DLAQDCTNMRDHKCDRTQUDHKKMBDKomer níBankaA S 2NBHS&KDMarocainedeBanques IDOCUMEN T DE RÉFÉRENCE 2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 1)25 07 216 &203 0(17 5(6685 ( 5(&7(85* 15 LESDIRECTEURSGÉNÉRAUXDÉLÉGUÉSETLESMEMBR ESDUCONSEIL p 0 1 6757 21EVHQFHG HFRQIOLWVGpLQWUÇWVÀlaconnaissanceduConseild administration iln existe pas de conits d intérêts potentielsentreles de voirsàl égarddeSociétéGénérale duDirecteurgénéral desDirecteursgénérauxdélégués etdes membres du Conseild administrationetd autresdevoirsouintérêtsprivés Encasdebesoin l article14durèglementintérieurduConseild administrationrégitlesconitsd intérêtsdetoutadministrateur il n existe pas d arrangement ou accord conclu avec unactionnaire client fournisseur ou autres en vertu duquel l unedespersonnessusviséesaétésélectionnée iln existepasdelienfamilialentrelespersonnessusvisées aucune restrictionautre que légalen estacceptéepar l une desODRNDR RTRHRDR BNBD S K BDRRHN CD R OSHBHOSHNCRKDBOHSKCD2NBHS&KDEVHQFHG HFRQ GDPQDWLR QÀlaconnaissanceduConseild administration aucune condamnation pour fraude n a été prononcée au coursdes cinq dernièresannées àl encontre du Directeur général del un desDirecteursgénéraux délégués oude l unde s membresduConseild administration nileDirecteurgénéral niaucundesDirecteursgénérauxdélégués niaucundesmembresduConseild administrationn aétéassocié(en qualité de membre du Conseil d administration de directionou de surveillance ou comme Dirigeant) à une faillite mise sousséquestreouliquidationaucoursdescinqdernièresannées le 18décembre 2014 la Commission des sanctions de l AMFa prononcé des sanctions pécuniaires à l encontre de la sociétéFaurecia et de M Yann Delabrière en sa qualité de Président Directeurgénéralpourmanquementsàl obligationd informationdupublic LasociétéFaureciaetM YannDelabrièreontinterjetéappelde cette décision Il n existe pas d autre incrimination ou sanctionpublique ofcielle quiait étéprononcéepardesautorités étatiquesouréglementairesàl encontred unmandatairesocial ni le Directeur général ni aucun des Directeurs générauxdélégués ni aucun des membres du Conseil d administrationn a été empêché par un tribunal d agir en qualité de membred un organe d administration de direction ou de surveillanced unémetteurou d intervenirdans lagestionoulaconduite desaffairesd unémetteuraucoursdescinqdernièresannées &20 7( &87 )8HU 19 (5LeComitéexécutifassuresousl autoritéduDirecteurgénérallepilotagestratégiqueduGroupe )UGULF28 Directeurgénéral6YHULQ&%11(6Directeurgénéraldélégué%HUQDUGR61&+(= 1&(5Directeurgénéraldélégué*LOOHV%5 77SecrétairegénéraletResponsabledelaconformitéduGroupe DXUHQW *2875 HDBSDTCDKTDCDCSHK2NBHS&KDDBD&DUR OLQH *8 80 1DirectricedelacommunicationduGroupe L GLHU+8*8( Co directeurdelaBanqueetServicesFinanciersInternationaux3KLOLSSH+( 0DirecteurnancierduGroupeGRXDUG0DOR+(15 < 0 0 > < 10 10 > < 20 20 > < 30 30 > < 40 40 > < 50 50 > < 60 > 600 20 40 60 80 (En M EUR)Nombre de jours de trading0 40 80 120 < 0 0 > < 20 20 > < 40 40 > < 60 > 60 50 40 30 20 10 0 En M EUR j anv i er 15fé v rie r 15m ars 15a vri l 15m ai 1 5j ui n 15juil let 1 5ao ût 15se pte m br e 15o ct obre 15 nov e mb re 15 dé ce mbre 15 IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 8 7 9(17 7 2135)&7(85 (5 648( ( 95 (75 1*t92 87 21 ( 02<(11(75 0(675 ( ( 41LeniveaudelaVaRestrestéglobalementfaible(21 millionsd eurosenmoyenneen2015contre24millionsd eurosen2014) dufaitd unprolderisquedéfensif dansuncontextedemarchévolatile les pics en janvier et mars sont dus respectivement auxmouvements de marché exceptionnels sur le change (levée ducoursplanchereuro francsuisse)etunepositionrésiduellesurlemarchéprimaireaction aujourd huisoldée la hausse observée ponctuellement pendant l été résulteprincipalementdel entréedanslafenêtredecalculdelaVaRdeNTDTRBDMQHHplus volatils particulièrement sur les actions dansunenvironnementdemarchéagitéenjuillet août ainsiqued unecontributionaccruedupérimètretauxsurl euro 2SQDRRDC9D5695AuditéIFin2011 SociétéGénéraleaobtenul agrémentdel AutoritédeContrôlePrudentieletdeRésolution pourcomplétersondispositifde modèle interne intégrant les exigences résultant de la CRD3 enparticulierlaVaRstressée surlemêmepérimètrequelaVaR La méthode de calcul est identique à celle de l approche VaR Elleconsisteenune«simulationhistorique»avecdeschocs«1 jour»etun intervalledeconance à 99% Contrairement àla VaR quiutiliseKDR RBDMQHHde variation journalière de l année glissante la VaRstressée utilise une fenêtre historique xe d un an correspondant àunepériodedetensionsnancièressignicatives LadéterminationdelafenêtrehistoriquedeRSQDRRSKHCDOKDrégulateur selonuneméthodequipermetdeprendreencomptedeschocssignicatifs surl ensembledesfacteurs de risque (relatifs auxrisquesactions taux change créditetmatièrespremières) CettefenêtrehistoriquedeRSQDRRfaitl objetd unerevueannuelle 695 285(EnMEUR) EXW)LQ0LQLPXP0RHQQH0DLPXP69D5En 2015 la consommation de SVaR est de 49 millions d euros en moyenne contre 72 millions d euros en 2014 Cette baisse s expliqueprincipalementparunprolderisqueplusdéfensifsurlesactivitéstauxetactions cesdernièresétanttrèsfortementchoquéesdanslafenêtreCDBKBTKCDK251T1 14 T2 14 T3 14 T4 14 T1 15 T2 15 T3 15 T4 15 Moyenne trimestrielle de la VaR de Trading 1 jour 99 % (en M EUR) 25 21 19 14 21 25 18561097814131223171816151514191611678 281424883124202024192320TauxCréditActionsChangeMatières premièresTrading VaREffet de compensation22 2233 22 122134 * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 0(685( 85 64 8((1231223230WKRGRORJLHAudité I Parallèlement au modèle inter ne de VaR Société Généralecalcule une mesure de ses risques enRSQDRR SDRSONT ODCD Dcomptedesperturbationsdemarchéexceptionnelles UnRSQDRR SDRSestime la perte résultant d une évolution extrêmedes paramètres de marché sur une durée correspondant au tempspermettantdedéboucleroudecouvrirlespositionsconcernées(5à20jourssurlaplupartdespositionsdeSQCHMFCette mesure enRSQDRR SDRSs applique à toutes les activités demarché de la Banque Elle s appuie sur un ensemble deRBDMQHHhistoriquesetthéoriquesparmilesquelsgurele«RBDMQHNthéoriqueSociété Générale de crise nancière» (dit aussi «généralisé») déclinéàpartirdesévénementsobservéscourant2008 cesRBDMQHHchoquent l ensemble des facteurs de risque signicatifs y comprislesparamètresexotiques Cette mesure constitue avec la mesure en VaR l un des axesmajeursdudispositifdecontrôledesrisques ElleestbâtieselonlesOHBHODRRTHSR les risques sont calculés quotidiennement pour chaque activitéde marché de la Banque tous produits confondus sur chacunCDRRBDMQHHhistoriquesetthéoriques unelimiteenRSQDRRSDRSestétabliepourl activitéglobaleSociétéGénérale puis est déclinée sur les différentes lignes métiersCT &NTOD KKD DBCD KD RTKSS KD OKTR CENAKD HRRT CDl ensembledesRBDMQHHhistoriquesetthéoriques DRCHEEDSRRBDMQHHCDRSQDRRSDRSRfontl objetderévisionsrégulièreset de compléments en liaison avec les équipes d économistes duGroupe et les différents spécialistes sous l égide de la Directiondes risques Depuis 2014 la mesure enRSQDRR SDRSs appuie sur 18scenarii dont 3 historiques et 15 théoriques En 2015 pour tenircompte d une liquidité potentiellement plus faible et de risques dedislocationsaccrus nousavonsprocédéàunrenforcementdeschocsàl écartementdesROQDCRCDBCHSRTKDRBDMQHNthéoriquesimulantunecriseobligataire(cf infrapourdétail) 223 12 2 3 2 3 2 HI S T OR I QU E SLaméthodeconsisteàétudierdepuis1995(périodedep uislaquellelesmarchésnancierssesontglobalisés etfontl objetd encadrementsréglementairesélargis)lesgrandescriseséconomiquesayantaffectéles marchés nanciers l analyse des évolutions de prix des actifsnanciers(actions tauxd intérêt tauxdechange ROQDCRCDBCHSetc )durantchacunedecescrisespermetdedéterminerdesRBDMQHHCD HSHN CD BDR OHBHOT EBSDTR CD HRTD TH OOKHTRaux positions de marché de la Banque pourraient entraîner despertes signicatives Société Générale a ainsi 3RBDMQHHhistoriquessignicatifsquiportentsurlapérioded octobreàdécembre2008 223 12 2 3 2 3 2 T HÉ O R IQ UE SDRRBDMQHHthéoriquessontdénisavecleséconomistesduGroupeet visent à identier des séquences d événements pouvant surveniretde nature àconduire à des crises majeuressur les marchés (parexemple une attaque terroriste majeure une déstabilisation de lasituationpolitiquedegrandspayspétroliers etc ) Leursélectionestle résultat d une démarche visant à retenir des chocs tout à la foisextrêmesmaisrestantplausiblesetayantdesrépercussionsglobalessur l ensemble des marchés Société Générale a ainsi retenu 15RBDMQHHthéoriques CBHSRBHCDRRNTR JQUDOLV VFDULR WKRULTXH 6RFLW *QUDOH GH FULVHnancière) apparition d une importante déance vis à vis desinstitutions nancières après la faillite de Lehman Brothers effondrement des marchés actions forte baisse des dividendesimplicites fortécartementdesROQDCRdecrédit pivotementdescourbesdetaux d intérêt(hausse des tauxcourts etbaissedestauxlongs) importantighttoquality(achatdesactifsémetteursestiméslesplussûrs) FULVH GHV * 3( déance vis à vis d émetteurs souverains àrisqueetregaind intérêtpourlesémetteurssouverainslesmieuxnotés telsquel Allemagne puispropagationdel inquiétudeauxautresmarchés(actions ) FULVH DX 0RHQ2ULHQW déstabilisation du Moyen Orientconduisant à un choc de forte amplitude sur le pétrole etl ensemble du marché de l énergie effondrement des marchésactions penticationdelacourbedetauxd intérêt DWWDTXH WHUURULVWH attaque terroriste majeure aux États Unisentraînantuneffondrementdesmarchésactions unefortebaissedes taux d intérêt un fort écartement de sROQDCRCD BCHS DSunebrusquebaissedudollaraméricain FULVHREOLJDWDLUHcrisedumarchéobligataire(décorrélationdesrendements des obligations et des actions) forte hausse destauxd intérêtaméricainsethausseplusmodéréedesautrestauxd intérêt baisse modérée des marchés actions ight to qualityavecunfortécartementdesROQDCRdecrédit hausse du dollardesÉtats Unis FULVH GX GROODU GHV vWDWV8QLV effondrement de la deviseaméricaine à la suite de la forte détérioration de la ba lancecommerciale et du décit public américains hausse des tauxd intérêtetresserrementdesROQDCRdecréditaméricains FULVH GH OD RQH HXUR baisse des taux de change EUR fortehaussedestauxd intérêtEUR fortebaissedesactionseneurosethaussedesactionsaméricaines fortécartementdesROQDCRdecréditeneuros débouclement des opérations de portage japonaises (Yen&DUU 7UDGH 8QZLQGLQJ changement de politique monétaireau Japon entraînant l abandon des stratégies d opérations deportage avec le yen fort écartement desROQDCRCD BCHSbaisse des taux d intérêt en yen et hausse des taux longs endollarsdesÉtats Uniseteneuros ighttoquality EDLVVHJQUDOHGHVDFWLIVULVTXVRBDMQHNdenbrutaledespolitiques monétaires volontaristes des Banques centrales setraduisant par une baisse générale des actifs risqués (actions crédit émergents) avec une forte hausse des taux d intérêtmondiaux GHXVFDULL GH FULVH HQ RQH HXUR sortie de la Grèce dela zone euro entraînant une baisse générale des actifs risquésplus accentuée sur l Europe (actions crédit émergents) et unebaissedestauxsouverainsauxÉtats UnisetauJapon déclinéeavecsoutiendelaBCE(activationduprogrammeOMTgénérantTD AHRRD CDR ST D YND DTN NT RR RNTSHD CD K (dislocation des bases sur les taux reétant un gel du marchéinterbancaire) IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( FULVH UXVVH ENSD C KTSHN CD K CDHRD TRRD CETS CD KFédérationdeRussie crisesurlesmarchésobligataires etbaissedesmarchésactions plusparticulièrementsurlesémergents(cf criserussedeseptembre1998) quasi faillite d un hedge fund majeur risque d éclatementdu système nancier international lié à la quasi faillite d unGDCFD ETMCmajeur déclenchée par une crise sur les marchésobligataires (cf quasi faillite de Long Term Capital Managementenoctobre1998) UHERQG FRQRPLTXH VRXGDLQ forte hausse des marchésactionsetdestauxd intérêtendollarsdesÉtats Uniseteneuros(cf anticipationdudébutdelaguerred Irakenmars2003) FODWHPHQW GâXQH EXOOH DFWLRQRBDMQHNDORDSSHE CDl éclatement d une bulle sectorielle entraînant une forte baissedesmarchésactions(cf faillitedeWorldcomenjuillet2002) 0RHQQH GHV RS QDRRSDRSRHQ L année2015aétémarquéeparunepressioncroissanteàlabaissedes prix sur les matières premières des tensions géopolitiquesaccrues et un début de divergence des politiques monétairesaméricaine et européenne en n d année Sur les marchés desdislocationslocalesontétéobservées abandonducoursdechangeplancher sur le franc suisse en janvier remontée des taux longs eneuros en mai dévaluation surprise de la devise chinoise en août correctionsimportantesdesmarchésactionnaoût R BD BNSDSD BHscenarii qui sont parmi les contributeursKDR OKTR ETDSR T HDT CTRSQDRR SDRSglobal Groupe ont desmontants moyens relativement proches sur l année (1RBDMQHNhistorique et 4RBDMQHHhypothétiques cf graphe ci après) Enmoyenne leRSQDRR SDRSglobal Groupe est en baisse par rapport àl année dernière principalement en raison d un prolde risque plusdéfensifsurles actions etune diminution des positionsde créditaucoursdusecondsemestre Cri se zo n e e ur o ( sa n s so u ti en B CE) Cri se d es G II PE Cr ise zon e eu ro ( a ve c so ut ie n BCE ) Gé né ral i sé At ta qu e t er ror i ste US A H i st o O ct 0 8 Bai sse g én ér al e d es act if s r i sq ué s C ri se au Mo ye n Ori e nt Eclat em e n t bu ll e ac tio n C ris e su r o pé de po rta ge Yen Hist o No v 08 C r is e d u do ll ar US Qua s i f ai l li te HF m aj e ur H is to Dec 0 8 Cri s e o bl i gata i re C ris e R us se Cr i se de l a z o ne eur o ( an cie n scé na ri o ) Reb on d éco n om iq ue s ou da i n (En M EUR)Moyenne 2015 Scenarii théoriquesMoyenne 2015 Scenarii historiques 3000300600(L JHQFHVHQIRQGVSURSUHVDXWLWUHGXU LVTXHGHPDUFK Les exigences en fonds propres de Société Générale relatives aurisquede marché(hors titrisation) sont déterminées essentiellementen approche par modèles internes (à 92% n 2015) Les encourspondérésretenusdanslecalculdesexigencesenfondspropressuropérationsdemarchésontdisponiblesci après Fin 2011 Société Générale a obtenu l agrément de l Autorité deContrôle Prudentiel et de Résolution pour compléter son dispositifdemodèles inter nessurlesrisquesdemarché enparticulierlaVaRstressée (VaR sur une période historique stressée d un an) l (1(MBQDLDMSK1HRJGQFDDSKCRM(ComprehensiveRiskMeasure) sur le même périmètre que la VaR Ces deux dernières mesuresestiment sur les instrumentsdedette la charge en capital liée auxrisquesdemigrationdeQSHMFetdedéfautdesémetteurs Unhorizonde liquidité constant d un an est utilisé pour le calcul de ces deuxmétriques Les charges en capital sont additionnelles c est à direqu elles s ajoutent aux chargescalculées à partir dela VaRet de la51RSDRRDSociété Générale estime ces charges en capital par un modèle desimulationquidiffuselesdifférentsfacteursderisquesconcer nésparles exigences réglementaires en tenant compte des dépendancesentre ces facteurs L IRC et la CRM sont des valeurs en risque à99 9%c est à direleplusgrandrisqueobtenuaprèséliminationde0 1%desoccurrenceslesplusdéfavorables *RXYHU QDQFHCesmodèlesinternesfontl objetd unegouvernanceidentiqueàcelledesautresmodèlesinternesrépondantauxexigencesdu«Pilier1»delaréglementation Enparticulier uneanalysehebdomadaireestréaliséesurcesmétriques Horsactivitésgéréesenextinctionquifontl objetd unencadrementetd unsuivienrisquedemarchéséparés * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I ces métriques sont comparées avec desRSQDRR SDRSRnormatifsdénisparlerégulateur(25RBDMQHHhistoriques) TD DTD LHMHLannuelle des hypothèses de modèle et uncontrôleDWONRSdecohérencesonte ffectués la méthodologie et son implémentation ont fait l objet d unevalidation interne par la Direction du contrôle périodique etexter neparl AutoritédeContrôlePrudentieletdeRésolution Conformémentàlaréglementation l IRCs appliqueauxinstrumentsdedettedéjàtraitésenmodèleinterneautresquelestitrisationsetleportefeuilledecorrélation Celacomprendnotammentlesobligations KDR2DSKDRONCTHSRCHRRRNBHRLa CRMcouvre exclusivementleportefeuilledecorrélation c est à direlestranchesdeCDOsurémetteursliquides leshHQRSSNCDETKSvHRHTDKDTBNTDSTDOCDR2DSCDRHCHBDR TSDKDHRTDde migration et défaut la CRM capture également tous les autresrisques deprix(parexemplerisquedespread derecouvrement decorrélation) La charge en capital retenue correspond au maximumentrecellecalculéeparlemodèleinterneet8%delachargecalculéeparlaméthodestandardsurlesrisquesdemarché 5&(7&50(EnMEUR)ATSHMinimumMoyenneMaximum 5&&50( *(1&( (1)21 6352 35(687 75( (65 648(6 (05&+7% (8( *(1&(6(1)21 635235(687 75( 85 648( (05&+35&2032617( (5 648(6(LJHQFHVHQIRQGVSURSUHV(QFRXUVSRQGUV(EnMEUR)9D56WUHVVHG9D55LVTXHDGGLWLRQQHOGHGIDXWHWGHPLJUDWLRQ 5&3RUWHIHXLOOHGHFRUUODWLRQ&507RWDOULVTXHVGHPDUFKYDOXSDUPRGOHLQWHUQHRisquespéciqueauxpositionsdeWLWULVDWLRQGXSRUWHIHXLOOHGHQJRFLDWLRQRisquedechangeRisquedetauxd intérêt(horstitrisation)5LVTXHGHSRVLWLRQVVXUWLWUHVGHSURSULW5LVTXHGHSRVLWLRQVVXUSURGXLWVGHEDVH7RWDOULVTXHVGHPDUFKHQDSSURFKHVWDQGDUG7RWDOULVTXHVGHPDUFK7% (8( *(1&(6(1)21 635235(6357<3( (5 648( (05&+(LJHQFHVHQIRQGVSURSUHV(QFRXUVSRQGUV(EnMEUR)RisquedechangeRisquedecrédit(horsOPHQWVHQGGXFWLRQ5LVTXHGHSRVLWLRQVVXUSURGXLWVGHEDVH5LVTXHGHSRVLWLRQVVXUWLWUHVGHSURSULW5LVTXHGHWDXGLQWUÇW7RWDO IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (6 L E S R I S Q U E S O P É R A T I O N N E L S*(67 21 (65 648(62357 211( 625*1 67 21(7*2 89(5 11&(SociétéGénéraleadéveloppédes processus desoutils de gestionet une infrastructure de contrôle pour renforcer la maîtrise et lepilotage desrisquesopérationnels dansl ensembledu Groupe Cesdispositifs comprennent entre autres des procédures générales etspéciques une supervision managériale des plans de continuitéd activité et des Comités nouveaux produits Pour compléter cedispositif desfonctionssontdédiéesàlasurveillanceetlagestiondecertainstypesderisquesopérationnelstelsquelafraude lesrisquesliésauxprestationsexternalisées lesrisquesjuridiquesKDRHRTDRliésàlasécuritédessystèmesd informations(4)DSKDRHRTDRCDNconformité H SDUWHPHQWGHVULVTXHVRSUDWLRQ QHOVRattachéà laDirection des risquesduGroupe leDépartement desrisques opérationnels travaille en étroite relation avec la lière encharge de la gestion et de la maîtrise des risques opérationnels auseindespôlesd activitésetdesdirectionscentrales Les responsabilités du Département des risques opérationnels sontnotammentlessuivantes l animationdelalière«Risquesopérationnels» la conception et la mise en uvre du dispositif de gestion desrisquesopérationnelsduGroupe enconcertationaveclespôlesd activitésetlesdirectionscentrales la promotion d une culture du risque opérationnel au sein duGroupe ladénition auniveauduGroupe desméthodesd identication demesure desurveillanceetd atténuationet oudetransfertdesrisques opérationnels enliaison avecles pôles d activités et lesdirectionscentrales and enassurerlacohérenced ensemble lecontrôle permanent de niveau 2 surles risques opérationnelsrecouvrant les risques propres aux différents métiers ainsi queles risques liés aux achats à la communication à l immobilier auxressourceshumaines etauxsystèmesd information l élaborationde la politique globalede continuitéd activitéet degestiondecriseduGroupeainsiquelepilotageetlacoordinationdesamiseen uvre la sécurité des personnes (expatriés et voyageurs d affaires) àl international DILO LUH5LVTXHVRSUDWLRQQHOVOutre leDépartement des risquesopérationnels la lière comprendles responsables des risques opérationnels (RRO) des pôlesd activités et des directions centrales qui sont fonctionnellementrattachésauDirecteurdesrisquesopérationnelsduGroupe Les RRO présents dans l ensemble des entités du Groupe sontchargés d appliquer les politiques instructions et directives duGroupe et de contrôler et piloter les risques opérationnels ens appuyantsurunréseaudecorrespondantsdansleslignes métiersetlesentités etenseconcertantétroitementaveclesresponsablesNOSHNDKRBNBDRDes Comités risques opérationnels ont été institués tant au niveauduGroupequedespôlesd activités desdirectionscentralesetdesliales 0(685( (65 648(62357 211( 6Société Générale a opté dès 2004 pour l approche de mesureavancéedesrisquesopérationnels(AMAou CUMBDCDRTQDLDMS OOQNBG)proposéepa rlaDirectiveeuropéennesurl adéquationdesfonds propres Cette approche déployée sur les principales entitésduGroupe permetnotamment d identierlesmétierslesplusexposésauxrisques d identier lestypes de risque qui ontl impactle plus fort surleprol de risque du Groupe et sur ses besoins totaux en fondspropres d améliorer la culture et la gestion des risques opérationnels duGroupe l Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution a effectué en TD DTD OONENCHD CT CHRONRHSHE KAN O 2NBHSGénérale et a autorisé en conséquence le Groupe à utiliser laméthodelaplusavancéeprévueparl accordditdeBâle2(c est à dire laméthodeAMA) pourlecalculdesonexigencedefondspropresautitredesrisquesopérationnelsàcompterdu1Djanvier2008 pour un périmètre représentant plus de 90% du produitnetbancairetotaldugroupeSociétéGénérale 9RLUFDSLUHSHFDSLUHS9RLUFDSLUHSVoirchapitre4 p 198etsuivantes (4)9RLUFDSLUHSVoirchapitre4 p 198etsuivantes * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 632 6 7 )6 (68 9 (65 648(6235 7 211( 6Les dispositifs expressément prévus par la réglementation NS Smisen uvreens appuyantsurl existantquandcelaétaitpossible Ilscomprennentnotamment KBNKKDBSD CDRCNDR HSDDR DKSHDR T ODSDR CD HRTDRopérationnels ledispositifd auto évaluationdesrisquesetdescontrôles(1HRJNMSQNK2DKE RRDRRLDMSouRCSA) KDRHCHBSDTRBKRCDHRTDR*DX1HRJ(MCHBSNQRouKRI) l analysedesdonnéesdepertesexternes lesanalysesdeRBDMQHH uncontrôlepermanentdeniveau2 la gestion de crise et l élaboration des plans de continuitéd activité laluttecontrelafraude lesComitésnouveauxproduits KDRTHHCDRODRSSHNRCDRDHBDRDSDKHRDRLaclassicationparSociétéGénéraledesrisquesopérationnelsen8catégoriesd événementset49sous catégoriesmutuellementexclusivesest la pierre angulaire de sa modélisation des risques Elle garantit la cohérence d ensemble du dispositif et permet de réaliser des analysesSRDRKDRLes8catégoriesd événementssontrappeléesci après litigescommerciaux litigesaveclesautorités erreursdetarication(OQHBHMF)oud évaluationdurisque erreursd exécution fraudeetautresactivitéscriminelles activitésnonautoriséessurlesmarchés(1NFTDSQCHMF pertedemoyensd exploitation défaillancedessystèmesd information GouvernancePilotage stratégique et reportingSuivi et contrôleIdenti cation et évaluation des risquesC U L T UR E RI S QUEAnalysesde scénariosIdenti cation et évaluation des risques (Auto évaluation des risques et des contrôles RCSA comités nouveaux produits)Indicateurs clés de risques (KRI) Risques spéci ques (Plans de continuité d activité prestations de services externalisées) Calcul et allocation du capital dédié au risque opérationnelContrôles et plans d actions Incidents pertes (Internes et externes)Textesréglementairesderéférence larrêtédu20février2007relatifauxexigencesdefondspropresapplicablesauxétablissementsdecréditetauxentreprisesd investissement article370relatifauxfacteursrelatifsaucontrôleinterneetàl environnement lconvergenceinternationaledelamesureetdesnormesdefondspropres ComitédeBâlesurlecontrôlebancaire juin2004 lsainespratiquespourlagestionetlasurveillancedurisqueopérationnel ComitédeBâlesurlecontrôlebancaire février2003 larrêtédu3novembre2014relatifaucontrôleinternedesétablissementsdecréditetdesentreprisesd investissementsesubstituantaurèglementduCRBFn°97 0 2 IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (&ROOHFWHGHVS HUWHVLQWHUQ HVLa collecte des pertes internes (mais également des gains et desquasi pertes) concerne l ensemble du Groupe depuis 2003 Ceprocessusapermisauxopérationnels dedéniretmettreen uvrelesactionscorrectricesappropriées d acquérirunemeilleureconnaissancedeleurszonesderisques de mieux diffuser une culture du risque opérationnel au sein du&NTODLe seuil minimum à partir duquel une perte (ou un gain ou unequasi perte)est enregistrée s élève à 10000euros dans l ensembledu Groupe sauf sur les activités de marché où ce seuil est xé à20000eurosenraisondupérimètredesesactivitésetdesvolumesBNBDREndeçàdecesseuils lespertesreprésentantdesrisquesàsignauxfaibles sont collectées par les différents pôles du Groupe et sontdéclaréesenlesadditionnantsiellesconcernentunmêmeévénementCDHRTDDSTDKDSNSKCORRDKDRDTHKCDCBKSHNXWRYDOXDWLRQGHVULVTXHVHWGHVFRQWUOHVL exercice d auto évaluation des risques et des contrôles (Risk& control self assessment ou RCSA) a pour objet d apprécierl expositionduGroupe aux risquesopérationnelsand en améliorerlepilotage Surlabasedesrésultatsdesautresdispositifsdegestiondurisqueopérationnel(pertesinter nes KRI ) deszonesderisquessont identiées par les lières sur leurs domaines de compétencesrespectifs etd entretiensmenésavecdesexpertsduGroupe Lesobjectifssont d identieretd évaluerlesrisquesopérationnelsmajeursauxquelsestexposéechaqueactivité(risquesintrinsèques c est à direlesrisquesinhérentsàlanatured uneactivité enfaisantabstractionde ses dispositifs de prévention etde contrôle) le cas échéant lescartographiesdesrisquesétabliesparleslières(parexemple conformité sécuritédessystèmesd information )contribuentàcetteévaluationdesrisquesintrinsèques d évaluer la qualité de s dispositifs de prévention et de contrôleen place permettant de réduire ces risques majeurs (existenceet efcacité de ces dispositifs en termes de détection et deprévention des risques et ou de leur capacité à en diminuer lesimpactsnanciers) d évaluer l exposition aux risques résiduels de chaque activité(après prise en compte de l environnement de prévention et decontrôle mais abstraction faite de la protection fournie par lespolicesd assuranceauxquellesleGroupeasouscrit) de remédier aux déciences éventuelles des dispositifs deprévention et de contrôle et de mettre en uvre des plansd actionscorrectrices de faciliter et ou d accompagner la mise en place d indicateursclésderisque d adapter sinécessaire lapolitiqued assurance Dans le cadrede cet exercice les risques d un périmètre donné sont qualiésselonunedoubleéchelledesévéritéetdefréquence QGLFDWHXU VFOVGHUL VTXHDRHCHBSDTRBKRCDHRT*DXQHRJHMCHBSNQRouKRI)complètentledispositifdepilotagedesrisquesopérationnelsenfournissantunevisiondynamique(systèmed alerte)del évolutionduprolderisquedes métiers Lesuivirégulier desKRI complète ainsil évaluation del expositionduGroupeauxrisquesopérationnels Ce suivi s effectueUHl exercice d auto évaluation des risques etdes dispositifs de prévention et de contrôle (RCSA) par l analysedespertesinternesetparlesanalysesdescenarii DOONSSTresponsablesd entités unemesurequantitativeetvériabledurisque une évaluationrégulière des améliorations ou des détériorationsdu prol de risque et de l environnement de prévention et decontrôle nécessitant une attention particulière ou un pland action LesKRIsusceptiblesd avoiruneincidencenotablesurtoutoupartiedu Groupe sont transmis trimestriellement au Comité Exécutif du&NTODUHTSAKDTCDANCCCHQ DO VHVGHRDMQHHLes analyses deRBDMQHHont pour double objectif d identier leszones de risques potentiels importants du Groupe et de contribueraucalculdesfondspropresexigésautitredesrisquesopérationnels Concer nantlecalculdel exigencedefondspropres leGroupeutiliselesanalysesdeRBDMQHHONT mesurer son exposition à des pertes potentielles rares mais detrèsfortesévérité disposer pour les catégories d événements où l historique depertesinternesestinsufsant d uneestimationdedistributiondepertesàdired experts OSHTDCHEEDSRRBDMQHHsontexaminéspardesexpertsquienévaluentlesimpa ctspotentielssurleGroupeentermesdesévéritéetdefréquence ens appuyantnotammentsurles donnéesdepertesinternes et externes et de l environnement interne (dispositifs depréventionetdecontrôle)etexterne(réglementaire métier ) LesanalysessontconduitespourdeuxcatégoriesdeRBDMQHH KDRRBDMQHHGroupe de chocs majeurs il s agit d événementstransversaux de très forte sévérité la plupart d origine externe etpouvantfairel objetdeplansdecontinuitéd activité(PCA) KDRRBDMQHH«Métiers» qui n entrent pas dans le cadre de lacontinuité d activitéRSQHBSN RDMRTmais permettent de mesurerlespertespotentiellesexceptionnelles auxquelleslesdits métierspourraient être exposés Des actions spéciques sont menéesan d éviter la dilution du portefeuille en un trop grand nombreCDscenarii etdemaintenircedispositifconcentrésurlesrisquesd impactextrêmepourleGroupe Lagouvernancemiseenplacepe rmetnotamment une validationduprogramme annuelde miseàjourdesRBDMQHHparleComitédesrisques(CORISQ) TD KHCSHN CDRRBDMQHHpar les directions des pôles et lesdirectionscentrales(lorsdesCCCIdesdépa rtementsconcernésNTKNRCDTHNRCGNB * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I une revue d ensemble de la hiérarchie des risques du Groupe etde l adéquation desscenarii à ces risques effectuée lorsde«Comités experts» présidés par le Directeur des risques du&NTODQDOVHGHVSHUWHVHWHUQHVDRODSDRDSDDRRNSKDRCNDRCDODSDRNOSHNDKKDRRTAHDRpar le secteur bancaire et nancier issues des bases de donnéesgéréespardesprestataires ainsiquedesdonnéespartagéesparlaprofessionbancairedanslecadredeconsortiums Ces données servent à enrichir l identication et l évaluation desDONRHSHNR CT &NTOD T HRTDR NOSHNDKRD SKNS RDRRSSHRSHTDR HSDDR RT KDR ODSDR O OONS T CNDR CD KONEDRRHN HFRQWUOHS HUPDQHQWGHQLYHDXLe contrôle permanent de niveau 2 au sein du Département desrisques opérationnels s est renforcé sur l exercice 2015 avec lerecrutement de nouveaux contrôleurs dédiés exclusivement à cettefonction et la réalisation de revues de contrôles sur le périmètreSGPM Cescontrôlesdeniveau2couvrentlesrisquesopérationnelspropresauxmétiersainsiquelesrisquesliésauxachats àlacommunication àl immobilier auxressourceshumainesetauxsystèmesd information Ilsontpourobjectifdes assurerquelescontrôlesdepremierniveausont dénis exécutés efcaceset que les anomalies qu ilsrelèventdonnentlieuàuneactioncorrectrice Les vérications effectuées par les équipes de contrôle permanentde niveau 2 portent sur l ensemble des activités du Groupe Elless exercent en priorité sur les contrôlescouvrant les risques majeursetsurunesélectionaléatoiredecontrôles *HVWLRQGHFU LVHHWFR QWLQXLWGpDFWLYLWLesdispositifsdegestiondecriseetdecontinuitéd activitévisentàminimiser autant que possible les impacts d éventuels sinistres surles clients le personnel ou les infrastructures et donc à préserverla réputation du Groupe l image de ses marques et sa soliditénancière Ilsrépondentégalementàuneobligationréglementaire La démarche de mise en place et d optimisation des dispositifs decontinuité d activité de toute entité du Groupe s appuie sur uneméthodologie conforme aux standards internationaux Elle consisteprincipalementàidentierlesmenacesquipèsent surl entrepriseetleurs effets possibles à mettre en place une capacité de réponseefcaceàdiversRBDMQHHdecrise ycomprisdeschocsextrêmes etàentretenircesdispositifspourmaintenirleurefcacité XWWHFR QWUHODIUDXG HLe Groupe attache une attention particulière à la prévention et ladétectiondesfraudes Aprèsunebaissemarquéede2010à2014 leniveaudespertesestdepuiscontenu notammentdufaitdelamiseen uvrededispositifsefcacesauseindespôlesd activitésetdesdirectionscentrales Depuisn2009 cesdispositifsspéciquessontcomplétésparunecelluledecoordinationdelaluttecontrelafraudeau sein du Dépa rtement des risques opérationnels Son objectifprincipalest de constituer uncentred expertise an derenforcerlapréventiond elafraudepardesactions(formation sensibilisation) etdediffuserlesbonnespratiquesissuesdesenseignementstirésdesBRCDETCDRRNTHSR02 67 21 (6 5 648(6 2357 211( 6La méthode retenue par le Groupe pour la modélisation desrisques opérationnels repose sur l approche LDA (+NRR #HRSQHATSHNM OOQNBGDans cette approche les risques opérationnels sont modélisés autravers des mailles chacune représentant un type de risque et unpôle d activité du Groupe Pour chaque maille la fréquence et laRHS CDR ODSDR NOSHNDKKDR RT K ARD CDR ODSDR HSDDRhistoriques des pertes externes de l environnement interne etexterne et des analyses deRBDMQHHsont estimées et la distributiondes pertes annuelles est calculée Cette approche est complétéepar des analyses deRBDMQHHtransverses qui mesurent les risquestransversauxauxpôlesd activitécommeparexempleladestructiond immeublesoulesrisquesdepandémie OutrelesrisquesindividuelsassociésàchaquemailleouanalysedeRBDMQHNtransverse lemodèletientcomptedeseffetsdediversicationentre lesdifférentstypesderisques etlespôlesd activité ainsi quede la couverture apportée par les polices d assurances souscritesOKD&NTODLesbesoinsenfondspropresréglementairesduGroupeautitredesrisquesopérationnelssurlepérimètreéligibleaumodèleinterne GDFGDVUPWSSURDFsontensuitedéniscommelequantileà99 9%deladistributiondespertesannuellesduGroupe Lesexigencesdefondspropres totalesdeSociétéGénéraleautitredesrisques opérationnelss établissaient à3 5milliardsd euros àn2015 équivalentà43 9milliardsd eurosd encourspondérés CetteévaluationintègrelesexigencesenfondspropressurlespérimètresAMAetStandard (IIHWGHVWHFKQL TXHV GpDVVX UDQFHConformément à la réglementation Société Générale prend encomptelacouverturedurisqueapportéeparlescontratsd assurancedanslecalculdel exigencedefondspropresréglementairesautitredesrisquesopérationnelsetdanslalimited e20%decetteexigence Cesassurancescouvrentunepartiedesgrandsrisques notammentlaresponsabilitécivile lafraude l incendie et levol les défaillancesdessystèmes ainsiquelespertesd exploitationconsécutivesàunepertedemoyensd exploitation La prise en compte de la réduction du risque apportée par lesassurancesconduitàuneréductionde7 2%del exigencedefondsONODRSNSKDTSHSDCDRHRTDRNOSHNDKR IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( RQQHVTXDQWLWDWL YHVLes graphiques suivants fournissent la ventilation des pertesopérationnellesparcatégoriederisquesurlapériode2011à2015 3(57(6 (68 5 648(62357 211( 69(17 7 2135&7*25 ( (5 648((19 (853(57(6 (68 5 648(62357 211( 69(17 7 2135&7*25 ( (5 648(35120%5( p91(0(17Sur les cinq dernières années les risques opérationnels de SociétéGénéralesesontconcentrésenmoyennesur4catégoriesderisque quireprésentent95%despertesopérationnellesduGroupe DROLWLJHV DYHF OHV DXWRULWV représentent 46% du montantCDRODSDR NOSHNDKKDR CT &NTOD RT K OHNCD DRODSDRengendrées sur ce type de litige sont de montants unitairesrelativementélevés sibienquecettecatégorienereprésenteque8% dunombre total depertes Latransaction Euribor perte de2013 représenteà elle seule 40% du montant total des pertesdecette catégorie surla période étudiée Les autreslitigesaveclesautorité ssontessentiellementliésàlascalité DRIUDXGHV HW DXWUHV DFWLYLWV FULPLQHOOHV DORDSDS Dtermes de montant 23% des pertes opérationnelles subiespar le Groupe entre2011 et2015 soit la seconde catégorie laplus importante Des pertes de 2011 consécutives à des prêtsfrauduleux accordés par BRD représentent à elles seules 40%du montant total des pertes de cette catégorie sur la périodeétudiée Lespertesmajeuresobservéesen2014et2015résultentde fraudes monétiques ou de la production de faux documentsrelatifsàdesgarantiesdanslecadredenancements DRHUUHXUV GâHFXWLRQ représentent 15% du montant totaldes pertes opérationnelles soit la troisième cause de pertesdu Groupe Cette catégorie était la seconde cause de pertede l année 2014 (19% du total de l année) et elle est devenuela première cause en 2015 représentant un tiers du montanttotal des pertes de l année Les pertes de ce type augmententprogressivement en montant et en nombre sur les troisdernièresannées majoréesparlavolatilitéetlevolumeimportantdetransactionssurlesmarchésnanciers DROLWLJHV FRPPHUFLDX représentent 12% du montant totaldes pertes opérationnelles du Groupe La tendance baissière amorcée en 2012 s est maintenue diminution de 53% entre2012 et 2015 du montant total des pertes de cette catégorie Toutefois leslitigesdemontantélevé observésen2014et2015chez nos confrères anglais et américains en particulier incitentà demeurer vigilants notamment sur la sélection des produitsvendus leur conformité la qualité de leur documentation ainsiquesurlaqualitédeserviceattendueparlaclientèle LesautrescatégoriesderisqueopérationnelduGroupe(activitésnonautoriséessur les marchés défaillancedes systèmes d information DDTRCDOQHBHMFoud évaluationdesrisquesetpertesdesmoyensd exploitation)restenttoujourspeusignicatives concentrantàpeine4%despertesduGroupeenmoyennesurlapériode2011à2015 0 3 %Pertes des moyensd exploitation22 6 % Fraude et autres activités criminelles 11 9 %Litiges commerciaux46 %Litiges avec les autorités1 6 %Défaillance des systèmes d information 2 9 %Erreurs de « pricing »ou d évaluation du risque 14 7 %Erreursd exécution7 9 %Litiges avec les autorités1 %32 3 %Erreurs d exécution 13 2 %Litiges commerciaux40 3 %Fraude et autres activités criminelles3 9 %Défaillance des systèmes d information 1 4 %Erreurs de « pricing »ou d évaluation du risque Pertes des moyens d exploitation * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 66851&(6 (65 648(6235 7 211( 6 HVFULSWLRQGHVDV VXUDQFHVVRXVFULWHVPOL IT I QU E GÉ N ÉR ALESociété Générale a mis en place dès 1993 une politique mondialedecouverturedesrisquesopérationnelsduGroupeparl assurance Elleconsisteàrecherchersurlemarchélesgarantieslespluslargeset les plus élevées au regard des risques encourus et à en fairebénécierlesentitéspartoutoùcelaestpossible Lesgarantiessontsouscritesauprèsd assureursdepremierplan Lorsquelalégislationlocalel impose despoliceslocales réassuréesparlesassureursduprogrammemondial sontmisesenplace En complément des garanties spéciques peuvent être souscritespardesentitésexerçantuneactivitéparticulière UnesociétéderéassuranceinterneauGroupeintervientsurplusieurscontrats pour mutualiser entreles entités lesrisques de fréquenceélevéeetdefaibleintensité Cetteapproche contribueàaméliorerlaconnaissanceetlamaîtrisedesesrisquesparleGroupe HVFULSWLRQGHVSULQFLSDOHVFRXYHUWXUHVR I S QU E S GÉ NÉ R AU XLes immeubles et leur contenu y compris le matériel informatique sont assurés pour des montants correspondant à leur valeur deremplacement La garantie couvrant les actes de terrorisme àl étrangeraétérenouvelée DR DRONRAHKHSR BHHKDR TSDR TD ONEDRRHNDKKDR DOKNHSSHNmandataires sociaux automobile ) sont couvertes partout dansle monde par des polices d assurances Les montants assuréssont variables selon les pays an de correspondre aux besoins del exploitation R I S QU ES PRO PR ES À L A C T IV IT ÉL assurance ne constitue qu un des moyens de prévention desconséquences des risques propres à l activité Elle vient encomplément de la politique de maîtrise des risques menée par le&NTOD92 )58 (Ces risques sont inclus dans une police «globale de banque»assurantl ensembledesactivitésnancièresdanslemondeentier S agissantdelafraude sontcouverteslesfraudesinternes(commisesparunsalariéouparuntiersagissantaveclacomplicitéd unsalarié)ainsi queles fraudes externes (commisesparuntiersagissantseul)dansl intentiond entirerunprotpersonnelilliciteouparvolontédecauserunpréjudiceauGroupe 5(63216% 7& 9 (352)(66 211( (Les conséquences d éventuelles mises en cause du personnel oudes dirigeants dans le cadre de leur activité professionnelle sontassuréesdanslecadred unplanmondial 3(57(6 p( 3 2 77 21Les conséquences d un arrêt accidentel de l exploitation sontassurées dans le cadre d un plan mondial Cette garantie intervienten complément de plans de continuité de l exploitation Lesmontants assurés sont de nature à permettre de couvrir les pertesencourues entre la survenance de l événement et la mise en placedesmécanismesdesecours ( *(1&(6(1)21 635235(6Les exigences en fonds propres de Société Générale relatives aurisque opérationnel sont déterminées essentiellement en approcheparmodèleinterne(à93%en2015) Letableauci dessousprésentel expositionduGroupeetlesexigencesenfondscorrespondantesau31décembre2015 7% (8( *(1&(6(1)21 635235(687 75( (65 648(62357 211( 6(EnMEUR)(QFRXUVSRQGUVHQPRGOHVWDQGDUG(QFRXUVSRQGUVHQPRGOHLQWHUQH07RWDOGHVHQFRXUVSRQGUV(LJHQFHVHQIRQGVSURSUHV7RWDOGHVHQFRXUVSRQGUV(LJHQFHVHQIRQGVSURSUHV%DQTXHGH*UDQGH&OLHQWOHHW6ROXWLRQVLQYHVWLVVHXUV27950282632261285602284+RUV3OHV298833435411%DQTXHGHGWDLOHW6HUYLFHV)LQDQFLHUV QWHUQDWLRQDX2431507075016222%DQTXH WDLOHQ)UDQFH4709474737387RWDO313740717438543508439313514 IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (7 L E S R I S Q U E S S T R U C T U R E L SD E T A U X E T D E C H A N G EAudité I L exposition structurelle aux risques de taux d intérêt etde change comprend les expositions résultant des opérationscommerciales et de leur couverture ainsi que des transactionsréaliséespourcompteproprepourchacunedesentitésconsolidées Lesrisquesdetauxd intérêtetdechangeliésauxactivitésdenégoceSQCHMF n entrent p as dans le périmètre de mesure des risquesstructurels Ils relèvent des risques de marché Les expositionsstructurelles et demarchéconstituentl expositiontotale du Groupeauxrisquesdetauxd intérêtetdechange Le principe général est de réduire autant que possible les risquesstructurelsdetauxetdechangeauseindesentitésconsolidées Ausein des entités les opérations commerciales et de gestion propredoiventainsiêtreadosséesentauxetenchangedanslamesuredupossible Cetadossementpeutêtre réalisésoiten micro couverture(adossement unitaire de chaque opération commerciale) soit enmacro couverture (adossement de manière globale de portefeuillesd opérations commerciales similaires au sein d une centralenancière) Auniveauconsolidé unepositionde changestructurelleDRSBNRDDCR KD ATSCD CTHD K RDRHAHKHSCT SHNNLLNMPTHSX3HDQ(CET1)duGroupeauxvariationsdestauxdechange 25*1 67 21 ( *(67 21 (65 648(66758&785( 6 (78 (7 (&+1*(Audité I Les principes et lesnormesdegestion de cesrisquessontdénis au niveau du Groupe Les entités sont responsables enpremier lieu de la gestion de ces risques Des départements ALM RRDSMC +HAHKHSX MFDLDMS) au seindes directionsnancièresduGroupe complètentcedispositifdecontrôle H&RPL WILQDQFLHUGX*URXSHRUJDQHGHOD LUHFWLRQJQUDOHLeComiténancierduGroupeavocationà valideretveilleràl adéquationdudispositifdesuivi degestionetd encadrementdesrisquesstructurels DNHKDRNKTSHNRCDRHRTDRRSTBSTDKRCT&NTODTSDRCDRQDONQSHMFRconsolidés examiner et valider les mesures proposées par la DirectionnancièreduGroupe H SDUWHPHQW 0DXVHLQGHOD L UHFWLRQILQDQFLUHGX*URXSHLeDépartementALMestencharge deladénitiondelapolitiquedesrisquesstructurelsduGroupe delaformalisationdel appétitauxrisquesstructurels deladénitiondesindicateursdepilotageetdesRBDMQHHglobauxCDRSQDRR SDRSdes différents risques structurels et de la xationdesprincipaleslimitesdespiliersetdesentités del analysede l expositionauxrisques structurels du Groupeetdeladénitiondesactionsdecouverture delaveilleréglementaireenmatièrederisquesstructurels deladénitiondesprincipesdegestionALMauseinduGroupe de la dé nition du cadre normatif de mesure de méthodes demodélisationetd encadrementdesrisquesstructurels delavalidationdesmodèlesappliquésparlesentitésduGroupeen matière de risques structurels conjointement validés avec laDirectiondesRisquesetlesmétiers du recensement delaconsolidationetduQDONQSHMFCDRHRTDRstructurelsduGroupe ducontrôledurespectdeslimites En septembre2015 le dispositif ALM du Groupe a été centralisé etDENBDROHBHOKDRNKTSHNRRNSKDRRTHSDR un regroupement au sein de la Direction nancière du Groupe CDR THODR CCHDR T RTHH CDR HRTDR RSTBSTDKR CDR OHKHDRetdel équipedédiéeàlagestionopérationnelledesrisquesALMde la Banque de détail en France pour répondre de façon plusefcaceauxévolutionsdemandéesparlesrégulateurs undispositifplusadaptéàl environnementéconomiqueinéditetpermettant derationaliserau sein du Groupe un certainnombredetravauxnormatifsetdemodélisation H SDUWHPHQWGHVXLYLGHVULVTXHV 0 DX VHLQGHOD LUHFWLRQGHVULVTXHVÀlasuited uneréorganisationen2015 unserviceaétécrééauseindu Département Risque de marché pour assurer la surveillance desecond niveau des modèles ALM ( RRDS MC +HAHKHSX MFDLDMSutilisésau sein du Groupeet de l encadrementassocié Àce titre ildonneunavissurlesprincipesméthodologiques lescalibragesetlesbacktestingsdesmodèlesALM Ilinstruitetanalyselespropositionsdu Département ALM concernant la dénition des indicateurs deHRTDRKDRRBDMQHHCDRSQDRRSDRSRetlesencadrementsdesrisquesstructurels Il assure également la supervision de second niveau durespectdeslimitesconstituantcetencadrement * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I HVHQWLWVVRQWUHVSRQVDEOHVGHODPDWULVHGHVULVTXHVVWUXFWXUHOVÀ ce titre les entités appliquent les normes dénies au niveau duGroupe développent les modèles mesurent les risques et mettentDOKBDKDRBNTDSTDRUn responsablerisques structurels rattaché à la Direction nancièredans chaque entité est chargé du suivi de ces risques (contrôle deHDTDQDONQSHMFqu ileffectueauprèsdelaDirectionnancièreCT&NTODDRSKHRUHunsystèmecommunautaire LesentitésdeBanquededétailenFranceouàl étrangerontengénéralunComitéALMC GNBresponsable de mettre en uvre les modélisationsvalidées de gérer lesexpositionsaux risques de taux et dechangeetdemettreenplacelesprogrammesdecouverturesenconformitéaveclesprincipesédictésparleGroupeetleslimitesvalidéesparleComiténancieretlesComitésALMdespiliers 5 648(6758&785( (78 AuditéILerisquestructureldetauxestmesurésurle périmètredesactivités structurelles àsavoir lesopérations commercialesetleurscouverturesainsiquelesopérationsdegestionproprepourchacuneCDRDSHSRBNRNKHCDRLe risque structurel de taux provient principalement des positionsrésiduelles (excédents ou décits) d encours à taux xe sur leséchéancesfutures 2EMHFWLI GX*URXSHL objectif du pilotage du risque structurel de taux est de s assurerqu ilestgéréen réduisantautant quepossiblele degréd expositiondechaqueentitéduGroupe Àceteffet chaqueentitéainsiqueleGroupesontencadréspardeslimites de sensibilité validées par le Comité nancier La sensibilitéainsi encadrée est dénie comme la variation pour une hausseparallèle des taux de 1% de la valeur actuelle nette nancière despositions résiduelles à taux xe (excédents ou décits) futures (surplus de vingt ans) issues de l ensemble de ses actifs et passifs envision statique (lasensibilité encadréene correspond donc pas à lasensibilitédelamarged intérêt) LalimitexéeauniveauduGroupeestde1milliardd euros 0HVXUHHWVXLYLGXULVTXHVWUXFWXUHOGHWDXSociété Générale utiliseplusieursindicateurspourmesurer le risquedetauxd intérêtglobalduGroupe Lestroisplusimportantssont les gaps de taux (différence d encours entre actifs et passifs àtaux xeparmaturité) l échéancierdes positions à tauxxe estleprincipaloutildesuivipermettantd évaluerlescaractéristiquesCDR NOSHNR CD BNTDSTD BDRRHDR HK DRS BKBTK CDmanièrestatique K RDRHAHKHS CD K KDT BSTDKKD DSSD 5 DRS T HCHBSDTsupplémentaire de naturesynthétique quisertàxerleslimitesapplicablesauxdiversesentités ilestmesurécommelasensibilitédela valeur économique du bilan àunevariation detaux CettemesureestcalculéepourtouteslesdevisesauxquellesleGroupeestexposé lasensibilitédelamarged intérêtauxvariationsdestauxd intérêtCR CHDRRBDMQHHCDRSQDRRtient compte de la sensibilitégénéréepa rlaproductioncommercialefuturesurunepériodedetroisans elleestcalculéedemanièredynamique Les analyses du risque structurel de taux reposent sur l évaluationdes positions à taux xe sur les échéances à venir Ces positionsproviennentdesopérationsrémunéréesoufacturéesàtauxxeetdeleuréchéancement Les actifs et les passifs sont analysés indépendamment sansEEDBSSHNOQHNQHdesressources auxemplois Leséchéancementsdesencourssontdéterminésentenantcomptedescaractéristiquescontractuelles des opérations des conventions d écoulement etdes résultats de la modélisation des comportements historiquesde la clientèle (notamment pour les dépôts à vue l épargne lesremboursementsanticipé sdecréditsetlesfondspropres) La détermination des positions à taux xe (excédents ou décits)permet de calculer la sensibilité (telle que dénie ci dessus) de lapositionaux variations de taux d intérêt Cette sensibilité est déniecomme la variation de la valeur actuelle nette des positions à tauxxe pour une hausse instantanée et parallèle de la courbe des tauxde1% Parailleurs leGroupemesurelasensibilitédesapositionàtauxxeCRCDRRBDMQHHdedéformationdelacourbedestaux(penticationet aplatissement) et des conditions de déformation du bilan Lamesuredelasensibilitédelamarged intérêtàhorizontroisansdansdifférentescongurationsdelacourbedestauxestaussiutiliséeparleGroupepourquantierlerisquedetauxsurunpérimètred entitéssignicatives En 2015 le Groupe a maintenu la sensibilité globale à un niveauinférieur à 1 5% des fonds propres prudentiels et en deçà de salimitexéeà1milliardd euros L analyse du risque structurel de taux au niveau des métiers faitDRRNSHKDRONHSRRTHSR les encours de dépôts de la Banque de détail en France sontconsidérés comme étant largement à taux xe Les opérationsde macro couverture sont réalisées p rincipalement sous laforme deRVORde taux d intérêt an de limiter la sensibilitéCD K KDT BSTDKKD DSSD DS CT RTKSS CDR RDT CR KDcadre des hypothèses retenues à l intérieur des limites À ndécembre2015 lasensibilitépourunehaussedestauxparallèleet instantanée de 1% de la valeur économique des réseaux enFrance issuedeleursactifsetpassifslibellésessentiellementeneurosressortà 127millionsd euros les opérations commerciales avec les grandes entreprises sontadossées (en général de manière unitaire) et ne génèrent doncpasderisquedetaux lesopérationscommercialesaveclesclientsdeslialesdeservicesnanciers sont adossées en général en macro couverture et negénèrentqu unrisquedetauxtrèsfaible IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( les opérations commerciales réalisées à partir de nos liales etsuccursales situées dans des pays à devises faibles peuventgénérer des positions structurelles de taux qui restent réduitesà l échelle du Groupe En raison du faible développement desmarchés nanciers dans certains pays ces entités peuventavoirdesdifcultésà couvrirleurs positions de taux demanièreoptimale lesopérationsdegestionproprefontl objetd unadossement RDRHAHKHSTHSHNRCDSTCDROHBHOKDRDSHSRCT&NTODreprésentant 90% des encours commerciaux du Groupe et de lacentrale nancièreau31décembre 2015 est de 45millionsd euros(pourunehaussedestauxinstantanéeetparallèlede1%) 7% (89(17 7 21350785 7 ( 6(16 % 781(95 7 21 (678 ((EnMEUR)DQDQVDQV7RWDO0RQWDQWGHODVHQVLELOLWSurcemêmepérimètred entités lesrésultatsdesmesuresdegaps(différence d encours entre les passifs et les actifs à taux xe parmaturités) sont les suivants (sens passif actif chiffres en millionsd euros) 7% (8*36 (78 350785 768 &(0%5((EnMEUR)au31 12 20150DWXULWVDQDQVDQVDQV0RQWDQWGXJDS(6340)13693336Le Groupe analysela sensibilité de la marge d intérêtaux variationsdestauxd intérêt de marchéUHCDRRSQDRR SDRSRsurlamargenetted intérêtsduGroupe Au 31décembre 2015 la sensibilité de la marge nette d intérêt duGroupeauxvariationsdestauxd intérêt surl annéepleine2016 estKRTHSD7% (86(16 % 7 ( 05*( p 1757 8*5283((EnMEUR)+DXVVHSDUDOOOHGHVWDXGHSE%DLVVHSDUDOOOHGHVWDXGHSE+DXVVHSDUDOOOHGHVWDXGHSE%DLVVHSDUDOOOHGHVWDXGHSEPenticationSODWLVVHPHQWLes calculs sont réalisés sur la base des estimations agrégées au31décembre d un périmètre d entités consolidées du Groupe représentant plus de 80% des encours commerciaux suivis ensensibilitédelavaleuréconomique etdelacentralenancière Le bilan en vision dynamique évolue selon l amortissement dustock et les renouvellements d opérations sur la base des encoursbudgétéspour2016 Leshypothèsessurlapenticationconsidèrentune hausse des taux longs de 100 points de base et une stabilitéCDR ST BNTSR DRBDMQHNd aplatissement simulé considère unehausse destauxcourtsde 100pb avec unmaintiendes tauxlongsBNRSSRLasensibilitédelamargenetted intérêtduGroupesurl annéepleine2016estrelativementfaible Encasdehausseparallèledescourbesdetauxde+200 pbelleestpositiveet représentemoinsde 1% duONCTHSDSABHDLasensibilitédelamargenetted intérêtprovient pourl essentiel del impactsur les dépôts clientèle généralement peu ou non rémunérés avec une tarication clientèle impa ctée en partie seulement desvariationsde taux leur marge résulteprincipalementdu taux dereplacement la production nouvelle de crédits d ont la tarication ne s ajustepasaussirapidementquelestauxdemarché Lasensibilitédelamargesurlestockd opérationsclientèledécouledu renouvellement des tranches échues des replacements pour lesdépôts de la sensibilité résiduelle aux variations de taux qui estfaiblegrâceàlapolitiquedecouvertureetgrâceauxpositionsàtauxvariable (c est le cas de la majorité desengagementsde la BanquePrivée) Les activités de Banque de détail en France et à l étranger sontfavorablement exposées à une hausse des taux qui leur permet dereplacerleursdépôtsàdestauxplusélevés lamargesurlescréditsen stock restant stable Cette hausse de la marge est par contrepartiellement compensée par la baisse des marges à la productionsur les nouveaux crédits (dont la tarication ne s ajuste pas aussirapidement que les taux de marché) et par un renchérissement ducoût des renancements Inversement les activités de Banque dedétailsontdéfavorablementexposéesàla baisse des tauxcarleursdépôtssontalors replacés à des tauxmoins élevéset la marge surles crédits en stock diminue du fait des remboursements anticipés Cettebaissedelamargeestpartiellementcompenséeparlahaussedes marges à la production sur les nouveaux crédits (la baisse destaux des crédits à la clientèle n est pas aussi rapide que celle destauxdemarché)etparunebaisseducoûtdesrenancements * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 5 648(6758&785( (&+1*(Audité I Le risque structurel de change trouve pour l essentiel sonoriginedans les dotations et titres de participation en monnaie étrangèrenancésparachatdedevises lesréservesdanslesimplantationsétrangères le réemploi pour des raisons réglementaires locales de s fondspropres de certaines implantations étrangères dans une deviseCHEEDSDCDBDKKDCDROONSR2EMHFWLI GX*URXSHAudité ILa politique duGroupeconsisteà réduireautant que possiblelasensibilitédesonratio CET1auxvariationsdestauxde changedesdevises dans lesquelles il opère À cet effet Société Générale peutdéciderd acheterdesdevisespournancersesinvestissementsàtrèslongtermeendevisesandecréerdespositionsdechangestructurellesdontlesrevalorisations seront comptabiliséesau traversdesécartsdeBNDRHN0HVXUHHWVXLYLGXULVTXHVWUXFWXUHOGHFKDQJHAuditéILespositionsdechangestructurellessontanalyséesàpartirdesactifsetp assifsendevisesissusdesopérationscommercialesetdesopérationsdegestionpropre Le risque de change lié aux activités deSQCHMFn entre pas dansle périmètre de mesure du risque de change structurel Il relèvedes risques de marché Les positions de change structurelles nereprésentent donc qu une partie des opérations en d evises duGroupe Pour mémoire les opérations en devises du Groupe au31décembre2015sontprésentéesdansletableau25 7% (82357 216(1 (9 6(6(EnMEUR)FWLI3DVVLI HYLVHVàrecevoir HYLVHVOLYUHUFWLI3DVVLI HYLVHVàrecevoir HYLVHVOLYUHU(8586 *%3 38 &= 58%521XWUHVGHYLVHV7RWDOMontantsretraitésparrapportauxétatsnancierspubliésen2014 suiteàl entréeenvigueurdel interprétationIFRIC21quis appliquedefaçonrétrospective AuditéI LeGroupesuitlespositionsdechangestructurelles danslesdifférentesdevisesetpilote lasensibilitéduratioNLLNM PTHSX3HDQauxvariationsdetauxdechange IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (Le tableau 28 présente l impact d une dépréciation ou appréciation de 10% des devises sur le ratioNLLNM PTHSX 3HDQ CT &NTOD T31décembre2015 7% (86(16 % 7 857 2 04(383(1 8*5283(81(95 7 21 ( (9 6( ((132 176 (%6(Devise PSDFWVXUOHUDWLRNLLNMPTHS3HDQGpXQHGSUFLDWLRQGHGHODGHYLVH PSDFWVXUOHUDWLRNLLNMPTHS3HDQGpXQHDSSUFLDWLRQGHGHODGHYLVH86 *%3 38 &= 58%521875(6AuditéIEn2015 lagestiondespositionsdechangestructurellesapermisderéduirelasensibilitéduratioNLLNMPTHSX3HDQTHSHNRdetauxdechange(lasensibilitéduratioNLLNMPTHSX3HDQestencadréepardeslimitespardevise déterminéesenfonctiondel appétitauHRTDCT&NTODCRBDRCDHRDR * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 8 L E R I S Q U E D E L I Q U I D I T ÉAuditéILerisquedeliquiditésedénitcommelerisquedenepaspouvoirfairefaceàsesuxdetrésoreriesortantsousesbesoinsdecollatéralaumomentoùilssontdusetàuncoûtraisonnable *289(511&((725* 1 67 21AuditéILesprincipesetlesnormesdegestiondurisquedeliquiditésont établis au niveau des instances de gouvernance du Groupe dontlesfonctionsenmatièredeliquiditésontrésuméesci dessous leConseild administrationduGroupe lxe le niveau de tolérance au risque en matière de liquiditédans le cadre de l exercice d appétit au risque du Groupe dontl horizondetempspendantlequelleGroupepeutopérerRNTRBNCHSHNRCDRSQDRR(«horizondesurvie») lexamine régulièrement la situation du risque de liquidité du&NTODLHMHLsurbasetrimestrielle) leComitéexécutifduGroupe lxelesciblesbudgétairesGroupedeliquiditésurpropositiondelaDirectionnancièreduGroupe lalloue la liquidité au niveau des métiers et de la TrésorerieGroupesurpropositiondelaDirectionnancièreduGroupe le Comité nancier (COFI) est l instance de suivi des risquesstructurelsetdepilotagedesressourcesrares Àcetitre leCOFI lse réunit toutes les six semaines sous la présidence duDirecteur général ou d un Directeur général délégué avecKDR DORDSSR CD K HDBSHN CDR HRTDR CD K HDBSHNnancièreetdudéveloppementet desmétiers lsupervise et valide l encadrement desrisques structurelsdeKHTHCHSlévaluepériodiquementlerespect delatrajectoirebudgétaireDSCDKHTHCHSlstatue le cas échéant sur la mise en uvre de mesuresBNDBSHBDRlstatuelecaséchéantsurdesquestionsméthodologiquesenmatièredegestiondurisquedeliquidité lexaminelesévolutionsréglementairesetleurimpact Lesmétierssontresponsablesdelagestiondurisquedeliquiditésurleur périmètre et relèvent d une supervision directe de la DirectionnancièreduGroupe Lesmétierssontresponsablesdurespectdescontraintes réglementaires auxquelles sont soumises les entités deleurpérimètredesupervision LaDirectionnancièreduGroupeassure la gestion le pilotage etleRTHH CT HRTD CD KHTHCHSUHtrois départements distincts veillantà respecter un principe de séparation des fonctions de pilotage d exécutionetdecontrôledesrisques leDépartementdupilotagenancieretstratégique chargé ld établir la trajectoire nancière du Groupe dans le respectdeses objectifsstratégiques desobligationsréglementairesetdesattentesdumarché ld assurer la cohérence du pilotage de la liquidité avec lesautres objectifs du Groupe en matière de rentabilité et deDRRNTBDRDRlde proposer etsuivrela trajectoire budgétaire auniveau desmétiers ld assurer la veille réglementaire et l élaboration des normesdepilotagepourlesmétiers leDépartementdegestiondubilanetdunancement chargé lde l exécution du plan de nancement du Groupe à courtterme etàlongterme lCD K RTODHRHN DS CD K BNNCHSHN CDR ENBSHNR CD3RNDHDCT&NTODld assurer une veille de marché et d apporter son expertiseopérationnelle lors de la xation des cibles Groupe et del allocationdelaliquiditéauxmétiers lde la gestion du collatéral utilisé dans les opérationsde renancement (Banques Centrales covered bonds titrisations nancements sécurisés) ainsi que du suivi de laRDDCDKHTHCHSldelagestionde lacentralenancière du Groupe (gestiondelaliquiditéetdesfondspropresauseinduGroupe) ycomprisdesgrillesdeliquiditéinternes ldel élaborationetmiseen uvreduplandesecoursencasCDOTHDCDKHTHCHSONTKD&NTOD le Département ALM dépendant hiérarchiquement du Directeurnancier chargéenparticulier ldelasupervision etducontrôledesrisquesstructurels(taux change liquidité)portésparleGroupe lducontrôledesmodèlesderisquesstructurels auregarddesprincipes et méthodologies dénis du suivi du respect deslimitesétablies etdespratiques degestionparles divisions lignes métiersetentitésduGroupe En 2015 un service a été créé au sein du Département Risque demarchépour assurerlasurveillance de secondniveau des modèlesALM utilisés au sein du Groupe et de l encadrement associé Àce titre il donne un avis sur les principes méthodologiques lescalibragesetlesbacktestingsdesmodèlesALM Ilinstruitetanalyseles propositions du Département ALM concernant la dénition desHCHBSDTRCDHRTDRKDRRBDMQHHCDRSQDRRSDRSetlesencadrementsdesrisquesstructurels Ilassureégalementlasupervisiondesecondniveaudurespectdeslimitesconstituantcetencadrement IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 35 1& 3(6(73352&+( 8*5283((107 5( (*(67 21 85 648( ( 48 7Audité I L objectif premierduGroupeestd assurer le renancementdesesactivités à uncoûtoptimal en gérantle risque de liquiditéetenrespectantlescontraintesréglementaires Ledispositifdepilotagedelaliquiditépermetd encadrerlebilanautourd unestructurecibled actifsetdepassifs cohérenteavecl appétitaurisquedéniparleConseild administration la structure d actifs doit permettre aux métiers de développerleur activité de façon économe en liquidité et compatible avecla structure de passifs cible ce développement doit veiller aurespect des impasses de liquidité dénies au sein du GroupeD RBHN RSSHTD NT DRSQDRR ainsi que des exigencesréglementaires la structure de passif est fonction de la capacité des métiers àcollecter des ressources auprès de la clientèleet de lacapacitéduGroupeàleverdurablementdesressourcessurlesmarchés CRKDDRODBSCDRNOOSHSONTKDHRTDCedispositifdepilotages appuiesurunemesureetunencadrementdes impasses de liquidité des métiers en scénario de référenceNT D RHSTSHN CDstress de leurs besoins de nancement auprèsdu Groupe du nancement levé sur le marché par le Groupe desgisements d actifs éligibles et de la contribution des métiers auxratios réglementaires Ainsi les principes de gestion du risque deKHTHCHSRNSKDRRTHSRLesmétiersdoiventrespecterdesimpassesstatiquesenliquiditénulles ou faibles dans les limites de fonctionnement de leursactivités enseretournantverslaTrésoreriecentraleduGroupe celle cipe utporterlecaséchéantunepositiondetransformation antitransformation qu il lui appartient de suivre gérer et piloterdanslecadredeslimitesderisquequiluisontxées DRRSQDRR SDRSR inter nes de liquidité déterminés à partir descenariisystémiques spéciquesoucombinés sontencadrésauniveau du Groupe Ils sontutilisés pour s assurerdu respectdel horizon de survie xé parleConseild administrationetcalibrerlemontantdelaréservedeliquidité Ilssontaccompagnésd unpland urgence(NMSHMFDMBXTMCHMF KM)prévoyantdesactionsàmenerencasdecrisedeliquidité Les besoins de nancements des métiers (court et long terme)sont encadrés en fonction des objectifs de développement desfranchisesetencohérenceaveclescapacitésetciblesdelevéesCDDRRNTBDRCT&NTOD4 Unplandenancementlongterme complémentdesressourceslevées par les métiers est dimensionné pour satisfaire lesremboursementsdeséchéancesàveniretnancerlacroissancedes métiers Il tient compte des capacités de placement duGroupe veille à optimiser le coût des levées et respecter lescontraintes d emprise sur les marchés la diversication entermes d émetteurs de bassins d investisseurs est égalementrecherchéeetpilotée Les ressources court terme du Groupe sont dimensionnéesan de nancer les besoins court terme des métiers sur deshorizonscorrespondantàleurgestionetdanslecadredelimitesd emprise sur le marché Comme évoqué ci dessus elles sontdimensionnées au regard de la réserve de liquidité à l actif enfonctiondel horizondesurviesousstressxéainsiquel objectifCD1 CT&NTOD1+HPTHCHSXNUDQFD 1SHN voirci aprèsauparagrapheRatiosréglementaires) Le pilotage du Groupe tient compte du respect de ratiosréglementaires cibles (LCR ratio standard) les métiers étantencadréssurleurcontributionàcesratios Enn laliquiditéestencadréeenprixUHlebarèmederenancementinterne lesnancementsallouésauxmétiersleursontfacturéssurlabasedebarèmesdevantreéterlecoûtdelaliquiditépourleGroupe Cedispositifviseàoptimiserl utilisationdessourcesdenancementsexter nesparlesmétiersetsertàpiloterleséquilibresdenancementCTAHKSociétéGénéraleaprocédéàunerevuespéciquedesonrisquedeliquidité et considère être en mesure de faire face à ses échéancesàvenir * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 56(59( ( 48 7LaréservedeliquiditéduGroupecomprendlecashplacéenbanquescentrales et les actifs pouvant être utilisés pour faire face aux uxRNSSR CD SRNDHD CR T RBHN CDRSQDRR DR BSHER CD Kréserve sont disponibles c est à dire non utilisés en garantie ou encollatéral d une quelconque opération Ilssont prisen comptedansla réserve après application d une décote reétant leur valorisationSSDCTD RNTRRSQDRR La réserve de liquidité du Groupe comprenddes actifs pouvant être librement transférés au sein du Groupe ouutiliséspour faire face à des ux sortants de liquidité au niveau desliales en cas de crise les excédents de réserves de liales nontransférables(au sensdes ratiosréglementairesdeliquidité)nesontORHBKTRCRKRDDCT&NTODLaréservedeliquiditécomprend les dépôts en banques centrales à l exception des réservesobligatoires des titres dits HQLA (HFG 0TKHSX +HPTHC RRDSR) négociablesrapidement sur le marché par cession ou par mise en pension dont des obligations d État des obligations d entreprises etdes actions d indices majeurs après décotes Ces titres HQLArépondent aux critères d éligibilité du ratio LCR selon lesdernièresnormesconnuesetcommuniquéesparlesrégulateurs LesdécotesappliquéesauxtitresHQLAsontenligneaveccellesindiquées dans les der nierstextesconnus pourladéterminationdunumérateurduratioLCR desactifsduGroupenonHQLAetéligiblesenba nquescentrales HBKTSCDRBBDRHRHTDCDRBNDDCANCRDSSHSHRSHNRTSNCSDTDRCDBBDRCT&NTODLa composition de la réserve de liquidité est revue régulièrementau sein d un Comité spécique réunissant la Direction nancière laHDBSHN CDR HR TDR DS K HDBSHNCT OHKHD CD TD CD &CDClientèle et Solutions Investisseurs et est ajustée par délégation duComiténancier (EnMdEUR) SWVHQEDQTXHVFHQWUDOHV(horsréservesobligatoires)7LWUHV+4 GLVSRQLEOHVQJRFLDEOHVsurlemarché(aprèsdécote)XWUHVDFWLIVGLVSRQLEOHVOLJLEOHVenbanquescentrales(aprèsdécote)7RWDO57 2 65* (0(17 5(6Le Comité de Bâle a préconisé au niveau international la mise enplacededeuxratiosstandardsauxparamètresharmonisés visantàDBCDKDRONRHSHNRCDKHTHCHSCDRATDR KD+HPTHCHSX NUDQFD 1SHN(LCR) a pour objectif de s assurerque les banques disposent d un coussin d actifs liquides oud espèces sufsant pour soutenir durant un mois unRSQDRRsévère combinant une crisede marché etune crise spécique L entrée en vigueur de ce ratio est demandée par Bâle pour leDjanvier2015 leNetStableFundingRatio(NSFR)estunratiodetransformationetcompareàunhorizond unanlesbesoinsdenancementauxressources stables L entrée en vigueur de ce ratio bâlois estOTDKDDjanvier2018 LeComitédeBâleastabilisésestextesdénitifsdédiésrespectivementauLCRenjanvier2013etauNSFRle31octobre2014 La transposition européenne des accords de Bâle 3 CRD4 etCRR1 a été publiée le 27juin 2013 pour mise en application àOSHCTDjanvier2014 Sadéclinaisonfrançaiseafaitl objetd unepublicationaujournalofcielle5novembre2014 La dénition stabilisée du LCR a été nalisée par un acte déléguéde la Commission européenne le 10octobre 2014 sur la basedes standards techniques recommandés par l Autorité BancaireEuropéenne L entrée envigueur de ceratioauniveaueuropéenestxéeau1Doctobre2015 Leniveauminimalduratioestexigéà60%TDoctobre2015avecuneaugmentationgraduellepouratteindre100%au1Djanvier2018 Concernant le NSFR la Commission européenne devra d ici le31décembre2016présenterauParlementetauConseilunenouvelleréglementation aprèsavisdel AutoritéBancaireEuropéenne Société Générale a poursuivi activement ses travaux visant àtransposer les textes bâlois puis européens et à les décliner ennormesdepilotageauseinduGroupe AuniveauduGroupe leLCRest maintenant piloté sur la base des standards européens Dansl attentedelastabilisationdutexteeuropéen leNSFRestquantàluipilotéennormebâloise Depuis la mise en place de la contrainte réglementaire européenneLCR enoctobre2015 avecuneexigenceminimalede60% puis àson passage à 70% au 1Djanvier 2016 le ratio LCR de la SociétéGénérale s est toujours établi à un niveau largement supérieur à100% LeLCRprogresseparrapportàn2014ets inscritbienau dessusdesexigencesréglementairesà124%àn2015 contre118%àn2014 LabonnesituationduGroupeentermesdeliquiditéavaitégalementpermis de maintenir le coefcient de liquidité standard ACP (ancienratio réglementaire français) systématiquement au dessus duminimum requis de 100% et ce jusqu à la date de sa disparitionDNBSNADCette situation reète les efforts importants menés depuis la criseONT DENBDKDRRDDRCDKHTHCHSCT&NTOD DSONTSDCDKmaturitémoyennedesespassifsetréduiretoutedépendancevis à visdunancementcourttermeinterbancaire Elletraduitavanttoutlabonne capacitéduGroupeàtraversertoutecrisesévèredeliquiditécombinée spéciqueetgénéralisée IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( % 1&+1&Lebilancomptableventiléparéc héancecontractuelleestprésentédansce ttesection PRI NCI PA UX PASS I FS FI NA NCI E R S ( HOR S D É RIV É S)(EnMEUR)1RWHDXWDWVnanciersFRQVROLGVPRLVPRLVDQDQVDQV7RWDO%DQTXHVFHQWUDOHV69076951Passifsnanciersàlajustevaleurparrésultat horsdérivés1RWH189718171012294634989264753 HWWHVHQYHUVOHVWDEOLVVHPHQWVGHFUGLW1RWH63952630622323287195452 HWWHVHQYHUVODFOLHQWOH1RWH297297292492897424112379631 HWWHVUHSUVHQWHVSDUXQWLWUH1RWH25126250954154214649106412 HWWHVVXERUGRQQHV1RWH11552613895913046NB Leshypothèsesd échéancementdecespassifssontexposéesdanslaNote3 13desétatsnanciersconsolidés Symétriquement lesprincipaleslignesdesactifsnancierssontprésentéesci dessous selonleprincipeexposépourchaquetyped encours ACT I FS FI NA NCI ER S(EnMEUR)1RWHDXWDWVnanciersFRQVROLGVPRLVPRLVDQDQVDQV7RWDO&DLVVHHWEDQTXHVFHQWUDOHV75786131978565Actifsnanciersàlajustevaleurparrésultat horsdérivés1RWH3280132991331004Actifsnanciersdisponiblesàlavente1RWH123718598344861341873UÇWVHWFUDQFHVVXUOHVWDEOLVVHPHQWVGHFUGLW1RWH5717855787969716823UÇWVHWFUDQFHVVXUODFOLHQWOH1RWH79183525271441031022343780472SUDWLRQVGHORFDWLRQnancementetassimilées1RWH2506546014153508527204Il convient de relever que la nature de l activité de Société Générale le conduit à détenir des titres ou des produits dérivés dont les duréescontractuellesrestantàcourirnesontpasreprésentativesdesonactivitéoudesesrisques Pourleclassementdesactifsnanciers ilaétéparc onventionretenulesduréesrestantàcourirsuivantes Actifsévaluésenjustevaleurparrésultat horsdérivés(portefeuilledenégoceaveclaclientèle)lPositionsévaluéespardesprixcotéssurdesmarchésactifs(classementcomptableN1) échéanceinférieureàtroismois lPositions évaluées à l aide de données observables autresque des prix cotés (classement comptable N2) échéanceinférieureàtroismois lPosition évaluées en utilisant principalement des donnéesnon observables de marché (N3) fourchette d échéancecompriseentretroismoisetunan Actifsdisponiblesàlavente(actifsdescompagniesd assuranceetactifsdelaréservedeliquiditéduGroupenotamment)lLestitresdisponiblesàlaventeévaluéspardesprixcotéssurdesmarchésactifsontétééchéancésàmoinsdetroismois lLes titres obligataires valorisés à l aide de donnéesNARDAKDR TSDR TD CDR OH BNSR NS S BKRRRparmilesactifsnégociablesàéchéancetroismoisàunan lEnn les autres titres (actions détenues à long termenotamment) ont été classés dans la catégorie de détentionsupérieureàcinqans * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I Encequiconcernelesautrespostesdubilan ladécompositiondesautresactifsetpassifs ainsiquelesconventionsyafférantsontlessuivantes AUT R ES PA SS I FS(EnMEUR)1RWHDXWDWVnanciersFRQVROLGV1RQFKDQFPRLVPRLVDQDQVDQV7RWDOFDUWGHUYDOXDWLRQGHVSRUWHIHXLOOHVFRXYHUWVHQWDX805580553DVVLIVGpLPSWV1RWH11081571XWUHVSDVVLIV1RWH8308383083 HWWHVOLHVDXDFWLIVQRQFRXUDQWVGHVWLQVÇWUHFGVProvisionstechniquesdesHQWUHSULVHVGpDVVXUDQFH1RWH11199771029195591531072573URYLVLRQV1RWH52185218&DSLWDXSURSUHVSDUWGX*URXSH5903759037AUT R ES ACT I FS(EnMEUR)1RWHDXWDWVnanciersFRQVROLGV1RQFKDQFPRLVPRLVDQDQVDQV7RWDOFDUWGHUYDOXDWLRQGHVSRUWHIHXLOOHVFRXYHUWVHQWDX27232723Actifsnanciersdétenusjusqu àl échéance1RWH40444044FWLIVGpLPSWV1RWH73677367XWUHVDFWLIV1RWH6939869398FWLIVQRQFRXUDQWVGHVWLQVÇWUHFGV3DUWLFLSDWLRQVGDQVOHVHQWUHSULVHVPLVHVHQTXLYDOHQFH13521352 PPRELOLVDWLRQVFRUSRUHOOHVHWLQFRUSRUHOOHV1RWH1942119421FDUWVGpDFTXLVLWLRQ1RWH43584358Lesécartsderéévaluationdesportefeuillescouvertsentauxontétéexclusdel assiette s agissantd opérationsadosséesauxportefeuillesconcernés Demême lesactifsd impôtdontl échéancement aboutiraità communiquerparanticipationde suxde résultatn ont pasfaitl objetd unéchéancementpublié Lesactifsnanciersdétenusjusqu àl échéanceontétéaffectésàplusdecinqans Lespostes«autresactifs»et«autrespassifs»(dépôtsdegarantieetcomptesderèglements débiteursdivers)ontétéconsidéréscommeexigibles 4 LeséchéancesnotionnellesdesengagementssurinstrumentsdérivésgurentdanslaNote3 13desétatsnanciersconsolidésduGroupe Lesopérationssurinstrumentsdérivésévaluéesàlajustevaleurparrésultatprésententunsoldenetaubilande 1899millionsd euros(quiserait selonlesconventionsci dessus classécommeunpassifdetradingexigible<3mois cf Note3 4auxétatsnanciersconsolidés) Lesactifsnoncourantsdestinésàêtrecédésontfaitl objetd unclassementàmoinsd unan commelesdettesassociées Lesparticipationsetimmobilisationsontétéclasséesàplusdecinqans Lescapitauxpropresetlesprovisionsn ontpasétééchéancés IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 9 R I S Q U E S D E N O N C O N F O R M I T É E TD E R É P U T A T I O N R I S Q U E S J U R I D I Q U E S&21)250 7Agirenconformitéconsisteàinscriresonactiondanslerespectdesdispositions propres aux activités bancaires et nancières qu ellessoient de nature législative ou réglementaire ou qu il s agisse deprincipes ou de normes professionnelles et déontologiques ou denormesinternes Laloyautéducomportementàl égarddelaclientèle etdefaçonplusgénéralel intégrité despratiquesbancairesetnancièresconcourentdefaçondécisiveàlaréputationdenotreétablissement En veillant au respect de ces principes le Groupe contribue à laprotectiondesesclientsetdemanièregénéraledel ensembledesesBNSDOSHDRCDRBNKKANSDTRHRHTDCDRCHDRDRTSNHSRCDrégulationdontildépend HGLVSRVL WL IGHFR QIRUPLWUne organisation de la conformité indépendante des métiers estdéployée dans les différents métiers du Groupe sur une échellemondialeand identieretdeprévenirlesrisquesdenon conformité LeSecrétairegénéralduGroupeestleresponsabledelaconformitépourleGroupe IlestassistédanssesmissionsparlaDirectiondelaconformité ainsi que par unelière Conformitéconstituéeen réseaucoordonné de responsables de la conformité dans l ensemble desDSHSRCT&NTODLA DI R E CT I ON D E LA C O NFO RM I T ÉLadirectiondelaconformitéveilleaurespectdeslois règlements etprincipes déontologiques spéciques aux activités bancaires et auxservices d investissement exercés par le Groupe et au respect desrèglesdebonneconduiteetdedéontologiepersonnelledesagents Elle veille également à la prévention du risque de réputation Elleassureunrôle d expertisepourlecompte duGroupeetde contrôleauniveauleplusélevéetassisteleSecrétairegénéraldanslagestionet l animation de la lière conformité Elle est organisée en troisservicestransversauxettroisservicesdédiésauxmétiersduGroupe Lesservicestransversauxsontencharge de la sécurité nancière du Groupe (lutte contre le blanchimentdes capitaux et le nancement du terrorisme connaissance duclient embargosetsanctions) du développement et de la mise à jour d un cadre normatifuniformepourlalière deladiffusionde lacultureconformité delacoordinationdesactionsdeformationdescollaborateursetdupilotagedesprojetsréglementairesauniveauduGroupe delacoordinationd undispositifdecontrôledeconformitédansle Groupe (contrôles de 2D niveau) de la mise sous pilotage deprocessus normalisés Conformité des contrôles relatifs auxtransactionsdupersonneletenndupilotagedesgrandsprojetsdesystèmesd informationdelalière Lesservicesresponsablesdelaconformitédesmétierscouvrent KDRRDTTDCDCSHKDS2DHBDRHBHDRuDBDetàl International laBanquedeGrandeClientèleetSolutionsauxInvestisseurs laBanquePrivée Le responsable de la conformité des assurances est rattachéfonctionnellementàladirectiondelaconformité Lesmissionsprincipalesdecesservicessontdedénir enconformitéavec les exigences des régulateurs et les obligations légales ouréglementaires les politiques principes et procédures applicablesenmatière deconformité desécuriténancière encoordonner leurmiseen uvreetencontrôlerleurapplication veilleraurespectdesrèglesprofessionnellesetdemarché assurerlapréventionetlagestiondesconitsd intérêts proposer les règles de déontologie personnelle que doiventrespectertouslescollaborateursduGroupe sensibiliser former et conseiller les opérationnels sur lesproblématiquesdeconformité garantirlesbonnesconditionsd exercicedurôledesresponsablesdelaconformitédespôlesd activitésetdesentitésenformalisantleursprérogatives ens assurantqu ilsdisposentpouraccomplirleurmissiondesmoyens outilsetcadrenormatifadéquatsetencontrôlantleurcorrectemiseen uvre construire et mettre en uvre les instruments de pilotage etd animation de la lière tableaux de bord Conformité etRisquede réputation forum de partage des bonnes pratiques Comitédesresponsablesdelaconformitédepôles exercer une vigilance générale sur les sujets susceptibles deporteratteinteàlaréputationduGroupe La Direction de la conformité s appuie sur deux comités de niveau&NTOD leComité de la conformité au niveau duComité exécutif (COM CO) ce comité à fréquence trimestrielle mis en place au 3Dtrimestre 2015 réunit les membres du Comité exécutif duGroupeainsi que le Directeurdéléguéde la conformité Ilarrêteles grandes orientations de principe du Groupe en matière deconformité le Comité de conformité Groupe (CCG) le Comité deconformité Groupe se réunit chaque mois sous la présidenceduSecrétairegénéralaveclaparticipationdesResponsablesdela conformité des pôles d activités de la Direction nancière etdu développement de la Direc tion des ressources duDirecteurdela coordinationducontrôleinterne du Directeurjuridique duDirecteurdes risquesopérationnels ainsi qued unreprésentantdelaDirectionducontrôlepériodique * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I LeComitépasseenrevuelesdysfonctionnementslesplussignicatifsintervenus au cours de la période sur l ensemble du Groupe etstatue sur la suite à leur donner Il examine les faits marquants etles principales actions de remédiation menées sur les sujets deconformité transversales ou au sein des métiers ainsi que lesthèmes de conformité d actualité Les principaux éléments de veillejuridique etréglementairesontégalementprésentéspar le Directeurjuridiquedanscetteinstancedegouvernance Deux tableaux de bord sont par ailleurs présentéschaquetrimestreauComitédelaconformitéauniveauduComitéexécutifduGroupe(COM CO) et chaque semestre au Comité d audit et de contrôleinter ne(CACI) KDSAKDTCD ANCCTHRTDCDOTSSHN CHEETR CDOTHRintègredesindicateursclésinternesetexternes letableaudeborddelaconformité diffusédepuis2014 présenteles faits marquants du trimestre un focus sur 4 thèmes deconformité(sécuriténancière protectiondelaclientèle relationsavec lesrégulateurs abus de marché) ainsi que des indicateursBKRLA FI LI ÈR E CONF OR M IT ÉLa fonction Conformité est assurée au sein des métiers et desdirectionscentralespardeséquipes dédiéesplacéessousl autoritéde responsables de la conformité La Direction d e la conformité du&NTODDRRTDKRTODHRHNLe dispositif de vérication de la conformité des métiers s articuleTSNT CD RDHBDR CCHR TD CD CSHK CT &NTOD DS CDRServices Financiers Internationaux Clientèle de Banques BanquePrivée BanquedeGrandeClientèleetdeServicesauxInvestisseursetAssurances Leséquipescentralessontrattachéeshiérarchiquementau responsable de la Direction de la conformité à l exception dela ligne métier des Assurances qui reste en lien fonctionnel LesresponsablesdelaconformitédeslialesenFranceetàl internationalontunlienfonctionnelfortaveclaDirectiondelaconformité Lesresponsablesdeconformitédéclinentetmettenten uvre dansleur périmètre de responsabilités la gouvernance et les principesdénis au niveau du Groupe Ils concourent par leur action àl identicationetàlapréventiondesrisquesdenon conformitéetdurisquederéputation àlavalidationdenouveauxproduits àl analyseet à la remontée des dysfonctionnements de conformité ainsi qu àla mise en place d actions correctrices et de plans de remédiation à la formation des collaborateurs et à la diffusion d une culture dela conformité dans le Groupe Ils s appuient notamment sur uneorganisation pyramidale de responsables de conformité de lignes métiers entités ou liales qui leur sont rattachés hiérarchiquementoufonctionnellement L organisationenlièrepermetderépondreàplusieursobjectifs centraliser les compétences de conformité au sein du Groupepourfavoriserledéveloppementdel expertisedanscedomaine mettre en place des fonctions transversales destinées àdiffuseret harmoniser la culture de conformité au sein du Groupe encouvrant l ensemble des pôles d activités et des directionscentralesduGroupe SAKHTDROSHNDSSDDSDKDRENBSHNRCDBNRDHKDSBDKKDRinhérentesaucontrôle simplierledispositifand améliorerlacirculationdel informationDSCTHDKDBHBTHSCDOHRDCDCBHRHNLE DI SP OS I TI F D E SÉ CU R IT ÉFIN ANCI È R E G RO UP E(lutte contre le blanchiment des capitaux et le nancement duterrorisme connaissanceduclient embargosetsanctions) Ledispositifdesécuriténancières appuiesurdeuxpiliers ledépartementdela«sécuriténancièreGroupe»estencharge ldedénirlecadrenormatifetlapolitiqueapplicableauniveauGroupe en collaboration avec le service juridique de veillerà samiseen uvre et dediffuserlesnouvellesdispositionsréglementairesendonnantleslignesdirectricesauxservicesopérationnels notamment àpartird un portailIntranetdédiéàlaconformité ld animeretde coordonnerle dispositifdesécuriténancièreau sein du Groupe ainsi que de sensibiliser davantage leslignes métiers sur ces sujets particulièrement complexes etNKTSHERlde réaliser les déclarations de soupçon à TRACFIN del ensembledesentitésfrançaisesduGroupe(àl exceptionduCréditduNordetdeBoursoramaBanquequisontdéclarantsdirects) ainsi que les déclarations de gel des avoirs et lesdemandesd autorisationsauprèsdelaDirectionGénéraledu3RNONT2NBHS&KD2 lpour les entités et liales implantées à l international lesagents AMLO (Anti Money LaunderingOfcer DEEDBSTDS KDRdéclarationsauprèsdesinstanceslocales lil est à souligner que la mise sous pilotage des processusen matièrede sécuriténancière au moyen d indicateurs demesureaétélancéeen2015auprèsdesdifférentsmétiersduGroupe Cettenouvelleapprocheencoursdedéploiementapour principal objectif de garantir une meilleure maîtrise desHRTDR lesresponsablesdelaconformitédesmétiersainsiqu unréseaustructuré d agents AMLO situés dans les entités s assurent quele dispositif est déployé de façon appropriée dans chacune desentitésdeleurpôled activité LA DO CUM EN TAT I ON NO RM AT I VEE T LE PA R TA GE D I NFO R MAT I ON SPour assurer la conduite de ses missions la lière Conformité dugroupe Société Générale s appuie sur des documents normatifs(directives instructionsetprocédures)régulièrementmisàjour Un outil collaboratifdepartage d informations a par ailleurs été misenplaceen2015pourfavoriserleséchangesetlesbonnespratiquesentrelesdifférentsdépartementsdelalière LE S O UT I LS A PPL IC ATI FS DÉD IÉ S AUR E S PE C T D E LA C O NFO RM I T ÉTroistypesd outilsapplicatifspermettentdes assurerdurespectdelaréglementationet de détecterles abus ousituations justiantuneattentionparticulière lesoutilsdegestiondeRBDMQHNprolagegénèrentdesalertesencas d identicationdetransactionsou mouvementsde comptesanormaux notammentdanslaBanquededétail Ilss appliquentplusparticulièrementàlaluttecontrelenancementduterrorismeetleblanchimentdescapitauxainsiqu à la détection d abus demarché demanipulationsdecoursetdedélitsd initiés IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( les outils de ltrage permettent de ltrer des données sur labasedelistesprédéterminées(listesinternes basesdedonnéesexternes ) et génèrent des alertes en cas de détection depersonnes pays ou activités visés par des sanctions nationalesetinternationalesetpardesembargos KDR NTSHKR CDQDONQSHMFKTSHN CDR HRTDR ORDSDS CDRrapports bilans sur certaines caractéristiques d une entité d unpôle d activité d une ligne métier ou de clients an d informerles interlocuteurs compétents (management direction régulateurs ) Coexistent ainsi un outil de cartographie etd évaluationdesrisquesdenon conformité unoutildeQDONQSHMFdestransactionspersonnelles desoutilspermettantdegérerleslistesd initiésetlesconitsd intérêtséventuels Ces outils sont régulièrement mis à jour et leurs fonctionnalitésétenduespourprendreenconsidérationlesévolutionsréglementaireset technologiques ainsi que pour améliorer leur efcacitéNOSHNDKKD DFXOWXUHFR QIRUPLWetleCodedeconduiteLa conformitéetlerespect derèglesdéontologiques qui répondentaux meilleurs standards de la profession font partie des valeursessentielles du groupe Société Générale Ils nesont pas seulementl expertise de quelques uns mais bien la culture qui s applique àSNTRLeGroupes estxécommeobjectifstratégiquedeprotégerl imagedel entrepriseetdeveilleràcequechacundescollaborateursagisseavec intégrité au quotidien De nombreux travaux ont été entreprisdepuis 2011 sur la culture & conduite Le Groupe s est doté d uncorps de doctrines et de règles de bonne conduite rigoureuses LeCode de conduite du Groupe fait l objet d une directive en vigueurdepuis janvier2013 Les principes de comportement individuelet collectif ainsi que les règles édictées vont au delà de la stricteapplicationdesdispositionslégaleset réglementairesenvigueur enparticulierquandcelles ci danscertainspays nesontpasconformesauxstandards éthiquesques imposeleGroupedanssesvaleursetsonengagement Cettedirectives appliqueàtouslescollaborateurs quelquesoitleurniveauderesponsabilité ainsiqu auxDirigeantsduGroupeetprécisepar ailleurs les modalités d exercice du droit d alerte lorsqu unesituationparticulièrelejustierait Lacultureconformitépourunebanque c estnotamment D OR SHKKD DB T BKHDS NT TD BNSDOSHD ONT KDTDKou laquelle il n est pas possible de recueillir des informationssatisfaisantespermettantd établirunebonneconnaissanceclient savoirapprécierlaréalitééconomiqued uneopération être capable en toutes circonstances de justier une positionOHRDBNRTDBDKD&NTOD s interdit d effectuer des opérations dans les pays et d entreren relation avec des personnes physiques ou morales dontl activité serait contraire aux lois ou aux principes qui guident lecomportementd unebanqueresponsable se refuse à traiter avec des clients ou des contreparties desopérations dont il ne mesure pas la réalité économique oudont l absence de transparence laisse supposer qu elles sontcontrairesauxprincipescomptablesoudéontologiques communique une information correcte claire et non trompeusesur les produits ou services proposés et s assure de leurCTSHNDBKDRSSDSDRCDRBKHDSRLegroupeSociétéGénéralemet en uvrelesrecommandationsduGroupe international consultatif sur les questions économiques etmonétaires«G30»durapport«KKRENQETKKXBNLOQDGDMRHUDBTKSTQKMCBNMCTBSQDENQLRSLINQFKNAKAMJRuCes recommandations sont organisées autour de cinq thèmesprincipaux Évolution de la perception de la culture Gouvernanceet responsabilités des organes de direction Pilotage de laperformance et mesures d incitation Développement et formationdes collaborateurs et Efcacité des trois lignes de défense incluant entre autres le renforcement du rôle et du positionnement de lafonctionconformité HSURJU DPPHG HWUDQVIRUPDWLRQGHODILOLUH&RQIRUPLWLe groupe Société Générale a lancé un programme couvrant lapériode 2015 à 2018 portant sur les actions de transformation etd amélioration de l efcacité opérationnelle de la lière Conformitépour notamment élever nos standards de contrôle et pour ainsimieuxrépondreauxniveauxd exigencesdesautoritésderégulation Ce programme prévoit notamment un renforcement de lagouvernance des moyens mis à la disposition de la lière tanten termes de recrutements de ressources additionnelles qued investissementspourlarationalisation des outilsduparcapplicatifde la lière Conformité et le renforcement des contrôles et de lagestiondesalertes Il cible la poursuite du renforcement des fonctions prioritaires ledispositif central de suivi de l application de la réglementation (ycompris formation normalisation veille réglementaire) la sécuriténancière le contrôle permanent la protection de la clientèle l intégritédesmarchés(ycomprislapréventiondesconitsd intérêts) KTKHSCDRQDONQSHMFRLeseffectifs de la lière ConformitédugroupeSociétéGénéraleontétérenforcésdemanièresignicativeen2015 Cetteaugmentationaconcerné l ensemble des départementsde la lière Cette évolutiondeseffectifsestégalementaccompagnéedenombreusesactionsdeformationdontplusieursrevêtentuncaractèreobligatoire DPLVHHQzXYUHGHVSROLWLTXHVGHFRQIR UPLWLUTTECONTRELEBLANCHIMENTDESCAPITAUXE T LE FI NA NCE M E NT D U T ER RO R IS M EL année2015aétémarquéepar la refonte de l instruction Groupe relative à la lutte contre leblanchimentdescapitauxetlenancementduterrorisme le renforcement du dispositif de lutte contre le nancement duterrorismeetlavigilancedescollaborateursduGroupe * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I la poursuite du projet de communication systématiqued informations (COSI) à TRACFIN qui intègre les opérations dedépôts retraitsenespècesainsiquelesvirementsinternationaux le lancement d un projet de mise en place d un outil app licatifGroupe pour optimiser le traitement opérationnel des dossierset pour également faciliter le partage d informations entre lesdifférentspôlesd activités CONNA I SS ANCE D E LA CLI E N TÈ LEDans le cadre de la connaissance de la clientèle (*MNV 8NTQTRSNLDQ) la revue périodique des dossiers a fait l objet d uneattentionparticulièredansleGroupeen2015 NTRNSDNROHKKDTR lapublication d uneinstructionrelativeàlagestion des relationsbancaires lelancementd unprojetrelatifauxmeilleurespratiquesdeltragedespersonnespolitiquementexposées la poursuite des actions de mutualisation et de partage desdonnéesrelativesàlaconnaissancedesclients(KYC) EMB A R GOS ET SA NCT IO NS FI NA NCI È R E SEn matière d embargos le contexte international en 2015 s estmaintenuàunniveaude complexité élevépour lesecteurbancaire LeseffectifsdelalièreConformitéontétérenforcéssurcethème enparticulierpourl équiped expertisedudépartementcentral Les lignes directrices relatives aux sanctions sectoriellesinternationales contre la Russie ont été mises à jour en 2015consécutivement aux précisions apportées par les autorités(Commissioneuropéenne OfceofForeignAssetsControl) LaDirectiondelasécuriténancièredugroupeSociétéGénéralea émis de s instructions spéciques en ce qui concerne la luttecontre le nancement de l État islamique (Daech) pour la régionIrak Syrie et Libye ainsi que notamment pour la gestion descomptesdegeldesavoirs Les fonctionnalités des outils de ltrage ont été renforcées en2015 notammentsur lecontrôle de la réémissiondemessagesdepaiementsSwift(exemple contrôleMSHRSQHOOHMF La Direction de la sécurité nancière a poursuivi en 2015 sesactions desensibilisationdumanagementetdescollaborateurs Par ailleurs il est à souligner qu une formation portant sur lesrisques de sanctions internationales et revêtant un caractèreobligatoire pour l ensemble des collaborateurs du Groupe àl échellemondialeaétédéployéeàmi 2015 Àn2015 unepartsignicative des effectifs du Groupe a déjà suivi cette formationen français et en anglais Le déploiement de cette formationsera p oursuivi en 2016 avec des supports en langue localeessentiellementpourleréseaudelialesdupôleBanquededétailetServicesFinanciersInternationaux LUT T E CONT R E LA C OR R UP TI O NLa lutte contre la corruption se mondialise De nombreux Étatsrenforcent leur législation anti corruption avec un durcissement dessanctionsyafférentes Société Générale aprisdèsl année2000de s engagementsdanslecadredugroupede Wolfsbergpuisen2003d anslecadreduPacteMondial Le dispositif de lutte anti blanchiment inclut la surveillancedel instrumentalisationéventuelledusystèmebancairepardestierspourselivreràlacorruption En matière de lutte contre la corruption Société Générale a desOHBHODR RSHBSR TH RNS HRBHSR CR RN BNCD CD BNCTHSD DSse conforment aux dispositions des réglementations les plusrigoureuses en la matière notamment le UKQHADQX BS Un suiviétroitde leur miseen uvre a été mis en place Les dispositions etcontrôles obligatoiressont diffusésdepuis2001UHCDR HRSTBSHNRapplicablesàl ensembleduGroupe Demanièreàrenforcerlavigilance unmoduledeformationrelativeàlasensibilisationdescollaborateursdugroupeSociétéGénéraleàlaluttecontrelacorruptionaétédéployéen2015etsonsuivirevêtuncaractèreobligatoire DÉ O NT OLO GI E DU PER S ONNE LLe respect des chartes déontologiques est un élément constantdesrèglesde conduitedeSociétéGénérale Les procédures etleurcorrecte application font l objet d une attention étroite y comprisBDKKDR BNBDS KD RTHH CDR DRRNTBDR DSDDR RKHR CDsociétésdeprestationdeservices intérimaires stagiaires) FRA NC HI S SEM EN T DE S EUI LS DE D ÉT E NT IO NL outil transversal de suivi des détentions en capital et en droits devote dansles émetteurscotéspermetdes assurerauplan mondial(103 pays) du respect des réglementations de franchissements deseuils(légaux statutairesetenpérioded offrepublique) Il assure le suivi de l ensemble des détentions en compte propre(actions etinstrumentsnanciersà sous jacents actions)dugroupeSociété Générale Ces détentions sont calculées selon les règlespropresàchaquelégislation C ON FL IT S D IN TÉ RÊ TSLe Groupe dispose d une instruction relative à la prévention et lagestiondesconits d intérêtsquirappellelesprincipes etdispositifsen uvre envue deleurgestionappropriée Cetteinstruction a faitl objetd unemiseàjouren2015quiprendencomptedesévolutionsréglementairesenlamatière Cette politique traite des conits d intérêts potentiels pouvantimpliquer le Groupe des clients ou des membres du personnel Elle intègre par ailleurs une cartographie des situations potentiellesde conits d intérêts dans le cadre de prestations de servicesd investissementsoudeservicesconnexes AB US DE M ARC HÉPouraccompagnerlesévolutionstechnologiques(développementdenouvelles plates formes d échanges) et l élargissement des risquesde manipulation de cours (notamment les indices) et de prix etpourprendreencomptelesévolutionsréglementairesd oresetdéjàconnues une attentionparticulièreestconsacréeàlasensibilisationde l ensemble des collaborateurs y compris dans la Banque dedétail àlarevue desprocéduresCGNBDSCDKDTOOKHBSHNCRtouslespôles etaussiàlapoursuitedesdéveloppementsdesoutilsdedétectionetd analyse Dans le cadre de l entrée en vigueur de la réforme du régime desabus de marché à compter du 3juillet 2016 (règlement «Abus demarché» du 12juin 2014 et directive «Abus de marché 2») leGroupe a lancé en 2015 un projet dédié lequel est piloté par laDirectiondelaconformité IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( PROT E CT I ON D E LA C L IEN TÈ LELaprotectiondelaclientèleestaucentredesattentionsduGroupe C est une condition indispensable à la qualité de la relation avec laclientèle Parmilesactionsmisesen uvre ilestnotammentàciter lacontributiondelalièreConformitéàla dénitiondesproduitsUHsa participation aux «Comités nouveaux produits» où elleposedesconditionspréalablesencasdebesoin laréponseauquestionnaireProtectiondelaclientèledel AutoritédeContrôlePrudentieletdeRésolution la diffusion d une instructionportant sur les relations des entitésdu groupe Société Générale avec les intermédiaires du secteurnancieretlesapporteursd affaires(enFrance règlesapplicablesaux intermédiaires en opérations de banque et en servicesde paiement «IOBSP» les conseillers en investissementsnanciers «CIF» les agents liés d un prestataire de servicesd investissement «ALPSI» les intermédiaires en assurances«IAS») Enn le Groupe préparelamise en uvre des nouvelles exigencesde protection de la clientèle prévues par la réglementation MIF 2applicableàpartirde2017 R É C LAM AT I ON S E T M ÉD I ATI O NLetraitementd uneréclamationestavanttoutunactecommercialquiparticipedelasatisfactionclient LalièreConformitéassureunsuiviattentifdesréclamationsdelaclientèleand identierlesprocéduresou les offres inappropriées Chacun des pôles d activité du Groupedisposed unegouvernance d uneorganisation deprocéduresetdemoyens adaptésauxactivités de ses métierspoursondispositifdetraitementdesréclamationsetdeleursuivi D importantes actions de formation et de sensibilisation descollaborateurs ont été menées dans le Groupe notamment dans laBanque dedétailenFrance(SociétéGénérale Boursorama BanqueetCréditduNord)etauseindelaligne métierAssurances(démarchequalité ISO 9001) cequi afortement contribué à l optimisation desprocessus (enregistrement qualité et délais dans les réponsesapportées à la clientèle) L information de la clientèle a par ailleursétéaméliorée Les instructions du Groupe intègrent en matière de traitement desréclamationsunprocessus d escalade ainsi que le recours possibleàunmédiateurinterneouexterne(médiateurindépendantdugroupeSociété Générale commun avec le groupe Crédit du Nord Autoritédes Marchés Financiers Fédération Bancaire Française) Pour lesentités etliales àl international lesmêmesrecoursexistentauprèsde médiateurs locaux nommés (si la réglementation locale l exige)ou auprès des instances de médiation locales adossées à desorganismesprofessionnels PR OJ E T S R ÉG LE M E NTA I R ESEnn lalièreConformitéapoursuivien2015lepilotagedechantiersd adaptation et de mise en conformité avec plusieurs textesréglementairesmajeursencoordinationaveclesmétiers notamment loi bancaire française du 26juillet 2013 la réforme Volcker DFA#NCCQMJ BS») EMIR («TQNODM QJDS (MEQRSQTBSTQD1DFTKSHNM») MIF 2 FATCA («NQDHFM BBNTMS 3W NLOKHMBD BSuNLLNM 1DONQSHMF 2SMCQCR 12u DSQJDS ATRD#HQDBSHUDQJDS ATRD1DFTKSHNM( MADII MAR ) 2ULHQWDWLRQVSRXU 2016 sera une année d accélération des actions de transformationengagéesdans le cadredu programme«EngagementConformité»avec un renforcement accru des effectifs une amélioration del efcacité opérationnelle de la lière Conformité et des dispositifsde contrôle ainsi qu une optimisation des différents systèmesd information intégrés dans le cadre d un plan stratégique à moyenterme Ces actions permettront au groupe Société Générale de mieuxencadrer le développement de ses activités tant en France qu àl internationalcomptetenudesvolumesimportantsd opérations dedonnéesetd alertesàtraiter Ellescontribuerontparailleursàréduirelesdélaisdemiseen uvredesexigencesdesdifférentsrégulateurs Ce programmecontribuera également auplan d actionsstratégique«CultureetConduite»souslaresponsabilitédelaDirectiongénéralevisant en particulier à d évelopper les actions de formation et desensibilisationdescollaborateursetdumanagement 5 648(6 (7 7 *(6LeGroupeprocèd echaquetrimestreàunexamendétaillédeslitigesprésentantunrisquesignicatif Société Générale et de nombreuses autres banques sociétésd assurance et sociétés de courtage font l objet d enquêtes delapartdel administrationscaleaméricaine dela2DBTQHSHDRMCWBGMFD NLLHRRHNM CD K HHRHN SHSTRS CT#DOQSDLDMSNE )TRSHBD et de procureurs de différents États au motif qu ilsauraient manqué aux lois et règlements en vigueur à l occasionCD&TQMSDDC (MUDRSLDMS NMSQBSR («GICs») conclus dansle cadre d émissions d obligations municipales exonéréesd impôts Société Générale coopère avec les autorités dans lecadre de ces enquêtes Comme annoncé le 24février 2016 lanégociation avec les Procureurs de plusieurs États a abouti àT BBNC SRBSHNDK RR DBNHRRBD NT DBKTRHN CDresponsabilité LemontantdelatransactionavaitétéentièrementONHRHNEn 2008 plusieurs actions de groupe ont été engagées auxÉtats Unisàl encontredeSociétéGénéraleetd autresbanques institutionsnancièresetcourtiersauxquelsilestreprochéd avoirenfreint le droit de la concurrence américain lors de l appeld offreset de la conclusiondeGICset de produitsdérivésavecdesmunicipalités Cesactionsontétéjointesdevantla42#HRSQHBSNTQS de Manhattan Certaines d entre elles ont été jointes enune seule assignation («BNMRNKHCSDC BKRR BSHNM BNLOKHMSulaquelle a été rejetée par la Cour en avril2009 au bénéce deSociétéGénéraleetdesautresdéfendeursàl exceptiondetrois Une seconde action de groupe consolidée et modiée a étéengagéeenjuin2009 Unetroisièmeactiondegroupeconsolidéeet modiée a été engagée en mars2013 Société Générale estparvenueàunaccordaveclesdemandeursàl actiondegroupe et le 24février 2016 ce groupe de demandeurs a déposé unerequête visant à l homologation de l accord par le Tribunal Le * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I montant de la transaction avait été entièrement provisionné Parallèlement une autre action de groupe fondée sur le droitECKCD KBNBTDBDDSRTKKNHBKHENHDD HRHTD CDRactions individuellesdela partd autoritéspubliqueslocalessontencours Desdemandestendantaurejetdecesprocéduresontétérejetéesentoutoupartie LaCHRBNUDQXDRSDBNTR Le 24octobre 2012 la cour d appel de Paris a conrmé laCBHRHN DCTD KD NBSNAD O KD SHATK BNDBSHNDKde Paris déclarant J Kerviel coupable d abus de conance d introduction frauduleuse de données dans un systèmeinformatique de faux et d usage de faux et le condamnant àcinq ans d emprisonnement dont deux avec sursis ainsi qu auversement de4 9milliardsd eurosàtitre dedommages intérêtsà Société Générale Le 19mars 2014 la Cour de cassation aconrmélaresponsabilitépénaledeJ Kerviel L arrêtdelaCourde Cassation clôt ainsi ce dossier sur le plan pénal Sur le plancivil la Courdecassation a décidéde modiersajurisprudencetraditionnelle sur l indemnisation de victimes d atteintes auxbiens Ilappartiendraàlacourd appeldeVersaillesdestatuerànouveausurlemontantdesdommages intérêts Depuis 2003 Société Générale avait mis en place des lignesCD FNKC BNMRHFMLDMS» avec le groupe turc Goldas EnEHD 2NBHS &KD S KDS RT T HRTD CDfraude et de détournement des stocks d or déposés chezGoldas Ces soupçons ont été rapidement conrmés par lenon paiement (466 4millionsd euros) de l or acheté An derecouvrer les sommes dues par le groupe Goldas et préserverses intérêts Société Générale a engagé en Turquie desactions civiles contre les assureurs et des entités du groupeGoldas Goldas a de son côté introduit des actions judiciairesD 3TTHD BNSD 2NBHS &KD 2NBHS &KDavait également engagé une action contre ses assureursau Royaume Uni laquelle a été arrêtée par consentementmutuel sans admission de responsabilité d aucune part Uneaction contre ses assureurs en France est toujours en cours Société Générale Algérie («SGA») et plusieurs de sesresponsables d agence sont poursuivis pour infraction à lalégislation locale sur les changes et les transferts de capitauxavec l étranger Il est reproché aux prévenus d avoir manqué àleurs obligations déclaratives à l égard de la Banque d Algéries agissant desmouvements de capitaux liés à des exportationsou importations effectuées par les clients de SGA Les faits ontétérévélésaucoursd enquêtesmenéesparlaBanqued Algériequi s est ensuite constituée partie civile SGA et ses agentsont été condamnés dans certaines procédures et mis hors decausedansd autres L ensembledesprocéduresafaitl objetderecoursdevantlaCourSuprême Àcejour douzeaffairessesontterminéesenfaveurdeSGAetseptaffairessontencoreencours T CATSCDRDR KONEDRRHNABHD CNOSDFrance le principe du passage à la compensation électroniquedeschèquesand enrationaliserletraitement Pour accompagner cette réforme (connue sous le nom d EICpour «Échange d Images Chèques») qui a contribué à lasécurisationdutraitementdespaiementsparchèqueetàlaluttecontre la fraude les banques ont créé plusieurs commissionsinterbancaires (dont la CEIC qui a été abandonnée en 2007) Cescommissionsontétédécidéessousl égidedesautoritésdetutelledusecteur lespouvoirspublicsétanttenusinformés Le 20septembre 2010 après plusieurs années d instruction l AutoritéfrançaisedelaconcurrenceaconsidéréquelamiseenplaceetlaxationencommundumontantdelaCEICetdedeuxautres commissions pour services connexes étaient contrairesau droit de la concurrence Elle a condamné l ensemble desbanquesayantpartic ipéà lamiseenplacede cescommissions(Banque de France comprise) à un montant total d environ385millionsd euros d amendes Société Générale a étésanctionnée à hauteur de53 5millionsd euros Crédit du Nord saliale àhauteurde7millionsd euros Dans son arrêt du 23février 2012 la cour d appel saisie parl ensembledesbanquesconcernéesàl exceptiondelaBanquede France conclut à l absence d infraction au droit de laconcurrence permettantauxbanquesd obtenirleremboursementdes amendes qu elles avaient payées Le 14avril 2015 laCourdeCassationacasséetannulél arrêtdelacourd appelaumotifque cette dernière n avait pas examiné les arguments de deuxintervenants volontaires L affaire a été renvoyée devant la courd appelpourqu ellesoitànouveaujugée Une action de groupe a été engagée à l encontre de SociétéGénérale Private Banking (Suisse) et de nombreuses autresinstitutionsnancièresdevantla42#HRSQHBSNTQSENQSGD NQSGDQM#HRSQHBS of Texas Les de mandeurs entendent représenter desclients de Stanford International Bank Ltd («SIBL») auprès deKTDKKDHKRHDSCONRCDRENCRDSNTCNSHKRCSDHDSCDRcerticats de dépôt depuis le 16février 2009 Les demandeurssoutiennent être victimes de pertes résultant des fraudes deSIBL du groupe Stanford et d entitésliées dontles défendeursseraient selon eux également responsables Ils cherchent àrécupérer les paiements faits par l intermédiaire des défendeursou faits à cesderniers pour le comptede SIBL ou d entités quilui étaient liées au motif qu il s agirait de transferts frauduleux Le Comité ofciel des investisseurs Stanford a été autorisé àintervenirdansla procédure etaformédes demandessimilairescontre Société Générale Private Banking (Suisse) et les autresCEDCDTRLa demande de Société Générale Private Banking (Suisse)soulevant l incompétence du Tribunal a été rejetée par décisiondu 5juin 2014 Société Générale a alors sollicité un nouvelexamen de cette décision sur la compétence ce qui lui a étédénitivement refusé Le 21avril 2015 le tribunal a autorisé lapoursuite de la grande majorité des demandes formées par lesdemandeursetleComitéofcieldesinvestisseursdeStanford En mai2015 les demandeurs ont déposé une requête visantà la certication du groupe de demandeurs à laquelle SociétéGénéralePrivateBanking(Suisse)s estopposée Ladécisionn aORDBNDSDCTDLe 22décembre 2015 le Comité Ofciel des Investisseursde Stanford a déposé une requête visant à l obtention d uneCBHRHN OSHDKKDBBKD RT KD ENC RTLLQXITCFDLDMSusurlarestitutiond untransfertde95millionsdedollarsdesÉtats Unis effectué en décembre2008 (avant la faillite de Stanford) àSociété Générale Private Banking (Suisse) au motif qu il serait D SSTD SREDSETCTKDT TKAKDRDKN K KNH CT 3DRLamiseenétatesttoujoursencours Société Générale Private Banking (Suisse) et Société Généraleont aussi reçu des demandes de pièces et d informations deK OS CT#DOQSLDMS NE )TRSHBD américain en relation avec lesfaitsinvoquésdans l actiondegroupe Société GénéralePrivateBanking(Suisse)etSociétéGénéraleontpristoutesdispositionsutilespourcoopéreraveclesautoritésaméricaines IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( Société Générale et d autres institutions nancières ont reçudes demandes d information de la part d autorités en Europe aux États Unis et en Asie dans le cadre d enquêtes portant d unepart surdessoumissions présentéesàlaBritish BankersAssociation en vue de la détermination de certains taux LIBOR+NMCNM (MSDQAMJ EEDQDC 1SDR) ainsi que les soumissionsprésentées à la Fédération Bancaire Européenne en vue de ladétermination du taux EURIBOR (TQN (MSDQAMJ EEDQDC 1SDet portant d autre part sur des opérations de dérivés indexéssur différents taux BOR Société Générale coopère avec cesTSNHSRSociété Générale ainsi que d autres institutions nancières ontété assignés dans cinq actions de groupe et plusieurs actionsindividuelles (hors groupe) en relation avec l activité de xationdu tauxUSDLIBORd une part et d autre part d opérationsdeCHRHCDRRTBD ST DRBSHNRNSSHHSHDR OCDRacheteurs de produitsdérivés cotés deproduits dérivésde gréàgré d obligations d actionsetd hypothèquesetontfaitl objetd une consolidation devant un juge unique de la#HRSQHBS NTQSde Manhattan Illeurestnotamment reproché d avoir enfreintledroit américain de la concurrence leNLLNCHSX WBGMFD BSaméricain(«CEA»)etdifférentesloisétatiques Le 23juin 2014 leTribunalarejetélesdemandesforméescontreSociétéGénéraledans le cadre d actions de groupe initiées par les acheteurs deproduits dérivés de gré à gré d une part et les acheteurs deproduits dérivés cotés d autre part Le 5mars 2015 SociétéGénérale a été exclue volontairement d une troisième action degroupe initiée par des acheteurs de prêts hypothécaires à tauxvariable liés au LIBOR Les deux autres actions de groupe ontfait l objet d un sursis à statuer dans l attente d une dé cisiondanslaprocédured appeldécriteci après Le20octobre2015 le Tribunal a rejeté les demandes contre Société Générale dansle cadre d une action individuelle initiée par le liquidateur deplusieurs ba nques coopératives en faillite Le 4août 2015 leTribunalarejetéplusieursdemandes individuellesmaisa permisàquelquesactionsfondéessur desdroits étatiquesdeperdurerdans certaines circonstances Les parties sont toujours en traindediscuterdel impactdecettedécisionsurlesdemandescontreSociété Générale et les autres défendeurs Les demandeursdanslaplupartdesactionsdegroupeainsiquelesdemandeursindividuels ont interjeté appel de la décision de rejet de leursdemandesportant sur le droit delaconcurrence devantlaCourd appelfédéraledu2DBHBTHSSociété Générale ainsi que d autres institutions nancières ontégalement été assignées da ns deux actions de groupe devantK42 #HRSQHBS NTQS de Manhattan Les actions ont été initiéespar des acheteurs ou vendeurs de produits dérivés indexés surl Euroyen sur leGHBFN DQBMSHKD WBGMFD («CME») d unepart et pa r des acheteurs d instruments dérivés de gré à gréd autrepart quisoutiennentquelavaleurdesditsproduitsauraitéténégociéeàdesniveauxarticielsàcausedemanipulationdestaux Yen LIBOR et Euroyen TIBOR Il est notamment reprochéd avoir enfreintle droit américain de la concurrence le CEA lesCHRONRHSHNRBHHKDRCTRacketeerInuencedCorruptOrganization BS («loi RICO») et des lois étatiques Le 28mars 2014 leTribunalarejeténotammentlesdemandesrelativesaudroitdelaconcurrencemaisapermisàcertainesdemandesfondéessurleCEAdesuivreleurcours Le31mars2015 leTribunalarejetélarequête d amendement des demandeurs acheteurs de produitscotés visant à ajouter une demande fondée sur la loi RICO etd autresreprésentantsdugroupe quiont cherché àformerdesdemandes fondées sur le CEA la loi RICO et les lois étatiques Les demandes de rejet des actions initiées par les acheteursd instrumentsdérivésdegréàgrévontbientôtêtredéposées Société Générale ainsi que d autres institutions nancières ontégalement été assignées dans une action de groupe devant la42 #HRSQHBS NTQS de Manhattan Cette action est intentée pardes individusqui ontacheté ou vendu descontrats à terme surle LIFFE exchange¸ des contrats à terme en euros sur le CME CDRRVORdetauxindexéssurl euro descontratsdechangeàterme liésà l euro Ils soutiennentque ces contrats auraient éténégociésàdesniveauxarticielsàcaused unemanipulationdestaux EURIBOR Il leur est notamment reproché d avoir enfreintle droit américain de la concurrence et le CEA s agissant d unindicelibelléeneuros Desdemandesderejetdel actionontétéCONRDRSociété Générale ainsi que d autres institutions nancières ontégalementétéassignéesenArgentinedanslecadred uneactionintentéeparuneassociationdeconsommateurspourlecomptede consommateurs argentins qui détenaient des obligations dugouvernement ou d autresinstrumentsdontles intérêts à payerétaientliésauUSDLIBOR Illeurestreprochéd avoirenfreintlesdispositionsprotectricesdudroitdelaconsommationargentinàl occasion delaxation du taux USD LIBOR L assignation danscedossiern apasencoreétésigniéeàSociétéGénérale Le 4décembre 2013 la Commission européenne a rendu unedécision dans le cadre de son enquête sur le taux EURIBOR qui prévoit le paiement par Société Générale d un montant de445 9millionsd eurosautitredefaitssurvenusentremars2006et mai2008 Société Générale a déposé un recours devant leTribunal de Luxembourg sur la méthode de détermination de lavaleurdesventesayantservidebaseaucalculdel amende Le 10décembre2012 leConseil d État a rendudeuxdécisionssur la légalité du précompte impôt aujourd hui supprimé Il aconclu que cet impôt était contraire au droit communautaire etdéniles modalitésderestitutionduprécompte aux entreprises Cesmodalités ont cependant conduit à limiterfortementle droitàrestitution SociétéGénéraleaacquisen2005 auprèsdedeuxentreprises(RhodiaetSuez) cedroitàrestitutionavecunrecourslimité sur les entreprises cessionnaires L une des décisions duConseild Étatconcerne l entreprise Rhodia SociétéGénérale aEHSKNHRDRCNHSRCRKDBCDCDRCHEEDSRBNSDSHDTDBl AdministrationdevantlesjuridictionsadministrativesenFrance dontladernièredécisionestcelledelacouradministratived appeldeParisdu12décembre2014dansl affaireSuez quicontinuentd appliquerlesmodalitésderestitutionduprécomptedéniesparleConseild Étatdanssesarrêtsdu10décembre2012 Saisie par plusieurs entreprises françaises la CommissionDTNODD BNRHC TD KDR CBHRHNR DCTDR O KDConseil d État le 10décembre 2012 suite à l arrêt de la CJUEC 310 09 du 15septembre 2011 méconnaissaient plusieursprincipes de droit communautaire La Commission européennea informé les plaignants dont Société Générale qu elle avaitengagélapremière étape d une procédured infraction contre laRépubliquefrançaiseparl envoid unelettredemiseendemeurele26novembre2014 Société Générale a engagé des discussions avec l Ofce ofNQDHFM RRDSR NMSQNK américain le#DOQSLDMS NE )TRSHBDaméricain le bureau du procureur du Comté de New York leNQCNE&NUDQMNQRNESGDDCDQK1DRDQUD2XRSDLàWashington * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I DS KDCDQK 1DRDQUD MJ de New York et le#DOQSLDMS NEHMMBHK 2DQUHBDR de l État de New York au sujet de virementslibellés en dollars des États Unis effectués sur instruction declientspersonnesmoralesétablisdansunpaysfaisantl objetdesanctions économiques édictées par les autorités américaines R BD BCD 2NBHS &KD DEEDBSTD T TCHS HSDD DScoopèreaveclesautoritésaméricaines Vladimir Golubkov Directeur général de Rosbank à l époquedes faits ainsi qu une collaboratrice de l établissement fontl objet d une enquête pénale en Russie pour des agissementsqui seraient constitutifs d actes de corruption Selon la presse l enquêterelativeàVladimirGolubkovs estterminéeparunnon lieuendécembre2015 L ACPRaouvertuneprocéd uredisciplinaireàl encontredeSociétéGénérale le 22mai 2013 portant sur les moyens et procéduresmis en uvre par l établissement en vertu des dispositionsrelativesaudroitaucompte Le11avril2014 lacommissiondessanctionsdel ACPRaprononcéàl encontredeSociétéGénéraleles sanctions suivantes une amende de 2millionsd euros unblâme et la publication de la décision Société Générale a initiéun recours devant le Conseil d État en mai2014 Par un arrêtrendu le 14octobre 2015 leConseild Étataannulé lasanctionde l ACPR du 11avril 2014 Par courrier du 9novembre 2015 l ACPR a informé Société Générale reprendre l instruction de laprocéduredevantlacommissionsdessanctions Lereprésentantdu collège a déposé ses observations le 18décembre 2015 SociétéGénéraledoityrépondrele1DEHD Le 7mars 2014 la+HAXM (MUDRSLDMS TSGNQHSX («LIA») aassigné Société Générale devant les juridictions anglaises auSHSD CDR BNCHSHNR C R KDRTDKKDR BDKKDBH RNTRBHS BDSHRinvestissements auprès du groupe Société Générale La LIAsoutientqueSociétéGénéraleetd autrespartiesayantparticipéà la conclusion des investissements se seraient notammentDCTR BNTOAKDR CD BNTOSHN 2NBHS &KD ETSD BDRaccusations et toute demande tendant à remettre en causela licéité de ces investissements La juridiction anglaise a xél audience sur le fond du dossier au mois de janvier2017 Parailleurs le 8avril 2014 le#DOQSLDMS NE )TRSHBD américain aadressé à Société Générale une demande de production detransactions concernant divers entités et individus libyens dontlaLIA SociétéGénéralecoopèreaveclesautoritésaméricaines Société Générale ainsi que d autres institutions nancières ont été assignées dans le cadre d une action de groupe danslaquelle il leur est reproché d avoir enfreint le droit américainde la concurrence et le CEA s agissant de son implication surle marché de Londres de xation du prix de l or L action a étéinitiée pour le compte de personnes ou entités ayant vendude l or physique ayant vendu des contrats de futures indexéssur l or sur le CME vendu des3sur l or vendu des optionsd achatd ornégociéessurleCME achetédesoptionsdevented or négociées sur le CME vendu de l or de gré à gré ou descontrats àterme ou des options d achat d or ou acheté de gréàgrédesoptionsdevented or L actionestpendantedevantla42 #HRSQHBS NTQS de Manhattan Des actions sollicitant le rejetdecesdemandesont étédéposées Société Générale ainsi quecertaineslialesetd autresinstitutionsnancièresontégalementétéassignées danslecadre d uneactiondegroupeauCanada MSQHN2TODQHNQNTQSàToronto)pourdesdemandessimilaires Le30janvier2015 la42NLLNCHSXTSTQDR3QCHMFCommissionaadresséà Société Générale une demande d information et dedocuments concer nant les opérations sur les métaux précieuxDEEDBSTDR CDOTHR KD Djanvier 2009 Société Générale coopèreDBKDRTSNHSR Société Générale Americas Securities LLC («SGAS») ainsi qued autres institutions nancières ont été assignées dans le cadredeplusieursactionsdegroupedanslesquellesilleurestreprochéd avoir enfreint le droit américain de la concurrence et le CEAs agissant de son activité de42 QHLQX #DKDQ achetant etvendantdestitres du TrésordesÉtats Unis Les affairesontétéjointes devant la42 #HRSQHBS NTQS de Manhattan Le délai deréponseimpartiàSGASn apasencoreétéxé Société Générale ainsi que d autres institutions nancièresont été assignées dans le cadre d une action de groupe danslaquelle il leur est reproché d avoir enfreint le droit américainde la concurrence et le CEA relativement à des opérations dechange au comptant et de commerce de dérivés L action aété initiée par des personnes ou entités ayant conclu certainestransactionsdegréàgréetéchangédesinstrumentsdechange L affaireestpendantedevant la42#HRSQHBSNTQSdeManhattan Des requêtes en vue du rejet de ses actions ont été déposées SociétéGénéraleetcertaineslialesainsiqued autresinstitutionsnancières ont également été assignées dans le cadre de deuxactions de groupe au Canada(devant la MSQHN 2TODQHNQ NTQSà Toronto et la0TDADB 2TODQHNQ NTQS dans la ville de Québec)pourdesdemandessimilaires IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 8 7 5 6 5 6 4 8 65 648(6 6 8 &7 216)LQ DO LWVHWVWUDWJLHVGpLQYHVWLVVHPHQWLesexpositionsdugroupeSociétéGénéraleauxactionsquinesontpasdétenuesàdesnsdetransactionsontliéesàplusieursactivitéset stratégies de la Banque Ces expositions incluent des actionset instruments de fonds propres des parts de SICAV investies enactions et des participations dans les liales et sociétés afliées duGroupe qui ne sont pas déduites des fonds propres aux ns ducalcul des ratios de solvabilité D une manière générale en raisonde leur traitement défavorable sur le plan du capital réglementaire lapolitiqueduGroupeestdésormaisdelimitercesinvestissements Enpremierlieu leGroupepossèdeunportefeuilledeparticipationsindustrielles qui pourl essentiel reètesesrelationshistoriquesoustratégiquesaveccessociétés NTSD 2NBHS &KD CSHDS TDKTDR OSHBHOSHNRminoritaires dans certaines banques à des ns stratégiques envuededéveloppersacoopérationaveccesétablissements Ausurplus lesactionsnefaisantpaspartiedesactifsdétenusàdesnsdetransactioncomprennentlesparticipationsduGroupedans des liales de petite taille qui ne font pas partie de sonpérimètredeconsolidationetquiopèrentenFranceouàl étranger Font aussi partie de cette catégorie divers investissements etOSHBHOSHNR BBDRRNHDR T BSHHSR ABHDR OHBHO KDRCT &NTODD OSHBTKHDCRK TDCDCSHKDBDKBanquedeFinancementetd Investissementetlesservicestitres(activités de capital investissement en France en liaison étroiteavec les réseaux bancaires organismes de place sociétés deNTRDDSB Enn SociétéGénéraleetcertainesdeseslialespeuventdétenirdes investissements en actions résultant de leurs activités deGestion d Actifs (en particulier des capitaux apportés à titre decapital d amorçage à des SICAV dont Société Générale est lepromoteur) enFranceouàl étranger 6XLYLGHVLQYHVWLVVHPHQWVHQWLWUHVHWSDUWLFLSDWLRQV GXSRUWHIHXLOOHEDQFDLUHLeportefeuilledeparticipationsindustriellesaétéréduitsensiblementcesdernièresannéessuiteauxcessionsdelignesnonstratégiques Ilnecomptedésormaisqu unnombrelimitédelignesd investissement Il est suivi sur une base mensuelle par la Direction nancière duGroupe et les ajustements de valeur éventuels sont constatés surunebasetrimestrielleenaccordaveclapolitiquedeprovisionnementCT&NTODDR OSHBHOSHNR BBDRRNHDR T BSHHSR ABHDR CT &NTODfontl objetd unsuivitrimestrielparlaDirectionnancièreduGroupeet lesajustementsde valeur éventuels sont constatés sur une basetrimestrielle en accord avec la politique de provisionnement duGroupe Lesactivitésdecapital investissementenFrancefontl objetd unegouvernanceetd unsuividédiés danslecadred enveloppesrevues périodiquement par le Comité exécutif du Groupe Lesdécisionsd investissementoudecessionprennentenconsidérationles aspects nanciers et la contribution aux activités du Groupe(accompagnement des clients dans leur développement ventescroisées avec les activités de ux de Banque de Financement etd Investissement deBanquePrivée ) 9DORU LVDWLRQGHVDFWLRQVGXSRUWHIHXLOOHEDQFDLUHD un point devuecomptable les expositions enactions de SociétéGénérale nondétenuesà des ns de transaction sont classées entitres disponibles à la vente dans la mesure où elles peuvent êtreconservéespourunlapsdetempsindéterminé etêtrecédéesàtoutmoment L expositiondugroupe Société Généraleauxactions nefaisant paspartieduportefeuilledetransactionestégaleàleurvaleurcomptableDSSDCDRCOBHSHNRLe tableau qui suit présente ces expositions à n décembre2015et 2014 à la fois pour le périmètre comptable et pour le périmètreréglementaire Lesdonnéesréglementairesnesontpasréconciliablesaveccellesdesétatsnanciersconsolidés notammentparcequelepérimètreréglementaireexclutlestitresdeparticipationdétenuspourlecomptedeclientsparleslialesd assuranceduGroupe * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 7% (8&7 216(7357 & 37 216 16 (3257()(8 (%1& 5((EnMEUR)FWLRQVHWSDUWLFLSDWLRQVGXSRUWHIHXLOOHEDQFDLUH3ULPWUHFRPSWDEOH1472015201GRQWDFWLRQVHWDXWUHVLQVWUXPHQWVGHVFDSLWDXSURSUHVFRXUDQWV)61RWH1209113181GRQWWLWUHVHWDFWLRQVGWHQXVORQJWHUPH)626292020FWLRQVHWSDUWLFLSDWLRQVGXSRUWHIHXLOOHEDQFDLUH3ULPWUHSUXGHQWLHO9DOHXUHSRVHDXULVTXH708110799GRQWWLWUHVFRWVGRQWWLWUHVQRQFRWV636410333AFS AvailableForSaleoudisponibleàlavente ONRTD SDETKSNTKDTDONRDTHRTDAu titre du périmètre réglementaire les expositions en actions etparticipations hors portefeuille de transaction calculées en EADs élevaient à 7 1milliards d euros à n 2015 contre 10 8milliardsd eurosàn 2014 Cette variationest principalement liéeà la vented instrumentsdeliquidité Les changements dans la juste valeur sont enregistrés dans lesBOHST ONODR CT &NTOD RNTR K TAHTD &HR DS ODSDRcomptabilisésdirectementencapitauxpropres» Encasdecessionou de dépréciation durable les changements dans la juste valeurde ces actifs sont inscrits en compte de résultat sous la rubrique«Gains ou pertes nets sur actifs nanciers disponibles à la vente» Les dividende s perçus sur les participations en actions sontenregistrés aucompte de résultat da nslarubrique«Dividendes surtitresàrevenuvariable» Pour les actions cotées la juste valeur est estimée sur la base ducours de Bourse à la date de clôture Pour les titres non cotés lajuste valeur est estimée en fonction de la catégorie de l instrumentnancieret selonl unedesméthodessuivantes quote partd actifnetdétenue KTSHN ARD RT CDR SRBSHNR BDSDR RT KDR SHSDR CDlasociété(tiersentrantaucapitaldelasociété valorisationàdired experts ) KTSHN ENCDRTCDR SRBSHNR BDSDRHSDDTDRRTdesentreprisesdumêmesecteur(multiplesderésultatoud actifDSDSB7% (8* 16(73(57(61(76685&7 216(7357 & 37 216 83257()(8 (%1& 5((EnMEUR)*DLQVHWSHUWHVVXUFHVVLRQVGDFWLRQV SUFLDWLRQVGDFWLIVGXSRUWHIHXLOOHGHSDUWLFLSDWLRQV3DUWSURUDWDGXUVXOWDWQHWGXSRUWHIHXLOOHGHSDUWLFLSDWLRQV*DLQVSHUWHVQHWVUDOLVVSURYHQDQWGHVDFWLRQVHWSDUWLFLSDWLRQVGXSRUWHIHXLOOHEDQFDLUH*DLQVSHUWHVQRQUDOLVVVXUSDUWLFLSDWLRQV10581587GRQWSDUWLQFOXVHGDQVOHVIRQGVSURSUHVGHEDVHRXFRPSOPHQWDLUHV1057MontantsproformaBâle3 3ROLWLTXHGHSURYLVLRQ QHPHQWLa dé préciation d un actif nancier disponible à la vente est décritedans laNote3 8 des États nanciers dans le chapitre6 du présentDocumentderéférence(p 322etsuivantes) (LJHQFHVHQIRQGVSURSUHVUJOHPHQWDLUHVPour le calcul des encours pondérés Bâle 3 le Groupe appliquela méthode de la pondération simple à la majeure partie de sonportefeuille d actions ne faisant pas partie du portefeuille deSRBSHN IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( Les actions de sociétés de capital investissement sont affectéesd uncoefcientdepondérationparlesrisquesde190% lesactionsde sociétés cotées d un coefcient de 290% et les actions desociétés non cotées y compris les participations dans nos lialesd assurance d un coefcient de 370% À noter que les titres decapital investissement acquis avant janvier2008 peuvent êtrepondérésà150% D autre part s ils ne sont pas déduits des fonds propres lesinvestissements signicatifs dans le capital de sociétés nancièressontaffectésd uncoefcientdepondérationde250% Au 31décembre 2015 les encours pondérés du Groupe relevantCDRBSHNRDEHRSOROSHDCTONSDEDTHKKDCDSRBSHNDSKDRexigencesenfondspropresassociéess établissaientcommesuit 7% (8( *(1&(6(1)21 635235(6 (68 &7 216(7357 & 37 216 83257()(8 (%1& 5((EnMEUR)FWLRQVSDUWLFLSDWLRQVSSURFKH3RQGUDWLRQ9DOHXUHSRVHDXULVTXH(QFRXUVSRQGUV(LJHQFHVHQIRQGVSURSUHV9DOHXUHSRVHDXULVTXH(QFRXUVSRQGUV(LJHQFHVHQIRQGVSURSUHV&DSLWDOLQYHVWLVVHPHQW6WDQGDUG150%&DSLWDOLQYHVWLVVHPHQW3RQGUDWLRQVLPSOH190%Titresnanciers3RQGUDWLRQVLPSOH250%2016140435117LWUHVFRWV3RQGUDWLRQVLPSOH290%11697LWUHVQRQFRWVHWDVVXUDQFHV3RQGUDWLRQVLPSOH370%470617412139343871623112997RWDO60302065016526488214211714Horsplacementsdetrésorerie 5 648(6 6757* 48(6Les risques stratégiques se dénissent comme le risque inhérent à lastratégie choisie ou résultant de l incapacité du Groupe à mettre en uvre sa stratégie Ils sont suivis par le Conseil d administration quiapprouvelesorientationsstratégiquesduGroupeetlesrevoitaumoinsune fois par an De même le Conseil d administration approuve lesprojets d investissement stratégiques et toute opération notammentd acquisition ou de cession susceptible d affecter signicativement lerésultatduGroupe lastructuredesonbilanousonprolderisque Le pilotage stratégique est effectué sous l autorité de la Directiongénérale par le Comité exécutif assisté du Comité de directiondu Groupe Le Comité exécutif se réunit une fois par semaine saufexceptions La composition de ces différents organes est présentéedans le chapitreGouvernement d entrepriseduprésentDocumentderéférence (p 64) Le règlement intérieur du Conseil d administrationprécisant notamment ses modalités de saisine est reproduit dans lechapitre7duprésentDocumentderéférence(p 471) 5 648(6 6 p&7 9 7Les risques liés àl activité sont les risques de pertes si les chargessupportées sont supérieures aux produits enregistrés Les risquesliés à l activité sont pilotés parla Directionnancière au travers desComités de résultats mensuels Au cours de ces comités présidéspar un membre de la Direction générale les métiers du Groupeprésentent leurs résultats et commentent la marche des affaires ainsi qu une analyse de leurs consommations budgétaires et deressourcesrares(notammentcapitaletliquidité) 5 648(6 6 8 &7 9 76 p66851&(À travers ses liales d assurance le Groupe est également exposéàunensemblederisquesinhérentsà cemétier Ils agit au delàdela gestion des risques actif passif (risques de taux de valorisation de contrepartie et de change) du risque de tarication des primes du risque de mortalité et des risques structurels liés aux activitésd assurancevieetdommages ycomprislespandémies lesaccidentset les catastrophes(par exemple séismes ouragans catastrophesindustrielles actes de terrorisme ou conits militaires) Le dispositifde suivi de ces risques et les enjeux associés sont présentés dansla Note 4 3 des États nanciers consolidés dans le chapitre 6 duprésentDocumentderéférence(p 338) 5 648(6 (19 5211(0(178 (762& 8 L informationrelativeauxrisquesenvironnementauxetsociauxgureauchapitre5duprésentDocumentderéférence(p 209) * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I Engagements enjeuxetambitionLesengagementsduGrou pevvvvvvvvvvvvvvvLesenjeuxRSEprioritairesvvvvvvvvvvvvvvvvATDCDEDBDvvvvvvvvvvvvvvvvvUnecu lturedebanquerelationnellefondéesurdesvaleurscommunesvvvvvvvvvvvvvvvv1 GouvernanceetpilotagedelaRSEPilotagedelaRSEvvvvvvvvvvvvvvvvvvvDialogueaveclespartiesprenantesvvvvvvvvvvvv2 Mettreen uvreunenanceresponsableLoyautédespratiquesvvvvvvvvvvvvvvvvvv214LedéploiementdesengagementsE&Sdanslecadredenosactivitésdenancementetd investissemen tvvvvvLananceàimpactpositif(PIF)vvvvvvvvvvvvvvL investissementsocialementrespon sable(ISR)vvvvvvvLedéploiementdesengagementsE&SdanslecadredenosachatsvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvDialogueaveclasociétécivilevvvvvvvvvvvvvvÉvaluationextranancièrevvvvvvvvvvvvvvvv224Laban queal écoutedesinvestisseu rsvvvvvvvvvv2243 Agirenfaveurdel environnementSociétéGénérales engageenfaveurduclimatvvvvvvvAccompagnernosclients dansleursinvestissementsARBANDvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvRéduirel empreintecarbonedugroupevvvvvvvvvv4 EmployeurresponsableLeséq uipesdugroupeSociétéGéneraleàn2015vvvvvAccompagnerdesmétiersquisetransformentvvvvvvv234DKNOODTDBTKSTDCDATDDKSHNDKKDfond éesurdesvaleurscommunesvvvvvvvvvvvvFavoriserl engagementdescollaborateursvvvvvvvvv2425 Accompagnerl entrepreneuriatetl économiesocialeetsolidaireSoutiendudéveloppementdespaysémergentsetdesnouveauxacteurséconomiquesvvvvvvvvvv248DRBSHHSRCDATDRNK HCHDvvvvvvvvvvvvvTSSDBNSDKOBHSDSONSDBSHNCDRONOTKSHNRTKAKDRvvvvvvvvvvvvvvv6 L engagementsociétaldeSociétéGénérale mécénatetsponsoringCitoyennetévvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvMécénatcul turelvvvvvvvvvvvvvvvvvvvv7 AnnexesNoteméthodologiquevvvvvvvvvvvvvvvvvvRapportdel organismetiersindépendantsurlesinformationssociales environnementalesetsociétalesconsolidéesgurantdanslerapportdegestionvvvvvvv8 TablesdeconcordanceTabledeconcordanceRSE(articl e225 GrenelleII)vvvvv IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 0HVVDJHG H)UGULF2XGD«Pour SociétéGénérale être une entreprise responsable est auc urmêmedelavocationdenosmétiersetl essencedelabanquerelationnelle de référence que nous voulons être Acteur clé dunancement de l économie notre mission est d offrir les meilleuresRNKTSHNR ONT BNRDHKKD DS BNDBSD KDR HCHHCTR KDR DSDOHRDRetlesinstitutions pour lesaccompagnerdansle développementdeleursprojets lagestiondeleursmoyensnanciersetlacouverturedeleursrisques ens assurantdegénérerunimpactpositifàlongtermesurl environnementquinousentoure attentifsauxdifférentespartiesprenantesdenotreécosystème Nous avons poursuivi en 2015 notre démarche volontariste amorcée depuis les années 2000 avec la signature d engagementsnationauxetinternationauxporteursdeprincipesprécisetexigeants Le Groupea signéen2015 un accordmondialaveclesyndicatUNIGlobal Unionengageant à un respect desdroitsde l homme etdesdroitsdutravail danstouslespays où il est présent Ilaparailleursrejointle Manifestepour une nanceàimpac tpositif du ProgrammedesNationsuniespourl environnement visantàidentierlesimpactsEnvironnementaux et Sociaux de nos activitésetàles réduire dansle respectdes meilleurespratiques internationales C est égalementDTD 2NBHS&KD NBCR K ODRODBSHDCD KCOP21desengagementsambitieuxpourleclimatvisantàcontribueràlimiterl augmentationdelatempératuredel atmosphèreterrestreàmoinsde2°Càl échéance2100 Ainsi legroupeSociétéGénéraleseplacecommeunacteurbancairede tout premier plan au niveau mondial pour ses réalisations RSEDS R SRODBD D 2NBHS&KD DRS DDT CR KDpremier quartile des banques selon RobecoSam et Vigéo l a placépremièreentreprised unclassementde1300multinationalespourlaqualitéetpertinencedel informationRSE Le Groupe est donc dénitivement engagé pour être un acteurnancier solide et responsable au service de ses clients Cet engagement repose sur nous tous et sur l exemplarité de noscomportements individuels et collectifs Je suis convaincu quele modèle deKDCDQRGHOapplicable à tous les collaborateurs quenousavonsdécidéd incarner axésurquatrevaleurscentréessurleclient l espritd équipe l innovation laresponsabilité l engagement permettra de conforter notre place parmi les banques les plusresponsablesauniveaumondial »E N G A G E M E N T S E N J E U X E T A M B I T I O N (6(1**(0(176 8*5 283 (SociétéGénérale conduit son développement dans le respect desKDTRDSOHBHODRNBRCR La Déclaration universelle des droits de l homme et sesengagementscomplémentaires Les conventions fondamentales de l Organisation internationaledutravail LaConventiondupatrimoinemondialdel Unesco Les Principes directeurs pour les entreprises multinationalesde l OCDE (Organisation de coopération et de développementéconomiques) En outre dans une démarche volontaire SociétéGénérale adhèreCDOTHRTHHSHSHDROTAKHTDRNTOHDRRTHSDR 2000 MembrefondateurdugroupedeWolfsberg 2001 Participation à l Initiative nancière du Programme desNationsuniespourl environnement(UNEP FI) 2003 Adhésion au Pacte mondial de l ONU qui incite lesentreprisesàintégrerlesprincipesrelatifsauxdroitsdel homme auxconditionsdetravailetàlaluttecontrelacorruption 2004 SignaturedelaChartedeladiversité(France) 2007 AdoptiondesPrincipesdel Équateur 2007 SignatureduPactePME(France) 2010 Chartedes«Relationsfournisseurresponsables»(France) 2014 Signature de la Déclaration commune de3QMROQDMBX(MSDQMSHNMKQMBDpourlapromotiond unKNAAXHMgtransparentetintègre 2014 Soutienaux&QDDMNMC QHMBHOKDR 2014 AdhésionauxPrincipespourl investissementresponsable(PRI)parLyxor 2015 Signatured unaccordmondialsurlesdroitsfondamentauxavecl UNIGlobalUnion 2015 Lancement par Séverin Cabannes (Directeur généraldélégué) au nom de la Commission bancaire de l UNEP FI du«Manifestepourunimpactpositif»( NRHSHUD(LOBSMHEDRSN) 2015 Adhésion au2NES NLLNCHSHDR NLOBS CD KMJHMFMUHQNMLDMS(MHSHSHUDCNRRTNMRTLDQ&NNCRNQTLCNSl objectifestlaluttecontreladéforestation 2015 Adhésion aux «Principes d intégration des actionsclimatiques dans les institutions nancières» lancés àl occasiondelaCOP21 * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 3ULQFLSHV JQUDX(QYLURQQHPHQWDXHW6RFLDXActeur du nancement de l économie réelle SociétéGénérale estconscientdesenjeuxsociaux environnementauxetdeconvergenceéconomique dans sa sphère d inuence et soucieux de lesprendreen compte dans ses activités Depuis une dizaine d années lespolitiques et processus de gestion des risques de crédit et deréputation ont ainsi progressivement intégré l évaluation d e critèresEnvironnementauxetSociaux(E&S) Outre les obligations réglementaires auxquelles il est soumis le Groupe a pris de nombreux engagements volontaires relatifsà ces sujets L ensemble de ces ob ligations et engagementssont déclinés dans les Principes généraux E&S et les politiquessector ielles et transversales qui leur sont annexées Ils ont unstatut de Directive interne sont signés par le Directeur général etont vocation à s appliquer à l ensemble du Groupe Ces principesconstituentlecadrederéférenced esprocéduresd évaluationE&S qui ont d abord été développées pour les activités de la ba nqued investissement et sont progressivement établies pour les autresactivités du Groupe (voir p 219 Politiques E&S sectorielleset transversales) Les Principe s généraux E&S du Groupe sontconsultables sur son site internet Ils font régulièrement l objet derévisions an de reéter au mieux la prise en compte d es enjeuxE&Sdanslasphèreécon omiqueetsociale En 2015 le Groupe a réafrmé son engagement en faveur de lalutte contre le changement climatique en se dotant d une stratégieclimat en cohérence avec l objectif international de limitation duréchauffement climatique à 2°C (voir p 225 La stratégieclimat duGroupe) Danscecadre SociétéGénérales estengagéàréduiredefaçon globale ses activités liées au charbon (en cohérence avec leRBDMQHN2°C de l AIE) et dès à présent n interviendra plus dansle nancement des projetsde centrales thermiquesàcharbondansles pays de l OCDE à revenus élevés et dans le nancement desprojets de développement de mines de charbon SociétéGénéralerenforce par ailleurs son engagement en faveur de la lutte contreK CENDRSSHN D CNOS S KD2NES NLLNCHSHDR NLOBS CD KMJHMFMUHQNMLDMS(MHSHSHUD URLWVK XPDLQVEn matière de droits de l homme les Principes généraux listentnotamment les standards et initiatives que SociétéGénérales engageàrespecter eta identié comme étant lesplusimportantspourl évaluationE&Sdesesclients La Déclaration universelle des droits de l homme le Pacteinternational relatif aux droits civils et politiques et le Pacteinternationalrelatifsauxdroitséconomiques sociauxetculturels Les Conventions fonda mentales de l Organisation internationaledu travail qui abordent notammentles questions liées au travailforcé au travail des enfants à la discrimination ou à la libertésyndicale LesPrincipesdirecteursdesNationsuniesrelatifsauxentreprisesetauxdroitsdel homme Les Principes directeurs pour les entreprises multinationales del OCDE LePactemondialdesNationsunies DenombreusesinitiativessectoriellesréférencéesdanslespolitiquesE&S comme étantle cadre attendu chez les entreprisesclientes duGroupeintègrentparailleursladimensiondesdroitsdel homme Cesengagementspourlesdroitshumainsdanslasphèred inuenceduGroupesontencohérenceaveclasignatured unaccord cadremondialsurlesdroitsfondamentauxavecl UNIGlobalUnion(voirpage241) %LRGLYHUVLWEnmatièredebiodiversité SociétéGénérales estdotéedepuis2012d unepolitiqueE&Sspéciqueapplicableàl ensembledesopérationsbancaires et nancières du GroupeUHKDRONBCTDR CDDTDCDRtransactions dédiées etdesclients LaConventionsurlepatrimoinemondial de l Unesco gure parmi les conventions internationalesque la Banque s engage à respecter dans ses Principes générauxE&S Le cadre normatif des Principes de l Équateur inclut enn desstandardsspéciquessurlabiodiversité 3ULQFLSHVGHOpTXDWHX UAdoptés par le Groupe en 2007 révisés en 2013 les Principes del Équateur (EP) constituent l une des initiatives qui sous tendent lesPrincipes généraux E&S Leur mise en uvre est assuréeUHCDRprocéduresetoutilsinternesdédiés LesEPontvocationàservirdecadrecommunausecteurnancierpouridentier évalueretgérerlesrisques E&Sdesprojets nancésetconseilléspar les83institutionsnancièresinternationalesquiontrejointl initiativeàcejour En2015 lesEPontintroduitdenouvellesobligationsdeQDONQSHMFandeprogresserentransparencesurlestransactionsnancéesparlesmembresdel association Danscecadre SociétéGénéralea publiéun premier rapport annuel (consultable sur le site institutionnel duGroupe)dédiéauxmodalitésdesonapplicationdel initiativeetrendpubliquelalistedesnancementsdeprojetsentrantdanslepérimètreEP auxquels la Banque participe (voir http www societegenerale com sites default les documents Document%20RSE Finance%20responsable Societe_Generale_EP_Report pdf) La Banque participe chaque année à l Assemblée générale des EPainsiqu àdesgroupesdetravaildel initiative IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( (6(1 (8 5 6(3 5 25 7 5(6La politique de responsabilité sociale et environnementale (RSE)du Groupe consiste à mettre en uvre ses engagements et àprogresserdurablementselondesaxes d actionsp rioritaires liésàsastratégieglobalequirépondentà2typesd enjeux l importance relative pour les parties prenantes externes avecune attention particulière portée aux attentes des agences denotationextra nancièreetnotammentRobecoSAM les impacts potentiels surKD ATRHMDRR LNCDKà moyen et longterme(résultats risques compétitivité opportunités innovation rôledelaBanque capitalhumain efcacitéopérationnelle) Ces enjeux au nombre de 17 ont été classés par la Direction dela RSE et du Développement Durable du Groupe et un grouped expertsenfonctiondeleurniveaudematuritéoude performancedu Groupe (existence d objectifs d indicateurs de performance niveau de la notation extra nancières ou points de vue d autresOSHDRODSDRIls représentent les priorités d actions RSE du Groupe développéespour2015danscechapitre (VVHQWLHO 6RXWLHQGXGYHORSSHPHQWGHVSDVPHUJHQWVHWGHVQRXYHDXDFWHXUVFRQRPLTXHV 3UHQQLWGHOD%DQTXHJUFHXQHJHVWLRQJOREDOHGHVULVTXHVLQWJUDQWOHVDVSHFWV(QYLURQQHPHQWDXHW6RFLDX &RQIRUPLWDXUJOHVHWUJOHPHQWV7UVLPSRUWDQW Gouvernementd entreprisetransparentetefcace RDXWVGHVSUDWLTXHV 6DWLVIDFWLRQFOLHQW *HVWLRQGHVFDUULUHV0RELOLW (PSORDELOLW 5HVSHFWVGHOHQYLURQQHPHQWGDQVQRVDFWLYLWV Respectdesdroitshumainsdansnosactivités PSRUWDQW 2IIUHGHSURGXLWVGYHORSSHPHQWGXUDEOH 3ROLWLTXHGHUPXQUDWLRQHQJDJHDQWH LYHUVLW 4XDOLWGHYLHDXWUDYDLO3HUWLQHQW ImplicationdanslesinitiativesinternationalessurlessujetsEnvironnementauxetSociauxrelatifsàlanance Informationtransparente pertinenteetablesurlesaspectsenvironnementaux sociauxetdegouvernance(ESG)9LVLEOH 0FQDWHWVSRQVRULQJ %148( (5)5(1&(SociétéGénérale a pour ambition d être un acteur de référence ausein du peloton de tête des établissements nanciers européens enmatière de RSE Depuis 2014 cette ambition est concrétisée par lefait que la performance extra nancière duGroupe est intégrée dansles éléments derémunération d environ 46000 personnes (personneldeSociétéGénéraleenFrance) Cemêmecritèrefaitégalementpartiedes critères qualitatifs d évaluation des mandataires sociaux utiliséspourladéterminationd unepartiedeleurrémunérationvariable 81( &8 7 85( (%148(5( 7 211( ()21 (685 (69 (856&20081(6SociétéGénérale veut être la banque relationnelle de référence prochedesesclients choisiepourlaqualitéetl engagementdeseséquipes CelasigniedeplacerleclientaucentredespréoccupationsCDKTDPouryparvenir SociétéGénéralearedénisesvaleursfondamentalesen 2014(lesvaleursEngagement etResponsabilitéontétéajoutéesaux valeurshistoriques d innovation et d esprit d équipe) puis amisl accent sur les comportements par lesquels ces valeurs de vaientse traduire pour l ensemble des collaborateurs au bénéce desclients Cette réexion sur la conduite de chacun qui s appuieRT KD NTDT+DCDQRGHO NCDK SociétéGénérale a pe rmis derenforcerunecultured entreprisequicombineàlafoisl ambitiondedéveloppement des activités (innovation) la volonté d exemplaritéindividuelle (engagement) et collective (esprit d équipe) ainsi quele souci de l éthique et du respect des règles (responsabilité) (Voirp 238 Développeruneculturedebanquerelationnelle fondéesurdesvaleurscommunes) * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 G O U V E R N A N C E E T P I L O T A G E D E L A R S E3 27*( ( 56(2UJDQLVDWLRQJRX YHU QDQFHLe système de gestion de la RSE s intègre progressivement àl organisation du Groupe et s appuie sur les dispositifs et organesexistantsàtouslesniveaux(dispositifsdegouvernance deconformitéetde contrôleinterne Comitésdesrisques Comitésdesnouveauxproduits règlementsintérieurs directivesetinstructionsetc ) Le Comité exécutif dénit les grandes orientations de la politiqueRSE du Groupe et valide périodiquement les plans d actions ens appuyantsurleQDONQSHMFémanant de laDirectiondelaRSE etduDéveloppementDurable LeConseild administrationestrégulièrementinformédel applicationdesengagementsEnvironnementauxetSociauxprisparleGroupe Les pôles métiers et les directions fonctionnelles du Groupe sontresponsables du déploiement de la stratégie RSE Au sein dechaqueentité desresponsablesRSEs appuientsurdes«contributeursRSE»pourconduiredesplansd actionsetsuivreleurmiseen uvre Leréseaudes«contributeursRSE»compteunesoixantainedepersonnes LaDirectiondelaRSEetduDéveloppementDurable rattachéeàlaDirectiongénérale autraversduSecrétariatgénéral apourmission aveclesresponsablesRSE de dénirla démarcheRSE du Groupe d animer la communauté de contributeurs RSE et d en coordonnerles actions Elle apporte son assistance aux métiers et facilite leséchangesetlagénéralisationdesbonnespratiques An d évaluer les progrès de la démarche des indicateurs RSEchiffrés ont été dénis Chaque année depuis 2005 les donnéescorrespondantes sont collectées consolidées et analysées à l aided undispositifdeQDONQSHMFmondialdédié auquelparticipentplusde1200personnes Depuis 2014 leGroupe disposed unnouvel outilperformant deQDONQSHMF12h KMDSGHB 1DONQSHMF» déployé dansl ensembleduGroupe FWLRQ VGHIRUPDWL RQHWVHQVLELOLVDWLRQGHVVDODULVUnerubriquedédiéedusiteinternetGrouperegroupelesinformationsrelatives à la mise en uvre de sa stratégie RSE Parallèlement etdepuis 2009 un intranet permet à l ensemble des collaborateurs etmanagersduGroupedes informersurlesbonnespratiquesdeRSEetlesévénements L intranetestcomplétéd uneMDVRKDSSDQbimensuelle Des conférencesouvertesàl ensembledescollaborateursduSiègesontorganiséestouslestrimestres En2015 ellesontportésurdesthématiques liées aux changements climatiques et la COP21 auxdroitsdel hommeetauxproblématiquesliéesàl eau La Semaine du développementdurable est aussi l occasion pour leGroupedemontrersonimplicationgrâceauxinitiativesdéveloppéesTRDHCDRCHEEDSDRCHDBSHNRDSCDRDRHAHKHRDKDRBNKKANSDTRàcesenjeux En2015etpourla3Dannéeconsécutive laremisedePrixde l efcacitéenvironnementale interne aétél occasion de valoriserdenouveauxprojetsen faveur deladémarche environnementaledelaBanque CedispositifpermetàtouteslesentitésetlesmétiersdelaBanquedeparticiperauxeffortsderéductiond émissionsdeCOONODRCT&NTOD5NHOSDBANDHSDDEnoctobre2015 àl occasiondela Semainedelanancesolidaire SociétéGénéraleamisenplaceunesemained animationàl intentiondesescollaborateursdansleslocauxdu siègeà LaDéfense autourCDRNNEEDABHDRNKHCHDDans le cadre des Trophées Innov Groupe (dédiés à l innovation)organisés chaque année SociétéGénérale valorise les initiativesinnovantesRSE LesTrophéesInnov Groupe2014rendusen2015parleCOMEXontpriméuneoffredeplacementdetrésoreriesocialementDRONRAKDONTDSDOHRDR21l2NBHK1DRONMRHAKD#DONRHSLa Direction RH organise régulièrement des conférences sur le«Bien êtreautravail»danslecadreduprogramme+HEDSVNQJ5NHp 243 Promotiondelaqualitédevieautravail) 2*8(9(& (6357 (635(117 (6SociétéGénérale veille à êtreà l écoutede ses partiesprenantes età adapter son dispositif an de répondre au mieux à leur attente chaque fois que possible dans le respect de la réglementation etdes lois en vigueur Le Groupe a une politique de réponses auxréclamations ou sollicitations avec des équip es dédiées à chaqueOSHD ODSD DR KTSHNR EHSDR O KDR SHDR DSDDR RT KDRréalisations de la Banque font partie de son système de pilotage à l instar du tableau de bord «Risque de réputation» qui est remistrimestriellement à la Direction générale avec une vision holistiquedes relations ou des indicateurs communiqués dans ce Documentde référence Plus précisément le Groupe a une politique actived écouteavec KDRBKHDSR lesemployés KDRHDRSHRRDTRDSBSHNHDR lerégulateur KDR & KDRENTHRRDTR lesagencesdenotationsextranancières VoirsurlesiteinternetduGroupeetl analysedesesnotationsp 224 IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 2 M E T T R E E N U V R E U N E F I N A N C ER E S P O N S A B L E 2<87 (6357 48(6La loya uté du comportement à l égard des parties prenantesexternesetdefaçonplusgénéralel intégritédespratiquesbancaireset nancières concourent de façon décisive à la réputation deSociétéGénérale En veillant au respect de ces règles le Groupecontribue àaccroître un actif essentiel la conance dont iljouit vis à visdesclients desfournisseurs desprestatairesdeservices descollaborateursetdesautoritésderégulationdontildépend DenombreuxdispositifsetinitiativesrelatifsàlaloyautédespratiquesRNSHRHONSROSNTSCRKD&NTOD DYDO HXU5HVSRQVDELO LWDXFzXUdelaculturede banquerelatio nnel leDYHFODGPDUFKH &XOWXUH5 6 La maîtrise des risques et leur pilotage sont au c ur de l expertisedesmétiersdeSociétéGénérale c estpourquoiils agitd unélémentcentral de l axe «Responsabilité» du nouveau+DCDQRGHO NCDKdu Groupe La démarche Groupe labellisée «Culture RISK» p ortéedans le cadre du programmeMSQDOQHRD 1HRJ MFDLDMS (ERM)existedepuis2011 Elleafortementcontribuéàfaçonnerlenouveau+DCDQRGHONCDK (Voirp 238 Zoomsurl axe«responsabilité») &RGHGHFRQGXLWHLeGroupes estxécommeobjectifstratégiquedeprotégerl imagedel entrepriseetdeveilleràcequechacundescollaborateursagisseavec intégrité au quotidien De nombreux travaux ont été entreprisdepuis2011surlessujetsCulture&Conduite LeGroupes estdotéd uncorpsdedoctrinesetderèglesdebonneconduiterigoureuses Ce Code de conduite constitue la base de l éthique professionnellede Société Générale Il existe sous la forme d une directive inter nesignéeparleDirecteurgénéraletfaitainsipartiedeladocumentationnormative sur laquelle s appuie le dispositif de gouvernance Cesrègles vont au delà delastricte application desdispositionslégaleset réglementaires en vigueur en particulier quand celles ci danscertains pays ne sont pas conformes aux standards éthiquesque s impose le Groupe dans ses valeurs et ses engagements etconstituentunsoclehomogène Le Code clarie les droits et devoirs des collaborateurs clients ENT HRRDTR DSBSHNHDR CRKDK SHN DB2NBHS&KDIl promeut la responsabilité sociale et environnementale et rappellelesprincipauxengagementsprisparleGroupetelslePactemondialet l UNEP FI (4MHSDC SHNMR MUHQNMLDMS QNFQLLD l HBDInitiative) et l utilisation parcimonieuse des ressources naturelleset énergétiques Des précisions s ajoutent aux fondamentaux quesont lerespectdesengagementsfondamentaux(telsquelesdroitsde l homme le respect de l environnement etc ) la prévention desconitsd intérêtsetdelacorruption laluttecontreleblanchimentdel argentetlenancementduterrorisme laconduiteàtenirenmatièrede cadeaux et invitations les achats responsables et la procédured escaladeencasdenon conformité Il est disponible dans les 8 langues les plus pratiquées dans leGroupe et applicable à l ensemble de ses collaborateurs quel quesoitleurniveauderesponsabilité ainsiqu àsesDirigeants Ilprécisepar ailleurs les modalités d exercice du droit d alerte lorsqu unesituationparticulièrelejustierait Ilcontribueainsiàlapréventiondesrisques an de consolider la réputation et la dé marche responsabledel entreprise DNCDCDBNCTHSDDRSCHRONHAKDRTKDRHSDHSDDSCT&NTOD(Voiraussichapitre4 9 p 200 Lacultureconformitéetp 238 Zoomsurl axe«responsabilité») &RGHGHFRQGX LWHILVFDOLe Code de conduite scale du Groupe approuvé par le Conseild administration en novembre 2010 s inscrit dans le cadre desNKTSHNR HSDSHNKDR D TD CD KTSSD BNSD KDR OSHTDRscales dommageables notamment à la demande de l OCDE Il estCHRONHAKDRTKDRHSDHSDDSCT&NTODAvec ce code Société Générale s engage notamment à ne pasfaciliter ou soutenir des opérations avec les clients dont l efcacitéreposesurlanon transmissiond informationsauxautoritésscales À ce titre le Groupe s est pleinement investi dans la mise enSENSI B IL ISAT IO N À L A C ULT U RE R I SQU ESP O LI TI QUES SE CT O RI ELL ESL OYAU TÉ D ES P RAT IQ U ES52 000collaborateurs formésplus de12100 %des clients GBISdes secteurs sensiblesont fait l objet d unerevue E&S106Code de conduite enlangues8+Politiques Environnementales & Sociales1 Code de conduite scale1 Charte pour une représentationresponsableCulture RisquesTous vigilants Tous gagnants transactions on fait l objet d uneévaluation E&S pour un montant d engagements de 6 7 Md EUR * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I uvre des réglementations visant à assurer la transparence scale(FATCA directive Coopération administrative dans le domaine scalet dernièrementNLLNM 1DONQSHMF 2SMCQC) Il est à noter enparticulierquetoutesleslialesdelaBanquePrivéesontimplantéesdans des États ayant adopté leNLLNM 1DONQSHMF 2SMCQC DèsDSTOKTRSCTDjanvier2017enfonctiondesconventionsinter nationalessignées ellespratiquerontainsil échangeautomatiquederenseignementsàl égarddes98paysengagésàaujourd hui Ilaparailleursétédécidéderenforcerdemanièreexplicitel informationquant à l obligation faite à notre clientèle internationale en BanquePrivée de seconformeraux loisetréglementations d ordrescaldel ensembledesjuridictionsquiluisontapplicables Dans ce cadre le Groupe demeure vigilant sur la conformité scalede ses activités et de ses clients Société Générale a déni depuis2003 des règles inter nes strictes an d éviter tout développementd implantations dans les pays qualiés de paradis scaux noncoopératifsparl OCDE Depuis2010 SociétéGénéraleadécidédefermer etamisen uvreles démarches nécessaires pour fermer toutes les implantations duGroupe dans des États ou territoires jugés non coopératifs par laFrance et dont la liste a été mise à jour par l arrêté ministériel du21décembre2015(publiéauJOdu22décembre2015) En 2015 Société Générale ne détenait plus directement ouindirectement aucune implantation en activité dans les Étatsconcernés SociétéGénéraledétientunelicencenonutiliséeàBrunei Par ailleurs le groupe Société Générale proscrit les nouvellesimplantations dansune listeélargiedepays dite «liste SG» (établieà partir de pays ayant quitté tardivement la liste grise de l OCDE) saufautorisationdelaDirectiongénéralemotivéeparl activitélocale Enn leGrouperespectelesdispositionsduCodegénéraldesimpôtset notamment de l article 209 B (NMSQNKKDC NQDHFM NLOMHDRQTKDR)qui prévoit la taxation en France d entités du Groupe établiesdans des pays où l impôt sur les bénéces est inférieur à 50 % dutaux français (ex SG Acceptance aux Antilles néerlandaises) (voirchapitre2 12 Informationsrelativesauximplantationsetactivitésau31décembre2015) REELQ JUHVS RQVDEOHLes réglementations susceptibles d impacter les activités de laBanque se multiplient et se complexient Dans ce contexte SociétéGénérale s efforce d être un interlocuteur proactif auprèsdes acteurs politiques ledépartementAffaires publiques participantde manière transparente et constructive au débat public autour del élaborationdeslégislationsquiimpactentnosactivités Depuis 2014 SociétéGénérale a rejoint la déclarationcommune de3QMROQDMBX (MSDQMSHNMK QMBD pour la promotion d unKNAAXHMFtransparent et intègre Le Groupe a aussi publié sa Charte pourune représentation responsable auprès des pouvoirs publics et desinstitutionsreprésentatives dontl objetestde OBHRDKDRBNCHSHNRCRKDRTDKKDRKD&NTODBNSHATDTSHKdesautoritésderégulationàtouslesniveauxdegouvernance mettre en avant unKNAAXHMFtransparent intègre et contribuant audébatpublic auprèsdesescollaborateursetdestiersquiparticipent aunomduGroupe auprocessusdeladécisionpublique établirlesprincipalesrèglesrelativesauxactivitésdereprésentationauprèsdespouvoirspublicsetdesinstitutionsreprésentatives Conformémentàcesengagements KDR OHBHOT BNKKANSDTR CD K HDBSHN CDR EEHDRpubliques concernés sont dûment déclarés sur les registres detransparence des institutions auprès desquelles les activités dereprésentationsontexercées Unioneuropéenne(CommissionetParlement) Parlementfrançais(AssembléenationaleetSénat) KDR OHBHOKDR OHRDR CD ONRHSHNR CT &NTOD DS KD BCD CDR ONKHSHTD CD DORDSSHN DRONRAKD RNS OTAKHTDR DSnotammentconsultablessurlesiteinstitutionnelduGroupe dansKOSHDHBDDRONRAKDuFWLRQ VHQJDJHVSRXUSUYHQLUlaco rruptionLa lutte contre la corruption se mondialise De nombreux Étatsrenforcent leur législation anticorruption avec un durcissement dessanctionsyafférentes SociétéGénéraleaprisdèsl année 2000desengagementsdanslecadredugroupedeWolfsbergpuisen2003danslecadreduPactemondial Le dispositif de lutte antiblanchiment inclut la surveillancedel instrumentalisationéventuelledusystèmebancairepardestierspourselivreràlacorruption En matière de lutte contre la corruption SociétéGénérale a desOHBHODR RSHBSR TH RNS HRBHSR CR KD NCD CD BNCTHSD DSse conforment aux dispositions des réglementations les plusrigoureuses en la matière notamment le UKQHADQX BS Un suiviétroitde leur miseen uvre a été mis en place Les dispositions etcontrôlesobligatoiressontdiffusésdepuis2001UHCDRHRSTBSHNRactualiséesetapplicablesàl ensembleduGroupe Demanièreàrenforcerlavigilance unmoduledeformationrelativeàlasensibilisationdescollaborateursdugroupeSociétéGénéraleàlaluttecontrelacorruptionaétédéployéen2015etsonsuivirevêtuncaractèreobligatoire (Voir chapitre «Risques de non conformité et de réputation etrisquesjuridiques»p 198) 6DWL VIDFWLRQFOLHQWVHWPGL DWLRQSAT I SFA C T IO N CLI E NT SEn 2014 le Groupe a réafrmé son ambition d être «La banquerelationnelle de référence sur ses marchés proche de ses clients choisie pour la qualité et l engagement de ses équipes » Cetteambitions inscritauc urdesastratégie Danscecadre l ensembledes métiers du Groupe est fortement engagé dans des plansd actions pour améliorer les parcours et l expérience des clients ets organisepourpiloterdefaçonrapprochéeleursatisfactionetleursintentionsderecommandation La qualité de service client étant étroitement liée à la qualité dumanagement des équipes (principe de «symétrie des attentions») le Groupe a d éveloppé un large programme d accompagnementmanagérialenlienaveclesvaleursduGroupecentrésurleclient (1)51&(PourchacundesprincipauxsegmentsdemarchédelaclientèledelaBanquededétailenFrance(Particuliers Professionnels Entreprises) SociétéGénérale ses liales spécialisées (Sogecap Sogessur IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( Frannance ) et le Crédit du Nord interrogent chaque annéedepuisprèsde dixansde séchantillons représentatifsde sonfondsde commerce ainsi que les clients des 11principales banquesfrançaises pour évaluer leur niveau de satisfaction comparé Lesclients interrogés s expriment sur leur niveau de satisfaction globaleDSCSHKKDRTSNTRKDRRODBSRCDKDKSHNABHDParailleurs pourafnersonoffredeproduitsetservicesetrépondreau mieux aux besoins de ses clients la Banque d Investissementde SociétéGénérale a mesuré en 2015 le taux de recommandationde la Banque par ses clients grandes entreprises ou institutionnelsdu monde entier ( DS QNLNSDQ 2BNQD) en interrogeant plus de1200personnesreprésentantplusde160acteurséconomiques Pour afner la mesure d e la satisfaction client dans le réseauSociétéGénérale le ba romètre nationa l conc urrentiel est doubléde baromètres annuels de satisfaction dont les résultats sontdisp onibles jusqu au niveau de chaque agence Ces baromètressontréalisésparde s prestatairesexternesdepremierplan(institutd étude CSA) Ainsi chaque année ce sont 120000clientsparticuliers 14500clients professionnels et 5000PME (tous les18mois) qui sont interrogés pour le compte de SociétéGénéralesurleurintentionde recommandationet leurniveau de satisfactionglobale et détaillé pour leur agence et son personnel L ensembledes agences SociétéGénérale bénécient par ailleurs chaqueannée de plusieurs «visites mystères» Chaque agence reçoit àl issuedechaquevisite mystère unerestitution précisepermettantd apprécier la qualité de pr ise en charge de s prospects pourcap italisersurles réussitesoudégagerdespistesdeprogrès Le Groupe Crédit du Nord (CDN) réalise les mêmes étudesconcurrentielles auprès des clients qui sont complétées par unCHRO NRHSHE HSDD DOTHR OKTR CD R KDR BKHDSR CT &NTODCrédit du Nord sont interrogés chaque année sur leur niveaude satisfaction En 2015 55129clients ont été interrogés(45990particuliers 5568profes sionnels et 3571entreprises) LegroupeCDNréaliseégalementchaqueannéedesvaguesd appelsmystères ainsi que des visites mystères au sein de ses agences Depuis 2013 le dispositif a été fortement renforcé par la créationd uneDirectiondelasatisfaction client&optimisation directementrattachée à la Direction générale et la formation de l ensembledes collaborateurs du grou pe CDN sur la «Satisfaction client» L évolution de la note de satisfaction client constitue le premierobjectifdeperformanceannuelledesagencesdesrégionsetlialesdugroupeCDN Uncertainnombredeprixviennentrécompenserlaqualitédeservicede la Banque ainsi que le dispositif mis en uvre dans ce cadre Pourla4Dfois SociétéGénéraleareçuladistinction«Serviceclientdel année2016» décernéeparViséoConseil Desoncôté leCDNgure régulièrement sur le podium pour les 3marchés Particuliers Professionnels et Entreprises en matière de satisfaction client EnHKRDBKRRDDsurlemarchédesparticuliers 4DsurlemarchéCDRONEDRRHNDKRDSDsurlemarchédesentreprises SociétéGénérale réalise également de «l écoute à chaud» de sesclientssuiteà chaqueopérationde prêtimmobilier L objectif majeurest de piloter au plus prèsles événementsclésde nosclients pours assurerdelabonne adéquationentreleniveaudeserviceattenduet la prestation délivrée Cette «écoute à chaud» est réalisée surl ensembledesagencesetlesrésultatssontpartagés chaquemois avecl ensembledesacteurspartiesprenantesdel opération Enn pour piloter les grands standards de qualité délivréequotidiennementparlaBanque lesuivid unequinzained indicateursest opéréchaquemoiset restitué jusqu au niveau le plus n(qualitédelapriseenchargedesappelstéléphoniques qualitédesconseils délais de traitement ou d émission d offre ) pour que chaqueagence puisse agir rapidement sur toute dégradation éventuelle deRTKHSCDRDHBDCKHDL ensemble de ces dispositifs est au c ur d un programme delabellisationqualitédesagences lancéen2013parSociétéGénéralepourconcrétisersonorientationstratégiquerésolumenttournéeverssesclients Depuistroisans lepourcentagedesagenceslabelliséesrépondant aux critères d excellence est en croissance forte etcontinue Enparallèle lepourcentagedesagenceslesplusenretraitbaissedefaçonconcomitantecequipermetd assurerunniveaudequalitédeserviceplushomogènesurl ensembleduRéseau Le niveau de satisfaction client sur chaque marché fait partie desobjectifsprioritairesassignésàchaquedirecteurderégionetintégréàchaquerevuedeperformancedel entité Leniveaudesatisfactionclientetsonévolutionimpactentl enveloppederémunérationvariabledescollaborateurssachantqu iln existeplusdecommissionnementàl actedevente(Voirp 242 Unepolitiquederémunérationattractiveetengageante) Poursoutenirl actiondeséquipessurleterrainetassurerlesactionsBNDBSHBDR TH CODCDS CDR ENBSHNR RTOONSR KDR CHDBSHNRcentralesduSiègesesontengagéesdès2013dansunprogrammedeculturedeservice Pouralimentercepland améliorationcontinue TD D métrique quantitative a été mise en place en 2015 avec laproductiond unbaromètreinternequimesureleniveaudesatisfaction(global et détaillé) des équipes dufront middle DSback ofceCTRéseauvis à visdesprestationsdélivréesparles équipesduSiège De façon qualitative la voix du Réseau irrigue régulièrement lesCHEEDSR RDHBDR BDST T SDR CD ODKR BNKKANSDTRuMenés en interne la remontée directe de la voix des équipes encontactclient surdifférentesthématiques pa rmétieretparmarchépermetdenourrirl améliorationcontinuedesservicesdelaBanque L ensembledecetteactionestaniméequotidiennementparl équipeCD K HDBSHN CD K RSHREBSHN BKHDS TKHS CD K TDde détail Société Générale qui s appuie sur un réseau efcaced animateurs de la force de vente implantés localement pour agirau plus près des agences les accompagner et participer de façonréactive à la remontée de toutes difcultés et dysfonctionnementsvers le Siège Lesintranets de la Banque communiquent largementsur la satisfaction client notammentUHCDR DROBDR CCHR ONTaccompagnerl ensembledesacteurs p 17(517 21 En 2015 les Réseaux de Détail à l international ont lancé uneinitiativetransversedepilotageetdemesuredel expérienceetdelasatisfactionclient quiseradéployéeprogressivementde2016à2018sur ses liales Banques et Crédit Consommation Ce programmevise à doter les entités d un dispositif de pilotage de l expérienceclient solideet homogène en s appuyant sur 2piliers identicationetsuividesexpériences clésdesclientsaveclaBanque mesuredeK RSHREBSHN DKSHNDKKD DS CD K RSHREBSHN SRBSHNDKKD mise à disposition d un dispositif d analyse commun à l ensembledes banques des réseaux de détail à l international permettra depiloter et partager les plans d actions pertinents pour s adaptercontinuellementauxattentesdesclientsetconstruireundispositifdebanquerelationnellequis appuiesurla«voixduclient» Cedispositifsera déployé dans un premier tempssur lespérimètres declientèleParticuliers Professionnels un dispositif parallèle et cohérent baséRT KD DS QNLNSDQ 2BNQD étant en cours d élaboration sur lepérimètredelaclientèleNQONQSDR * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I R ÉC LAM AT I ONS E T M É D I ATI O NChacundespôlesd activitéduGroupedisposed unegouvernance d uneorganisation dep rocéduresetdemoyensadaptésauxactivitésdesesmétiers poursondispositifdetraitement des réclamationsetCDKDTRTHHD importantesactionsdeformationetdesensibilisationdescollaborateursontétémenéesdansleGroupe notammentdanslaBanquededétailenFrance(SociétéGénérale BoursoramaBanqueetCréditduNord)etauseindelaligne métierAssurances(démarchequalitéISO9001) cequia fortement contribué à l optimisation des processus (enregistrement qualitéetdélaisdanslesréponsesapportéesàlaclientèle) L informationdelaclientèleaparailleursétéaméliorée Les instructions du Groupe intègrent en matière de traitement desréclamationsunprocessus d escalade ainsi que le recours possibleàunmédiateurinterneouexter ne(médiateurindépendantdugroupeSociétéGénérale commun avec le groupe Crédit du Nord AutoritédesMarchésFinanciers FédérationBancaireFrançaise) (1)51&(SociétéGénérale s attache à ce que toutes les insatisfactions oudysfonctionnementsdans saBanquede détail puissent trouver unesolution rapide et si possible immédiate dès que l agence en estinformée par son client Néanmoins lorsqu un désaccord subsisteà l issue du traitement effectué à cet échelon le client peut fairevaloir sa demande auprès du service des relations clientèle deSociétéGénérale et le cas échéant si le litige perdure saisir lemédiateur cessaisinesétantentièrementgratuites Uneréponseestapportée auclient dans undélaiqui sauf exceptions n excède pasdixjourspourSociétéGénéraleetdeuxmoispourlamédiation Lamédiation voie derecours amiableet gratuite miseen place parSociétéGénérale dès 1996 et institutionnalisée par le législateuren 2002 est portée à la connaissance des clients sur de multiplessupports d information notamment par une mention permanentegurant au verso des relevés de comptes Les décisions prises parle médiateur indépendant s imposent à la Banque celle ci s étantengagéeparavanceàs yconformer En2015 lemédiateuratraité267dossiers Leslitigesinhérentsauxprêts représentent 24 3% des dossiers présentés à la médiationet ceux concernant les placements nanciers en baisse enreprésentent19% DOTHRKDDjanvier2015 MonsieurYvesGérardestlemédiateurdeSociétéGénérale et du groupe Crédit du Nord En mars2015 il aétémisàdispositiondumédiateuruncollaborateurdédiéchargédetraiterlesdossiersdelamédiation Dans les autres métiers en France les clients ont aussi accès aumédiateurinterneouàdesmédiateurspublics(ASF FFSA ) p 17(517 21 Pourlesentitésetlialesàl international lesmêmesrecoursexistentauprès de médiateurs locaux nommés (si la réglementation localel exige)ouauprèsdesinstancesdemédiationlocalesadosséesàdesorganismesprofessionnels Pour lesactions de protectiondesclients voirchapitre 4 9 La miseenoeuvredespolitiquesdeconformitéetpourlesactionsproactivesde protection des clients en situation de fragilité économique voirp 253 Lutte contre la précarité et protection des populationsTKAKDR6FX ULWQXPULTXHHW SURWHFWL RQdesdonnéesDanslecontexteglobaldetransformationdigitale un desenjeuxduGroupeconsisteàproposeraux clientsune offre deservicedigitalesimpled usage disponibleethautementsécurisée SociétéGénéraleinvestitdoncenpermanencepourgarantirlasécuritédesopérationset la protection des données de ses clients C est un enjeu crucialface à la recrudescence de la cybercriminalité Le Groupe estgarant delasécuritédesdonnées etdurespectdusecretbancaire L expertise du Groupe sur ces sujets de sécurité et protection desdonnées clientslepositionnecomme untiersdeconance vis à visCDRDRBKHDSRDans le cadre de la transformation de son modèle relationnel leréseauFrancedeSociétéGénéraleaannoncé1 5milliardd euroseninvestissementsystèmed informationd icià2020 dontenviron5%sontdédiésàlasécurité SÉ CU RIT É NU M É RI Q UEIl existe un dispositif Groupe de maîtrise des risques de sécurité dessystèmes d information Il est coordonné au niveau du Groupe par unresponsable des risques opérationnels informatiques et de la sécuritédes systèmes d information(voir chapitre3 5 Risques opérationnels ycomprisrisquesliésauxsystèmesd information) Cedispositifestrelayédanschacundespôlesd activités deslignes métiersetdesentités Pour luttercontrelacybercriminalité SociétéGénérale proposedessolutions pour protéger les actifs et les transactions de ses clients(ParticuliersetEntreprises) En2015 àtitred exemple 3nouveautésNSSKBDR 2DBTQD BBDRRTDRNKTSHNCCHDTDSDOHRDRTHRBTHRDl authentication et la validation des ordres (de paiement oud encaissement) Quel que soit le canal utilisé pour initierl opération le valideur sera alerté et pourra la valider depuisRNRLQSOGNMD sa tablette ou son PC de façon simple etindépendanteducanald origine QSD BNCD BQXOSN CXMLHPTD TD BSD DB TD RBTHSencore renforcée pour les achats en ligne Les 3chiffres ducryptogramme sont remplacés par un petit écran intégré quiafche un nouveau code toutes les heures rendant inopéranteset sans valeur les données qui auraient pu être volées Leformat et les fonctionnalités de la carte par exemple le «sanscontact» restent inchangés Une expérimentation auprès deODRNDRDRSOTDD BGHMDKDQMHMFencomplémentdesoutilsdeAHFCSqu elleadéployéspoursurveilleretprotégerlesopérationsdesesclients laBanqueétudielamiseenplacedessystèmesd apprentissageautomatisés an de détecter en temps réel les anomalies decomportementetd anticiperaumieuxlafraud e SociétéGénérale poursuit également ses actions de préventionauprèsdesesclientscontreleOGHRGHMFoul ingénieriesociale Mise à disposition gratuite aux clients de SociétéGénérale de3QTRSDDQ une protection supplémentaire (pare feu et antivirus)spécialiséedansledomainebancaire(pourlesclientsparticuliersDSONEDRRHNDKR Changementducodecondentieldebanqueàdistanceobligatoiretousles12mois(pourlesclientsparticuliersdepuis2015) Pass Sécurité (équivalent de2DBTQD BBDRR ONT KDR BKHDSROSHBTKHDRDSONEDRRHNDKR IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( Cycledeconférencessurla«fraudeauPrésident»enpartenariatDBKONKHBDSHNKDONTBKHDSRSDOHRDREn décembre2015 SociétéGénérale a aussi été partenaire deK D campagne publique nationale sur la protection des donnéespersonnelles LacampagnehBJ BCDLX» néesousl impulsiondu CIGREF (Club informatique des grandes entreprises françaises) visant à diffuser le plus largement possible des messages deprévention invite les Français à adopter les bons comportementsfaceauxd angerslespluscourantssurinternet(pourensavoirplus www hack academy frÀ l international pourlaprotection des donnéesde laclientèle desrecommandationsdebonnepratiquesontafchéessurlesdifférentsservicesbancairesenligne Voir chapitre 3 5 Rapport du Président sur le contrôle interne et lagestiondesrisques PROT E CT I ON D E S D ONN ÉE S À C AR ACT È R EPER SO NN ELLeGroupeestparticulièrementsensibleàlaprotectiondesdonnéesà caractère personnel Le respect des règles de protection desdonnéesàcaractèrepersonnelestunenjeumajeurdudéveloppementmaîtrisé de l informatique et des nouvelles technologies au sein dugroupeSociétéGénérale SociétéGénérale en tant que partenaire de conance privilégié etgardiendesdonnéesdeses clients n apasvocationàlesvendreàdestiers L utilisation des donnéesdesclientsrépondàdesnalitésdénies quiontpourobjectifd assurerleniveaudequalitédeserviceetd offreattendu Dès 2007 SociétéGénérale décide de renforcer son dispositif deprotection des donnée s personnelle Un pôle «Protection desdonnées personnelles» Groupe au sein de la Direction juridiquespécialisé sur lesenjeux de protectiondelavieprivée quiestaussil interlocuteurdelaCNIL estcréé Cepôleapourmissiond assister conseiller et informer toutes les entités de SociétéGénérale enmatière de protection des données personnelles de répondre auxdemandes d assistance des liales du Groupe en la matière ainsiqued assurerlesrelationsaveclaCNIL Ildoitêtreconsultélorsdelamiseen uvredenouveauxtraitementsautomatisés(informatiques)ou en cas de modication an de préciser aux responsables destraitements les précautions à prendre les formalités nécessaires lecaséchéant eta ssurerlesuivicentralisédel envoidesdéclarationsàlaCNIL Des instructions internes conformes aux réglementations localeset européennes dénissent les règles à appliquer et traitements àréaliser an de garantir la protection et la sécurité des données denos clients et de nos collaborateurs L instruction Groupe sur «letraitement des donnéesàcaractèrepersonnel»précise notammentque la mise en uvre de traitements comportant des transferts dedonnéesàcaractèrepersonnelendehorsdel Unioneuropéenne(UE) et ce y compris vers d autres entités du groupe SociétéGénérale doit être accompagnée de garanties spéciques (conclusions declausestypesde laCommissioneuropéennenotamment)etdoitfairel objetd uneprocédured autorisationdelaCNIL En France un site intranet a aussi été développé par le pôle«Protection des données personnelles» Il rappelle notamment lesdroitsdespersonnes metàdispositionduréseaudesagencesunenotice portantrappel de la procédure à suivre en casd exercice dudroit d accès ainsi q u un modèle de réponse à une demande dedroitd accès Deplus SociétéGénéraleamisenplacelesmesuresadéquates pour garantir le respect du droit d accès aux clients auxdonnéesàcaractèrepersonnellesconcernant parmilesquelles unemention d informationpréalable gure au pied detout formulaire decollecte de données à caractère personnel mais également dansles conditions généraleset particulièresde nosproduitsetservices Cettementionpréciseleserviceauprèsduquelledroitd accèspeutêtre exercé Par ailleurs des modèles de réponses aux demandesdes personnes concernées relatives à la suppression de leursdonnéesdétenuesparnotreétablissementainsiquedesdemandesd oppositionauxtraitementsdeleursdonnéessontmisàdispositiondesagences Les clients ont aussi accès sur les sites internet des banques duGroupe à la documentation relative à la protectionet l utilisation deleursdonnéesàcaractèrepersonnel Concer nant plus particulièrement les données des collaborateurs la Direction des ressources humaines Groupe a adopté des règlesCD ONSDBSHN CDR CNDR ODRNDKKDR 1 OOKHBAKDR Tcandidats et aux employés LesHMCHMF NQONQSD 1TKDR1règlescontraignantes applicablesdanstouteslesentitésdugroupeSociétéGénéraledanslemondevisentàassurerunniveauadéquatet homogène de protection des données personnelles et de la vieprivée des employés et candidats da ns le cadre des processus degestiondesressourceshumaines Dansce cadre SociétéGénéraleaaussi désigné auprès de la CNIL un correspondantInformatiqueet Libertés (CIL) sur un périmètre de traitements déterminés garantde la conformité des traitements de données personnelles sur cepérimètred intervention * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I ( 3 2 (0(17 (6(1* *(0(176(6 16 (& 5(DENOSACTIVITÉSDEFINANCEMENTETD INVESTISSEMENTLeGroupes estdotédeprocéduresvisantàlamiseen uvredesesengagementsE&S(PrincipesgénérauxE&S politiquessectoriellesetPrincipes de l Équateur) Ces procédures dé nissent les modalitésdepriseenchargedesenjeuxE&Sassociésauxtransactionsouauxclients à qui la Banque fournit des services bancaires et nanciers Concernant initialementles activitésde la Banqued Investissement ellessont développéesetdéployéesprogressivementdansl objectifde couvrir à terme l ensemble des activités de nancement etd investissement du Groupe Outre l identication l évaluation etle traitement approprié des impacts E&S négatifs potentiels cesprocédures permettent également de qualier les transactions àimpacts positifs en matière de développement durable C est surcette double approche que repose la nance à impact positif (voirp 220 Lananceàimpactpositif) 3ROLWLTXHV(6VHFWRULHOO HVettransversalesDR ONKHSHTDR RDBSNHDKKDR DS SRDRKDR BNTDS RDBSDTRconsidéréscommepotentiellementsensiblesd unpointdevueE&Souéthique etdanslesquelsleGroupejoueunrôleactif Lessecteursénergétique et extractif sont couverts par plusieurs politiquessectorielles du fait de leur importance au sein de l économie etpour le Groupe et de leurs impacts potentiellement importants entermesd émissions atmosphériques (ycompris gaz àeffetde serre)et d impacts sur l environnement naturel et sur les communautéslocales (barrages et énergie hydroélectrique centrales thermiques centrales thermiques au charbon mines nucléaire civil pétrole etgaz) L exploitation agricole et forestière fait également l objet deplusieurspolitiques(agriculture pêcheetagroalimentaire exploitationforestièreethuiledepalme) LaDéfenseetlesnaviresdecommercesontégalementcouverts UnepolitiqueE&Sapplicableàl ensembledesactivitéscomplètecedispositifsurlabiodiversité Élaborées par des groupes de travail transversaux au sein de laBanque les politiquesE&S sontapprouvéesparleComitéexécutif Elles précisent les principaux enjeux et risques E&S du secteur identient les standards internationaux faisant référence dans cesecteur et précisent également la déclinaison de ces politiques auHDT CDR BKHDSR DS CDR SRBSHNR CCHDR R T ONBDRRTRd amélioration continue une veille sectorielle permet d évaluerla nécessité de mettre à jour les politiques existantes En 2015 lapolitique sectorielle Centrales thermiques au charbon a été miseà jour an de clarier le degré d exigence en matière d efcacitéthermique des nouvelles centrales susceptibles d être nancées ouBNRDHKKDROKTDDR ONKHSHTDR 2 RNS OTAKHTDR DS BBDRR HAKDR RT KD RHSDinternet du Groupe (http www s ocietegen erale com fr mesurer notre per forman ce rse finance responsable) LVWHGHVXUYHLOODQFH (6Andefaciliterl identicationdescontroversesrelativesauxsujetsE&S unelistedesurveillanceE&SestconstituéeetmiseàjourtrimestriellementpardesexpertsE&Sinternes Cettelisterecenselesprojets entreprisesou secteurs d activité nancés ou non par SociétéGénérale qui fontl objet de controverses ou de campagnes publiques de la part de lasociétécivilepourdesraisonsE&S CettelisteinternepermetuneveilleglobaleetviseàalerterleséquipesopérationnellesenamontetàmettreDOKBDTDKTSHN2DENBD LVWHGpHFOXVLRQ GIHQ VHAu delàdelalistedesurveillanceE&Setdanslecadredelapolitiquesectorielle Défense une liste d exclusion a été élaborée Elle estconstituée d entreprises qui produisent fabriquent stockent oucommercialisent des mines antipersonnel ou des armes à sous munition ainsi que d autres types d armes très controversées SociétéGénérale s est engagéeau travers de sa politique à ne pasfournir enconnaissancedecause deservicesbancairesetnanciersàcesentreprises àleursmaisonsmèresouàleursliales 3URFGXUHVGpYDOXDWLRQ(6destransacti onsL évaluation des risques et impacts E&S des transactions constituelamiseen uvreopérationnelledesPrincipesdel Équateur(EP)surlepérimètre couvertpar cette initiative SociétéGénérale aenoutreétendu de manière volontaire le périmètre d application des EP etintégréunensemblede transactionssusceptiblesdecomporterdesenjeux E&S tels que les transactions Marchés de capitaux actions les transactions Marchés de capitaux de dettes les Fusions etacquisitions ouencoreleFinancementd acquisition Au sein de la Banque de Financement et d Investissement uneéquipe dédiée d experts E&S vient en soutien aux responsablescommerciaux dans l évaluation et l appréhension des impacts E&SCDRSRBSHNRDSCDRBKHDSREn2015 SociétéGénéraleapoursuivila miseàjouret laabilisationde ses processus de mise en uvre de ses engagements E&S enparticulierlesEP àtraversl évolutiondesesprocédures laformationdesescollaborateursetledéploiementdenouveauxoutilsinformatiques Lesprincipalesétapes de l évaluation E&S destransactions au seinde la Banque reposent sur la phase d identication puis la phased évaluationE&Setlaphased action Durant l année 2015 106transactions ayant fait l objet d unerevue E&S ont été signées par le Groupe Parmi ces transactions 31nancements de projets 5prêts auxentreprises liésàunprojet 1prêtrelaiset10mandatsdeconseilenmatièrede nancementdeprojetsentrentdanslepérimètredesPrincipesdel Équateur Autotalsurl année2015 pourlestransactionsayantfaitl objetd une revueE&S le montant de nouveaux nancements s élève à 2 9milliardsd eurosdanslepérimètreEPetà3 7milliardsd euroshorspérimètreEP(périmètred applicationvolontairedeSociétéGénérale) IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 3URFGXUHV GpYDOXDWLRQ(6GHVFOLHQWVDepuis 2010 une évaluation mise à jour en 2015 des clients surla base de critères E&S a été introduite au sein de la Banque deFinancement et d Investissement Lorsqu un risque E&S élevé estidentié SociétéGénéralepeutdéciderdene pas entrerenrela tionavecunnouveauclient d imposerdesrestrictionsàlarelationet oudemettreenplaceunengagementspéciqueavecunclientexistantCRKDATSCDEHDNKTDRDROSHTDR2En2015 plusde1500groupesprivésparmilesclientsdelabanqued investissement ont fait l objet d une revue E&S Environ 70% deBDR BKHDSR RNS BSHER CR CDR RDBSDTR RDRHAKDR RT KD OK 2(dénis pour la plupart en cohérence avecles politiques sectoriellesdu Groupe) Les clients les plus exposés font l objet d une analyse2OKTROONENCHDDSOKTRETDSDSNTRKDRTNTCDTREn parallèle SociétéGénérale déploie progressivement uneanalyse E&S de ses clients dans d autres pôles d activités duGroupe et s inscrit dans une démarche de progrès en enrichissantcontinuellementsaméthodologied analyseE&S ) 11&( 03&7326 7 )3 )SociétéGénérale est l une des banques pionnières à l origine duPositiveImpact Finance qui sedénit comme une nouvelle façon defairedelanance Ellesecaractériseparlenancementdetouteactivitéproduisant de manière vériable un impact positif sur l économie lasociétéoul environnementtoutens assurantquelesimpactsnégatifspotentielsontbienétéidentiésetcorrectementgérés L activité Banque de Financement et d Investissement du Groupecommuniquesurlesnouveauxnancementsàimpactpositif depuisl année 2012 et cetteproductionesten constante progression Surla période 2012 2015 la production de nouveaux nancementsà impact positif a été multipliée par trois En 2015 le montant denouveaux nancements à impact positif s élève à 1856millionsd euros(contre958millionsd eurosen2014) Le Groupe continue d uvrer au développement du NRHSHUD (LOBSHMMBDet a été à l initiative du «Manifeste pour un impact positif NRHSHUD (LOBS MHEDRSN» lancé en octobre dernier par M SéverinCabannes Directeur général délégué du Groupe au nom de laCommissionbancairedel UNEP FI(InitiativenancièreduProgrammedes Nations unies pour l environnement) Le « NRHSHUD (LOBSMHEDRSNu DRS T OODK T ATDR DS TSDR HSDDSR CTsecteur nancier à développer des solutions nancières innovantespourcomblerlesbesoinsdenancementnécessaires àl atteintedesObjectifsdedéveloppementdurabledesNationsunies Conformémentau programme de ce Manifeste SociétéGénérale est maintenantengagédanslamiseenplacedel incubateurd opérations«àimpactpositif»etdansladénitiondes NRHSHUD(LOBS QHMBHOKDRLe Groupe qui ambitionned être unacteurclé danslenancementde la transition énergétique a illustré son engagement en réalisantavecsuccèsla1Dobligationàimpactpositif Ils agitd uneémissionobligataire senior à taux xe de 500millions d euros à 5ans dontles fonds levés servent exclusivement au nancement de projetscontribuant à la lutte contre le changement climatique et dontles impacts négatifs sont identiés et correctement gérés Cetteobligation a visé à offrir au marché un haut niveau de transparenceet de traçabilité et a rencontré un grand succès auprès de lacommunautédesinvestisseurspuisquesursouscritesixfois Exemplesdenancementàimpactpositif Financement d une centrale solaire d une capacité nominalede 104MW dans la région d Antofagasta au Chili En plus depermettrel accèsàunesourced énergiepropreetrenouvelable le projet contribue aussi au développement de l emploi local etdel industriedes renouvelables auChili Le projetaremporté leprixdelatransactiondel annéeenAmériquelatineattribuéparle QNIDBSHMMBD(MSDQMSHNMKFYHMD Financement d un système d urgence de traitement des eauxpouralimenterlavilledeYaoundéauCamerouneneaupotableetONCDTADRNHR BSTDKRDS DBNHRRBDCD K ONOTKSHNCe système a parailleursl avantage d être mobile et réutilisablepour combler d éventuelles pénuries en eau potable dansd autres régionsdupays Leprojet estconstruitdans lerespectdesnormesetstandardsinternationauxavecunimpactminimiséRTKAHNCHDRHSDSKDRRNKR Financement d un des plus importants parcs éoliens en merbaltique au nord de l île de Rügen en Allemagne Le projetcombineuneproductionénergétiquepropreetrenouvelableavecdes efforts durant lesphases de conception de constructionetd opérationpour réduiresesimpacts sur labiodiversité Le parcd unecapaciténominalede288MWdevraitpermettredefournirdel électricitéàenviron340000foyersparan p 19(67 66(0(17 62& (0(175(63216% ( 65 DUHFKHUFKH 65 (6*SociétéGénérale offre à ses clients une recherche dédiée sur lesaspectsEnvironnementaux SociauxetdeGouvernanced entreprise(dits ESG) L équipe ISR aujourd hui composée de 4 analystes estintégréeàlarecherchenancièredelaBanqued Investissement Cette année dans la catégorie21( 2TRSHMAHKHSX 1DRDQBG KDclassementWSDK2TQUDXplacel expertisedelaBanqueàla1DOKBDL objectif initial de la Banque est d aider les investisseurs etles gestionnaires d actifs à mieux intégrer dans leurs décisionsd investissementlesfacteursESG Pourcefaire l équipetravailleenétroitecollaborationaveclesanalystesnanciersandedémontrerlamatérialiténancièredecesaspectsESG R KD BCD CDR BSHHSR CDNQONQSD BBDRR de nombreusesBNEDBDR DSQNCRGNVR à Paris Londres etc réunissantinvestisseursetsociétéscotéessurlesthématiquesdudéveloppementdurableetdelaresponsabilitésocialeontétéorganisés * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I Ennovembre2015 unetrentainedesociétéssontvenuesprésenteraux investisseurs institutionnels présents à la «Conférence ESG SRI»dessujetsESGenlienavecleursactivités Enn la recherche ISR sert d appui à plusieurs indices et paniersde valeurs cotés en Bourse donnant lieu à l émission de produitsnanciers sur les thématiques ESG (Ex gouver nance d entreprise énergies renouvelables ) et développement durable (liste desproduitsetméthodologiedisponiblesurwww sgbourse fr) 2IIUHGHSURGXLWV 65SRXUlesin ves tisseurs parti cu liersFON D S I SRSociétéGénérales attacheàrépondreàlademandedesinvestisseurspourdesproduitsd investissementssocialementresponsables(ISR)en proposant plusieurs types de placements (actions obligationset produits monétaires)UHnotamment 3fonds d investissementregroupant les entreprises les plus avancées selon les trois critèresESG Finnovembre2015 lesencoursISRSociétéGénéralecumuléssurces3fondsétaientde273millionsd euros Depuis novembre2015 le nouveau fonds commun de placementSG Solidarité a rejoint l offre de placements ISR (Voir p 250 L assurancevie ÉrableEssentiel) OFFR E I SR DA NS LA B ANQ UE P RI VÉ ELa Banque Privée offre à sa clientèle de puis 2015 un ensemble deconseils et de produits dédiés ISR (mandats sur mesure fonds 3et produits structurés) Le montant de ses actifs sous gestions élevaitàn2015à315millionsd euros ASS UR A NCE VI E I SRPourrépondreauxépargnantssoucieuxdediversieretd investirdemanièresocialementresponsable SogecapetOradéaVieproposentdansleurscontratsd assuranceviedetypeplacementdessupportsISR monétaires obligataires ou en actions selon la durée duplacementetleniveauderisquessouhaitésparleclient Lemo ntantdesencour sISRgéréspar Sogecapàfin2015s élèveà 40 02millions d eu ros (+10% par r apport à 2 014) L offreglobaled esuppo rtsfinanciers ISRs esten richieavec41supportsproposés (31 en2014) L ÉPAR G NE SA LAR I AL E L AB ÉLI SÉ E IS R D E SE MP LO YÉ S SO CI ÉT ÉGÉ NÉ RA LEDans le cadre de l épargne salariale SociétéGénérale propose àsessalariésd investirdans différentsfondscommunsdeplacementd entreprises(FCPE)ISRlabellisésparleCIES(Comitéintersyndicaldel épargnesalariale) Au 31décembre 2015 l ensemble des fonds ISR dans les plansd épargne du Groupe en France (les différents plans d épargneEntreprise plans d épargne Groupe et plans d épargne Retraitecollectifs) investis enISR représentaient unencoursde406 8millionsd eurospourunemoyenned environ22000porteursdeparts 2IIUHGHSURGXLWV 65SRXUlesinvestisseurs professionnelsEn 2015 la Banque d Investissement a renforcé dans tous sesmétiers ses équipes et ses offres de produits ISR Le montant desproduits ISR en 2015 s élève à 1 3milliard d euros sous gestionrépartisdelamanièresuivante Les activités de marché ont depuis cette année une offreISR structurée (en plus des activités de recherche ISR ESGprésentées ci dessus) avec 986millions d euros d actifs ISR enportefeuille notammentUHla franchise SociétéGénérale Index(SGI) qui propose des titressur indices àsous jacents ESG Undes succès de l année a été obtenu sur un indice sponsorisépar FINVEX combinant un ltre ESG avec des ltres nanciers(711millions d euros) En plus des produits sur indices avecsous jacents ESG l offre se compose aussi de titres de dettesdontl utilisationdesfondssertànancerdesprojetsESG La Gestion d Actifs Lyxor a également renforcé le screening etl évaluationISRdesesproduits(fondset3ISR) etlemontantdesactifs sousgestion s élevaità320millionsd eurosn 2015 LyxorestparailleurssignatairedesPRI ( 3 2 (0(17 (6(1* *(0(176(6 16 (& 5(DENOSACHAT SAvecunmontantglobaldesachatsduGroupeestiméà6 5milliardsd euros en 2015 la lière Achats est un acteur important de lastratégie RSE du Groupe La conduite d une politique d achatsresponsables uvreau respect desengagements SociétéGénéraleen matièrede contribution audéveloppement économiqueet socialetdelimitationdesesimpactsenvironnementaux D &NTOD CDOTHR CHR CBKH BDSSD ONKHSHTD T SDR CDplansd actionspluriannuelsimpliquantunemobilisationdetouteslespartiesprenantesdela chaînedevaleur(prescripteurs acheteursetENT HRRDTRR KD BCD CT OK2TRSHMAKD 2NTQBHMF QNFQL 22 troisaxesontétédénis axe économique faciliter l accès des PME aux marchés deSociétéGénérale et instaurer un cadre de conance réciproqueaveclesfournisseurs axesocial recourirauxacteursdel économiesocialeetsolidaireetnotammentausecteuradapté axe environnemental participer à la réduction de l impactenvironnementalduGroupegrâceàdesac tionsachatsciblées PourSociétéGénérale SGObligationsISR SGDiversiéISR Arcanciamonétaire Amundilabelactionssolidaires pourCréditduNord AmundiLabelÉquilibreSolidaire AmundiLabelObligataireetSolidaire ArcanciaEthique&Solidaire ÉtoileSélectionDéveloppementDurableLesentreprisesadaptées(EA) sontdesentreprises d utilité sociale ayantune obligation d employer 80%detravailleurs handicapéset dontlefonctionnementestrégiparleCodedutravail Lesétablissementsdeservicesd aideparletravail(ESAT)sontdesétablissementsmédico sociauxdontlefonctionnementestrégiprincipalementparleCodedel actionsocialeetdesfamilles IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( EtdesactionsclésontétémenéessurlepérimètreFrance la signature des règles de déontologie en matière d achats(signéespar100%desacheteurs) uneclause de développementdurableinsérée dansles contrats(présente dans 100% des contrats Groupe) engageant lesfournisseursàrespecterdanslepaysoùilsopèrentlesdispositionsenvigueur enmatièrede droitdutravail(auminimumaucasoùcelui ci n existerait pas les dispositions de l OIT (l Organisationinter nationaledutravail)etdedroitdel environnement une cartographie des risques sociaux et environnementaux desproduitsetprestationsdeservicesachetés une évaluation des fournisseurs demandée lors de chaque acted achatparl organismetiersEcovadis(voirci dessous) l intégration d objectifs RSE pour tous les acheteurs concernantla mise en uvre d une action RSE propre à leur famille d achats(par exemple mise en uvred un contrataveclesecteuradapté intégrationdanslecahierdeschargesdecritèresenvironnementaux) une formation spécique «Achats et développement durable»intégrée au cursus de formation interne (100% des acheteurssuiventcetteformation) lapublicationetladiffusiondel instruction«Conduitedesachatsresponsables & règles de déontologie app licables en matièred achats»applicableàl ensembledescollaborateursduGroupe ycomprisceuxdeslialesetdessuccursales lancementduprojet«Paiementà30jours»desfournisseurs DJHVWLRQ GXULVTX HI RXU QLVVHXUEn2015 le projet*MNV 8NTQ QNUHCDQ (KYP) a été lancé Ainsi lorsde tout acte d achat une analyse est conduite pour bien connaîtrechacundesfournisseursinvitésàparticiperàunappeld offres Cetteanalyse comprend notamment une analyse de la viabilité nancièrede nos fournisseurs à travers l étude de leur santé nancière et deleur taux de dépendance économique tout en étant respectueuxdes engagements du Groupe vis à vis des PME Une formationspécique «Suivi des risques fournisseurs» intégrée au cursus deformationinterne estdispenséeà100%desacheteurs Andelutter contreletravaildissimulé unecollectedesdocumentsobligatoireslégauxestréaliséetouslessixmois parnotrepartenaireindépendant Provigis auprès de l ensemble de nos fournisseursRNTRBNSSRDSBDODCSSNTSDKCTDCDKBNSBSTKHRSHNYDOXDWLRQ 56(GHVIRXUQLVVHXUVetdesproduitsetservicesÉ VALU AT I ON DE S FOU R N I SS E UR SUne évaluationRSE desfournisseurs est demandéelorsdechaqueacte d achat Réalisée par l expert indépendant EcoVadis ellepermet de mesurer la performance des fournisseurs en matièreenvironnementale sociale d éthiquedesaffairesetdesous traitance La note RSE obtenue est prise en compte dans les critères desélectiondesfournisseursàhauteurde3%minimum Depuis2011 2687four nisseurs ont été invités à participer à cette évaluation En2015 le périmètre d achats représenté par les fournisseurs invitésàl évaluations élevait à 2 5milliards d euros La note moyennedesfour nisseurs est de 46 5 100 ceux obtenant une note inférieure ouégale à 30 100 sont considérés à risque (soit 76fournisseurs souscontrat en 2015 contre 67 en 2014) et sont encouragés dans unedémarche de progrès continu à mettre en uvre un pland actionscorrectives Jusqu à n 2014 les fournisseurs concernés étaientinvités surlabaseduvolontariat àdénirunpland actionscorrectivesUHla plateforme EcoVadis Depuis début 2015 un processus demanagementet desuividesplansd actionscorrectivesaétémisenplaceand accompagnerlesfournisseursdansl améliorationdeleurperformanceRSE En2015 neuffour nisseursainsiidentiésàrisqueont été encouragés à mettre en place de tels plans Trois d entreeux ont fait l objet d une réévaluation à l issue du plan d actionscorrectivesetonttousobtenuunenotenonrisquée Enparallèle unedémarched auditsursitecomplèteledispositifpourlesfournisseursidentiésàrisqueetappartenantàunecatégoried achatsensible(en2015 encollaborationavecunorganismeindépendant 4auditssursiteontétéréaliséset6autresengagés) CAR T OG R AP HI E DES R I S QU E S R SEDE S P R OD UI T S & SE R V I CE SLa cartographie des risques RSE regroupe l ensemble des62catégories d achats ayant chacune fait l objet d une évaluationdesrisquesselon4dimensions Environnementale Sociale ÉthiquedesaffairesetFournisseurs 31catégoriesontétéidentiées à fortesensibilité en termes de risques RSE pour SociétéGénérale et ont concomitamment faitl objetd uneanalysedesactionsmisesenplacepour minimiser et contrôler ces risques En complément un auditexter neaétémenéand évaluerleniveaudemaîtrisedecesrisques À l issue de cet audit 28 des 31catégories d achats sensibles ontétéidentiées à risquemaîtrisé ou partiellement maîtrisé Auglobal 59 des 62catégories d achats sont donc considérées comme nonrisquées ouàrisquetotalementoupartiellementmaîtrisé soit97% montant estimé de janvier à décembre2015 du montant globaldes achats du Groupe en 2015 les 3autres catégories devenantprioritairesenmatièred actionRSE 8QGYHORSSHPHQWSURJUHVVLIàl inter nationalLeprincipedesévaluationsRSEdesfournisseursaégalementétémisenplaceenAllemagne enItalie enRépubliquetchèque enGrande Bretagne auLuxembourgetauxÉtats Unis(ces6paysreprésentent17%desdépe nsesduGroupe) àl aidedequestionnairesinter nes L instruction «Conduite des achats responsables» a été annexée àl Accordmondialsurlesdroitsfondamentauxsignéavecl UNIGlobalUnionenjuin2015démontrantlavolontéduGroupedelamettreenTDOSNTSCRKD&NTOD(QJDJHPHQWDXSUVGHV30(LesPMEsontunacteurmajeurdel économiefrançaise etauc urde la stratégie des banques françaises SociétéGénérale facilitel accès de ces entreprises aux marchés du Groupe et instaure uncadredeconanceréciproqueavecl ensembledesesfournisseurs Volumescumulésdedébutoctobre2014ànseptembre2015 * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I LE PA C T E PM ESociétéGénérale première banque signataire du Pacte PME endécembre2007 continuede renforcer son engagementauprès desPMEinnovantes DifférentesactionssontréaliséesauseinduGroupedanslecadreduPactePME notammentdesappelsàcompétencesUHlaplateformeinnovationouvertedePactePME(http innovation pactepme org) le parrainage les partenariats gagnants et lebaromètrefournisseurs LebaromètrefournisseursestuneévaluationTDKKD CD K TKHS CDR DKSHNR TD 2NBHS&KD DSDSHDSavec ses fournisseurs PME En 2015 214PME fournisseurs ontété invitées à répondre au baromètre SociétéGénérale a obtenuune note de 62 100 soitune progression de 2points parrapport àl annéeprécédente plaçantleGroupe au dessusdelamoyenneduRDBSDTTD RRTBDFKDWVDXSUVGXVHFWHXUDGDS WUne étroite collaboration entre lamission Handicap duGroupeet laDirectiondes achatspermetd intégrer dès que possible le secteuradapté dansla recherche des fournisseurs lors desappels d offres Depuis 2014 les acheteurs du Groupe bé nécient d un accèsdirect à la plateforme GESAT (réseau national du secteur protégéetadapté)recensantlesEA etESATparzone géographiqueettypede prestation De nombreuses prestations sont désormais fourniespar des entreprises employant des travailleurs handicapés Dansle réseau France de Banque de détail la collecte et recyclage despapierssontassuréssurl ensembleduterritoireainsi quelagestionducourrierpour72sitesduréseau Deleurcôté touteslesagencesSociété Générale font collecter et recycler leurs déchets papier àplus de 85 % par des entreprises du secteur adapté Fin 2014 unprojetvisantàdévelopperlerecoursausecteuradaptédanslecadrede nos prestations intellectuelles informatiques a été lancé Cetteinitiative vise un double objectif accompagner le secteur adaptédanslaprofessionnalisation de salière informatique etdévelopperle recours au secteur adapté sur des activités stratégiques pour laBanque et représentant un important volume de dépenses pourSociétéGénérale Le projet doit ainsi permettre au Groupe demaintenir voireaccroître sadépenseauprèsdusecteuradaptéalorsmême que certaines activités historiques réalisées en partenariataveccesecteurserontamenéesàdécroîtreaucoursdesprochainesannées enlienaveclatransitionnumérique 8QH YRORQWGHSURJUVDepuis 2010 le Groupe est signataire de la Charte des «Relationsfournisseur responsables» composée de 10engagementsparticipantàlaconstructiond unerelationéquilibréeetdurableentrelesgrandesentreprisessignatairesetleursfournisseurs En 2012 SociétéGénérale SA (France) a reçu le labe l «Relationsfournisseur responsables» de la part de la Médiation inter entreprises la Médiation des marchés publicset la Compagnie desdirigeantsetacheteursdeFrance(CDAF) Celabelatteste aprèsunaudit sur site de nos pratiques par une agence d évaluation extra nancière quenotreorganisationetnosactesdegestionprésententune assurance raisonnable de conformité avec les objectifs et lesengagements dénisdansleréférentiel du label Fin2015 auvu del évaluationdesuivi leComitéd attributionadécidéderenouvelerlelabelàSociétéGénérale Des démarches sont également engagées pour des catégoriesd achatsspéciques LeGroupeestmembrefondateurdelaChartede bonnes pratiques d achats de prestations de sécurité privée(gardiennage transportdefonds télésurveillance) crééesousl égideduministèredel Intérieur Depuis octobre2014 SociétéGénérale est signataire de la Charte«La Belle Compétition» pour les appels d offres Agence decommunication Annonceur D2TRSHMAKD 2NTQBHMF QNFQL (SSP 2011 2015) arrivant àéchéance à n2015 une nouvellestratégie pluriannuelleen matièred achats durables est actuellement en cours de dénition mettantà contribution un large panel de parties prenantes (prescripteurs acheteurs fournisseurs etc ) Son déploiement opérationnel sedéroulerasurlestroisprochainesannées(2016à2018) 2*8(9(& 62& 7& 9 (SociétéGénéraledialogueavecl ensembledesespartiesprenantesd une manière qu elle souhaite constructive Le Groupe veillenotammentàécouteretdialogueraveclesONGquil alertentsurdesproblématiquesE &Sdanssasphèred inuenceoupeuventl aiderà faire évoluer ses politiques et procédures dans une démarchede progrès La Banque veille à avoir des échanges réguliers sur ledéveloppeme nt et la mise en uvre de ses politiques En 2015 cetype d échanges a eu lieu notamment sur les engagements de laBanqueenfaveurduclimat TSDRCDRKHRSDCDRTDHKKBD22NBHS&KDDEEDBSTDuneveilledesprojets entreprisesousecteursnancésounonparlaBanqueetfaisantl objetdecontroversesoudecampagnespubliquesCDKOSCDKRNBHSBHHKD5NHOHRSDCDRTDHKKBDLaBanqueamisenplaceuneprocédurecentralisantaudépa rtementRSE la réception des courriers ou contacts émanant d ONGou d autres acteurs de la société civile et visant à l alerter sur lesimpacts associés à ses nancements ou autres services Chaquefois que possible une enquête interne est menée et des réponsesdocumentéessontfourniesparécritoulorsderéunionssipertinent Durant l année 2015 SociétéGénérale a participé à des séancesde travail et d échanges avec une dizaine d ONG (parmi lesquellesBankTrack LesAmisdelaTerre Oxfam WWF etc ) soitau traversCD THNR AHKSKDR RNHS T BNTR CD THNR CD BNRTKSSHNplus globales organisées par les associations elles mêmes ou parl OCDE l Association de s Principes de l Équateur ou encore laBanqueMondiale DeuxthèmesprincipauxontétécouvertsaveclesONG les enjeux de la nance sur le climat en particulier sur lesnancementsliésaucharbon lesdroitsdel homme Le Groupe entretient également des relations régulières etconstructivesavecCRÉSUS(chambresrégionalesdusurendettementsocial) à travers ses partenariats avec les entités du Groupe(CGI Frannance BDDF) et un dialogue avec les responsablesde crédit aux particuliers sur la prévention du surendettement etl accompagnementdespersonnesendifculté(Voirp 253 Attentionportéeausurendettement) IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 9 87 21( 75) 11& 5(LeGroupeattacheunegrandeimportanceàsesnotationsnancièreset extra nancières Par la qualité et la transparence des donnéesfournies ilveilleàobtenirdesscoresquireètentaumieuxsesactions12 2NBHS&KD DRS DBNTD ONT K SRODBD CNS DKKDfait preuve En 2015 SociétéGénérale a d ailleurs été évaluée parVigeo comme étant l entreprise présentant leQDONQSHMF12 KD OKTRcompletparmi1309entreprisesobservées LetitreSociétéGénéralegure ainsi dans les principaux indices ISR internationaux (DJSIMonde et Europe FTSE4Good Euronext Vigeo Ethibel STOXX etc ) et est aussi présent dans un nombre signicatif de fonds ISR 5NHRHSDHSDDSCT&NTOD %148( p&287( (6 19(67 66(8568Q H TXLSHGGLHLe département en charge des relations avec les investisseursinstitutionnelsetindividuelsapourmissiond assurerlacommunicationnancièreduGroupesursesrésultatsetsastratégie OD UHQFRQWUHGHVLQ YHVWLVVHX UVLe Groupe rencontre régulièrement ses investisseurs an de leurprésenter sa stratégie ses résultats et d échanger avec eux ycompris sur les sujets environnementaux et sociaux En 2015 le management de SociétéGénérale les équipes de la Directionnancière accompagnés de l équipe Relations investisseurs ontainsi effectué près de 100jours de QNCRGNV et ont participé àTD CNTYHD CD BNEDBDR CDAQNJDQR RT KDR OHBHOKDR OKBDRnancières internationales Au total près de 70% des actionnairesHRSHSTSHNDKRNSSDBNSRParailleurs cetteannéeunnouveautypedeQNCRGNVaétéorganisédanslecadredel émissiondela1DobligationverteSociétéGénéraleà impact positif qui contribue au nancement de l économie bascarbone Les fonds levés sont exclusivement utilisés pour nancerdes projets contribuant à la lutte contre le changement climatique(Voirp 220 LaFinanceàImpactPositif) Celaaétéuneopportunitéde présenter en novembre2015 aux investisseurs institutionnelslesréalisationsISR RSEdeSociétéGénérale(cetteprésentationestCHRONHAKDRTKDRHSDCT&NTODMaintenir et développer une politique de dialogue avec sesBSHNHDR HCHHCTDKR DRS TD OHNHS ONT KD &NTOD SociétéGénérale a ainsi organisé deux rencontres d actionnairesà Versailles et Cannes Chacun de ces événements a réuni environ600invités et a permis aux actionnaires d échanger avec unmembre de la Direction générale Le Groupe a parailleurspa rticipéen novembre au Salon Actionaria Salon de l actionnariat individuelfréquenté par plus de 25000visiteurs La Banque est égalementintervenue lors de trois réunions d information en partenariat avecd autresémetteurs àLille Aix en ProvenceetNancy chacundecesévénementsayantréunientre150et400participants H ENHR O KD &NTOD CHEETRD ++DSSQD CD KBSHNMMHQDchaquetrimestre au formatMDVRKDSSDr etenjuin aprèsl Assembléegénérale auformatpapier Àn2015 SociétéGénéralealancéuneapplicationActionnaires disponiblesurSmartphonesettablettessurles terminaux iOS et Android L application offre un accès simpliéet instantané à toute l information nécessaire pour un actionnaire coursdeBourse communiquésdepresse calendrierdesprochainsévénements Ce nouvel outil vient donc compléter le dispositif decommunication omni canal mis à la disposition des actionnaires pages dédiées sur le site internet du Groupe numéro de téléphoneCCHKTACDRBSHNHDRvAnd êtreauplusprèsdesattentesdesesactionnairesindividuels le Groupe dispose depuis 1988 d un Comité consultatif desactionnaires dont la mission principale est de formuler un avis surla politique de relation et de communication menée envers lesactionnaires individuels Le Comitése réunit deuxfoispar an Leursquestionssontrelayéeslorsdel Assembléegénérale En2015 leGroupeareçuplusieursprix leGrandTrophéed Ordesmeilleures relations actionnaires et le Trophée d Or de la meilleurecommunication digitale des sociétés du CAC 40 décernés par+D1DUDMT DS KD OH CT KTA CDR BSHNHDR SSHAT O KDRjournauxéconomiques +DRBGNRDSInvestir LeJournaldesnancesenpartenariataveclegrouped auditMazars * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 3 A G I R E N F A V E U R D E L E N V I R O N N E M E N T62& 7*15 (6p(1**((1)9(85 8& 07Faceauxnombreuxbouleversementsclimatiquesetécologiques l undes enjeux de ce siècle sera incontestablement la préservation deséquilibresenvironnementaux L interdépendancedesactivitésfaceàcesrisquesaccrusmontre qu uneactionglobaleet coordonnéeestBDRRHDLa COP 21 (21D Conférence des parties qui s est tenue à Paris du30 11 15au7 12 2015)marqueuneétape importantedemobilisationgénérale pour éviter que la température moyenne de la terre nedépasse les 2°C d augmentation avecdes engagements concretsCDR SSR CDRBNKKDBSHHSR KNBKDR DSSDHSNHKDR CDR DSDOHRDRDSdesnanciersdumondeentier À cette occasion SociétéGénérale a adopté un ensemble denouveaux engagements en faveur du climat qui visent à inscrirel actiondelaBanqued icià2020surunetrajectoirecompatibleavecunscénario delimitationà2°Cderéchauffementclimatique déniepar l AIE (Agence inter nationale de l énergie) et qui complètent lesprincipesgénérauxetenvironnementauxdelaBanque(voirpage 211PrincipesgénérauxEnvironnementauxetSociaux) Ces engagements s accompagnent d une politique volontaristedans le secteur des énergies renouvelables avec un doublementdes nancements de projets dans les énergies renouvelables et unecapacitéàmobiliserjusqu à10milliardsd eurosdenancementspourles projets du secteur des énergies renouvelables d ici à 2020 ainsiqued unevolontéderéduiresapropreempreintecarbone SociétéGénérale se xe un nouvel objectif de réduction de 20%de ses émissions de CO à horizon 2020 par rapport à 2014 And atteindrecetobjectif leGroupereconduitsondispositifd incitationfondésurunetaxecarboneinternefonctiondesémissionsdechaqueentitéduGroupeetredistribuéepournancerdesinitiativesinternesd efcacitéenvironnementale SociétéGénérale va dès lors s efforcer durant le premier semestre2016demettreenplaceuncadredepilotageetdesuividesesactionsquisoitcohérentavecleshPrincipesd intégrationdesactionspourleclimatdanslesinstitutionsnancières»qu ellesoutient Cesprincipespermettent de guider les institutions nancières dans la prise encomptedesenjeuxduchangementclimatiquetantdansleurstratégiede nancement leursinvestissements quedans leurs procédures degestiondurisqueetleurcommunicationd informations &&203*1(5126& (176 16 (856 19(67 66(0(176%6&5%21(SociétéGénérale souhaite se positionner comme un acteur clé dunancementdelatransitionénergétique enciblantenpriorité la diversication des sources de production d énergie avec lenancementaccrudusecteurdesénergiesrenouvelables laréductiondesconsommationsd énergiedenosclients l accroissement de nos actions de transition énergétique dansles pays en développement et particulièrement en Afriqueoù SociétéGénérale a une forte présence et l attraction desinvestisseurssurcesprojets Cette ambition ne pourra se réaliser sans un renforcement de sespartenariats avec les acteurs de la transition énergétique et del économiebascarbone HVILQDQFHPHQWVHWVHUYLFHVYHUWVEn2015 dans les activitésdenancementsen faveurd entreprisesdu secteur privé ou public le montant des nancements vertsde SociétéGénérale s élève à près de 2milliards d euros et leportefeuille mondial du secteur de la production électrique dela Banque de Financement et d Investissement est composé à66% d actifs énergies renouvelables (60% en 2014) S agissantdu montant des nancements verts en faveur des particuliers lesmontants recensés s élèvent à 173millions d euros et ceux descollectivités à 24millions d euros Les nancements verts sont enprogression d environ 82% par rapport à 2014 grâce à un marchéplusdynamique Ilscomprennentlesparcsé oliens touteproductiond énergie renouvelable les déchets et leur valorisation les projetsde transports en commun les carburants alternatifs les véhiculesENV IR O NN EMEN TACH AT SL EMPREINTE CARBONE DU GROUPEMOYENNE ANNUELLE SUR 3 ANS30100 %des acheteurs formés à la RSE76 %desnouveaux nancementsde production d électricité en Energies Renouvelables (70 % en 2014)GWh économisésACTEUR DE LA TRANSITION ENERGETIQUE 4 700 T de CO22 700 fournisseurs évalués par Ecovadis13M EURd économies 2Md EURde GREEN BONDS1 code des achats responsables IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( propres Ils bénécient de la capacité de la Banque à nancer desprojetscomplexes L ambitionestundoublementdes nancementsdesprojets danslesénergiesrenouvelablesetunecapacitéàmobiliserjusqu à10milliardsd euros de nancements pour les projets du secteur des énergiesDNTDKAKDR 1CeHBHDE S F INA NCE M E NT S PO UR DES P R OJ E T SC LI MAT D E N V E R GU RELa Banque a été particulièrement active dans les nancementsdes projets d énergie renouvelables elle est un acteur majeurdu nancement des infrastructures énergétiques La Banqued Investissementbénécied une longue expériencedanslesecteurdel environnementetdesénergiesrenouvelables(solaire biomasse éolien etc ) Disposant d une présence globale et d expertisessectorielles reconnues la Banque accompagne ses clients encontinudepuisplusdedixansda nsledéveloppementdeceslières En 2015 76% des nouveaux nancements de projets du secteurde la production électrique étaient dédiés à des actifs énergiesrenouvelablespourleGroupe(contre70%en2014) LaBanqueanotammentjouéunrôledéterminantdansunnancementde 248millions de dollars des États Unis destiné au projet éolienNEERGNQDdeBlockIsland(USA)d unecapacitéde30MW lapremièreferme éolienneNEERGNQD aux États Unis qui représente une avancéetechnologique majeure Ce nancement par la dette a institué unnouveau modèle de nancement qui pourra être réutilisé pour lesprochainsparcséoliensNEERGNQDdupays EnEurope leGroupeest entreautres intervenudansleplusimportantprojet éolienNEERGNQD à ce jour au Royaume Uni le projet Galloperd unecapacitéde336MWsituédansl estuairedelaTamise Le Groupe a été leader dans la recherche d une solution nancièredansleprojetéolienHornsdalede100MWdanslesuddel Australie Par ailleurs les liales du Groupe à l étranger sont égalementprésentes dans le secteur À l inter national SociétéGénérale aideles collectivités à se développer tout en préservant l écosystèmelocal Oncomptedanscesnancementsl améliorationdeslignesdetransportsencommun l installationdepanneauxsolairesouencored infrastructuresspécialisées Parexemple en2015 SGEF Pologne et SGEF République tchèque ont nancérespectivement pour 1 2million d euros et 17millions d eurosl acquisitiondebuspouraméliorerlestransportspublics SGEFUK(Royaume Uni)anancél installationdepanneauxsolairesdans plusieurs villes au prot d un organisme caritatif ROHQSHNMR BCDLX 3QTRS Cet organisme caritatif promeut une éducationbaséesurledéveloppementetl ambitionpersonnelledesétudiants SociétéGénérale Algérie a accordé à une entreprise spécialiséedansl assemblagedetramwaysunnancementde63 7millionsCeDTNR ONT ONBTD CDR RNKTSHNR CD SRONSR OTAKHBR Tgrandesvillesalgériennes KomercniBanka(Républiquetchèque)anancépour4 4millionsd euros l installation de plusieurs infrastructures permettant unmeilleuraccèseneauetchauffagepourlespopulationsavecdessystèmesadaptésàunepréservationnécessairedel écosystèmeet a nancé 25projets de production d énergie provenantde plusieurs sources avec le solaire le biogaz ou encorel hydroélectriquepourunmontantde160millionsd euros SG Express Bank (Bulgarie) a nancé pour 0 66million d eurosdes bus à faibles émissions de CO DS ONTRTHS D KDnancementdeproductiond énergiesolairepourunmontantde10millionsd euros Rusnance (Russie) la liale crédit à la consommation enRussie anancépour 26millionsd euros des prêts auprès desparticuliers pour l achat de véhicules propres avec une garantiedugroupeSociétéGénérale Fiditalia (Italie) a nancé auprès d un millier de p articuliers desprojets de production d énergie renouvelable à hauteur de9 5millionsd euros Parmi les transactions innovantes de l année la KB (Républiquetchèque) a été la 1D banque européenne à nouer un partenariatpour favoriser l investissement dans le domaine de l efcacitéénergétique et des énergies renouvelables (PF4EE QHUSD HMMBDfor Energy Efciency) qui combine une ligne de nancements avecunmécanismedepartagederisqueetd assistancetechniqueUNE O FFRE DE SE R VI C ES S PÉ CI FI Q UE62*(3520 (662 87 21685% 1(6 17*5(6ETINNOVANTESFilialedepromotionimmobilièreduGroupe Sogepromaannoncéen2014lelancementduprogramme«E+»pour«ÉnergiesPositives»et lasignature d une série de partenariats durables avec de grandsgroupesindustrielscommeOtis RenaultetSchneiderElectrice avecpour objectif de faire naître des synergies positives fondées entreautressurlesénergiesrenouvelables Pour la 1D édition de son Trophée «Nouveaux Usages» le SIMI(Salondel immobilierd entreprise)quis esttenuendécembre2015àParisachoisidedistinguerLucibeletSogepromdanslacatégorie«Services aux usagers» pour la technologie LIFI haut débitbidirectionnel latransmissiondedonnéesparleséclairages 81(2))5( p87 67 21 (6) 277(687202% (65(63216% (Dans le cadre du programme +# MDVLNAHKHSX KBD Automotive liale de leasing automobile du Groupe déploie desactionsconcrètesetinnovantespourrépondreauxnouvellesattentesdemobilitédesesclientsendéveloppantdessolutionsd autopartageDDSDOHRD +#RGQHMF) de exibilité( +#RVHSBG) multimodales +# 1HKDRD +# BNLOMXAHJD etc ) et plus récemment un«budget mobilité» ( +# LNAHKHSX BQC) permettant à son utilisateurd opterpourlemoyendetransportleplusadéquatàundéplacementdonné(transportspublics taxi locationdevéhicule ) ALD Automotive poursuit également le développe ment de l offreALD Blueeet pour réduire au quotidien les émissions de CO DS Kconsommationdecarburant desesottesenlapromouvantauprèsCDRDSDOHRDRFin septembre2015 ALD Automotive gérait un parc de près de6700véhicules électriques répartis dans 13pays En y ajoutant lesvéhiculeshybridesrechargeablesethybridesconventionnels laottede véhicules de nouvelles technologies gérée par ALD Automotiveapprochait ainsi les 30000véhicules en augmentation de 48 9%en douze mois Au plus près des technologies émergentes ALDAutomotive nançait aussi à la même date 8véhicules à pile àcombustiblefonctionnantàl hydrogène * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I pRIIUHEDQFDLUH FDUDFWUHHQYLURQQHPHQWDO HQ)U DQFHSociétéGénérale promeut dans ses réseaux bancaires français desnancementsvisantunemeilleureefcacitéénergétique LIV RE T D É VE LO PP E M E NT D UR A BLE (LD D)Les encours LDD au 31décembre 2015 s élèvent à 8milliardsd euros Les sommes versées sur ce livret sont utilisées en grandepartie par laBanque pournancerdesPME ainsi quedesprojets àvocationde développementdurable EC O P T Z ET AU TRE P RÊ T S GÉ N É R ANTDES É C ON O M IE S D É NE RG I ELeGroupe distribuedesproduitsetprêtsvertsdestinésàsaclientèleparticulière DepuisleurmiseenplaceenFrance plusde26000éco prêtsàtauxzéroetprêtsDéveloppementDurableontétéaccordés représentantplusde410millionsd euros CRÉ DI T S DE ST I N ÉS À L AC HAT D E V ÉHI CU LE SÉLE CT R IQ UE S OU HY BR I DE SDepuisseptembre2012 unbarèmepréférentiel «Voituresp ropres»est réservé aux clients souhaitant nancer par un crédit Expressol achatdevéhiculesélectriquesouhybrides neufsoud occasion BCHSR ODRRN NS S HRH BBNCR ONT Tmontantde33 6millionsd euros Depuislamiseenplacedecebarèmespécique un total de6695créditsExpresso «Véhicules propres» aétédécaissépourunmontantglobalde87 5millionsd euros En pa rallèle les clients SociétéGénérale peuvent bénécier d uneréduction de 5% sur la cotisationd assuranceautomobile (pourlesvéhiculesquiémettentmoinsde120gdeCO km)pendanttouteladuréedeleurcontrat quellequesoitlaformulechoisie CGI entité crédit consommationduGroupe(QHMMBHMF QMBDasignéunpartenariatavecleKDCDQmondialdevoituresélectriques Tesla concernant le nancementQDSHK des véhicules électriques dela marque Cette collaboration est effective depuis octobre2014 CGI participera également à la démarche RSE du constructeur en favorisant l accès aux voitures «vertes» par le biais d offres delocationavecoptiond achatextrêmementcompétitives LA CA R TE A FFA IR E S E NV I R ON NE ME NT AVE CL O FFI CE NAT I ONA L DE S FOR ÊT S ( ON F)Dans le cadre de son offre Carte affaires Environnement dédiée à laclientèle entreprises la Banque a réitéré son engagement jusqu à n2016 par le versement de 5centimes d euro pour chaque paiementeffectuéparcarte Cetteoffreinclutladématérialisationdesrelevéscartesadressés aux collaborateurs de l entreprise pour suivre leurs dépenses BNRTKSAKDRRTKDRHSDRBTHR2NBHS&KD(www sogecartenet fr) En2015 lesversementseffectuésàl ONFs élèventà126855euros soit une progression de 26% par rapport à 2014 Ces versementspermettront denancer 2projetssur2016 l aménagement du sitedela«Salledebaldesdemoisellescoiffées»danslesHautes Alpesetunprojetdesensibilisationdupublicetd accessibilitépourtousenforêtdesPaysdeMontsenVendée B O UR S OR AM A E T B LA BL ACA RDepuis décembre2015 Boursorama la banque en ligne liale duGroupe sponsoriselestrajetsdesclientsdusitedecovoituragequiluiconentleursavoirs Aveclespécialisteducovoiturage ilslancentuneoffrecommunepourencouragerlesadeptesducovoiturageàsetournerverslabanqueenligneetréciproquement HVVROX WLRQVLQQRYDQWHVSRXUUSRQGUHDXHQMHXGHODWUDQVLWLRQQ HUJWLTXHSociétéGénéraleapportesonexpertiseentermesdestructurationetCDCHRSHATSHNONTONONRDCDRRNKTSHNRHNSDRTHONCDSaux préoccupations risque rentabilité et intègrent les critères ESGrecherchés par lesinvestisseurs notammentUHles nancementsàimpact positif sous l égide de l UNEP FI (voir p 220 La Finance àImpactPositif) LE S O BLI G AT IO NS V E R TE SPour accompagner ses clients Entreprises le Groupe a à c ur decontribueraudéveloppementd unmarchéobligataire(&QDDMNMCRqui permet de nancer des projets et des acquisitions dans lesdomaines des énergies renouvelables et de l efcacité énergétique participant ainsi à la lutte contre le changement climatique enapportantsessolutionsdestructurationetdedistributionobligataireconjuguées à son expertise historique en matière de gestion ESG(Environnemental SocialetGouver nance) En2015 SociétéGénérale acontribué àl émission de 6obligationsvertespourunmontantglobalde2milliardsd euros Ainsi leGroupeaaccompagnélaVilledeParisdansson1Dempruntobligataire climatique Les fonds seront utilisés pour nancer desprojets luttant contre les changements climatiques en ligne avec leplanClimatetÉnergieàhorizon2020delaville 1 O B LI GAT I ON V E RT E À I M PAC T P OS IT I FEn réponse aux obligations des investisseurs bas carbone leGroupe a émis une obligation de 500 millions d euros avec unedoublecomposanteenvironnementaleetàimpactpositif(Voirp220 Lananceàimpactpositif) LE S S OLU TI O NS FI N A N CI È R ES A U PR O FI TDE S T E C H NOLO GI ES NOU V ELLESLeGroupedédiedeséquipesàlarecherchedesolutionsnancièresau prot de technologies nouvellespourleclimatcommeleQANMOSTQD 2SNQFD (CCS) Elle conseille plusieurs de ces projetsessentiels dans l atténuation du changement climatique parexemple celui de White Rose au Royaume Uni nancé à hauteurde 300millions d euros dans le cadre du programme NER300 del Union européenne (programme visant à démontrer l efcacité destechniquesdecaptureetdestockageducarbone) Cettedémarcheélargitlagammedesolutionsdisponiblestoutenfavorisantleprogrèsetlesexpérimentations enouvrantlavoieàl innovation LaBanqueestparailleursunacteurhistoriquedumarchéducarbone EDBDDSDacteurrespectivementen2014et2015parMDQFX1HRJsur l ETS européen et est notée n°1 par sa recherche sur lesujet àlafoisen2014et2015 R E N FOR CE R LES PA R T E NAR I AT SDAN S LES PAY S E N D É VE LO PP EM ENTEn accord avec sa stratégie globale dans les autres pays où il estprésent leGroupes attacheànoueretentretenirdesparte nariatsaveclesInstitutionsFinancièresInternationales(AFD BERD BEI Banque IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( Mondiale etc ) an de proposer des solutions de nancements enadéquation avec les besoins des entreprises et acteurs locaux qu ilaccompagne avec une attention particulière portée aux projets enfaveurdelatransitionénergétique Entantqu acteur majeurenAfrique SociétéGénérale accompagneledéveloppementdececontinentenfortecroissance LeGroupeestprésent dans 18pays et compte parmi les banques internationaleslesmieuximplantéessurlecontinent avec3millionsdeclientsdont150000entreprises Alors que75%delapopulation enAfrique n atoujourspasaccèsàl électricité lerôledelaBanqueestdouble Financement de projets an de donner accès à l énergie auxpopulationsdespaysafricains rôledeconseiloud arrangeurpour17milliardsd eurosd investissementaucoursdescinqdernièresannéessurtoutelachaînedevaleur(nancementd équipementsdegénération deréseauxdedistribution d unitésdeproduction conseilnancierpourdesgrandsprojetsd infrastructure) Offres et nancements verts à destination des PMI PME etparticuliersàlafaveurdelamultiplicationparlesgouver nementsdes effortsdepromotion de l économie verte (ex déscalisationdel ENRauBurkina volontéderompreladépendancevis à visCTOSNKDD3THRHDDForumgreenbusinessauCongo) SociétéGénérale a signé plusieurs partenariats avec des InstitutionsFinancières Internationales (AFD BERD BEI etc ) notamment sur latransitionénergétique etentendrenforcercesaccordsautantquepossible AccordaveclaBEIdanslecadreduprogramme«FranceÉnergiesRenouvelables» pour promouvoir les investissements dans lesénergies renouvelables (750millions d euros) sur l ensemble duterritoirefrançaisentre2014et2016 Au Sénégal SGBS et l Agence Française de Développement(AFD) ont signé une convention de 5millions d euros dans lecadre du programme SUNREF une facilité pour promouvoirles investissements en faveur de l efcacité énergétique et desénergiesrenouvelablesdanslespaysendéveloppement Lemêmetypedepartenariatd unmontantde6millionsd eurosaétésignéentreSGBCIetl AFDenCôted Ivoireenjuillet2015 Cettelignedenancement afacilitél octroi d un crédit àun desKDCDQRducartonondulédanslepays pournancerl achatd unéquipementenréduisantsaconsommationd énergiede40%etenaméliorantsacapacitédeproduction En Macédoine OBSG a mis en place avec le&QDDM &QNVSGTMC (GGF) une ligne de 4millions d euros pour soutenir lenancement de projets liés à l efcacité énergétique et auxénergiesrenouvelables LesrelationsaveclaBEI (BanqueEuropéenned Investissement)ontcontinué à sedévelopper(voirp 249 Accompagner les institutionsnancièresetlesagencesdedéveloppement) 5 8 5( p(035( 17(&5%21( 8*5283(La Banque génère elle aussi UHson activité des impacts surl environnement Conscientedecetteresponsabilité SociétéGénéralepoursuit sa politique environnementale pour compte propre quipasse par la maîtrise et l amélioration de ses impacts directs surl environnement enliaisonavecsesdifférentespartiesprenantes Enparallèle chaquepôled activitéetmétieraégalementpourobjectifdecontribueràlapolitiqueenvironnementaleduGroupeendéveloppantdesinitiativespropres ycomprisauseindeseslignes métiers Demême lesDirectionsdel immobilieretdel informatiqueintègrentetpilotentlesaspectsenvironnementauxdeleursactivités 3URJUDPPHGHUGXFWLRQFDUERQHLe programme de réduction carbone 2012 2015 s est achevé à n2015 À l occasion de la COP 21 SociétéGénérale s est xé unnouvel objectif de réduction de 20% de ses émissions de CO Ooccupant à horizon 2020 par rapport à 2014 L empreinte carbonedu Groupe intègre les consommations d énergie les déplacementsprofessionnels letransportdesmarchandises(ilregroupeletransportABHD BNTHDR DS BNKHR KD SRONS CD ENCR DS KD SRONS KHaux activitésde déménagement) la consommation totale de papieretlaconsommationdesCSBDMSDQRhébergésenFrance Leprogramme2012 2015visaità réduirelesémissionsdegazàeffetdeserre(GES)paroccupantde11%d iciàn2015parrapportà2012(horsrecoursàl achatd électricitéverte) augmenter l efcacité énergétique de 13% d ici à n 2015 parrapportà2012 À n 2015 les émissions de GES par occupant ont été réduitesde 11 4% par rapport à 2012 dépassant l objectif de 11% et lesconsommations d énergies ont d iminué de 11 3% par rapport à2012 au lieu des 13% xées comme objectif En effet la baissede consommation d énergie par occupant de 4 3% constatéeentre2014 et2015 n a pas suf à combler le retard constaté L année 2015 a été particulièrement bonne en termes de réductionCD puisque l ensemble des postes a été réduit entre2014et2015 L empreintecarboneduGroupes établità2 19TCONBB(enbaissede7 6%parrapportà2014) Depuis2005 le Groupe réalise uninventaire des émissions de GESconforme auGHGProtocol (standard international) Lepilotage desinformationsàtraversunoutildeQDONQSHMF12 KMDSGHB1DONQSHMFpermet d améliorer d année en année le suivi des indicateursenvironnementaux LesdonnéescollectéesUHBDSHDSHDRDDSCDARDCDBKBTKONTKSDBANDHSDD DWD HFDUERQHLQWHU QHLe programme de réduction carbone s appuie sur la mise en placed un mécanisme innovant le paiement par chaque pôle d activitéet direction fonctionnelle d une taxe carbone interne selon leurempreinte carbone (10euros TCO) et l affectation des revenus decettetaxeàdesinitiativesinternesd efcacitéenvironnementale UHl organisationdesprixdel Efcacitéenvironnementale Cedispositifbasésurunedoubleincitationencouragechaqueentitéà réduiresesémissionsdeCOpourréduirelemontantdelataxe mettreenplacedesinitiativesd efcacitéenvironnementalepourlesquellesellepeutrecevoirunnancement L objectif de ce dispositif est de montrer que les actionsenvironnementalessontaussidesopportunitésdecréationdevaleuret d innovation pour la Banque La sélection est effectuée par un * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I Comité quis assureque chaque initiative réalisée aitdémontré uneadditionnalité environnementale et présente un intérêt économiqueONTKD&NTODEn 2015 56initiatives ont été récompensées se partageant unmontanttotalde3 4millionsd euros Sur les trois ans d existence de ce dispositif l ensemble des119initiativesrécompensées portantsurl immobilier l informatique le papier lestransportsoulesdéchets (depuis 2015) apermis uneéconomierécurrenteannuellede13millionsd eurosenmoyennesurlesfraisgénéraux de4700tonnesenmoyenneparandeCODSCD30GWhd économied énergieenmoyenne 0HVXUHVS ULVHVSRXUDPOLRUHUOpHIILFDFLWHQYLURQQHPHQWDOHI M M OB I LI ER5 8&7 21 (6&2162007 2161(5*7 48(6Avec plus de 4millions de m² de surface en 2015 le Groupe s estengagé avec la mise en place d une stratégie environnementalepoursonparcimmobilier àcontinuellementaméliorerlaperformanceénergétiquedesesimmeubles Pourcela ilanotammentxéunobjectifde15%d augmentationdesperformancesénergétiquessurlesimmeublescentraux(horsagencesetliales)en2015parrapportà2012 Cetobjectifcontribuefortementàlabaissedeconsommationd énergieamorcéedepuis2007 Plusieurs outils ont été mis en place pour atteindre cet objectif Un outil de diagnostic environnemental (ODE) a été développé and évaluerlesperformancesenvironnementalesduparc Unecollectedesprolsenvironnementauxsurlesimmeublesdeplusde5000m²a été réalisée début 2015 UnADMBGLQJde ces immeubles parrapport au standa rd immobilier du Groupe (Référentiel BâtimentResponsable RBR) a ainsi été effectué permettant de déployerdesplansd actionscohérentsetefcacesparpaysouparentité etd éleverlaperformanceénergétiquedel ensembleduparc Unoutildepilotage(GREEN) desuivientempsréeldesconsommationsénergétiques et d eau et de la gestiondes déchets d un immeuble estactuellementencoursde déploiement Ilaétédéployéen 2015sur les principaux immeubles centraux en France il est utilisé pourpiloter l efcacité énergétique de ces immeubles et assurer le suividumanagementde l énergiesur l ensembledesimmeublescertiésISO 50001 pour une durée de trois ans (19immeubles centraux enFrance qui représentent 167GWh d énergie consommée en 2014 DCDEDBDL outilGREENaégalementétédéployéauxÉtats Unis(unimmeubleàNewYork) enInde(BangaloreetChennai) auLuxembourg etilestencoursdedéploiementdansd autrespaysd AsieetauRoyaume Uni Le projet immobilier des DUNES situé à l est de Paris d unesurface de 89000m et pouvant accueillir jusqu à 5500personnesest en cours de réalisation Il est construit selon les règles RT(Réglementation thermique 2012) en cours de certication HQEConstruction et LEED et permettra d améliorer la performanceenvironnementale et énergétique du Groupe en remplacement desimmeublesd anciennesgénérations Desactionsspéciquessontégalementmenéespourlesimmeublesexistants au niveau des services centraux des réseaux d agenceset des liales an de tendre vers une meilleure maîtrise desconsommationsettoujoursplusdesobriétéénergétique pilotage des données de consommation le nombre d agenceséquipéesd unsystèmedetélé comptageestde192àn2015 Dans les immeubles de Paris et région parisienne un systèmede management environnemental (SME) avec intéressementaux économies d énergie et de uides a été mis en place avecl exploitant Laconsommationd énergiedesimmeublescentrauxadiminuéde1 7%en2015parrapportà2014 rénovations des immeubles d importants travaux de rénovationet de mise aux normes sont en permanence réalisés dans lesimmeublesetlesagencesdeSociétéGénérale Ilsontpermisuneréductiondelaconsommationd énergied environ3GWh an Recours aux énergies renouvelables en 2015 26% de laconsommationd électricitéduGroupeestd originerenouvelable grâce d unepart àlaproductiondansnosimmeublesd énergierenouvelable (panneaux solaires et méthanisation des déchetsalimentairesdans certains restaurants d entreprise 1 4GWh en2015)et d autrepa rt àl achatdecerticatsverts LaBanquedePolynésieainstalléunecentralehybridesolaireetéoliennesurlesite«SiègesocialetAgencePomare»dePapeete LPLQXWLRQGHOâXVDJHGHOâHDXLaconsommationd eauduGroupeestde2millionsdemDLa légèreaugmentationdelaconsommationparrapportà2014 estdueàunecouverturepluscomplètedesconsommations Danslesimmeubles lagestiondel eausefaitenconcomitanceaveclagestiondel énergie Elleestcomplétéepardesactionsde réductionde la consommation (détecteurs de présence remplacement desclimatisationsàeauperdue ) *HVWLRQGHVGFKHWVEn valorisant ses déchets SociétéGénérale veille à minimiser leurimpact direct sur l environnement Au niveau Groupe la productionde déchets est estimée à enivron 16000tonnes en 2015 soit unebaissede1 7%parrapportà2014 L objectif du nouveau programme de réductioncarbone 2014 2020est d intégrer les déchets dans l empreinte carbone du Groupe Denombreuses actions visant l amélioration de la gestion des déchetsexistent au sein du Groupe Des efforts sont notamment faits entermes de réduction des déchets (réduction des impressions dispositif d éco conception du mobilier avec le producteur) deleur réutilisation (revente du mobilier de bureau en bon état) ou deleur recyclage (gestion des déchets d équipements électriques etélectroniques méthanisationde455tonnesdedéchetsalimentairesdans certains immeubles en région parisienne ayant permis uneproductionde160MWhd énergiethermique recyclagedesdéchetspapiersauseindes réseauxd agences 1265tonnes de papierset150tonnesdecartonsrecycléstraitéesparlesecteuradapté) I N F RA ST R UC TU R ES I N FO RM AT I QU E SLa Direction informatique s est dotée d une stratégieenvironnementale permettant une meilleure prise en compte desaspects environnementaux dans la gestion de son parc Cettestratégie se décline en deux axes l amélioration du pilotage desdonnéesdeconsommationd énergiedeséquipementsetl intégrationsystématique des aspects environnementaux dans la conception etlagestiondesprojets IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( La législation française impose depuis 2006 aux émetteurs d imprimés graphiques (publicités presse gratuite d annonces presse d entreprise etc ) de participer aunancementdeleurrecyclage deleurvalorisationetdeleuréliminationparlescollectivitésterritoriales EcoFolio sociétéprivéeagrééeparlespouvoirspublics aétécrééeen2007pourpermettreauxentreprisesderespectercetteobligation Plusieurs leviers d actions sont utilisés pour réduire l empreinteenvironnementaleduparcinformatiqueduGroupe consolidation une stratégie forte de consolidation du nombreCD CSBDMSDQR en augmentant leur taux d occupation et unesystématisation des solutions «KNTC» tant interne qu externeavecunobjectifdevirtualisationde80%desapplicationsen2020 généralisation duOTKK OQHMSHMF et un objectif «zéro papier» àl horizon2020grâceauprogrammeCHFHSKENQKK réductiondesdéplacementsgrâceàlamiseenplacedenouvellestechnologiesdevisioconférence deRNESOGNMHDetautélétravail veille technologique identication des technologies les plusperformantes sur le plan environnemental dans une déma rchecontinued améliorationdeséquipements analyseannuelledeséquipements identicationdeséquipementsobsolètesouinutilesand éviterlegaspillageénergétique En 2015 13initiatives sur 56 recompensées ont pu bénécier d unnancement d efcacité environnementale (voir p 228 La taxecarbone interne) Elles ont permis de réaliser une économie de11 3GWh an T R A NSP ORT SSociétéGénéraleamisenplacedepuisplusieursannéesdesactionspermettant de réduire l impact environnemental des déplacementspersonnelsetprofessionnelsainsiquedutransportdemarchandises 75 (76352)(66 211( 6En 2015 les collaborateurs du Groupe ont parcouru 504Mkm en train avion et voiture ce qui correspond à 3358km paroccupant Le Groupe enregistre ainsi une légère baisse de 0 5%de ses déplacements pa r occupant par rapport à 2014 avec uneaugmentationdeskilomètresenvoituredemoinsenmoisémettricesCD DSTDAHRRDCDRCHRSBDROBNTTDRDHNDSDSHLa Direction des achats du Groupe en collaboration avec lesentitésduGroupeenFrance s efforcedepuisquatreansderéduirel empreintecarboneduGroupeenréférençantlesvéhiculeslesmoinsémetteurs du marché An d accélérer son action et d atteindrel objectif ambitieux deréduction de ses émissionsde CO leprojet«EdisOn»aétélancéavecl objectifde5%devéhiculesélectriquesdans le parc automobiledu Groupe à horizon trois ans À n 2015 27nouveaux véhicules électriques ont été commandés par lesdirectionsrégionalesduréseau Andepoursuivrecettecroissance laDirectiondesachatsadécidédelancerausecondtrimestre2015un projet de référencement de bornes de recharges électriquespermettant d avoir des conditions commerciales optimales pour lesachatsd infrastructuresdesrechargespourl ensembleduGroupe Elle incite également au déploiement de bonnes pratiques commele partage des véhicules de service et l application d un seuilde 10000km an en dessous duquel une alternative à la voitureindividuelledoitêtreenvisagée 75 (76 20 & (759 (77 759 Desactionscibléessontdéployéesandepromouvoirles solutionsalternatives à l utilisation individuelle de véhicules Au siège uneplateforme de covoiturage et un service d auto partage sont enplace Des actions existent également dans les liales CGI et ALDInternational ont notamment mis à disposition de leurs salariés desvélosetvélosàassistanceélectrique utiliséspourlesdéplacementspendulairesainsiquecertainstrajetsprofessionnels La mise en place de solutions de télétravail dans plusieurs entitésdu Groupe contribue également à la limitation des déplacementsTNSHCHDR ODRNDR RNS BNBDDR O KD SKSHK CNSlamoitiéenFrance(voirp 237 Développementdenouveauxmodesdetravailetd organisation) PA PI E RLe papier est le premier consommable utilisé par les activités deservices Il représente un enjeu économique signicatif et un thèmeenvironnemental sensible (gestion des déchets lutte contre lechangementclimatiqueetlapollution) Il s agit d une préoccupation constante pour le Groupe et de plusen plus d initiatives sont mises en place an de rationaliser laconsommation qui s élève à 16545tonnes en 2015 Ce chiffre estenbaisseparrapportà2014( 6 4%) Laconsommationdepapiersdebureauest en baisse depuis 2007 En2015 elle est de 54 5kgparoccupant soitenbaisse( 6%)parrapportàl annéeprécédente Le papier recyclé représente désormais 48% du papier de bureauconsommé enhaussede20%parrapportà2014 LesprogrèsaccomplissontlefruitdediversesactionsmenéesàtraversleGroupe telsquelebonusagedesimprimantes ladématérialisationdes supports pa piers vers de s supports numériques et l utilisationde papier recyclé À titre d exemple les actions récompensées parles prix de l Efcacité environnementale depuis trois ans dans lacatégorie «Papier» ne représentant qu une partie des actions enplace au niveau du Groupe permettent une économie récurrenteannuellemoyennesurlestroisansde101tonnesdepapier Dans le cadre de ses engagements en faveur de l environnement SociétéGénérale a non seulement adhéré à Ecofolio mais aégalement soutenu sa création en devenant actionnaire aux côtésd autres entreprises représentatives des différents secteurs del économie Depuis 2012 elle siège au Conseil d administrationde cet éco organisme Elle promeut à travers l éco organismel économiecirculaire B I O DI V E RSI T ÉAu sein de ses liales à l étranger des initiatives de sensibilisation àlaconservation de la biodiversité et aumaintiendes écosystèmessemultiplient C estnotammentlecasdeSGALenAlbanie deDeltaCrediten Russie de SGCB en Nouvelle Calédonie de ALD Automotive auBrésiletenHongriequiparticipentàdesopérationsdereforestationetsoutiennentdesprogrammesdepréservationdelabiodiversité * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 211(6(19 5211(0(17 (6 1)2507 216(19 5211(0(17 (68QLWVQQHGHUI3ROLWLTXHJQUDOHHQPDWLUHHQYLURQQHPHQWDOH1RPEUHWRWDOGHFROODERUDWHXUVGX*URXSH(PSORV1RPEUHWRWDOGpRFFXSDQWVUHFHQVVGDQVOHUHSRUWLQJ2FFXSDQWV&RXYHUWXUHGXSULPWUHGHFROOHFWH6XUIDFHWRWDOHUHFHQVHP3ROOXWLRQHWJHVWLRQGHVGFKHWV FKHWV7RQQHV&RXYHUWXUH SODFHPHQWVSURIHVVLRQQHOV0GHNP&RXYHUWXUH SODFHPHQWVSURIHVVLRQQHOVSDURFFXSDQW PYLRQ0GHNP7UDLQ0GHNP9RLWXUH0GHNP8WLOLVDWLRQGXUDEOHGHVUHVVRXUFHV&RQVRPPDWLRQGHDX0GHP&RXYHUWXUH&RQVRPPDWLRQWRWDOHGHSDSLHU7RQQHV&RXYHUWXUH&RQVRPPDWLRQWRWDOHGHSDSLHUSDURFFXSDQW J&RQVRPPDWLRQGHSDSLHUGHEXUHDX7RQQHV&RXYHUWXUH&RQVRPPDWLRQGHSDSLHUGHEXUHDXSDURFFXSDQW JGRQWSDSLHUGHEXUHDXUHFFO&RQVRPPDWLRQWRWDOHGHQHUJLH* K&RXYHUWXUH&RQVRPPDWLRQWRWDOHSDURFFXSDQWKWh&RQVRPPDWLRQWRWDOHGOHFWULFLWGWh&RQVRPPDWLRQGOHFWULFLWSDURFFXSDQWKWh3URGXFWLRQGOHFWULFLWGRULJLQHUHQRXYHODEOH0 K&RQVRPPDWLRQGQHUJLHGHVGDWDFHQWHUVGWh&KDQJHPHQWFOLPDWLTXHPLVVLRQVGH*(67&2H&RXYHUWXUHPLVVLRQVGH*(6SDURFFXSDQW7&2HPLVVLRQVGH*(6YLWHV7&2H6&23(7&2H6&23(7&2H6&23(7&2HLesenjeuxenvironnementauxdu Groupe concernentun périmètre plus vaste quelesentitésconsolidées Ce chiffre inclut les employés hors périmèreRHet nancierdesliales suivantes AldAutomotive Brazil Ald Automotive India AldAutomotive Turkey Ald Automotive Ukraine Concilian France et SGMauritanie Ces liales ne sontpasconsolidéesauniveauRhetnancier An d assurer la comparabilité des données l année de référence a été changée pour prendre en compte l intégration de Newedge et an de présenter les indicateursenvironnementauxsurunpérimètreconstant Lesdonnéeshistoriquesontétéretraitéesdelamanièresuivante llesnouveauxindicateursintégrésaucalculdesémissionsdeCOontégalementétéintégrésauxdonnéeshistoriques Cesretraitementsnecorrigentpaslesvariationsliéesàlacroissanceouàlaréductiondel activitéauseinmêmedesentités Lacouverturereprésentelesentitésayantcontribuéàladonnéeauproratadeleureffectif(ETP Équivalenttempsplein) (4)Inclutlepapierdebureau lesdocumentsdestinésàlaclientèle lesenveloppes lesrelevésdecomptesetlesautrestypesdepapier InclutlesCSBDMSDQRpropresethébergésenFrance Seulelaconsommationd énergiedesCSBDMSDQRpropresestcomptabiliséedansl électricitétotale Gazàeffetdeserre(GES) ÉmissionsdeCOévitéesgrâceàlaproductionetlaconsommationd électricitéd originerenouvelable Comprendlesémissionsdirectesliéesàlaconsommationd énergieetlesfuitesdegazuorées Comprendlesémissionsindirectesliéesàlaconsommationd énergie ComprendlesémissionsdeGESdelaconsommationl ensembledupapier lesdéplacementsprofessionnels letransportmarchandiseetlesconsommationsd énergiedesdatacentershébergésenFrance IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 4 E M P L O Y E U R R E S P O N S A B L ESociétéGénéraleapourambition dedevenirlabanquerelationnellederéférence Auservicedesclients cetteambitioninspirelapolitiquede Ressources Humaines du Groupe qui établit un lien étroit entrel humain et la stratégie la culture d entreprise et la performance C est pourquoi an d appréhender aumieuxles enjeuxdes métierset les évolutions de l environnement les priorités stratégiques RHconsistentà Accompagner les métiers du Groupe en pleine transformation Le paysage bancaire est en profonde mutation l évolutiondes attentes des clients et des parties prenantes l émergencedes nouvelles technologies et l encadrement réglementairetransformentlesmétiersdeSociétéGénéraleetlescompétencesDTHRDR ONT KDR DDBD D &NTOD CNHS SHBHOD KDRcompétences dont ses métiers auront besoin à moyen et longterme et celles en attrition Il doit également permettre auxcollaborateurs de développer leur employabilitéUHla formationet l élaboration de parcours professionnels pertinents tout enrecrutant les meilleurs prols pour les métiers en croissanceou naissants Enn la transition numérique ouvre la voie à denouveaux modes de travail denouvelles interactions en inter neet avec les clients Il s agit dès lors pour Société Générale deRHRH BDSSD NOONSTHS ONT RD CDKNOOD DS CDKNOOD RDRcollaborateurs Cettecapacitéd adaptationdescompétencesetdesmodesdetravailestdécisivepourlapérennitédesmétiers DKNOOD TD BTKSTD CD ATD DKSHNDKKD ENCD RT CDRvaleurscommunes Lacultured entreprisedeSociétéGénéraleestfondéesursesvaleurs(espritd équipe innovation engagement responsabilité) les comportements et les compétences qu ellesinspirent et la conduite à mener dans l exercice des métiers Elle a été façonnée par plus de 150 ans d histoire au serviceCDR BKHDSR D BKHDS DRS OKB T BDSD CDR ONBBTOSHNRdechacun et lesvaleurs fondamentales du Groupe guident lesactions de chaque collaborateur le nouveau+DCDQRGHO NCDKSociétéGénéraleycontribue notammentparsonancragedansl ensemble des processus RH C est cette culture d entreprisequi rend le groupe Société Générale unique et lui permet derépondredefaçonpertinenteauxattentesdel ensemblede sesOSHDRODSDR Favoriser l engagement des collaborateurs La Directiondes ressources humaines porte une attention spécique àl engagementdescollaborateurs quiestintrinsèquementliéàlaperformancedeséquipes ReconnaîtrelacontributiondechacunàlaperformancesurlelongtermeduGroupe veilleràlaqualitédevieautravailets appuyersurlaforcedeladiversitédeséquipessont autant d éléments essentiels pour lier les collaborateurs àl entrepriseetgagnerenefcacité (648 3(6 8*5283(62& 7*1(5 () 1À fin 2015 Société Générale comptait 145703 collaborateurs soit une baisse de l eff ectif total de 1 7% par rapport à 2014 Ceseffectifscorrespondentà131715ÉquivalentsTempsPlein(ETP)EffectifGroupe(ndepériodehorspersonnelintérimaire) pour façonner les comportements au service des clientsDIV ER SIT ÉDÉV ELO PPEM ENTCULTU R EEMP LO I1 Accord Cadre International sur les Droits Fondamentaux et 1 Charte « 15 engagements pour l équilibre des temps de vie »25 2de femmes dans le Groupe59 %15 15523 3854valeurs 50 %de femmes au Conseil d administration122nationalitésheures de formation par collaborateurCDI recrutés dans le mondemobilités internesNombretotaldecollaborateursenContratàDuréeIndéterminée(CDI)ouenContratàDuréeDéterminée(CDD) incluantlescontratsd alternance qu ilssoientprésentsouARDSRTelquedétaillédanslechapitre2 p 60 * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 5SDUWLWLRQJRJUDSKLTXH145703collaborateursrépartisdans66pays dont France métropolitaine (40 3% soit 58712 personnes dont43228pourSociétéGénéraleSA) Russie(13 6%) Républiquetchèque(6 7%) Roumanie(6 3%) Diversitédespaysd implantation 10 5%deseffectifsdanslespaysàfaiblesrevenusouàrevenusintermédiaires(trancheinférieure) 11 6%dansdespaysàrevenusmoyens5SDUWLWLRQSDUSOHVGpDFWLYLWVEn 2015 les variations les plus signicatives des effectifs reètentlestransformationsouadaptationsduGroupeàsonenvironnement Ellessetraduisentdifféremmentselonlespôlesd activités pour le pôle de Banque de détail et Services FinanciersInternationaux la baisse de 6 5% des effectifs est liée à larationalisation des effectifs en Russie (contraction de 21% deseffectifs de Rosbank) en ligne avec la stratégie annoncée en2014 et dans un environnement contraint au retrait en coursdes activités de crédit à la consommation au Brésil (près de1000collaborateurs enmoins) etàunajustementdu périmètredeconsolidation pour le pôle de Banque de Grande Clientèle et SolutionsInvestisseurs l augmentation des effectifs de près d e 10% estprincipalementdueà l intégrationeffective de lalialeNewedge acquiseen2014(environ2000collaborateurs) pour le pôle de Banque de détail en France la contraction deseffectifs de 1 5% s e xplique notamment par des départs enretraitenonremplacésauseinduréseauSociétéGénérale pour les directions centrales du Groupe l augmentation de11%deseffectifsestduenotammentàlamontéeenpuissanced équipes informatique et conformité pour soutenir l adaptationdu Groupe aux évolutions technologiques et aux exigencesréglementaires 5357 7 21 (6())(&7 )6353 (6 p&7 9 76())(&7 )6) 1 (35 2 (+2563(56211( 175 0 5(Amériques3 022 (2 1 %)Europe centrale et orientale50 457 (34 6 %)Europe de l ouest72 061 (49 5 %)Asie et Océanie7 761 (5 3 %)Afrique et Moyen Orient12 402 (8 5 %)50 3 %Banque de détailet Services FinanciersInternationaux(73 252 personnes)14 9 %Banque de Grande Clientèleet Solutions Investisseurs(21 721 personnes)7 9 %Directions centrales(11 472 personnes)26 9 %Ban que de détail en France(39 258 personnes)TelsquedénisparlaBanqueMondiale «Low income+Lower middleincomeeconomies($4 125orless)»notammentCôted Ivoire Ghana Géorgie Inde Madagascar Maroc TelsquedénisparlaBanqueMondiale «Upper middle incomeeconomies($4 126to$12 735)» notammentAlgérie Brésil Bulgarie Roumanie Serbie Tunisie IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 5357 7 21 ( 0 1 pm895(3567787(IIHFWLIWRWDOHQFRQWUDWGXUHLQGWHUPLQH& DXGFHPEUH(IIHFWLIWRWDOHQFRQWUDWGXUHGWHUPLQH& FRPSULVDOWHUQDQWVDXGFHPEUH3HUVRQQHOVLQWULPDLUHV0DLQGpzXYUHHWULHXUHMoyenne mensuelle en 2015 pour Société Générale SA en France Le recours à la main d uvre extérieure pour la sous traitance concerne principalement des activitésspécialiséestellesquel informatique lasécurité larestaurationcollective l entretiendeslocaux &&203*1(5 (607 (5 648 6(7516)250(17Le métier de banquier s inscrit aujourd hui dans un contexte deprofonds changements tant économiques réglementaires quetechnologiques La politique de Ressources Humaines du Groupeaccompagne cette transformation an que chacun des métiers duGroupe dispose des compét ences requises pour servir les besoinsdesesclients touten permettantaux collaborateursde développerleuremployabilitésurlelongterme QWLFLSHUHWDFFRPS DJQHUOHVYROXWLRQVGHV PWLHUVLA GE ST I ON P RÉ VIS I ON NE LLE DE L E M PLO IE T D E S CO M PÉT EN CE S UN O UT I L C LÉLa Gestion Prévisionnelle de l Emploi et des Compétences (GPEC)mise en place depuis 2013 est un outil clé d accompagnementdes évolutions actuelles et à venir pour les métiers du Groupe ellecorrespond à une démarche stratégique de pilotage qui permet auGroupedesedoterdescompétencesdontsesmétiersaurontbesoinàmoyen etlongterme Cettedémarches appuie sur despolitiquesRHadaptées notammenten matièredeformationoudepourvoidepostes Elledonneauxcollaborateurslesmoyensdeconfronterleursmotivationsetambitionsauxnouveauxbesoindel organisation CettedémarcheGPECestcommuneauGroupeetsedéclineselonSNHRHDT une vision macro prospectiveà trois cinq ans visantà anticiperles tendances qualitatives marquantes sur des métiers clésen transformation ou pour lesquels le Groupe a des difcultésà pourvoir les postes elle s appuie sur le plan stratégique duGroupeetlestendances lecontextedumarché un plan de gestion prévisionnelle à un an en lien avec le planopérationnel de chaque ligne métier il permet d élaborer lesplans de développement collectif d e mobilité etde recrutementpourl année unplandedéveloppement individuelpourchaquecollaborateur àrelierauxprocessusdegestionindividuelle(formation évolutionprofessionnelle)etdegestiondelaperformance Par le biais de l Observatoire des métiers Société Générale misen place depuis 2013 la Banque a contribué à 10 études avecl Observatoire de la branche (AFB Association Française desBanques) dans ce cadre une attention particulière est portée àl impactdunumériquesurlesmétiersdelabanque UN E D YN A M I QUE D E L E M P LOI QU I R ÉP OND AU X ÉV O LUT I ON S DU GR OU PE0289(0(176(175(6(76257 (65HFUXWHPHQWVHQ& 5HFUXWHPHQWVHQ& DOWHUQDQWVLQFOXV SDUWVGHVDODULVHQ& 7XUQRYHUGHV& TauxdesortiedescollaborateursenCDI(rapportentrel ensembledesdépartsdeCDIetl effectifdendepériodeenCDI) * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 5(&587(0(1777 5(5 (67 (176 217 (*5283(%(62 1Au cours de l exercice 2015 les recrutements du Groupe seOSHRRDSHRH 15155contratsàduréeindéterminée(CDI) dont50 6%defemmes 9627contratsàduréedéterminée(CDD) dont67 3%defemmes EnFrance SociétéGénéralearecruté 3901CDI(dont2541pourSociétéGénéraleSAenFrance) 3859CDD(contratsd alternanceinclus) La politique de recrutement et d attraction des talents se déclineen fonction des caractéristiques des métiers des activités ou descontextespropresauxdifférenteszonesgéographiques Premier espace d interaction avec les candidats le siteBQDDQRRNBHDSDFDMDQKDBNL offre un processus de recrutement unié pourle Groupe au sein de 20 pays En 2015 341000 candidatures ontSRHSOKDRHSDCareers pourplusde3 4millionsdevisites 3576(7785129(5Le nombre total de départs de salariés en CDI s est élevé à19402pourleGroupeen2015 correspondantàuntauxdeturnoverglobaldesCDIpourleGroupede14 4%(enaugmentationde1 1%parrapportà2014) Lesprincipauxmotifsdedépartssont parordred importance les démissions(49%) les licenciements (38% dont60%danslesentitésrusses)etlesdépartsenretraite(10%) DWDXGHWXU QRYHUYRORQWDLUHGHV& (dûauxseulesdémissions)est de 7% (contre 8 4% en 2014) Celui ci ressort à 5 2% horsentités russes (où les taux de turnover traditionnellement élevéss ajoutent à d importants ajustements structurels) avec des tauxparticulièrement contenus sur des pays clés comme la France(3 3%)oulaRépubliquetchèque(3 6%) Leturnovervolontairevarienéanmoins selon les métiers et zones géographiques les placesnancières fortement concurrentielles (notamment en Asie) et lespays avec un marché de l emploi dynamique afchent des taux deturnovervolontairesplusélevésque lamajeure partie des entitésduGroupe Desactionsspéciquesetcibléesysontentreprisesanderetenirlesmeilleurstalents 5357 7 21 ( p())(&7 )351& (11(7Donnéesau31 12 2015sur98%dupérimètreGroupe D après l analyse du graphe ci dessus la moyenne globale del anciennetédansleGroupes établità9 2années 81(77(17 2163& ) 48(3257( p 17*57 21 (6 (81(6L undesenjeuxRHdeSociétéGénéraleestl attraction lerecrutementet la rétention des meilleurs talents notamment juniors dont lesacquisacadémiquescorrespondentauxbesoinsencompétencesduGroupe C estpourquoilaBanqueestengagéedansunedémarchevolontaristeenmatièred insertionprofessionnelledesjeunes Ainsi àn2015 prèsde3300alternantsetVIEétaientenpostedansles entités françaises du Groupe des chiffres en ligne avec lesimpératifslégaux Autotal 5056alternantsontétéreçuspendantl annéedansl ensembleduGroupe au cours de l exercice 2015 3990stagiaires ont été accueillisen France (liales incluses) Ces stages qui s inscriventsystématiquement dans le cadre d un cursus pédagogique sont pour la plupart obligatoires pour l obtention d un diplôme Ils permettent aux étudiants une immersion dans le mondede l entreprise tout en bénéciant de l accompagnement etdu suivi de leur maître de stage À l échelle mondiale ce sont11094stagiairesqueleGroupeaaccueillisdansl année Lesanciens stagiaires VIE (volontaires internationaux enentreprise)et alternants de Société Générale représentent un vivier prioritairepourlesrecrutementsdejeunesdiplômés And attirerlesmeilleursprols et déliser les jeunes diplômés qui alimenteront ce vivier SociétéGénéraleaparexemplemisenplace de nombreux partenariats avec les écoles et formationssupérieuresdanslemonde EnFranceetenEurope parexemple le Groupe est partenaire de plus de 50écoles et formationssupérieures(formationsuniversitaires ingénieursoucommerce) desévénementsderecrutement«1contraten1jour» quipermettentauxcandidatsdesigneruncontratd alternanceenunejournée lenancementdeprogrammesd enseignementetdetravauxderecherche par le biais de 11 chaires avec un engagement de1 5 million d euros en 2015 (ex Chaire Énergie & Finance avecHEC Chaire Risques Financiers avec Polytechnique l UPMC etl ÉcoleNationaledesPontsetChaussées) les programmes d accompagnement et de développement&DMDQSHN DWS(stagiaires VIE & apprentis) et)TMHNQ QNFQLLD(jeunesdiplômés) auseindupôledeBanquedeGrandeClientèleetSolutionsInvestisseurs véritablestremplinsinternes(développementdu réseau professionnel mentorat découverte approfondie desmétiers séminaires de formation etc ) ces programmes comptentchacunplusde1500membresàtraverslemonde lapromotionduconcoursdel Inspectiongénérale L édition2015dececoncoursapermisà34jeunesdiplômésde13nationalitésdifférentesderejoindrel InspectiongénéraleduGroupe CesopérationsillustrentlavolontéduGrouped attireretderecruterles talents en les sensibilisant dès lespremiers contactsauxenjeuxet responsabilitésdusecteur bancaire et à la réalité de sesmétiers Ellestraduisentégalement lavolontédu Groupe d accompagnerlesétudiantsdanslaconstructiondeleurprojetprofessionnelet deleurtransmettredesclésdecompréhensiondeleurfuturenvironnementONEDRRHNDK de 11 à 22 à 55 à 1010 à 1515 à 2020 à 2525 à 35+ de 35201510505 10 15 20 25 30HommesFemmesMilliersAnnéesd ancienneté IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( LA M OB I LI T ÉI NT ER NE V EC TE UR DE M I SEE N U V RE D E LA T R AN SFO RM AT I ONLa volonté de Société Générale est de développer une politiquede mobilité interne active et efcace an de favoriser l adaptationpermanentedescompétencesdescollaborateursauxévolutionsrapidesdel environnementéconomique réglementaireoutechnologique En2015 letauxdemobilitéinterneauGroupes établità17%avecl enregistrementde23385mouvementsdanslemonde Autotal plusde 60% des postesenCDIont été pourvus parmobilitéinterne aucoursdel année Pour Société Générale SA en France la mobilité interne est pilotéepar le Campus Métiers Mobilité qui centralise les postes à pourvoirpour les pôles d activités et les directions centrales Il offre auxcollaborateursuneplusgrandevisibilitésurlesopportunitésinternesDS KDT CND K OHNHS ONT KD ONTNH CD ONRSDR T SNSK OKTRde8700mouvementsont étéréaliséschezSociétéGénéraleSAenFranceen2015(soituntauxdemobilitéde21%) dont2500parlebiaisduCampusMétiersMobilité À l échelle du Groupe la cartographie réalisée depuis 2013 surl ensemble des métiers et l identication des passerelles possiblesentre différents métiers permet de mieux orienter les collaborateursdans les mobilités ouvertes Un intranet «Métiers» leur offre lapossibilité de simuler différents parcours pertinents en fonction deleur expérience Par les opportunités d évolution interne offertes cette politique de mobilité favorise également la délisation descollaborateurs particulièrement attachés au Groupe le BaromètreEmployeur 2015 a mesuré en effet un taux de ertéd appartenanceaugroupeSociétéGénéralede84%delapartdesescollaborateurs(+6pointsparrapportà2013) La mobilité internationale est également favorisée soutenant ainsi ladimensioninterculturellede l entreprise Àn2015 leGroupecompt aitenviron1000salariésenmobilitéinternationale(touspaysd origineetdedestinationconfondus)dont60%auseindupôlede BanquedeGrand eClientèleetSolutionsInvestisseur s(Londres NewYork Singapour HongKong ) 30%au seindupôledeBanquededétailetServicesFinanciersInternationaux(principalementsurlecontinentafricainetenEurop edel est)et 10%danslesdirections centrales Enparallèle la Banque développe des missions internationales deBNTSD CTD RGNQS SDQL RRHFMLDMSR » de quelques mois) pourdes collaborateurs travaillant au sein d équipes internationales plussouplesqu uncontratd expatriation cesmissionspermettentd accroîtrelessynergiesetde uidierlesrelationsauseind équipesmulticulturelles L e xpé rimentation réalisée au sein de la Directiondessystèmesd informationdupôledeBanquedeGrandeClientèleet Solutions Investisseurs dep uis mi 2014 a étéplébiscitée par lesBNKKANSDTRBNBDR YHORSSHUOHVFRPSWHQFHVetl emplo yabil itédescollabo rateursADA PT E R LA P OLI T I QU E DE FO R MAT I O NAUX B E SO IN S DE S M ÉT IE R S E T D E S CLI E N TSSociété Générale consacre des efforts importants au sujet de laformation pour permettre à ses collaborateurs de développer leurscompétencesetleuremployabilité enprenantencomptelesbesoinsde l entreprise ceux de ses clients et leurs évolutions futures Lesorientationsstratégiquesdelaformationsontanalyséesetprioriséespar leComitédeformation(+DQMHMFNQC) composédemembresdu Comité exécutif et du Comité de direction En 2015 l accent aétémissur larefontedesformationsmanagérialesenlienavecle+DCDQRGHONCDKduGroupe(voirp 238) le développement de solutions innovantes pour diffuser lessavoirs notammentgrâceaudigital(voirp 237) lapoursuitedesdispositifsspéciquesd accompagnement En 2015 77% des salariés du Groupe ont bénécié d au moinsune formation pour près de 4 millions d heures dispensées dont14%réaliséesàdistance(e learning BKRRDR HSTDKKDR DSBBD THreprésenteenmoyenne25 2heuresdeformationparsalarié(contre24 4 en 2014) Au total 93 millions d euros ont été consacrés auxdépensesdeformation(3%deplusqu en2014 dufaitnotammentdel intégrationde sformationsdeNewedgeetdel augmentationdurecoursà l alternance cf p 235) La majeure partie desformationsdispensées est liée aux expertises métiers avec une dominantetechnique l autre partie de ces formations concerne des modulestransverses au Groupe notamment sur les volets suivants maîtrise des risques réglementaire managérial comportemental etdéveloppementpersonnel 9( 233(0(17 (635&2856(7352)(66 211 67 21 (6) 5(607 (56Les parcours de développement et de professionnalisation deslières ont poursuivi leur essor en 2015 Destinés à accroître lescompétencesetlesconnaissances cesprogrammessontregroupésau sein d académies qui offrent un accompagnement renforcé etpermettentd alignerlespratiquesàl international ParmilesinitiativesDOKBDNODTSBHSD leprogrammedelaBankersAcademy animépardesBanquiersNRDHKR DS DODSR HSDDR RT KD BNRDHK T &CDREntreprises etdestinéàdescollaborateursexpérimentéssurdesfonctionscommerciales provenantdel ensembleduGroupe lecursuscertiantenstandardinternationaldelaRetailBankingAcademy reconnu par le Chartered Bankers Institute et destinéauxmanagersstratégiquesetcommerciauxdeBanquededétail KDRFAC (Favoriser l Acquisition des Compétences)CDRSHRaux prols commerciaux (agences télé conseillers) du pôlede Banque de détail en France dès leur prise de poste Leursmodules de formation couvrent les aspects comportementaux techniques métiersetrisquesassociés KHR Academy qui permet de diffuser le modèle opérationnelRH et renforce le professionnalisme des1 TRHMDRR QSMDQR(DRH et gestionnaires RH) et des experts RH en France commeàl international 352027 21 17(51(&85686& 5((7366(5( p(Vecteurs d employabilité et de promotion interne en France les dispositifs historiques du Cursus Cadre et de Passerell E sesont poursuivis en 2015 sous un format intégrant plus de travailcollaboratif faciliténotammentparlesoutilsdigitaux À l exception des mouvements internes au Réseau de Banque de détail en France pilotés de façon décentralisée compte tenu de son organisation et de sa répartitiongéographique * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I le Cursus Cadre est un parcours de formation d une durée dedix huit mois qui permet à des collaborateurs à fort potentield accéderaustatutde«cadre» lespréparantainsiàassumerdesresponsabilitésélargieset lecaséchéant àencadreruneéquipe ledispositifPasserell E permetauxcollaborateursdedévelopperpendantdixmoisleurscompétencesand accéder au niveauEdelaclassicationbancaire Au total en 2015 380 collaborateurs de Société Générale SA enFrance ont bénécié avecsuccèsdesparcoursCursusCadre etdePasserell E ACCO M PA GNE R LA TR A NSI T I ON NU M É R IQ UELes évolutions technologiques ont transformé les usages vers plusde mobilité et créé de nouvelles façons d interagir Ces évolutions soutenues par des effortsspéciques derecrutement sur les prolsinformatiques ont un impact direct sur les métiers du Groupe NKTSHN CD K DKSHN DS CDR HSDBSHNR DB KDR BKHDSR DS KDRprospects transformation des produits et des services ou encoretransformationdes modèles opérationnels et de l environnementdeSHKCDRBNKKANSDTR 9( 233(0(17 p81(&8 785( * 7 (En 2014 Société Générale a lancé le programme#HFHSK ENQ KK RNobjectif était de s appuyer sur l ensemble des collaborateurs pouraccélérer la transition numérique de la Banque en encourageantl appropriation par tous des outils numériques Aujourd hui lamajeurepartie des collaborateurs du Groupe dans le monde bénécient surleur poste xe d outils collaboratifs et 70000 tablettes leur ont étédistribuées Celles ciproposentunensembled outilsapplicatifsfacilitantle travail quotidien de chacun La diffusion de cette culture digitale aété facilitée par une communauté d DQKX CNOSDQR équipés en amontdu déploiement du projet an de pouvoir partager ensuite de bonnespratiques sur les usages digitaux de plus de nombreux événementsinternes (conférences hackathons )sontautant d occasionspourlescollaborateursdes ouvrirauxinnovationsdigitales SociétéGénéraleaparailleursconrmésapositionde4DDSDOHRDCTCAC40entermesdematuritédigitalelorsdela2DéditiondupalmarèsannueleCAC40dirigéparKDRBGNRTRHMDRRDS&HKKDRAHDS * 7 67 21 ( )2507 21SociétéGénérales estengagédansunestratégieambitieuseanderepenserlaformationàl heuredunumérique DenouvellesmodalitésémergentauseinduGroupeetoffrentauxcollaborateurslapossibilitédesedéveloppersurlesthèmesqu ilspeuventchoisir àleurrythmeetdepuislelieudeleurchoix(surlesoutilsnomadesouàpartird unbureauvirtuel parexemple) En2015 leGroupeanotammentmisàCHRONRHSHNCDRBNKKANSDTR 4MOOCs surledigital lagestiondeprojet l analysenancière lesrisquesetlaconformité Parlebiaisdenombreuxauto tests vidéos et interactions avec des communautés d apprentissage ils permettent aux collaborateurs d approfondir les différentesthématiquesproposées plusde100vidéosd autoformationsurintranet(culturegénéraleéconomique et bancaire protection des données tutorielsinformatiques épargnesalariale contrôledegestion ) 1900heures de formation réalisées dans des classes virtuelles permettant sur des formats synthétiques et percutants (1 à2heures) de bénécier de l interactivité nécessaire au partagedepratiques toutenlimitantlesdéplacements près de 100 nouveaux modules de1OHC +DQMHMFR conçusde façon réactive et ciblée par les experts Société Générale enFrancecommeàl international grâceàunesolutiondéployéeauRDHCT&NTODCDOTHRDÉ VE L OPP E R DE NO UVE AUX M ODE SDE T R AVA I L E T D OR GA NI SAT I ON7 759 (75( ) 1 7 21 (6(63&(6 (759 DWOWUDYDLO répond à un double besoin innover dans les modesde fonctionnement à l ère digitale et contribuer à une meilleureBNBHKHSHN DSD K HD ONEDRRHNDKKD DS K HD ODRNDKKD CDRcollaborateurs C est par conséquent un facteur de motivation(taux de satisfaction de 98% pour les personnes qui le pratiquenten France) de responsabilisation et un levier de performance queplusieurs entités du Groupe expérimentent au travers de modalitésappropriéesaucontextelocal Àn2015 lenombredetélétravailleursréguliers au sein du Groupe a quasiment triplé par rapport à 2014 passant de 1800 à près de 5000 personnes dont la moitié chezSociétéGénéraleSAenFrance Letélétravailestégalementrépanduau Royaume Uni (près de 800 collaborateurs concernés) enRépublique tchèque (500) en Russie (300) ainsi qu en Allemagne BelgiqueetRoumanie(200chacun) Parailleurs leGroupeexpérimentedenouvellesfaçonsd appréhenderles espaces de travail favorisant le nomadisme les échanges et lacoopération L implication des collaborateurs dans le processus deconception(lorsdedéménagementsnotamment)facilitel appropriationdeslieux dansdesespacesplus modulableset moinsformels C estle cas par exemple au Luxembourg à Londres à New York etprochainementàVal de Fontenayoùlenouveaucomplexeimmobilier«lesDunes»accueillera en2016l ensembledeséquipes ITd Ile de France Cetechnopôledel estparisienseral occasiond expérimenterKDKDW6NQJ dontleprincipeestdepermettreàchacundechoisirsonespace de travail en fonction de sesbesoins du moment aussi biendansleslocauxdeSociétéGénéralequ àl extérieur ( 35 0(177 21 (1289( (607+2 (6 (759 Ladémarched NODMHMMNUSHNMengagéeparleGroupeen2015offrel opportunitéauxéquipesdecollaboreravecl écosystèmeinnovationDSDD RSQSTORntech experts) pour gagner en créativité agilitéet rapidité dans le développement des projets Outre la promotionde méthodes de travail alternatives (le travail en équipe restreinteOHYYSDL l améliorationcontinueparlaméthode3DRS+DQMNTl expérienceutilisateur) leGroupeencouragel immersiondeséquipesdansdescommunautésinnovantesquileurpermettentdeconfronterleurs idées à des experts de cet écosystème Société GénéraleMassiveOpenOnlineCourse coursenligneouvertmassivement ModulesDKDQMHMFde15à20minutesconçuseninterneparlesexpertsmétier IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( s appuie donc sur la force et la capacité d innovation collectiveinterneetexternepourréinventerlemétierdebanquier EnAfrique ladémarched NODMHMMNUSHNMs estillustréeen2015pa rKBSHNCDK M EQHBM5KKDXNLLTMHSX quiimpliqueles3KDMSR2SQSFHPTDR (voir p 239) des liales de 14 pays d Afrique Par deséchanges quotidiens multimodaux (réseaux sociaux événements conférences téléphoniques ) et des interactions régulières avecles acteurs locaux innovants les membres de cette communautédeviennent acteurs de la transformation de la Banque en Afrique mobilisés sur des projets concrets correspondant aux enjeux desmétierssurlecontinent 9( 233 (581(&8 785( (%148(5( 7 211( ()21 (685 (69 (856 &20081(6EngagerleséquipesautourdesvaleursGX*URXS HSociété Générale veut être la banque relationnelle de référence prochedesesclients choisiepourlaqualitéetl engagementdeseséquipes Pour transformer cette ambition en réalité il ne suft pasCDEHDCD KRSHREBSHNBKHDSRTDOHNHSHK ETS TDKDBKHDSRNHSréellement au centre des préoccupations de chacun Cela impliquepourlescollaborateursdetravaillerensemble quelquesoitlemétierexercédansleGroupe avecunobjectifpartagé leclient Pouryparvenir SociétéGénéralearedénisesvaleursfondamentalesen 2014 (engagement et responsabilité ajoutés aux valeurshistoriquesd innovation etesprit d équipe)puisamis l accentsurlescomportementsetlescompétencesparlesquelscesvaleursdevaientsetraduirepourl ensembledescollaborateurs aubénécedesclients Cette réexion sur le nouveau+DCDQRGHO NCDK Société Généralea mobilisé les dirigeants du Groupe (Comité exécutif et Comité dedirection) et près de 300 managers Elle a permis de renforcer unecultured entreprisequicombineàlafoisl ambitiondedéveloppementdes activités (innovation client) la volonté d exemplarité individuelle(engagement) et collective (esprit d équipe) ainsi que le souci del éthiqueetdurespectdesrègles(responsabilité) Ces valeurs permettront autant de rapprocher les collaborateursentre eux que de les rapprocher des clients Une gouvernancespécique est en cours de mise en place au plus haut niveau del entreprise an de mesurer durablement l évolution de la cultured entreprise sur le volet des valeurs des comportements et de laconduitedansl exercicedel ensembledesmétiers ElleimpliqueraleConseild administrationetleComitéexécutif TransformerlesvaleursencomportementsD NTDT+DCDQRGHO NCDK Société Générale traduit l orientationclient ainsi que chacune des quatre valeurs de l entreprise encompétences requises Celles ci sont déclinées pour les troisprincipaux niveaux de responsabilité dans l entreprise dirigeants managers et collaborateurs présentant ainsi un langage communqui donne à chacun les clés de sa réussite dans le Groupe À titred exemple pourlescollaborateurs lescinqaxessonttraduitsparlescompétencescomportementalessuivantes Espritd équipe «JemetsmonénergieetmestalentsauserviceCTBNKKDBSHEu Innovation «Je propose de nouvelles idées et contribue auprocessusdechangement» Engagement «Je suis engagé(e) et je fais preuve d attentionDDRKDRTSDRu Responsabilité «J agisavecéthiqueetcourage» Client «Jedéveloppenotreimpactclient» Le nouveauguide descompétences issudu+DCDQRGHONCDKHKKTRSDensuitedefaçonconcrèteetpragmatiquelescomportementsobservablesetdoncévaluables découlantdechacunedecescompétences Parallèlement à ce guide un outil intranet d autopositionnement estaccessibleà tous ilpermetàchacun en 20 questions desesituerpar rapport aux comportements attendus et donne des outils dedéveloppementpourprogressersurlesthématiqueslenécessitant La priorité de 2015 a été la sensibilisation de l ensemble desmanagers du Groupe à ce+DCDQRGHO NCDK an qu ils puissent àleur tour sensibiliser leurs équipes dès le début 2016 Plus d unecentaine d ateliers et séminaires ont été organisés dans l ensembledes métierset fonctions du Groupe préparant ainsi l ensemble deséquipesàl intégration du+DCDQRGHONCDK CRKDR ONBDRRTR 1 THONBSTDSKDOBNTRCDSNTR3UHQGUH HQFRPSWHOHVFRPSRUWHPHQWVDWWHQGXVGDQVOHVSURFHVVXV5+É VALU AT I ON DE S C AN DI DAT SLes missions conées à chaque nouveau collaborateur requièrentdes compétences comportementales spéciques identiées et encohérence avec le nouveau+DCDQRGHO NCDK Ces compétencessontexplicitéesetrecherchéeschezlescandidats parle biais d unegrilled analysecommune utiliséelorsdesentretiensderecrutement Après une phase de test sur la France mi 2015 cette démarchecommenceàsegénéraliser àn2015 pourchaqueposteàpourvoirauseindel entreprise Lesrecruteursontainsiétéunecibleprioritairepour la formation au nouveau+DCDQRGHO NCDK B DBTSD CDRcandidatsévaluésauregarddu+DCDQRGHONCDKestunélémentclépourfaireévoluerlacultured entreprisesurlelongterme ZOO M SUR L A XE «R ES PO NS AB I LI TÉ»Le c ur de l expertise des métiers de Société Générale est debien connaître et comprendre les risques de savoir les maîtriser etles piloter La maîtrise des risques est un élément central de l axe1DRONRAHKHSuCT+DCDQRGHONCDKDepuis2011l unedescomposantesduprogramme«MSDQOQHRD1HRJMFDLDMS(ERM)» est liée à la culture d entreprise par le biaisd unedé marcheGroupelabellisée«TKSTQD1(2*» Celle cis appuiesur plusieurs dispositifs RH notamment l évaluation systématiquedu «sens du risque» des candidats lors du recrutement mise enplaceenFrancede puis2012etdanscertaineslialesàl international * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I depuis2013 L objectifestdesélectionnerdescandidatsprésentantdès l origine un comportement adapté à l exigence du Groupe enmatière de maîtrise desrisques et d écarter ceux dont l attituden yseraitpas conforme elle entre désormais dans lecadre plus globalde l analyse des compétences comportementales des candidatsNHRTOQPar ailleurs depuis 2013 les collaborateurs et managers dont lesactivitésprofessionnellesontuneincidencesignicativesurleprolderisque du Groupe fontl objet d évaluationsdeleurs comportementsparlaDirectiondesrisquesetcelledelaconformité encomplémentdu processusdegestion delaperformance(voirinfra) D autrepart des comportements non conformes peuvent être remontésUHKDRENBSHNR RTOONS SHKKS D DKSHN CHDBSD DB KDR NOSDTRde marché Ces dispositifs ont permis d établir plusieurs sourcesd alerte concernant les collaborateurs qui ne présenteraient pas uncomportementenadéquationaveclesattentesduGroupeentermesde risque et de conformité ils peuvent avoir un impact sur leurrémunérationvariable lecaséchéant Pluslargement le volet Sensibilisation etFormation de la démarcheTKSTQD 1(2* est prédominant avec notamment unDKDQMHMFCDsensibilisation suivi avec succès par plus de 52000 collaborateursdanslemondeàcejour Lesuccèsetl impactduprogrammeTKSTQD1(2*sesontvériéslorsdu Baromètre Employeur 2015 86% des collaborateurs estimentque les risques sont évalués précisément lors de toute prise dedécisionimportante(15pointsdeplusqu en2013)et80%pensentquelepland actionsTKSTQD1(2*estsufsammentbienimplémentédans leur équipe pour éviter les éventuels dommages affectant laOTSSHN CT &NTOD TDRSHN N ONRD D NTSD D2015 uneauto évaluationréaliséepar400managersdanslemondea démontré l ancrage de la culture Risques dans les processus notammentenmatièredepilotagedesrisquesetdepriseencomptedelamaîtrisedesrisquesdanslarémunération Enn l axe Responsabilité du+DCDQRGHO NCDK traduit égalementl exigence de Société Générale envers ses collaborateurs quant aurespect des standards d intégrité les plus élevés dans tous leurspropos et toutes leurs actions À cet égard le Code de conduite(voirp 214)est unoutilprimordial auquellescollaborateursontétéCDNTDTRDRHAHKHRRDDOSHBTKHDTRDHCDKTDdeGrandeClientèleetSolutionsInvestisseurs LeCodedeconduitedénit notamment les attentes du Groupe vis à vis de tous sescollaborateurs et procure les informations nécessaires pour piloterles activités de manière éthique et en conformité avec les lois despaysdanslesquelsleGroupeestprésent I NT É G R AT IO N DU + #1 2( # + 2LA CU LT U RE M A NAG É R I ALEEn 2015 les programmes de développement managérial quiODHRSHDSTRDHCDRCHEEDSDRDSHSRCT&NTODNSSDTRUn programme commun a été élaboré suite à un travail collaboratifentre les équipes de formation du Groupe et les différents métiers pôles et pays Ce nouveau programme managérial participatifet totalement orienté sur les enjeux des métiers est centré sur le+DCDQRGHO NCDK Il sera déployé courant 2016 sur l ensemble duGroupe avec des modules dédiés aux managers de proximité etmanagersintermédiairesainsiqu auxmanagersstratégiques É V OLU T IO N DU PR OC E SS US D E GE S T I ONDE LA P E R FOR M AN CEAn que ce nouveau+DCDQRGHO NCDK s ancre dans le quotidienprofessionnel de chaque collaborateur il est désormais intégré audispositifde gestiondelaperformance L alignementde l évaluationTDKKD RT KD+DCDQRGHO NCDK est en effet considéré comme unélémentclédelatransformation Le processus Société Générale de gestion de la performancepermetdereconnaître surdescritèrescommuns les compétencesde chacun et favorise le développement des collaborateurs etl émergence des3KDMSR 2SQSFHPTDR Au delà de l atteinte desrésultats opérationnels il s attache à évaluer la manière dont cesrésultatssontobtenus Ainsi dèsjanvier2016 unàdeuxobjectifsdedéveloppementporterontobligatoirementsurlesaxesdu+DCDQRGHONCDK en s appuyant sur les illustrations concrètes et mesurablesfournies par le nouveau guide des compétences Groupe (voir«transformerlesvaleursencomportements»p 238) En 2015 au total près de 116900collaborateurs du Groupe ontbénécié d un entretien d évaluation soit 93% de l effectif présentenCDI(enprogressionde4pointsparrapportà2014) I D EN T I FI E R FO R ME R E T PR O MO UV OI RLA R E LÈ V E M A NAG ÉR IA LELespremièrespersonnesdevantnécessairementincarnerlenouveau+DCDQRGHO NCDK Société Générale sont les actuels et futursdirigeants du Groupe C est pourquoi ce modèle est dé sormais auc ur de plusieurs dispositifs clés permettant d identier former etpromouvoirlesKDCDQRdedemain 7(&7 21(7&&203*1(0(17 (63 32231 3(042Ladémarche3KDMSR2SQSFHPTDRONTATSCDCSDBSDCDKNOODetdéliserlescollaborateursàfortpotentielandepréparerlarelèvemanagériale Un3KDMS2SQSFHPTDsedénitcommeuncollaborateurqui incarne les valeurs du Groupe est performant dans la durée etprésenteunfortpotentield évolutionmanagériale Paruneapprochesystématique la démarche3KDMSR 2SQSFHPTDR permet à chacun oùqu ilsoit danslemonde d êtreidentiésurdesbasesobjectivesBCDR O KD+DCDQRGHO NCDK et d avoir les mêmes chances derévéler son potentiel et d évoluer dans le Groupe Cette démarcheimpliqueàlafois la ligne managériale etlaligneRHetest soutenuepar un processus de communication transparente vis à vis descollaborateurs concernés Levivier ainsi constitué représente 2 5%des effectifs du Groupe il est composé de3KDMSR 2SQSFHPTDRémergents conrmésetdepotentielsdirigeants 1 1 34 (512(38 (8 9( 233(0(17 8 12( Centre d expertise interne lancé n 2010 laNQONQSD 4MHUDQRHSXest dédiée au développement duKDCDQRGHOpour les managers lesOKTR RDHNR KDR3KDMSR 2SQSFHPTDR et les Dirigeants du Groupe Lesmodulesqu elleproposes attachentaudéveloppementdeleurscompétences comportementales c est pourquoi ses programmesont été remodelés pour intégrer parfaitement le+DCDQRGHO NCDKadapté aux dirigeants LaNQONQSD 4MHUDQRHSXoffre un authentique IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( espacededialogueetdemiseenréseauaveclesdirigeantsetentrepairs pour des participants en provenance de plus de 50 pays dansunenvironnementpédagogiqueprivilégiantlacoopérationetleSHKDTHODEn 2015 ce sontplusde 600 collaborateursdu Groupe qui ont pubénécierdesesprogrammes 3 16 (68&&(66 21SociétéGénéraleprépare sarelève managérialeau travers de plansde succession établis sur les différents périmètres du Groupe enFrance et à l international Les plans des 300 postes clés pour leGroupefontl objetd unsuiviparlaDirectiongénérale Lesplansdes1500postes stratégiques Groupe sontquant à eux validéset suivisau niveau des pôles et directions centrales HV FRPSRUWHPHQWVHW OH VDYRLUWUH des personnes identiées comme successeurspotentielssontanalyséssousleprismedunouveau+DCDQRGHONCDKdu Groupe selon une grilled analyse équivalente àcelle utiliséelorsdu recrutement de nouveaux collaborateurs (voir «Évaluation descandidats au recrutement») L adéquation des comportements auNTDT+DCDQRGHO NCDK fait partie des critères d identicationcommesuccesseurpotentielàunposteclépourleGroupe MESURERL ÉVOLUTIONDESCOMPORTEMENTS%52075((03 2<(85LeBaromètreEmployeurestuneenquêteinterne globaleetanonymedéployée tous les deux ans permettant la mise en place de plansd actions d amélioration à la suite de chacune de ses éditions En2015 les questionsdecebaromètre ont été revues sousl angledu+DCDQRGHONCDKetunquestionnaireresserréaétéélaboré chaquequestionpouvantêtreliéeàl unedesquatrevaleursduGroupe Lesrésultatsdel enquêtepermettentainsidesituerleressentietlevécudescollaborateursparrapportauxpratiqueset comportementsliésaux valeurs de l entreprise Ils permettront également de mesurerlaprogressionetl évolutiondelacultured entreprisedansladurée lorsdesprochaineséditions Le Baromètre Employeur 2015 a été administré auprès de132500 collaborateurs du Groupe dans 76 pays pour un taux departicipation de 68% (en constante progression depuis le premierbaromètre lancé en 2009) Ses résultats ont été communiqués àl ensemblede scollaborateurs defaçonglobale(résultatsGroupe)etsurleurproprepérimètre(résultatsentité) LesrésultatsGroupeontfaitressortiruneforteadhésionauxvaleursResponsabilité (79%) et Esprit d équipe (76%) Ils ont montré desprogrès sensibles sur l engagement (70% 5 points de plus qu en2013) une progression que l on peut associer à de nombreusesactions d amélioration menées depuis 2013 (ex renforcementdes pratiques managériales dans diverses entités QNCRGNVinterne du Comité exécutif pour partager la stratégie à moyenterme célébration des 150 ans du Groupe à travers le monde ) La valeur «Innovation» (72%) ressort quant à elle comme un axedeprogrès même si certainesde ses composantesprésententdesscoresparticulièrementélevés commelabonneécoutedesidéesetsuggestionsdelapartdesmanagers(82%) Des plans d actions sur l ensemble des valeurs sont en cours deco construction entre managers RH et équipes des différentspérimètres Lancéspourcertainsdès l automne2015 ilsserontmisen uvretoutaulongdel année2016 9 87 21 (63267(6& 6*5283(Unnouveauquestionnaireà360°aétéconçusurlabasedu+DCDQRGHONCDK Société Générale Il évalue les titulaires des 300 postes clésdu Groupe da ns le monde et près de 1000MFHMF #HQDBSNQR CTpôledeBanquedeGrandeClientèleetSolutionsInvestisseurs Cetteévaluationannuelle dontlapremièreéditionaeulieun2015 permetd analyser la perception des actions et comportements quotidiensdesprincipauxmanagerspar leurscollaborateurs leurspairset leurhiérarchie Ilpermetégalement auxbénéciaires d appréhender leurimpact sur leur entourage professionnel et de se situer par rapportTSSDCTRCT+DCDQRGHONCDK toutennourrissantleséchangesavecleursmanagerssurdespistesdedéveloppement danslecadredesentretiensdegestiondelaperformance(voirp 239) Les résultats de ces évaluations apportent individuellement unéclairagecomplémentaireauprocessusdegestiondelaperformance tandis que les résultats consolidés offriront un moyen de mesurerl évolutiondespratiquesmanagérialesdansladurée Q FUHUODFXOWXUHGHEDQTXHUHODWLRQQHOOHGDQVO HTXRWLGL HQGHVTXLSHVST I MU LER DE S COM P OR T EM EN T S AT T ENT I FSLa raison d être de la transf ormation culturelle sert avant tout lebesoin de proximité avec les attentes de s clients et l ambition de«Banque relationnelle» énonc ée par Société Générale Or pourtend re vers l excellence en matière de satisfaction client il estprimordial d accorder les mêmes attentions à la relation entretenueDB KDR BNKKANSDTR DS DSD DT CDKNOOD CDR DKSHNR CDconanceausein d une équipe et avecson manager constitue unélément nécessairepourdéveloppercemêmerelationnelavecsesBKHDSR C estpourquoidès2012unedémarchedesymétriedesattentionsa été lancée d abord développée au sein des réseaux France(Société Générale et Crédit du Nord) et des Ressources Groupe(Informatiq ue Achats Immobilier Innovation ) pour s élargirprogressivement à l ensemble du Groupe notammentUHle déploiement du+DC DQRGHO NCD K Ce programme qui met enmiroirlaqualitéd elarelationaveclecollaborateuretlasatisfactiondes clients vise ainsi à favoriser la disponibilité des managers les contacts directs et la respons abilisation de s collaborateurs mais aussi à permettre une meilleure écoute à tous les échelonsdel organisation Lab onne miseen uvre etl efcacitédecette initiativese mesuresur différents périmètres Par exemple au sein de la Direction de sressourcesetdel innovation l enquêteinternesemestriellemontreque les pr atiques managériales se sont améliorées notammentsur la valorisation de s idées des collaborateurs et des succèsdes équipes (69% d appréciation en 2015 +1 point en 18 mois)et une réaction constructive des managers face à d éventuelleserreurs (69% d appréciation en 2015 +3 points en 18 mois) Enparallèle la satisfaction des utilisateu rs des prestations four niespar ces équipes s est améliorée notamment sur les services liésaux infrastructures informatiques (70% de satisfaction en 2015 +7 3pointsendeuxans) Plus largement àl échelleduGroupe leBaromètreEmployeur2015a montréque82%de scollaborateursdu Groupe estiment qu il y a un grand respect mutuel entre lesmembresdeleuréquipe * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I PR OM O UVO IR UN D I ALO GU E SO CI ALDE QU ALI T ÉL ensembledestransformationsstructurellesetculturellesengagéesau sein du Groupe nécessitent un dialogue social de qualité constructif et élargi qui s est illustré en 2015 par trois élémentsmarquants la poursuite du dialogue stratégique entre les organisationssyndicalesetlaDirectionduGroupe larefontedesinstancesreprésentativesauniveaueuropéen la signature d un premier accord mondial sur les droitsfondamentauxetledroitsyndical 2*8(62& &216758&7 )(76758&785( p 17(517 21 En instaurant depuis 2013 des instances de dialogue et deconcertation sur la stratégie de l entreprise Société Générale etles organisations syndicales nationales ont ancré le dialogue socialautourdetroisprincipesessentiels l agilité lavisibilitépartagéeetlaresponsabilité En2015 celas estillustrépar 2rencontresavecleDirecteurgénéral 6 réunions de l instance de dialogue et de concertation enprésence des membres du Comité exécutif sur les orientationsstratégiquesetlefondementdesprojetsenvisagés 1 séminaire conjoint entremanagers RH et partenaires sociauxsurlaqualitédevieautravail la poursuite d un dialogue constructif autour des 12 accordsnégociés (pour Société Générale SA en France) dont desaccordsmajeurstelsquelesconditionsdevieautravail l égalitéprofessionnelleetlarefontedesinstancesdedialogueauniveauDTNODD autrepart enjuin2015 SociétéGénéraleetlafédérationsyndicaleinter nationaleUNIGlobalUnionontsignéunaccordàportéemondialesurlesdroitshumainsfondamentauxetlalibertésyndicale devenantainsi la première banque française signataire d un tel accord Cetaccords appliqueàl ensembledesentitésduGroupe Ilrenforcelesengagements pris dans le Code de conduite Société Générale (voirHMEQ)concernantlerespectdesdroitshumains etlareconnaissancedes droitsfonda mentauxau travail notammentlefait d assurer desconditions d emploi et de travail équitables de n opérer aucunediscrimination dans les relations de travail et de respecter toutesles réglementations en matière de santé et sécurité Concernantl exercice de la liberté syndicale Société Générale s engage àrespecter le droit detous les salariés à s organiser àêtre membresd un syndicat et à entreprendre des négociations collectives Plusencore il prévoit pour les syndicats afliés à l UNI des modalitésd accès dans l entreprise pour faciliter leur expression auprès dessalariés L accordcouvreégalementlesrelationsaveclespartenairescommerciaux par le biais de l instruction Groupe sur la conduited achatsresponsablesquiyestannexé(voirp 221) Cetaccordfaitl objetd unsuivirégulieravecUNIGlobalUnion Auparavant la Direction des ressources humaines du Groupe avaitmis en place depuis 2014 une coordination mondiale chargéed assurer avecchaquepaysoùlaBanqueest implantée lerespectde l information de s partenaires sociaux ou des collaborateurs etl application des dispositifs légaux locaux pour la mise en uvrede procédures sociales garantissant les droits des collaborateurs notamment lors de projets de transformation Cette coordinationpermet ainsi d assurer l application de principes communs pourl ensemble du Groupe Elle s assure également de la bonneappropriation par les entités de l accord cadre international signéavecUNIGlobalUnion Enn les instances de dialogue ont été simpliées en 2015 avecla création du Comité de Groupe européen fusion du Comitéde Groupe avec le Comité européen Le fonctionnement de cetteinstancepermetderenforcerlepositionnementdelacommunicationRNBHKD CT &NTOD T HDT DTNOD DB TD DORDSSHNen cohérence avec l organisation du Groupe au sein de l Unioneuropéenneetaveclesenjeuxtransnationauxdetransformation La qualité du dialogue social dans le Groupe peut se mesurerUHlesopinionsexpriméeslorsduBaromètreEmployeur2015 oùseuls15% des collaborateursconsidèrentque le rythme du changementest trop rapide dans leur entité (en amélioration de 2 points parrapportà2013) Bilan des accords collectifs 197 accords ont été signés au seindu Groupe en 2015 (dont 84 en France) plus de la moitié de cesaccords concernant la rémunération et les avantages sociaux Parmilesprincipauxthèmesrecensés ontrouveégalementl égalitéprofessionnelle les modalités du dialogue social et les conditionsdetravail 18accordsontportéspéciquementsurlasantéetlasécurité 5(63(&7 (6 52 76 ( p+200(Le Code de conduite du Groupe (voir p 214) traduit en directiveinterne garantit l engagement de Société Générale à respecter lesdroitsde l homme ledroitd expressionet d association etrappellesonengagementàseconformerauxrèglesxéesparl OrganisationInternationale du Travail (OIT) dansl ensembledes paysoù ilexerceuneactivité Les engagements quiysont prisparleGroupeont étéréitérésdansl accordsignéavecUNIGlobalUnion(voirRTOQPar ailleurs le dispositif desanctionsapplicableàtoutcollaborateurSociétéGénéraleaégalementétérevuen2015enl articulantautourCTNCDCDBNCTHSD HRH+DCDQRGHONCDKNCDCDBNCTHSDDSdispositifde sanctionssontétroitement liés Ce dispositif estdiffuséàl ensembledesmanagers IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( )925 6(5 p (1**(0( 17 (6&2 %257 (8565HFRQQDWUHODFRQWUL EXWLRQ GHFKDFXQOD SHUI RUPDQ FHGHOpHQWUHSULVHPour accompagner son développement Société Générale a besoind attirer de motiver et de déliser ses collaborateurs notammenten leur assurant une rémunération globale compétitive Celle cicomprend une rémunération monétaire qui vise à reconnaître lacontribution de chacun au développement de l entreprise et desavantages sociaux Le Groupe disposeégalement d un programmed intéressement à long terme qui contribue à déliser et motivercertainescatégories de salariés en particulierles cadres cléset les3KDMSR2SQSFHPTDR Enn unepolitiqueactived actionnariatsalariéest menée an d associer les collaborateurs au développement duGroupeetfavoriserainsisacohésion UN E P OLI T I QUE D E R É M UNÉ R AT I ONATT R AC TI V E ET E NG AG EAN TELa rémunération monétaire comprend une rémunération xe qui rétribue la capacité à tenir un poste de façon satisfaisante autravers de la maîtrise des compétences requises et qui est établieen cohérence avec les pratiques de marché Elle comprend aussi le cas échéant une rémunération variable visant à reconnaîtrela performance collective et individuelle Cette der nière dépendd objectifs opérationnels et comportementaux dénis en débutd année et fonction du contexte des résultats et de la façon dontBDR RTKSSR NS S SSDHSR D KHD DB KD+DCDQRGHO NCDK cf p 239 à compter de 2016) Un accord d entreprise mis enOOKHBSHNCDOTHRKDDjanvier2014supprimelecommissionnementàl actedes forcesde vente delaBanquededétailet de la BanquePrivéeen France auprotdela rémunération annuelleglobale bruteDSCDKOSHAKDLapolitiquederémunérationduGroupeestfondéesurdesprincipesglobauxappliqués dans tous les pays et elleest déclinée en tenantcompte du contexte économique social et concurrentiel desmarchés surlesquels le Groupeintervient ainsi que des obligationslégales etréglementairesquiy sont envigueur Lorsquelataille deseffectifslepermet unerevuetransversaleestréaliséeentreleslièresetlesmétiersandegarantirlacohérenceetl objectivitédesniveauxde rémunération entre les différentes activités du Groupe et faciliterlatransversalité Les principes régissant la politique de rémunération du Groupe notamment pour les catégories de personnel dont les activitésprofessionnellesontune incidencesignicativesurleprolderisqueCT&NTODRNSCSHKKRCRKDOONSRTKDRONKHSHTDRDSOSHTDRderémunération publiéchaqueannéeavantl Assembléegénéraleettransmisàl AutoritédeContrôlePrudentieletdeRésolution(ACPR) Pour l exercice 2015 l ensemble des frais de personnel pour leGroupe s est élevé à 9476 millions d euros(voir Note 5 1 p 344) PourSociétéGénéraleSAenFrance larémunérationannuellebrutemoyenne s établit à 53371euros soit une hausse de 1 25%par rapport à 2014 témoignant d une évolution modérée desrémunérations T R A NSPA RE N C E E T COM M UNI C AT I ONLes principes régissant la politique de rémunération du Groupe notamment pour les catégories de personnel dont les activitésprofessionnelles ont une incidence signicative sur le prol derisque du Groupe conformément à la directive européenne CRDIVn°2013 36 UE sont détaillés dans le rapport sur les politiques etpratiquesderémunération Il sera publié comme l an dernier avantl Assembléegénéraleettransmisàl AutoritédeContrôlePrudentieletdeRésolution(ACPR) conformémentauxdispositionsduRèglementUE n°575 2013 En complément de ce rapport des informationsquantitatives détaillées sont également fournies à l ACPR sur lespersonnelsdontlesactivitéssontsusceptiblesd avoiruneincidencesignicativesurleprolderisqueduGroupe Concer nantlescollaborateurseux mêmes unBilansocialindividuel(BSI)estadresséchaqueannéeauxsalariésenCDIetauxalternantsde Société Générale SA en France en version électroniqueinteractive Ce document informatif RH personnalisé leur offre unevision complète des éléments qui ont composé la rémunérationglobaleautitredel annéeprécédenteetleurendonneunemeilleurecompréhension D autres entités du Groupe diffusent également àleurs équipes un tel document comme Crédit du Nord et certainessuccursalesdeSociétéGénéraleàl étranger ACT I ON NA RI AT S ALA R IÉFin2015 lessalariésetancienscollaborateursdeSociétéGénérale représentant environ 90000 personnes détenaient dans le cadredes Plans d Épargne d Entrep rise et de s Plans d Épargne deGroupe 6 83%% ducapitalsocialet11 52%desdroitsdevote Ce taux d actionnariat salarié élevé témoigne de l engagementBNSHTCDRBNKKANSDTRPLAND ATTRIBUTIONGRATUITED ACTIONS(PAGA)An d associer étroitement chacun des collaborateurs aux résultatsetàl avenirduGroupeun«pland attributiongratuited actionspourtous» a été mis en place en 2010 40 actions ont ainsi attribuéesà l ensemble des collaborateurs sous conditions de présence deperformanceetd augmentationdelasatisfactionclients cesactionsont été livrées en deux tranches pour les collaborateurs résidentsscaux français (en 2013 et en 2014) pour les bénéciaires non résidentsscauxfrançais la1Dtrancheaétélivréenmars2015 etKDDRSOTDDPARTICIPATION INTÉRESSEMENTETPLAND ÉPARGNEDEL ENTREPRISEEn France les salariés sont associés de manière pérenne audéveloppement du Groupe par des dispositifs d intéressement et ou de participation Ils permettent de nancer un projet ou encorede percevoir un revenu complémentaire Ces dispositifs sont liés àlaperformanceglobale(nancièreetextra nancière)del entreprise et réglementés par des accords Société Générale signés avec lesorganisationssyndicalestouslestroisans PourSociétéGénéraleSALa rémunération moyenne globale inclut les éléments xes et variables ainsi que les primes hors rémunération nancière (participation et intéressement) et abondement Lamoyenneestcalculéesurl ensembledescollaborateurshorspopulationrégulée(dontlesactivitésprofessionnellesontuneincidencesignicativesurleprolderisqueduGroupe)quifaitl objetd unsuivietd unepublicationparailleurs(voir«transparenceetcommunication») Lerapportsurlespolitiquesetpratiquesderémunération2014aététransmisàl ACPRenavril2015etmisenlignesurlesiteinternetdeSociétéGénérale * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I enFrance danslecadredel accordsignéaveclespartenairessociauxenjuin2014 lemontantglobaldeparticipationetd intéressementautitredel exercice2014marqueuneprogressionde30%parrapportàl annéeprécédente Le plan d épargne de l entreprise (PEE) propose une épargnede moyen long terme qui offre la possibilité de se constituer unpatrimoine à des conditions nancières et scales privilégiées par une gestion adaptée d un portefeuille de valeurs mobilières deplacement Celui ci est composé d une gamme diversiée de septfonds dontlefondsd actionnariatsalarié(FondsE) Larémunérationnancière(constituéedelaparticipationetdel intéressementODTSêtre investie dans le PEE Voir aussi «Épargne salariale labelliséeISR»p 221 1)2507 216685 ()21 6&20081 (3 &(0(17D ENTREPRISEDESOCIÉTÉGÉNÉRALEDÉNOMMÉ«SOCIÉTÉGÉNÉRALEACTIONNARIAT(FONDSE)»Selon les termes du règlement du fonds commun de placementSociété Générale le droit devoteattaché aux actions Société Générale comprises dans les actifs du fonds appartient individuellement auxporteursdepartsàproportiondeleursdroitsrespectifssurcesactifs LeConseildesurveillancedufonds composéparitairementdereprésentantsCDRRKHRONSDTRCDOSRDSCDDORDSSRCDKHDBSHNDDBDlesdroitsdevotepourlesfractionsdepartsformantrompusainsiquelesCNHSRCDNSDNDDBROKDRONSDTRCDOSREn cas d offre publique d achat ou d échange le Conseil desurveillancedécideàlamajoritérelativedesvotesexprimés l apportounonde stitresàl offre Siunemajoritérelativenesedégagepas ladécisionestsoumiseauvotedesporteursdepartsquidécidentàlamajorité relativedesvotesexprimés WUHDWWHQWLI ODTXDOLWGHYLHDXWUDYDLOGHVFROODERUDWHXUVPROMOTIONDELAQUALITÉDEVIEAUTRAVAILAu delà de l enjeu éthique la santé le bien être et plus largementla qualité de vie au travail (QVT) des collaborateurs est considéréepar Société Générale comme un levier de performance durableet une condition indispensable à son attractivité son efcacitéet sa pérennité D après le Baromètre Employeur 2015 79% descollaborateurs se disent satisfaits de leur atmosphère de travail Ainsi persuadé qu il existe un lien prépondérant entre qualité devie au travail et qualité du travail le Groupe a formalisé un projetd entreprisedeQVTambitieuxetlancéen2015leprogramme+HEDS6NQJ articuléautourde6thématiques l efcacité individuelle et collective (promotion de méthodes detravailefcientes) la santé et la prévention (liés aux risques inhérents aux métiersduGroupe) letélétravailetdenouveauxmodesd organisation(voirp 237) l environnementdetravail(voirp 237) l accompagnementdesmomentsclésdelavie(servicesfacilitantl équilibredestempsdevie) l évolution de la culture managériale (actions de formation etRDRHAHKHRSHNDSKHDDBKD+DCDQRGHONCDKPourSociétéGénéraleSAenFrance lelancementdeceprogrammes accompagne d un travail d échange avec les collaborateurset leurs représentants Un accord sur les conditions de vie autravail signé en 2015 dénit un cadre pour repenser les modes defonctionnementetencouragelagénéralisationdesbonnespratiques en favorisant l émergence d initiatives sur le terrain leur partage etleurexpérimentation Cetaccordprévoitégalementd intégrerlaQVTdanslesprojetsd aménagementouderéorganisationimpactantpourles équipes Il fera l objet d un suivi régulier par l Observatoirede laqualitédevieautravail(instanceparitaired échange)UHnotammentdesindicateursdemesurequantitatifsetqualitatifssurlesconditionsdevieautravail quiserontmisenplaceàpartirde2016 E FFI CACI T É I NDI V I D UE LLE E T CO LLEC T I V EFin2014 leComitéexécutifdeSociétéGénéraleasignélaChartedes«15 engagementspourl équilibredestempsde vie» Cette charte lancéeparleministèredesAffairessociales delaSantéetdesDroitsde la femme ainsi que par l Observatoire de l équilibre des tempset de la parentalité en entreprise (OPE) propose aux entreprisessignataires d agir en faveur d une meilleure articulation des tempsdeviedeleurscollaborateurs Samiseenplaces estaccompagnéed actions concrètes en 2015 notamment la sensibilisation surles horaires de réunion ou sur l échange d e mails en dehors deshoraires de travail la diffusion d outils d autopositionnement pouraméliorerlespratiquesetleurefcacité maiségalementdesactionsvisant à accompagner les collaborateurs au quotidien (conférenceset services animés autour de la parentalité ouverture d un espaced informationdédiéauxsalariésaidantssurl intranetRH) CettechartetrouveégalementéchohorsdeFranceaveclesinitiativessuivantesmenéesen2015 lamiseenplaced unepolitiqued horairesexiblesparplusieursentités du Groupe (en Roumanie Belgique Luxembourg Allemagne Espagne Serbie Scandinavie Royaume Uni Inde Taïwan Canada) unevigilanceaccruedemandéeauxmanagersquantàlachargede travail des collaborateurs (dans plusieurs entités d AsiePaciquenotamment) SAN TÉ E T P RÉ V E NT I ON3527(&7 2162& (La responsabilité sociale de Société Générale passe par unecontributionactive àlaprotectionsocialedetousses collaborateursnotamment sur les sujets liés à la santé ainsi qu à la retraite audécès àl incapacitéetl invalidité Les caractéristiques des régimes légalement obligatoires étant trèsdifférentes d un pays à l autre chaque entité de l entreprise dénit dans son contexte local le niveau de couverture complémentairequ elle souhaite mettre en uvre conformément à l objectif dénipar le Groupe d offrir un socle minimal de couverture au moinscomparable aux pratiques du marché local En accord avec sonTSNHSCDRTODHRHNDSDBNBDSSHNDSTDKKDDBKDRTSDRentitésduGroupeprésentesdanslemêmepays) chaqueentitétientAbondementdel entrepriseetdécotesurl actionSociétéGénéraleencasd augmentationdecapitalréservéeOutreSociétéGénéraleSAenFrance dontlesmontantsdelarémunérationnancièreverséeen2015sontprésentésenNote4 1page421 lamajoritédeslialesfrançaisesadhérantauxPlansd Épargned Entreprisebénécientd unaccordd intéressementet oudeparticipation IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( aussi compte dans la dénition de la couverture mise en uvre de sa stratégie de développement de sa politique de rémunérationglobale et de sa situation nancière Par exemple la Banque deGrande Clientèle et Solutions Investisseur veille dans la mesuredu possible à harmoniser les avantages sociaux avec la politiqueSociété Générale locale existante en cas d intégrationde personnelsuiteàuneacquisition Ainsi en2015 l harmonisationdesavantagessociaux entre Société Générale et Newedge a concerné environ2000collaborateursdans12pays La Banquededétailàl Internationalquantàelleporte uneattentionparticulièreauxrégimesdeprotectionsocialeexistantdansseslialeset notamment en Afrique Ainsi l ensemble des liales africainesdispose généralement d une couverture santé au prot des salariésetdeleursayantsdroit d unecouvertureprévoyanceaubénécedesayants droit en cas de décès du salarié et dans certains cas d unrégimederetraitecomplémentaire Àn2015 plusde12000salariésdeslialesdu bassinméditerranéenetd Afriq uesubsaharienne(soit99% de l effectif local) disposent d un accès facilité aux soins etd uneparticipationdel entrepriseàleursdépensesdesanté EnFrance la mutuelleSociété Générale couvrequantà elleprèsde119500personnes(membresparticipantsetayantsdroit) =220685 359(17 21 8675(668759 ETDESRISQUESPSYCHOSOCIAUXDesinitiativessurlapréventiondustresssontmenéesdans85lialesetsuccursalesduGroupe enFranceet àl international couvrant autotal 74% d e l effectif du Groupe Elles visent à informer formeret accompagner les collaborateurs susceptibles de rencontrer dessituations pouvant générer du stress Cela se traduit différemmentselonlespays programmes d assistance gratuits mis en place en partenariatavecdes spécialistes du secteur de la santé ou de l assurance qui permettent un échange libre avec un référent externe àl entreprise (France Allemagne États Unis Royaume Uni Roumanie Irlande Singapour Taïwan) formations aux risquespsychosociauxet ousensibilisationparlebiaisd ateliers(France Italie Luxembourg Pologne République tchèque RussieRoumaine Royaume Uni Slovénie Hong Kong Chine Japon Maroc Tunisie) enquêtes et évaluations du niveau de stress (France Espagne Autriche Allemagne Danemark Italie Royaume Uni Scandinavie) activitésdedétenteetrelaxation(France Monténégro Roumanie Royaume Uni HongKong Maroc) En France SociétéGénérale a poursuivi par l accord sur lesConditions de vie au travail signé en 2015 les actions engagéesdepuis 2008 avec l ensemble des acteurs de l entreprise et l appuid intervenants externes spécialisés en matière de prévention et degestion des risques psychosociaux Deux axes ont été dénis ODpréventiondesrisquesinternesàl entreprise(stress harcèlement)HWHWHUQHV(agressionscommerciales volàmainarmée) Concernant les risques internes les modules de formation etsensibilisation déployés depuis 2009 (et revus en 2015) ont permisdeformerplusde 7000 collaborateurs (y compris RH managers etdirigeants) à la gestion des risques psychosociaux L observatoiredu stress va laisser place en 2016 à une enquête d évaluationCDR BNCHSHNR CD HD T SHK NHRTOQ DR RTKSSR HRRTR CTnouveau questionnaire adressé à l ensemble des collaborateurs(intégranttantlesfacteursderisquespsychosociauxquelesfacteursdeprotection)permettront de poursuivre les actionsde terrain pourl amélioration des conditions de travail Enn une démarche deprévention du harcèlement moral et sexuel ainsi qu une procédurespécique (écoute médiation enquête et sanctions lecas échéant)sontdéployéesdepuis2005 Concer nantlapréventionetlagestiondesagressionscommerciales un accord d entreprise a été signé en 2008 Celui ci a notammentpermislamiseenplacedeformationsobligatoiressurlagestiondessituations conictuelles (suivies par l ensemble des collaborateursdu réseau) et de dispositifs de soutien psychologique spéciques(partenariatavecl InstitutNationald AideauxVictimesetdeMédiation(INAVEM)pourlapriseenchargepost traumatiquedescollaborateursvictimesdevolàmainarméeoud agressionscommerciales) 25*1 67 21 87(036 (759 L organisation du temps de travail varie selon les règles en vigueurdanslespays où le Groupe est présent etlecas échéant selon lesfonctionsexercées Decefait lesmodalités(duréedutravail horairesvariables organisation)sontlargementdiversiées Tempsdetravailannuelmoyen 1739heures Nombre de collaborateurs à temps partiel 8687 (soit 6% del effectif) dont6355enFrance Total d heuressupplémentaires 95633heures (soit 1 6 heureenmoyenneparsalarié) PourSociétéGénéraleSAenFrance Temps plein pour les salariés en régime horaire (techniciens etcadres) 1607heures an Tempspleinpourlescadresauforfait 209jours(ou206joursenfonctiondel ancienneté etde l âgedescollaborateurs en2000 lorsdel entréedevigueurdel accord) Temps partiel les collaborateurs peuvent bénécier de régimesdetravailàtempspartielà90% 80% 70% 60%ou50%(4) 1 &7(856617(76&85 7 Nombred accidentsdutravail 945(937en2014) 3TCDETDBDCDRBBHCDSR 4 0(3 8en2014) Tauxd absentéismeglobal 3 5%(3 4%en2014) Tauxd absentéismepourmaladie 1 9%(1 8%en2014) Tauxd absentéismepourmaternité1 3%(1 2%en2014) TDONCDDENBSHNCDKSHKKDCDRDEEDBSHERCDRDSHSRLadénitiondesheuressupplémentairesestissuedelaréglementationfrançaise lepérimètredereportingsurcetindicateurestdonclimitéàlaFrance Selonl accordsurl aménagementdutempsdetravaildu12octobre2000etsesavenants (4)Selonl accorddu2juin2004etsonavenant VoirNoteméthodologiquep 258 ComptetenudelanaturedesactivitésduGroupe letauxdegravitédesaccidentsdutravailn estpasunindicateurquifaitàcejourl objetd unsuivi Nombredejournéesd absencerémunérées nombretotaldejournéespayées enpourcentage * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I (QFRXUDJHUODGLYHUVLWGHVTXLSHVHWXQHFXOWXUHLQFOXVLYHEn complément de l enjeu éthique la diversité des employés etla culture inclusive de Société Générale répondent à un enjeude performance La variété des prols et la combinaison descompétences génèrent des idées plurielles et permettent de capterles signaux faibles an d anticiper les risques et les opportunités de s adapter et d agir rapidement Elles permettent avant tout à labanque de mieux comprendre et servir ses clients sur l e nsembledesmarchéssurlesquelselleopère LA DI VE R S I TÉ P LAC É E AU C UR D ES E NJ EU XDES M ÉT I ER SEn termes de diversité le Groupe s est donné comme priorité depromouvoir les femmes et les prols internationaux aux postes àresponsabilitéetauseindesinstancesdirigeantesdelaBanque Pour ce faire un Comité de diversité (#HUDQRHSX NQC) composéde membres du Comité exécutif et du Comité de direction est enplace depuis 2013 il décide des orientations stratégiques enplaçant les problématiques de diversité au c ur des enjeux desmétiers et veille à la progression de l équilibre femmes hommes etde l internationalisation Cette stratégie est déclinée au sein desdifférentesentités quimènentchacunedesplansd actionsadaptéspour concourir à l ambition du Groupe en termes de diversité Certains processus RH constituent ainsi des leviers clés pour yparvenir notamment l établissement de plans de succession (voirp 240)comportant des candidateset desprols internationaux Demême une attention particulière est portée à ladiversité des prolsCDR3KDMSR2SQSFHPTDR(voirp 239) aujourd hui 39%d entreeuxsontdesfemmeset44%sontinternationaux(nonFrançais) En complément de ces priorités Société Générale s attache auxautres aspects de la diversité comme les générations l inclusionsocialeetlehandicap Desinitiativesvariéessontportéeslocalement enfonctiondesenjeuxetréglementationsdesdifférentspaysetpôles UNE CU LT U R E INC LUS IV E GR ÂCEÀ LA S EN SI B I LI SAT I ONDès 2011 Société Générale a mis en place des actions desensibilisationauxbiaisinconscientsauprèsdesmanagers L objectifest de renforcer la prise de conscience des enjeux de la diversitéet de l inclusion et de déconstruire les stéréotypes an d engagerchacun à modier ses actions quotidiennes de management(recrutement promotion évaluation prise de décision ) À n2015 1430managersetcollaborateursontparticipéàl une decesformations enFranceetàl international La sensibilisation des équipes à la diversité et l inclusion passeégalement par le soutien à des événements marquants comme laConférenceEuropéennede laDiversité sponsoriséeethébergéeparSociété Générale en2013 et2015 et des initiatives interentreprisescomme le forum JUMP (mixité) et les programmes EVE (mixité) ouOCTAVE(générations) LA PR O MO T I ON DE L ÉQU I LI BR E FE M M ES H OM M E SL équilibre femmes hommes traduit la capacité de l entreprise ànommer et promouvoir sans préjugés ni ltres culturels la personnedont les compétences sont le plus en adéquation avec un postedonné C estpourquoiSociétéGénéraleengagetoussesmanagersàpromouvoircetéquilibredansleuréquipe etinsufecettedynamiqueauplushautniveaudel entreprise 357 (6)(00(6*URXSH0DQDJHUV6HQLRUPDQDJHPHQWWRSComitédedirection(60membres)Comitéexécutif(13membres)Conseild administration(14membres)Cadres(pourSociétéGénéraleSAenFrance)Comitédedirection 12femmes(contre11début2014 8début2011et6début2010) Conseild administration 7femmes(dont2administrateurssalariés) &7 216 &&203*1(0(17Premierlevierdevalorisationdescompétencesdescollaboratrices lesactionsd accompagnementdédiéesauxfemmesontconnuunessorconsidérable depuis 2006 avec plus de 800 femmes bénéciairesde l un des programmes mis en place par le Groupe Aujourd hui le parcours de développement WILL (6NLDM HM+DCDQRGHO D DRSKD ED CD KBD DRSH T3KDMSR 2SQSFHPTDR femmes il inclut sur une durée de 18 mois des actions de formation en groupe deBNBGHMF personnel et de mentorat ainsi que la participation à desévénementsinterentreprises LeGroupe soutientles réseaux mixtes et defemmes constituésauseindel entreprise quicontribuentdefaçonactiveetindépendanteàlapromotiondel équilibrefemmes hommes Ilspermettentàleursmembresdebénécierdeconférences departagesd expériences desessionsdementoratetdeparticiperàdesateliersdedéveloppementpersonnel qui depuis 2015concernent aussides sujetsrelatifs àladigitalisationpourpermettreauxfemmesdeprogressersurcesujet Cesréseaux comptentplus de 2400membresà travers lemonde France États Unis Singapour Inde Luxembourg Républiquetchèque Sénégal Tunisie Cameroun AuRoyaume Uni le6NLDMMDSVNQJEHSOSHDCT4*#HUDQRHSXNLLHSSDD quiencouragelamiseen place de réseaux sur différentes composantes de la diversité(famille multiculturel orientationsexuelle ) IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 0(685(6(1)9(85 ( p* 7352)(66 211( (LapolitiquedemixitéduGroupeestdéclinéelocalementparlebiaisdemesuresspéciquesetd accordscollectifs PourSociétéGénéraleSAenFrance deuxaccordssignésen2015contribuerontdirectementàl égalitéprofessionnelle l accordsurlesconditionsdevieautravail(voirp 243) l accord du 3décembre 2015 relatif à l égalité professionnelleentre les femmes et les hommes Il poursuit les engagementssur quatre domaines d actions prioritaires formation promotion professionnelle rémunération et articulation entre vieprofessionnelleet personnelle Ilénonceles10principes mis en uvreauseindel entreprisepourfairedel égalitéprofessionnelleuneréalité(ex recrutersurlabased unprocessusquisedéroulede manière identiquepourles femmes et les hommes accroîtrela représentation féminine dans l encadrement et s engager àfavoriserla promotiondes femmes ) Ilxedesobjectifsetdesactions concrets et mesurables comme l objectif d un taux de46%defemmescadresd icilan2018(ilestde45%àn2015) desmesurespermettantauxcollaboratricesencongématernité d adoption ou parental de rester au fait des transformations encours au sein des métiers la méthodologie de suppression desBSRRKHTvParailleurs l entrepriseadécidéd alloueren2016uneenveloppede1 7milliond eurosàlasuppressiondesécartssalariauxinjustiésentre hommes et femmes à métier niveau hiérarchique et niveaud ancienneté équivalent dans l entreprise Cette nouvelle enveloppevient en prolongement des actions menées en ce sens durant lessix dernières années entre2008 et2015 plus de 6600 situationsont fait l objet d actions correctrices pour un montant global de10 9millionsd euros Autantd actionsconcrètesquipermettentàlaBanqued êtretitulairedepuis 2007 du label Égalité professionnelle décerné par AfnorCertication Àl international onrecenseégalementdenombreusesinitiatives parexemple enRépubliquetchèque leslialesduGroupemettentl accentsurlamiseenplacedemesurespourfaciliterleretourdansl entrepriseaprès un congé maternité (maintien du lien avec l entreprise retour progressif et facilitation du temps partiel remise à niveaudescompétences ) Ainsi leSDQMHSXOQNFQLLDdeKomer niBanka a permisd accroître le taux de retour des femmes aprèsuncongématernité pa sséde45%(en2008)à61%(en2015) au Luxembourg le projet «Opportunités égales pour hommeset femmes» agréé et soutenu par le ministère luxembourgeoisde l Égalité des chances porte sur trois thématiques l égalitédetraitement entre hommeset femmes l égalitédes femmesetdeshommesdansla prisededécisionetla conciliationdelavieONEDRRHNDKKDDSCDKHDOHDI N T ER N AT I ON ALI S ATI O N5() 7(5 (6 ))5(17(6)&(77(6DESIMPLANTATIONSDUGROUPEÀTRAVERSLEMONDEAn de représenter au mieux la diversité des métiers des clients des pays et de s sociétés au sein desquels le Groupe est implantéà travers le monde la politique de diversité de Société Générales attache également à promouvoir la diversité des origines et desSHNKHSRCDRDRBNKKANSDTRAuseinduGroupe 122nationalitéssontreprésentées et58% descollaborateursnesontpasdenationalitéfrançaise AuseinduComitédedirection 10nationalitéssontreprésentéeset25%desmembresnesontpasdenationalitéfrançaise(contre22%en2014) C estégalementlecasdanslesdiversesimplantationsduGroupedanslemonde où 27% desmembres des instancesde direction(ComitésdedirectionetComitésexécutifs)n ontpaslanationalitélocale CHDRHSCDR3KDMSR2SQSFHPTDR dontleviviermondialalimenteKDR OKR CD RTBBDRRHN CDR ONRSDR BHSHTDR CT &NTOD DRS Tlevierconcret pourfavoriserla dimensioninternationaledes équipesdirigeantes Aujourd hui 51% des3KDMSR 2SQSFHPTDR émergents considérés comme la relève managériale à moyen terme ne sontpasfrançais É QU IL IB R E DES GÉN ÉR ATI O NS5357 7 21 ( p())(&7 )35751&+( p*(Donnéesau31 12 2015sur98%dupérimètreGroupe TRDHCT&NTOD 24%descollaborateursduGroupeontmoinsde30ans 26%ontplusde 45ans lamoyenned âgeestde37 7ans de 1818 à 2525 à 3030 à 3535 à 4040 à 4545 à 5050 à 5555 à 70+ de 70HommesFemmesMilliersÂge(ans)15105 05 10 15 20 * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I &22357 21 17(5*157 211( ( Le Groupe s attache à promouvoir une représentativité desdifférentes générations et travaille surune meilleure coopérationentreelles notammentgrâceaulevierquereprésentelatransitionnumériquedel organisation Ainsi leprogramme#HFHSKENQ KKDSladiffusionde nouveaux outils et médiasdigitaux ontpermisdemettre enplace de nombreuses initiatives deQDUDQRD LDMSNQHMFet de transmission des connaissances et des savoirs entrecollaborateurs juniors et seniors (voir aussi «Développer denouveauxmodesdetravailetd organisation»p 237) En outre le Groupe porte une attention particulière à l insertionprofessionnelle des jeunes tout en se souciant du maintien dansl emploi des seniors et de l accompagnement de la n de carrièreCDRDRBNKKANSDTRBDCRKDBCDCDRCBKHHRNRCTcontrat de génération toutes lesliales du Groupe ontmis enplacedes accords spéciques et ou plans d actions dédiés matérialisantcesobjectifs parexemple Société Générale SA s est xé un objectif sur le recrutementde jeunes en CDI chaque année en 2015 cet objectif étaitde 500 recrutements (objectif atteint et dépassé 914 jeunesde moins de 26 ans ont été recrutés au cours de l année) Lecontrat de génération prévoit également le développement dela formation des seniors des mesures de santé et préventionainsiquel aménagementdutempsdetravaildesseniors(tempspartiel progressif et mi temps indemnisé dédié à des missionsde transmission de savoirs et de compétences ou d actionssolidairescommelepartenariat mécénatavecdesentrepreneurssociaux structurescaritatives) leCréditduNords estxél objectifde recruter5%depersonnesde plus de 45 ans sur la durée d application du plan d actions2DHNNNTDHDRHDCTOKKDSTs élevait à 11%) an que la pyramide des âges et des niveauxd expériencesoitéquilibrée ycomprislorsdurecrutement I NS ER T I ON D E S P E RS ON NE S E N S I TU AT IO NDE H A NDI C A PSociété Générale s engage à prendre les mesures appropriées anque ses collaborateurs ensituationdehandicap puissentconserverun emploi correspondant à leur qualication et bénécier deconditionsdetravaile tdeformationsadaptées À n 2015 Société Générale employait 2302 salariés en situationde handicap (au sens retenu localement) dans le monde ce quireprésente1 6%del effectifglobal C estnotammentenFrance enItalieetenAllemagnequ ilssontleplusreprésentés En France SociétéGénérale SA emploie 1149salariésen situationde handicap L accord triennal 2014 2016 réafrme l engagementdurable en faveur de l emploi et de l insertion professionnelle despersonnes en situation de handicap avec un objectif initial de150recrutementssurtroisans Lesactionsconcrètescoordonnéespar la Mission Handicap Société Générale en 2015 s articulent surles4axessuivants Intégrer et recruter dispositifs spéciques pour favoriserl insertion professionnelle des personnes en situation dehandicap programme d alternanceMCHNQLMPTDRDéditionduforum RRONTQKDLOKNH(l undesprincipauxforumsderecrutementenIle de France proposantunaccompagnementpersonnalisédescandidatsetunlieuderéexionetd échangesautour de l emploi et du handicap) et partenariats conclus avecCDRRRNBHSHNRBNKDRDSTHDRHSR Sensibiliser et former actions pour accompagner lescollaborateurs et managers et lever les biais inconscients formationdesélusdesCHSCTDSCDRTHODROKTHCHRBHOKHHDRsensibilisationdescollaborateurs notammentlorsdelaSemaineeuropéennepourl emploidespersonneshandicapées(SEEPH) Accompagner et développer depuis 2007 près de2500adaptationsdepostesetdetempsdetravailréaliséespourmaintenirdansl emploilescollaborateursensituationdehandicap Acheterresponsable recoursausecteur adaptépour permettrela création d emplois indirects (voir «achats responsables»p 223) En Serbie le programme (MBKTRHUD BCDLX animé par desemployés bénévoles de Société Générale Srbija favorise l entréesur le marché du travail de jeunes en situation de handicap enleur permettant d acquérir de nouvelles compétences par le biaisd ateliers et de stages 50 jeunes ont été accompagnés depuis ledébutduprogrammeen2011 parmilesquelsplusdelamoitiéaputransformer l expérience en une insertionprofessionnelle durable auseindelaBanqueouàl extérieur En Roumanie République tchèque Espagne Scandinavie Algérie ou encore au Japon des programmes de recrutement desensibilisation d intégration et d accompagnement sont en placepourfavoriserl emploidecollaborateursensituationdehandicap Parailleurs SociétéGénéraleveilleégalementàl accessibilitédeses services pour ses clients en situation de handicap À titred exemple enFrance la quasi totalité du parc de distributeurs automatiques deAHKKDSR CD 2NBHS&KD DS CHS CT NC DRSéquipéedesynthèsevocaleetdetouchessensoriellesetlesnouvellesinstallationssontauxnormesPMR l applicationSociétéGénéralepourmobileestaccessibleauxnon voyants unnumérodetéléphonenontaxémetlesclientsnon voyantsen contact direct avec les centres de relation clientèle et920clients ont bénécié de relevés de compte disponiblesenbrailleen2015 ànseptembre2015 deuxtiersdesagencesSociétéGénéraleDS CHS CT NC SHDS CBKDR BBDRRHAKDR Tpersonnesensituationde handicap unan avantl échéanceréglementaire L objectifestd atteindreunecouverturetotaled icià2021(horsp atrimoinehistorique) Nombred agentsensituationdehandicapau31décembre2015selonlescritèresdelaDéclarationObligatoiredesTravailleursHandicapésquiseranaliséeenmars2016 Comitésd hygiène desécuritéetdesconditionsdetravail IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 5 A C C O M P A G N E R L E N T R E P R E N E U R I A TE T L É C O N O M I E S O C I A L E E T S O L I D A I R E6287 (1 8 9( 233(0(17 (63<60(5*(176(7 (61289(8 &7(856&2120 48(66RXWLHQDX HQWUHSULVHVHWDX SDUWLFXOLHUVGDQV OHVSDVUHYHQX VIDLEOHVRXLQWHUPGLDLUHVAutravers deson réseaude liales leGroupecontribueactivementaudéveloppementdel économiedansleurspaysrespectifs ilfour nitdesemplois soutientlacréationetledéveloppementdesentreprisesetaccompagnelesprojetsdescollectivitésterritoriales Seslialesetsuccursales assument pleinement leurs responsabilités sociales etenvironnementales etengagentdesinitiativesporteusesdeprogrès À n 2015 59 7% des effectifs du Groupe se situent hors Francemétropolitaine dont 10 5% dans des pays à faibles revenus ou àrevenusintermédiaires(trancheinférieure)et11 6%dansdespaysàrevenusmoyenstelsquedénisparlaBanqueMondiale SociétéGénérale continue à adapter son offre de produits et deservices au niveau de maturité de chaque marché en proposantnotamment des solutions pour accompagner les populations peubancarisées soit le plus grand nombreen Afrique subsaharienne etdansunemoindremesureenEuropedel est La stratégie de la Banque s inscrit dans la durée Certaines de sesliales onten effetplusde50ansde p résence enAfrique (Sénégal Côte d Ivoire Cameroun) voire plus de 100ans (Maroc) Avecl ouverture de la succursale de SociétéGénérale Bénin au Togo etde sa liale au Mozambique en 2015 le groupe SociétéGénéraleest désormais présent dans 18pays africains et bénécie d unpositionnementunique quipermetd offriràsesclientslesavantagesd unebanqueinternationaleetlaproximitéd unebanquelocale En Afrique le Groupe sert près de 3 5millions de clients dont120000entreprises Plusieursopérationsillustrentcesoutienen2015 la participation de la SociétéGénérale Cameroun à hauteur de7 5millionsd eurosaunancementduProjetd investissementetdedéveloppementdesmarchésagricoles(PIDMA) Cetteinitiativeapourambitiondecontribueràlatransformationdel agriculture«de faible productivité» en agriculture «commerciale» Prèsde 300coopératives pourront bénécier de nancement soit30000ménageset120000bénéciairesdirectsconcernés au Sénégal SGBS a signé une convention d un montant de9millionsd euros avec la SEDIMA un desKDCDQR de l agro businessau Sénégal dans lecadre du nancement d une unitéd abattageetdetransformationdepoulets Outreledéveloppementenlocaldel agro business l accèsrapideetefcace à la téléphoniemobileest un sujet essentiel pour le GroupeD EHTD au Maroc SGMA a participé à une importante opération denancement àhauteurde16 8millionsd euros avecunopérateurde téléphonie mobile pour l installation d un câble sous marinaméliorantlesinfrastructuresréseauxpourunetélécommunicationplusperformante plusrapideetmoinscoûteuse au Cameroun SociétéGénérale est le banquier privilégié desKDCDQR de la téléphonie mobile du pays Orange Cameroun etMTN Cameroun En 2015 elleestintervenuedansuneopérationde levée de dette de 114millionsd euros par Orange Camerounentantquechefdeleavec29millionsd euros Elleestégalementintervenueàhauteurde12millionsd euroscommearrangeurdansl opérationsyndiquéede91millionsd eurosdeMTNCameroun 3DKRTDdénis par laBanque Mondiale +NVHMBNLD+NVDQLHCCKD HMBNLD DBNMNLHDR (4 125dollarsaméricainsor less)» notamment Côte d Ivoire Ghana Géorgie Inde Madagascar Maroc 3DKRTDdénisparlaBanque Mondiale «Upper middle incomeeconomies (4 126dollarsaméricains to 12 735dollarsaméricains)» notammentAlgérie Brésil Bulgarie Roumanie Serbie Tunisie * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I SociétéGénérale Algérie a par ticipé à hau teur de 46millionsd euros àunfinancements yndiqu éde 374millionsd eurospourl acquisitionetledéploiementd unréseaudetélécommunication3GenAlgérie 6RXWLHQODFUDWLRQGpHQWUHSULVHVetauxPME 1 SociétéGénérale est un acteur incontour nable de l entreprise de la TPE et de l entrepreneuriat sa clientèle se compose de plusde 80000grandes et moyennes entreprises et de 260000TPE etprofessionnels LeGroupes attacheàaccompagnerdanslesrégionsKDR SHRR KDR DSDODDTR DS KDR DSDOHRDR CD SNTSD SHKKD SNTSaulongde leurvieetdeleurcycled activité 81(25*1 67 21 (352 0 7La Banque a signicativement renforcé son dispositifd accompagnementdesentreprisesentermesderéseaudeproximitéou d accès à l expertise métier En 2015 le niveau de satisfactionglobale des PME envers SociétéGénérale conrme la dynamiqueengagée depuis plusieurs années Ces résultats positifs soulignentlapertinencedu dispositif delaBanque fondé sur laproximitéd unréseaunationalàfortancragelocalalliéàlapuissanceetàl expertised une banque universelle Pour preuve 72% des clients déclarentque la Banque sait mettre ses experts à leur disposition et près de8clients sur 10 considèrent que le dispositif commercial déployépermetderesterprochedesPME6287 (1 &57 21 p(175(35 6( 2NBHS&KD DRS DSD D DKSHN DB24088entreprises créées depuismoinsd un an en France (+2 4%par rapport à n décembre2014) soit 62% de nouveaux clientsprofessionnels au 31décembre 2015 auxquelles elle a accordéenviron 4300prêts moyen long terme pour un montant de464millionsd euros LaBanqueassureàsesclientsunaccompagnementpersonnaliséens appuyantsurdesréseauxspécialisés cequi permetd augmentersensiblement le taux de survie des nouvelles entreprises (taux desurvie de 87% à trois ans et 84% à cinq ans pour les créateursd entreprises contre un taux de survie au niveau national de51 5% Source INSEE 2011) Elle compte entre autres parmises partenaires Initiative France le réseau des BGE (Boutiques degestion) le Moovjee (Mouvement pour les jeunes et les étudiantsentrepreneurs) laSociéténationaledesmeilleursouvriersdeFrance l Adie (Association pour le droit à l initiative économique) l IME(l Institut du mentorat entrepreneurial) le Réseau Entreprendre Cette année encore SociétéGénérale a participéàdenombreusesmanifestations aux côtés de ses partenaires et organisé diversesconférencessurlethèmedelacréationetdelareprised entreprise La Banqueest adhérente de l association nationaleInitiativeFranceet partenaire de 117 de ses plateformes locales lesquelles sont àl origine de la création ou la reprise de 9039entreprises qui ontelles mêmes créé ou maintenu 20697emplois directs la premièreannée Encomplémentdesprêtsd honneur(prêtsàtauxzéro sansgarantie) des 228plateformes la Banque a attribué 929prêts pourunmontantde59 6millionsd eurosàdesentrepreneursagréésparInitiativeFrance en 2014 (chiffrescommuniquéspar Initiative Franceen2015danssonrapportd activité) Parlebiaisdepartenariats commeceluiaveclaSIAGIparexemple(renouveléen2014) SociétéGénéralefavoriseégalementl accèsaucréditpourlescréateursetrepreneursd entreprises &&203*1(0(178 9( 233(0(17DESENTREPRISESL engagementàaccompagnerle développementdesentreprises etlamobilisationàsoutenirleseffortscollectifsderelancedel éc onomieeuropéenne et française ont été réafrmés par le Groupe avec laONTRTHSDCR RDRRDT2NBHS&KDDS CHSCT NC CDl offrespécialedecrédit(lancéeenseptembre2014)dédiéeauxPME TPEet professionnelsenFranceetenfaveur del investissement enFrance (offre qui s appuie sur les différentes mesures de soutien àl économieinitiéesparlaBanqueCentraleEuropéenne) SociétéGénéraleparl intermédiairedeseslialessemobiliseandedéployerlastratégied accompagnementduGroupe Parmilesoffresmisesenplaceen2015 ànoter en juillet le lancement d une offre de mobilisation de créancedéveloppée en partenariat avec la liale CGA qui permet à saclientèled entreprisesinnovantesdebénécierparanticipationdesavantagesducréditimpôtrecherche(voirchapitre2 4 «Nouveauxproduitsouservicesimportantslancés») le Groupe propose également une palette complète services pourlesentreprisesdetaillemoyennes appuyantsur110professionnels(voirchapitre1 4 «BanquededétailenFrance») À L I NT E R NAT I ON A L&&203*1(5 (6 167 787 216) 11& 5(6ETLESAGENCESDEDÉVELOPPEMENTDANSLAMISEEN UVREDELEURPOLITIQUEDEDÉVELOPPEMENTEn accord avec sa stratégie globale dans les autres pays où il estprésent le Groupe s attache à nouer et entretenir des partenariatsavec les institutions nancières internationales (IFI s) an deproposer des solutions de nancements en adéquation avec lesbesoins des entreprises (économie locale) qu il accompagne Lesrelations avec la BEI (Banque Européenne d Investissement) se sontrenforcéesen 2015 avec 8contrats signéspourunmontanttotalde550millionsd euros lignes généralement dédiées aux PME et Mid Caps dont 300millionsd euros chez SociétéGénérale EquipmentHBD2&Ànoterparmilestransactionsmajeuresdel année LaBEIetSGEFRépubliquetchèqueontsignéunnouvelaccordpour une ligne de crédit de 100millionsd euros destinée àfavoriserl emploidesjeunesdanslecadreduprogramme«)NARENQ8NTSG» Ils agitdela2DopérationentrelaBEIetleGroupepourceprogramme aprèslaKB(enRépubliquetchèque)en2014qui Périmètrede l étude 2715responsablesde la relation bancaire au seinde PME dont602clients Société Générale ont été interrogéspartéléphone par l institutCSA dejanvieràmars2015 Crééeen1966parleschambresdemétiersetdel artisanat laSIAGIintervientdanslessecteursdel artisanatetdesactivitésdeproximité SIAGIgarantitlescréditsoctroyésparl ensembledesétablissementsbancairesdelaplace IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( faceausuccèsdecette1Dtransaction asignéunenouvelleligneenfaveurdel emploidesjeunes(70millionsd euros) SGEF Pologne a également conclu une nouvelle ligne de100millionsd euros en faveur des PME et Mid Cap et unnancement de 100millionsd euros a été signé par SGEFAllemagne )LQ DQ FHPHQWGHVWDWV HWFROOHFWLYLWVWHUULWRULDOHVSociétéGénéralecontribue depuis plusdetrenteansau nancementde l économiepublique(collectivités logementsocial établissementspublics aménagement du territoire) Le montant des encours court moyen et long terme en France sur l ensemble de ces marchés estde 16milliardsd euros au 31décembre 2015 SociétéGénérale adiversiésonoffreauprèsdescollectivitésterritorialesenleurproposantduconancementenpartenariatavecdesinvestisseursinstitutionnels En France comme à l étranger le Groupe respecte les principes delaCharteGissler(ChartedebonneconduiteentrelesétablissementsABHDR DS KDR BNKKDBSHHSR KNBKDR CR RDR NOSHNR DB KDRBNKKDBSHHSROTAKHTDR)LQDQFHPHQWGXVVWPHDVVRFLDWLIen FranceLes associations constituent un groupe d acteurs importantsde l économie française du fait de leur production de richessesintrinsèques desemploiscréésetdesservicesrendus SociétéGénérale a depuis de nombreuses années tissé desrelations étroites avec le monde des associations sur l ensembledu territoire Avec une pa rt de marché globale de 10% et plus deRRNBHSHNR BKHDSDR K TD KDT OONSD RN RNHfairepourleurpermettrederéaliserleursobjectifs ennançantleursprojets en les aidant à gérer leurs avoirs et en les accompagnantdansleurgestionauquotidien Avec CGA liale d affacturage SociétéGénérale permet auxassociationsd anticiperleversementdeleurssubventionspubliques Parallèlement à ces engagements SociétéGénérale en partenariatavec le cabinet Fidal a organisé une quarantaine de réunionsd information sur des sujets juridiques ou scaux d actualitéan d apporter un regard d expert sur les problématiques desRRNBHSHNR (6&7 9 76 (%148(62 5( pRIIUHEDQFDLUHVROLGDLUHDXSDUWLFXOLHUV 1 SociétéGénérale l unedes1DR banques à avoir proposé des produitsde banque solidaire rapproche les clients des entrepreneurs sociauxet les accompagne dans leurdémarche solidaire En 2014 laBanqueacontinuéàélargirlenombred associationspartenairesetàétoffersagammedeproduitsetservicesquis adresseàl ensembledesesclients particuliers professionnelsetentreprises leurpermettantd effectuerdesversementsàdenombreusesassociationsreconnuesd utilitépubliqueou d intérêt général Au global SociétéGénérale a permis en 2015 untotal de versements de plus de 1 9million d euros en progression de6%parrapportà2014 à50associationspartenaires La gamme de produits et services de nance solidaire deSociétéGénérale a reçu le prix One Million Award décerné dans lecadredesProtForNonProtAwards2015organiséparlecabinetde conseil Axylia Ceprix récompense les établissements nanciersquigénèrentplusd 1milliond eurosdedonsparan p66851&(9 (5% ((66(17 ( Lancéennovembre2015 ÉrableEssentielestuncontratd assurance viequi permet d épargner dès 25eurospar moiset d investirsurSGSolidarité fondslabelliséFinansol supportsolidaireetdepartage solidairesparceque5à10%sontinvestisdansdesentreprisessolidaire à forte utilité sociale et participent au développementéconomiqueetsocialduterritoire de partage parce que 50% des revenus annuels sont reversésàl unedes4associationspartenairesparmiLesRestaurantsduC ur HabitatetHumanisme CCFD terresolidaire etFondationRechercheMédicale Lespremiersversementsauxassociationsaurontlieuenoctobre2016 (6(59 &( p35*1(62 5(Le service d épargne solidaire permet aux clients de verser tout oupartie (25 50 75 ou 100%) des intérêts de leurs livrets d épargne(Livret A Livret Développement Durable Livret Jeune CSL LivretÉpargne Plus Livret BFM Avenir) à une ou plusieurs associationsou fondations qui soutiennent une cause humanitaire ou sociale etagissentenfaveurdelasantéoudel environnement Ilsdonnentlieuàabondementpar SociétéGénérale Le Service d épargnesolidairebénécieà40associationspartenaires À n 2015 on compte 44267Services d épargne solidaire(SociétéGénérale+Banque Française Mutualiste (BFM)) et273000euros d intérêts ont été reversés (soit 16 5% par rapportà 2014 recul dû principalement à la baisse des taux d intérêts) sedécomposantcommesuit 238067eurosdedonsclients(dont42971eurosdeclientsBFM) 23809eurosd abondement(dont4299eurosd abondementBFM) DTNR CD CNR 2NBHS &KD CR KD BCD CDl opération CRCM (Centre de relation clientèle multimédia)RNKHCHDEn octobre2015 le service d épargne solidaire a été labellisé parHRNK (6&57(6&5 77 9(6SociétéGénérale propose actuellement des cartes Collectioncaritatives ayant un succès croissant auprès des clients Elles leurpermettent de soutenir des causes qui leur sont chères grâce àl élargissement des bénéciaires et d apporter une aide concrète àl unedes28associationspartenaires Àchaquepaiementeffectuéavecl unedecescartes SociétéGénéraleverse5centimesd euroàl associationconcernée * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I Depuislelancementdecescartesenmai2008 3956435eurosontétéversésauxassociationspartenaires dont844259eurosen2015(soituneprogressionde14%parrapportà2014) Deux nouvelles cartes Collection caritatives ont été lancées en juindernier UnicefetAFM Téléthon (352*500() *51(Depuis le début de l année 2014 le Programme de délisationFiligrane associé à l offre JAZZ permet de soutenir Le SecourspopulairefrançaisetLaCroix Rougefrançaise Dans le cadre de la réglementation des ventes avec primes SociétéGénérale a décidé de reverser pour toute commande decadeaux la participation nancière des clients de 0 25euro à partségales aux 2associations bénéciaires Ensemble elles ont ainsireçu140301eurosen2015 Les adhérents à ce programme de délité peuvent égalementtransformerleurspointsdedélitéendonsàl unedes2associationsau choix chaque donétant abondé par SociétéGénérale Ainsi en2015 404537eurosontainsiétéreversésàces2associations Au total Filigraneapermisde collecter 544839euros en2015 soit12%deplusqu en2014 p2357 21355 1*(En janvier2014 SociétéGénérale a lancé l opération Parrainage pourchaqueouverturedecomptesousparrainage SociétéGénéraleverse 5euros au Secours populaire français an de soutenir sonactionauprèsdesmoinsfavorisés En2015 cetteopérationapermisdeverser145640eurosauSecourspopulairefrançais (357(15 79(&63(5Unpartenariat aveclaplateforme denancementsparticipatifs SPEAR(Société pour une épargne activement responsable) a été signé enjuin2012 SPEAR estunecoopérativelabelliséeFinansolqui permet àdesentreprisesoudesassociationsdésireusesdemeneràbienunprojetàcaractèresolidaired obtenirunprêtbancairegrâceàdesépargnantsqui souhaitent donner du sens à leur épargne Son activité consisteà accueillir des projets répondant à des problématiques sociales environnementales ou culturelles ande permettre leur nancement àdes conditions privilégiées et collecter le capital nécessaire auprès departiculierssoucieuxdeladestinationdeleurargent Au travers d une plateforme internet (www spear fr) dédiée SPEARsepositionnecommeunoutilsimpled accèsetcommeunesolutionpuissantepourl épargnesolidaireetl investissementéthiqueDepuis2012 SociétéGénérale a nancé 6projets à plus value sociale etenvironnementalepourunmontantde967000euros À L I NT ER NAT I ONA LLesréseauxétrangersparticipent auprocessusdebancarisationdepays qui présentent des taux «d inclusion nancière» modestes Ils introduisent souvent des innovations dans leurs marchésdomestiques sourced émulationpositivepourlesclients La Banque de détail à l international s efforce de développer unecompétence tournée vers les petites et micro entreprises n ayantpas toujours accès à des services bancaires (voir p 253 Inclusionnancière) p2))5( & %6 (8 0 *5176Sous le concept de «Votre banque ici et là bas» depuis 2007 SociétéGénérale poursuit les démarches en faveur des étrangersouFrançais d origine étrangère vivant en France etayant conservédes liens forts avec leur pays d origine (une population estimée à5millions de personnes) Chez SociétéGénérale ils représentent8 7%desouverturesdecomptesàvuedesparticuliers Le concept a été développé grâce à la présence du Groupe danslespays oùles courantsmigratoiresverslaFrance sontimportants Il bénécie des synergies entre la Banque de Détail en France et laBanquededétailàl inter national 81(2))5(62 5(8052&(7(1&527 (Sur le modèle des cartes proposées en France SociétéGénéraleMaroc (SGMA) continue à déployer la carte caritative SOS Villagesd enfants permettant ainsi l accompagnement de l association dumêmenomenvuedenancerlascolaritéd enfantsissusdemilieuxdéfavorisés En 2015 SGMA a versé 2295euros à l associationqui a pu offrir pour toutel année scolairedesfournitures scolairesà45enfants En Croatie Splitska Banka dans le cadre de son programme deprotection de l enfance et en partenariat avec l Unicef a lancé unnouveauservice leprélèvementautomatiquepermettantauxclientsde faire des dons mensuels à l Unicef et de recevoir ainsi le titrede «Protecteurs de l enfance» Deux ans après son lancement 3535clients ont souscrit à ce service et permis de collecterDTNRCDCNR0LFURILQ DQFHAu delà de l impact en matière d emploi et de développementrégional le Groupe a développé depuis de nombreuses annéesdes outils et des produits qui concourent à la cohésion sociale desterritoires sur lesquels il est implanté avec 105millionsd euros delignesdenancementenmicronance À L I NT E R NAT I ON A L (5() 11&(0(17 p 167 787 216) 11& 5(6 (0 &52) 11&(Engagéenfaveurdel insertionprofessionnelleetauprèsdescréateursd entreprises SociétéGénérale est acteur de la micronanceUHses réseaux étrangers contribuant ainsi à la bancarisation et audéveloppementdutissuéconomiquelocal LeGroupeafaitlechoixdeconcentrersoninterventionenmicronancedans les pays où il dispose d une présence en tant que banqueuniverselle Depuis 2003 il apporte àtravers sesliales sonsoutienausecteurde la micronancede deuxmanières l octroi delignes derenancementauxIMF(institutionsdemicronance)endeviseslocalesetlaprise departicipationsminoritairesdansdesIMF Cettestratégiemarque l accompagnement économique des entrepreneurs sociauxet locaux et répond au besoin des IMF de trouver des sources denancement de proximité et surtout en monnaie locale pour assurerleurdéveloppementsanss exposeraurisquedechange LesIMFpartenairesfacilitentl accèsaucréditàdespopulationsnonbancariséesetirriguentleséconomieslocales Àn2015 onrecense95 8millionsd eurosd autorisationsaccordé esparSociétéGénérale IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( à l international à 36IMF en Afrique subsaharienne (Bénin Ghana Sénégal Côte d Ivoire Burkina Cameroun etc ) dans la zoneMoyen Orient AfriqueduNord(Jordanie Maroc Tunisie) enEuropedel est(Serbie Moldavie Albanie Géorgie)etenAsie(Inde) Des synergies sontdéveloppéesavecles différentspartenaires parexemple dans le domaine de la monétique le développement decartes co brandées par les liales SociétéGénérale en partenariatavec les IMF Advans Ces cartes pe rmettent l accès aux DAB(distributeurs automatiques de billets) et aux agences des réseauxdeslialesSociétéGénéraleparlaclientèledesIMF CedispositifestenplaceauCameroundepuisnseptembre2013etenCôted Ivoiredepuisn2014 Depuis juin2015 et pour la première fois dans le paysage bancaireivoirien une IMF (Advans CI) et une banque (SGBCI actionnaired Advans CI) partagent une même agence Au delà de l objectif deservirleursclientèlesrespectives SGBCIetAdvansCIvoientencetteinnovation une opportunité pour miser sur leur complémentarité entermesdesolutionsnancières 35 6( (357 & 37 21(1&3 7 16DESINSTITUTIONSDEMICROFINANCEAutraversdeseslialesenAfrique SociétéGénéraleestégalementprésente au capital de 5IMF UHdes participations minoritairesmais actives liales de groupes de micronance reconnus àl international (Advans Cameroun Advans Ghana Advans Côted Ivoire AccesBanqueMadagascar ACEPBurkina) 1 6287 (1 p (SociétéGénéralesoutientl action del Adiedepuis2006 en mettantà sa disposition des lignes de renancement pour son activité demicronance en France métropolitaine et en Outre mer et encontribuantaunancementdesesactionsd accompagnement En 2015 la ligne de nancement octroyée à l Adie s élève à9 2millionsd euros dont 3millionsd euros pour la NouvelleCalédonie laPolynésieetlesAntilles En2015 laBanqueapermisàl Adiedenancer7 4millionsd eurosdeprêts soit2139microcrédits Plusde1600emploisontétécréésou maintenus grâce à des microcrédits professionnels et plus de500emplois ont été créés ou maintenus grâce à des microcréditspersonnelspourl emploi Autotal depuis2006 leGroupearenancé11276microcréditspourunmontantcumuléde45 7millionsd euros(dont5 1millionsd eurosenNouvelleCalédonie 2 5millionsd eurosen Polynésie française et 2 8millionsd euros à Mayotte et2 5millionsd eurosauxAntilles(Guadeloupe Martinique)etGuyane) Lemontantmoyendemicrocréditest3041euros Parailleurs en2015 l AdieabénéciédelapartdeSociétéGénéraled une subvention de fonctionnement de 125000euros complétéed une enveloppe de 12000euros au titre de la «Semaine dumicrocrédit»del Adie 0 &52&5 73(56211( SociétéGénérale propose depuis 2010 une offre de microcréditpersonnel accompagné partout en France où se trouve un réseauaccompagnantaveclequelelleapasséunaccorddepartenariat Lesprincipaux à cejour sont CRESUS Secours Catholique et RestosCTTCes réseaux ont un double rôle l apport de dossiers etl accompagnement des clients emprunteurs d avantl octroijusqu àlandumicrocrédit Depuisn2010jusqu àndécembre2015 elleaainsipuoctroyer45dossiersdemicrocrédit De son côté CGI liale de nancement spécialisé en France amis en place une initiative de mobilité emploi en 2015 l initiative«Financement solidaires CGI» a été lancée pour donner accès àlamobilité UHaccèsàlavoiture àdespersonnesen recherched emploi ou dont le maintien à l emploi repose sur sa mobilité Àtravers cette initiative CGI donne accès au crédit auto à despersonnesquinormalementenseraientexclues Associationpourledroitàl initiativeéconomique * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 877(&2175( 35&5 7(73527(&7 21 (63238 7 21698 15% (6 QFOXVLRQ ILQDQ FL UHQUE LQU E S M E S UR E S P E R ME TTANT À T O USD ÊT RE B A NC A RI S É S EN FRA NC ESociétéGénéraleetCréditduNord enapplicationdel articleL312 1du Code monétaire et nancier relatif au droit au compte mettentgratuitement à la disposition des clients bénéciaires de ce droit les«services bancaires de base» tels que dénis réglementairement Les deux établissements sont en conformité avec la loi Moscovici(loin°2013 672 du 26juillet 2013 deséparationet derégulation desactivités bancaires) qui est venue renforcer le caractère effectif dece droit (entre autres délai d ouverture réduit et exercice du droit aucompteaunomdubénéciaireparlesacteursdelasphèresociale) Findécembre2015 SociétéGénérale comptait 8906clients particuliersSHSTKHDRCDRRDHBDRABHDRCDARDDès2005 SociétéGénérale etCréditdu Nord ontcherchéà rendre«la banque plus facile» pour tous en proposant une gamme depaiementsalternatifs(GPA)auchèquepourlesclientssanschéquier L entréeenvigueurdelaloiMoscovicietdesestextesd applicationen 2014 a renforcé considérablement les engagements pris depuis2005 concernant les clients en situation de fragilité nancière pourl ensembledusecteurnancier SociétéGénéraleetCréditduNord conformémentàleursobligationsréglementaires telles que déniesparledécret 2014 738 ont misenplace pourlesclientsprésentantdescritèresdefragiliténancière undispositif de détection et de suivi combinant des dispositifs d alerteinterneetlaconnaissanceclient Cedispositifpermetd êtreenmesuredeproposerparécritàcesclients demanièresystématiqueetleplustôtpossible unrendez vousavecleurconseillerandeleurprésenterl offrespéciquedenatureàlimiterlesfraisencasd incident(aumoinsune fois par an pour l ensemble des clients en situation de fragiliténancière maisaussi àchaquecasdétectédenouvellefragilité) Cette offre de banque au quotidien (Généris) permet au client ensituation de fragilité nancière pour une somme modique debénécierd uneutilisationnormaledesoncomptebancaire toutenbénéciant de moyens de paiement sécurisés et de frais d incidentplafonnés Les conseillers sont d ailleurs formés sur ces évolutionsréglementaires concernant les clients en situation de fragiliténancière À n 2015 37234clients de SociétéGénérale sont détenteurs del offreGénériset1293clientsdeCréditduNord sontdétenteursdel offreéquivalente À L I NT ER NAT I ONA L2NBHS&KDKBTDNTDKKDNEEDOEHBHDCDNAHKDMJHMFDSCDNAHKD XLDMSayantrespectivementcommeobjectif derendre la Banque proche des clients que ceux ci soientbancarisés ou en voie de bancarisation et d offrir des solutions depaiementsurmobile incluantlepaiement de factures etlepaiementaux commerçants (voir chapitre 2 4 «Nouveaux produitsouservicesimportantslancés») Ainsi Manko lasociétéd appuiàl inclusionnancière lialeà100%CD 2NBHS&KD TH NEED CDOTHR CDR ONCTHSR DS RDHBDRbancairesauxpopulationsdisposantderevenusmodestesetàcellesn ayantpasencoreaccèsausystèmebancairetraditionnel En2015 Mankoestrentréedansunenouvellephasededéveloppementavecunmodèlequireposesurunestructurelégère uneforteprésencesurleterrainetuneutilisationpousséedestechnologiesdigitales Mankoest plébiscité par ses clients qui se déclarent très satisfaits desservicesproposés(simplicitédesprocessus tarication proximitéetexpertise délivrée par le personnel) En 2015 2nouvelles agencesont été ouvertes Manko dispose désormais de 3agences et sert5000clients Le montant total de crédit octroyé sur l année 2015s élèveà8 4millionsd euros(5 5milliardsdefrancsCFA) Au Burkina Faso le concept d agence mobile sillonnant les routes àla rencontre des populations a été lancé en avril2015 L initiative seraétenduedansd autrespaysenfonctiondusuccèsdupiloteauBurkina POU R LE S P E R SO NNE S P R ÉSE NTANTUN R I SQU E DE S AN T É A GG RAVÉSociétéGénéraledéveloppedesproduitsetdesservicess adaptantauxbesoinsdechacun En France dans le cadre de la convention AERAS (s assurer etemprunter avec un risque aggravé de santé) signée en 2007 etHRD D OTHR D O KDR ONEDRRHNDKR CD K ATDet del assurance quipermetl accès à l assurance etaucrédit despersonnesprésentantunrisqueaggravédesanté SociétéGénéraleet Crédit du Nord facilitent l accès au crédit (immobilier etconsommation)etprévoientunmécanismedemutualisationpartielledessurprimesd assurancepourlesplusmodestes WWHQ WLRQSRUWHDXVXUHQGHWWHPHQWLe réseau SociétéGénérale France dispose depuis 2004 desmoyensnécessairesàl identicationdesclientèlessurendettéesandeproposeruntraitementresponsabledecesdossiers Entréeenvigueurennovembre2010 laloisurlecréditàlaconsommationamodiélecadreréglementairesanschangerradicalementledispositifdeSociétéGénéralequiétaitprécurseuràcetégard UN PRO CESS US DÉ D IÉ A U SU R E NDE TT E M E NTSociétéGénérale a adopté dès 2004 une position responsable vis à visdusujetdusurendettementaumoyend unprocessusdédié Elle maintient le service des comptes bancaires sur lesquels sontdomiciliés les revenus sauf cas particulier et informe les clientssurendettés des moyens de paiement alternatifs au chèque Le débiteur continue à bénécier du découvert qui lui avait étéaccordé La gestion de la relation client s appuie sur un dispositifcomplémentaire les conseillers de clientèle assurent le suivi du compte auquotidien KDR NOSDTR Dback ofcequi gèrent les encours de créditdans la phase qui précède l acceptation du dossier et le pland apurementdèslorsquecelui ciestaccepté Cetteorganisationempêche un accroissement de s crédits supportés par le clientsurendetté toutenpermettantunsuivipersonnaliséauquotidien IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( Unepersonnesurendettéenepouvantplusavoiraccèsàdenouveauxcrédits se voit proposer un compte bancaire et des moyens depaiementadaptéspermettantlemaintiend uneviesociale Ellepeutalors souscrire l offre spécique de nature à limiter les frais en casd incident (voir p 253 Quelques mesures permettant à tous d êtreABHRRDBDUN E P RI S E EN C HAR G E DES CLI E NT SFRA GI LI S ÉS P OUR P RÉ V EN I R LESUR E N DE T T EM ENTLe dispositif de prise en charge des clients fragilisésUHCDRplateformes dédiées est opérationnel dans l ensemble du réseaud agencesenFrancedepuismi 2013 Ilreposesur le recensement de tous les clients répondant à certains critèresde fragilité (dépassementsd autorisationprolongés impayésdecrédit etc ) lapriseenchargedecesclientspardesplateformesdeconseillersspécialisés qui assurenttemporairement la relation commercialeàlaplacedel agence la recherche avec les clients pris en charge de solutionsd apurement progressif des impayés en privilégiant autant quepossiblelavoieduretourenencourssainsurcelleducontentieux lareprise àl issue delapérioded apurement de larelationdesclientsavecleuragence À n novembre2015 les plateformes de négociation amiable ontprisen charge plus de33000clients Ce sont environ67% d entreeux qui retrouvent une situation nancière assainie et leur relationbancairereprendsoncoursdansleuragenceSociétéGénérale Frannance liale du Groupe spécialisée dans le crédit à laconsommation a également mis en place des actions visant àprévenir le surendettement En 2010 Frannance et CGI ont signéune convention de partenariat avec CRÉSUS (chambres régionalesde surendettement social) un réseau d associations fédéréesqui accompagne depuis 1992 les personnes mal endettées ousurendettées Dans ce cadre les deux liales françaises du groupeSociétéGénérale spécialisées dans le crédit à la consommation proposentàleursclientsprésentantdessignesdefragiliténancièrede contacter l association CRÉSUS de leur région La signatured une charte d accompagnement entre l association et le clientvolontaireouvresurlaréalisationd unbilanbudgétaireetsocial suivid unaccompagnementdeproximitévisantàrenforcerlasauvegardedesonéquilibrenancier DE S P R OG RA M M ES D A CCOM PA GNE M E NTEn France SociétéGénérale et CRÉSUS ont lancé ensemble unprogramme d éducation budgétaire réalisé dans le cadre d unmécénat de compétences Par ailleurs àl étranger de nombreusesinitiativessemettentenplace(voirp 256 L éducationnancière) DE S O UT I LS D AI DE À L ÉD UC AT I ONFIN AN CI È R EDans un souci de transparence et de pédagogie SociétéGénéralemet à disposition de ses clients ou partenaires de nombreux outilsde simulation ou de calcul nancierNM KHMD NT RT KDR OOKHBSHNROSDHDREn France SociétéGénérale s est également associé au groupePlaybac pour proposerun site internet d éducation nancière dédiéaux6 11ans Cesite«abcbanque fr»offreuncontenupédagogiqueà travers des jeux des vidéos de l actualité et différents outils quipermettent aux enfants d apprendre en s amusant Au sein du site l Espace Parents propose conseils et thèmes de réexion pour lesaccompagneraumieuxdanscetapprentissage Letoutestcomplétéd unguidepédagogiqueadosséàunguidecommercialquiestremisKNRCDRDSDRDDKSHN * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I M É C É N AT E T S P O N S O R I N G 6 L E N G A G E M E N T S O C I É T A LD E S O C I É T ÉG É N É R A L E M É C É N A TE T S P O N S O R I N GSociétéGénérale s engage pour la société civile et poursuitune politique d engagementsBNQONQSDTSNT CD SNHR DR Kcitoyenneté le sport et la culture à travers trois entités distinctes Cesdomaines d implicationanimentauquotidien dans leséquipesetauprèsdesclientsetbénéciairesexternes lesquatrevaleursclésportéesparleGroupe Espritd équip e Innovation ResponsabilitéetEngagement & 72<(11(7Le groupe SociétéGénérale s engage dans deux domainesd intervention majeurs l insertion professionnelle l éducation etl insertion par la pratiquesportive et culturelle L engagement citoyenest un axe fort de la politique de solidarité du Groupe et s exprimenotamment par la Fondation d entreprise SociétéGénérale pour lasolidaritéetleprogrammed implicationdescollaborateursduGroupe 3KLO DQ WKURSLHLa Fondation d entreprise SociétéGénérale pour la Solidarité apour objet la réalisation et le soutien d actions d intérêt général visant à favoriser le développement de la solidarité dans la société enpa rticulieren favorisantl accèsà l éducation eten uvrant pourl insertion professionnelle par l aide à l entrée des jeunes dans lavie active la lutte contre l illettrisme En2015 et2016 la FondationSociétéGénéralechoisitdesoutenirégalementdesprojetsassociatifsTSHKHRS K OSHTD RONSHD NT K OSHTD BTKSTDKKD D EDT CDl éducation et ou de l insertion pour des personnes en difculté Depuis sa création en 2006 à travers la Fondation d entrepriseSociétéGénérale pour la solidarité près de 800projets associatifsontétésoutenusdans26payspourplusde18 5millionsd euros DES F ON D ATI O NS À L I N T ER N AT IO NALLe Groupe soutient dans ses pays d implantation des actionscitoyennespouragirenfaveurdel insertiondepersonnesendifculté Il agit grâce à l action de sa fondation d entreprise et à celles desstructuressolidaires(typefondations)SociétéGénéraleauniveaulocal Pour êtreauplusprès des besoinsdesbénéciaires des structuressolidaires SociétéGénérale soutiennent aussi localement desassociationsd insertion encherchantàimpliquerleurscollaborateursvolontaires mais aussi leurs clients La Fondation SociétéGénéralepourlasolidaritévientrégulièrementrenforcerl implicationnancièredes structures solidaires auprès d associations déjà soutenues Ils agit alors de créer à lafois des synergies maisaussi l opportunitéCDDENBD KDR KHDR DSDRSTBSTDR RNKHCHDR 2NBHS&KD DSlaFondation c estlecasaveclesFondationsduBrésiletduMaroc des actions de solidarité du Royaume Uni de Talents & Partage(associationdupersonnel)etlaFondation29Haussmann(FondationpourlaclientèleGestionPrivée) En2015 legroupeSociétéGénéraleaverséprèsde11000000eurosautitredumécénatsolidaire PSOL FDWLRQ&ROODERUDWHXUVL un des objectifs de la politique Citoyenneté est de valoriserl engagement solidaire des collaborateurs SociétéGénérale enleur proposant de donnerde leurtemps et de leur énergie au protd associationspartenairesduGroupeutilisantlesportoulapratiqueculturellecommevecteursd éducationoud insertion En 2015 dans le Groupe près de 13000 collaborateurs se sontimpliquésdansuneactionsolidaireproposéeparl entreprise (3 ( ( 3 3Moment fort de la solidarité dans le groupe leHSHYDM NLLHSLDMSestunévénementorganiséchaqueannéepourrenforceretvaloriserl engagement des collaborateurs dans le monde entier Ce tempsfort permet de maintenir toujours plus de cohérence autour desactions de mécénatà l inter national et de capitaliser sur les actionscitoyennescommunes En 2015 ce sont près de 7000collaborateurs issus de 39paysd implantation SociétéGénérale (dont Paris et toutes les régionsfrançaises) qui ont participé à de nombreuses actions solidairesCR KD BCD CTHSHYDM NLLHSLDMS 3HLD DR BNKKANSDTR NSparticipé notamment au challenge sportif et solidaire dont l objectifétait de parcourir le plus de kilomètres au prot d associationspartenaires Grâce à leur effort ce sont plus de 430000euros quiont été versés par l entreprise à des projets associatifs autour del insertionparlesportetlapratiqueculturelle LE MÉ CÉ NAT DE CO MP ÉT EN CESLemécénatdecompétencespermetlamiseàdispositionponctuelleet gracieuse de collaborateurs sur leur temps de travail auprèsd associations partenaires de la Fondation ou soutenues parSociétéGénérale Au total en 2015 en tenant compte des actionsinitiées par la Fondation et l ensemble des initiatives portées parles entités locales du Groupe ce sontainsi près de 4000joursqueles collaborateurs ont consacrés à des actions solidaires au travers3programmesd engagement (6 2851(6352%212L objectifdecesactionsProBonoestd accompagnersurunejournéeuneassociationchoisieencohérenceaveclastratégiedecitoyennetéduGroupe Lescollaborateursapportentalorsun savoir faireàforte IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( M É C É N AT E T S P O N S O R I N Gvaleur ajoutée à un besoin de l association qui est clairement déni(communication marketing RH nance informatique ) À traversce mécénat de compétences c est aussi l expertise métier desvolontaires qui est mise en avant Depuis 2012 40journées ProBono ont été organisées impliquant 213collaborateurs et plus de2000heuresdeProBonodonnéesàdesprojetsassociatifs Sur le plan international le mécénat de compétences se traduitpar l implication de collaborateurs SociétéGénérale auprèsd associations ou d écoles sur leur temps de travail C est parexemple le cas en Roumanie où les collaborateurs sont engagésdans deux programmes d implication autour de la prévention et laluttecontreladéscolarisation d enfants etjeunesavecles écoles etdudéveloppementpersonneldeslycéens (355 1*(Le parrainage consiste pour un collaborateur de l entreprise àaccompagnerunepersonneendifcultésocialeouéloignéedumarchédutravail danssonparcoursscolaire sonorientationousarecherched emploi enpartageantavecellesesexpériencesetconseils En2015 prèsde300collaborateursdeSociétéGénéraleenFranceRNS OHR T RDH CD RRNBHSHNR OSDHDR CD K NCSHN(Proxité Nosquartiers ontdes talents Solidarités nouvelles face auchômage Frateli MozaïkRH CapitalFilles) Conscient de son rôle dans la société civile et de l importance derapprocherl entreprise etlesjeunes le Groupe favorisel implicationde ses collaborateurs dans de nombreuses actions de parrainageet accompagnement des jeunes dans le monde Au Royaume Uni parexemple SociétéGénéraleimpliquefortementsescollaborateursdans des initiatives d amélioration des aspirations scolaires et desperspectives d employabilité pour les jeunes En 2015 plus de500volontaires ont consacré plus de 3800heures an d aider lesjeunesàsepréparerauxenjeuxdumondedel entreprise p 8&7 21) 11& 5(Convaincue qu un usage raisonné des produits et des servicesbancaires passe par l éducation nancière et la mise à dispositiond informationsclaires sur sesproduits etservices SociétéGénéraledéploie dans son réseau des outils pour améliorer le niveaud éducationnancièredesclients SociétéGénérale et l association CRÉSUS ont conçu et mis en uvre un programme d éducation budgétaire réalisé dans le cadred un mécénat de compétences Depuis 2013 le projet Éducationnancière vise à sensibiliser les jeunes aux enjeux d une bonnegestionbudgétaire etse concrétise pardesinterventions conjointesdans des centres de formation d apprenti(e)s (CFA) et dans desBNKDR CD K D Chance (E2C) en France En 2014 2015 ce sont1935élèvesdeCFAetjeunesdesE2Cquiontétésensibilisésgrâceàl engagementdeplusde150collaborateurs SociétéGénérale conrme sa responsabilité sociale en offrantl opportunité à ses collaborateurs de mettre en avant leurscompétences professionnelles à travers un engagement solidaireinternational Unprogrammed éducationnancièreaparexempleétédéveloppéenPologne pour aider les jeunesàla gestionbudgétairedans le cadre du projet «BAKCYL» Des programmes d éducationnancière sontégalementproposésauMaroc(SGMA 44agencesmobiliséespour100000bénéciairesdont5000élèves) enAlbanie(SGAL) en République tchèque en Espagne aux États Unis auBénin auSénégal HAN D I SPO R TAu quotidien auprès de ses collaborateurs SociétéGénérale uvre pour l intégration des personnes en situation de handicapet s engage aux côtés d événements internationaux locaux ou descomitésetclubs Depuis2003 leGroupetravailleaveclemouvementparalympique et partage ses valeurs avec la Fédération françaised handisport(FFH)etlaFédérationfrançaisedusportadapté(FFSA) deux fédérations françaises pour les sports dédiés aux pe rsonneshandicapées Ce partenariat trouve un écho international à travers l engagementdes liales comme c est le cas en Algérie République tchèque Royaume Uni Singapour etc Depuis dixans Société Générale Algérie (SGA) est partenaire de laFédération algérienne handisport et a renouvelé son soutien pourl année2016 notammentàl occasiondeschampionnatsdumondeCD CHRONS0&17&8 785( L engagement de SociétéGénérale dans les deux champs desa politique de mécénat culturel remonte à plusieurs décennies Son ambition de conjuguer exigence et partage l amène à ouvrirsa collection d art contemporain à des visiteurs de plus en plusnombreux etdiversiés et à soutenir des initiativesquidéveloppentl écoute et la pratique de la musique classique auprès de publicshabituellementéloignésdecetunivers Cesengagementss inscriventdans lapérennitéet sontmenés defaçon centraliséeoulocalementparleslialesduGroupe pDUWFRQWHPS RUDLQYL QJWDQVGpHQJDJHPHQWInitiée en 1995 la collection d art contemporain SociétéGénéralerassemble aujourd hui près de 1000 uvres Structurée autourde trois axes peinture sculpture photographie elle conjuguedes uvres d artistes à la renommée conrmée et des uvres deNTDTBSDTRDepuis l origine toutes les uvres sont exposées dans les locauxdeSociétéGénéraleàlaDéfense danslecentredeParisboulevardHaussmannetàVal de Fontenay etfontpartiedel universquotidiendes collaborateurs qui y travaillent De nombreux événementsenrichissentl interactionentrelemondedel artetceluidel entreprise mêlantdeplusenplussouventpublicinterneet externe Ouverte à tousles publics la collection SociétéGénérale s adresseenparticulierauxjeunesàtraversuneapprocheàlafoispédagogiqueet ludique À cet effet plusieurs formes de médiation ont étédéveloppées «Parcours découverte» «Car net d exploration» et«Ateliersartistiques»avecdesartistesdelaCollectionàdestinationdes enfants de 6à 12ans Ces activités sont organisées plusieursfoisparmoisdanslestoursSociétéGénéraleàLaDéfense * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I M É C É N AT E T S P O N S O R I N G Pour la 1D fois un parcours de découverte en musique estégalement mis en place en collaboration avec Mécénat musicalSociétéGénérale ande rendre la Collection accessibleauxjeunesensituationdehandicap LemécénatartistiquedeSociétéGénéralepoursuitsonengagementauprès des acteurs de la culture en soutenant la jeune créationet des projets artistiques destinés à un public plus large Dans lacontinuitédesesengagementsauprèsdeMarseille Provenceetdela Fondation Maeght (2013) puis du «Musée Passager» (2014) laCollection mécène depuis 2015 le projet ARTAGON rencontre etcompétition artistique annuelle proposées aux étudiants en écolesd art enFrance BelgiqueetSuisse À l international SociétéGénérale soutient directement la créationcontemporaine notammentenAfriqueduNordàtraverssacollectionhistorique deplus demille uvresau Maroc etcellesplus récentesdeTunisieetd Algérie DPXVLTXHFODVVLTXHXQHQJDJHPHQWDQFUGDQVO pHQWUHSULVHLegroupeSociétéGénéraleestdevenuundesacteursderéférencedelamusiqueclassique notammentàtraversl associationMécénatmusicalSociétéGénérale crééeen1987 M É C ÉNAT MU SI C A L SO CI ÉTÉGÉ NÉ R A LEEn 2015 Mécénat musical SociétéGénérale apporte son soutien à20orchestresetensembles Danslacontinuitédupartenariataveclasalle Pleyel l association est depuis janvier2015 «Grand Mécène»delaPhilharmoniedeParis Ellepoursuit également sacollaborationavec les saisons musicales du théâtre des Bouffes du Nord et duCollègedesBernardinsàParis etdumuséedeGrenoble Soucieuse de répondre aux besoins des jeunes talents en débutde carrière l association attribue chaque année des boursesaux étudiants des conservatoires nationaux de Paris et de Lyon 40boursespourl année2014 2015 Mécénat musical SociétéGénérale s attache également à faciliterl accès du jeune public à la musique classique en soutenant lapratique musicale et des opérations de médiation Dans ce cadre l association est mécène fondateur du projet Démos en 2015 800enfants ont bénécié d un apprentissage intensif et collectifdispensépardesmusiciensprofessionnels desConcertsdePoche 5000ateliers musicaux et 500concerts en dix ans d existence Elleestégalementpartenairedeplusieursprojetsd orchestresetdech ursdanslesétablissementsscolairesenFrance 3 < 1*)253+ +5021 ( (35 681( 1 7 7 9(UNIQUEDANSLEMONDEDEL ENTREPRISEAprèslesuccèsde sprécédenteséditionsen2013et2014de«Playingfor salle Pleyel»(ch ur etorchestre symphonique rassemblant descollaborateurs SociétéGénérale associés à l orchestreLes Siècles) 2NBHS&KD CBHCCD DNTDKDBDSSDHHSHSHD THTDCRlemondedel entreprise ens associantpourcettetroisièmeannéeàlaprestigieusePhilharmoniedeParis Innovationpourcettenouvelleédition «PlayingforPhilharmoniedeParis2016»intègreunecinquantainedechoristesduMarocetduCameroun Concertsles6et7novembre2016sousladirectiondeFrançois XavierRoth GrandeSallePhilharmonie1 PhilharmoniedeParis (6357(15 7635(67 * (8 (1)51&((7 p 17(517 21 SociétéGénéralesoutientdeslieuxdediffusioncommeleFestivaldeGlyndebourneetTheRoyalAlbertHall(Grande Bretagne) ouencorele Théâtre national de Prague (République tchèque) En France leGroupeestpartenairedu Festivald Aix en Provenceet deplusieursscènescommeLeVolcanauHavre laScènenationaled Albi l OpéraroyalduchâteaudeVersaillesoul OpéraGrandAvignon Le Groupe s engage aussi dans le domaine de l insertionprofessionnelle des jeunes musiciens à travers des actions departenariat avec la Fondation Princesse Margarita de Roumanie etla Fondation Prietenii Muzicii Seram Antropov en Roumanie et laFondazioneScaladeMilan enItalie 6SRQVRULQJVS RUWL ILe groupe SociétéGénérale a une politique de partenariats sportifspour accompagner le développement de ses activités partoutdans le monde Aux côtés des champions lors des compétitionsinternationales comme lors de la Coupe du monde de rugby 2015en Angleterre ou à la rencontre des plus jeunes SociétéGénéraleest le partenaire privilégié des fédérations nationales comme desclubs locaux avec principalement des supports dans le rugby etlegolf LE RU GB Y 2 0 1 5 5D C O UP E DU MO NDEDE R UG BY P OUR S OC I ÉT ÉGÉ NÉ R A LEDepuis1987 SociétéGénérale est undèle partenairedurugby deproximité en France du rugby amateur jusqu au plus haut niveau Intégrédanslaviede plusde450clubs SociétéGénéraleestundespartenairesmajeursdurugbyprofessionneletdel équipedeFrance LeGroupe àtraversseslialesetimplantations accompagneaussilerugbydansde nombreuxpays danslemonde du LuxembourgàlaChine enpassantparleSénégaletlaSerbie Touslesquatreansdepuis2007 SociétéGénéraleestunpartenairemajeurdelaCoupedu monde de rugby et notamment lors de la dernière édition enAngleterre Lerugbyà7soutenuparSociétéGénéraledepuis2001 sport olympique à partir de 2016 permet également au Groupe desensibiliser des nouvelles populations scolaires ou étudiantes à lapratiquedurugby LE GO LF U N DÉV E L OP PE M E NT CR OI S SA N TSociétéGénérale est partenaire de la Fédération française de golfdepuis2001 Convaincuquelapratiquedusportdoitêtreaccessibleau plus grand nombre SociétéGénérale soutient égalementl associationHandigolf Parallèlement les marques de SociétéGénérale tant la BanquePrivée que la Banque de détailet la Banque de Grande Clientèle etSolutions Investisseurs deviennent de plus en plus visibles sur lesparcours Le Groupe accompagne cette dynamique internationaleen étant partenaire du seul tournoi féminin majeur se déroulant enEuropecontinentale l EvianChampionship IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 7 A N N E X E S127(07+2 2 2* 4 8(Cette note a pour objectif d expliquer la méthodologie deQDONQSHMFappliquéeparSociétéGénéraleenmatièrederesponsabilitésocialeetenvironnementale(RSE) Cetteméthodologieestd autrepartdétailléeCRKDONSNBNKDCDQDONQSHMFduGroupe disponiblesurdemande HSURWRFROHGHQDONQSHMFLesinformationscontenuesdansleDocumentderéférence danslesiteduGroupeetautressupportsdecommunicationdeSociétéGénérale ainsi que dans le Rapport d activité et de développement durabledu Groupe qu il s agisse des éléments relatifs à l exercice 2015NT BDT CDR DR OBCDSDR NS S KANDR RT K ARD CDcontributions du réseau interne de correspondants DéveloppementDurable du Groupe en cohérence avec le protocole deQDONQSHMFRSE et le Programme d actions RSE du Groupe ainsi qu à partirde l outil deQDONQSHMF KMDSGHB 1DONQSHMF» qui permet la collectenormaliséedesindicateurs de pilotage correspondant aux différentesactions L ensemble s effectue sous la coordination de la Directiondu développement durable du Groupe rattachée au Secrétariatgénéral Un effort de sensibilisation est assuré régulièrement auprès descontributeursetmanagersanderenforcerl appropriationduQDONQSHMFetdel outil etcontribuerainsiàuneabilisationdesdonnées DONSNBNKDCDQDONQSHMFestrégulièrementmisàjour 3ULRGHVGHQDONQSHMFDON NÉ ES S OCI A LE S M É CÉ N AT ET M É T I E RSSaufexception lesindicateurschiffréssontcalculéssurlapériodeduDjanvier 2015 au 31décembre2015 (12mois) avecdes donnéesarrêtéesau31décembre2015 DON NÉ ES E N VI RO NN EM EN TALE SSauf exception les indicateurs chiffrés sont calculés sur la périodeCT Doctobre 2014 au 30septembre 2015 (12mois) avec desdonnéesarrêtéesau30septembre2015 3ULPWUHGHFRQVROLGDWLRQ56(Les entités faisant partie du périmètre deQDONQSHMFONCDS Tmoinsàl undescritèressuivants entité dont SociétéGénérale SA (SGSA) société mère détientun pourcentage de contrôle (directement ou indirectement)strictement supérieur à 50% Les succursales sont pardénition détenues à 100% puisqu elles n ont pas d existence«capitalistique» toutes les entités consolidéespar intégration globale du groupeSociétéGénérale comptantplusde50collaborateurs La consolidation RSE comprend 155sociétés retenues dans lepérimètrede la consolidationnancièreduGroupe au 31décembre2015 Elle intègre notamment les différentes entités de Newedgedans le monde qui n étaient pas incluses dans le périmètre au31décembre2014 &ROOHFWHGHVG RQQHVLe recueil des données pour le périmètre déni fait appel auxméthodessuivantes pour les données sociales environnementales métiers et demécénat la plupart des indicateurs chiffrés sont collectés parchaque entité du GroupeUHl outil deQDONQSHMF KMDSGHB1DONQSHMFu O KDR BNKKDBSDTR TH RHRHRRDS KDR CNDR Tsein de leur liale validées par les validateurs qui contrôlent lesCNDR RHRHDR T RDH CD KDT DSHS S CD KDR KHCD KDRadministrateurs qui contrôlent et validentlesdonnées au niveaupôles d activités et les administrateurs centraux (Direction duDéveloppement Durable) au niveau Groupe qui réalisent lesdernierscontrôlesavantlaconsolidation les autres données sont recueillies directement auprès descorrespondants RSE des pôles d activités ou auprès desdirections concernées (Direction des achats Direction desrisques DirectiondesRessourceshumaines) parlaDirection duDéveloppementDurableduGroupe QGLFDWHXU VUne communication formelle à l attention de l ensemble descontributeurs a été effectuée au lancement des campagnes decollecte comportant notamment le calendrier des campagnes une instruction Groupe et un protocole pour chaque domained indicateurs Le protocole apour rôle de rappeler les dénitionsetcritèresd applicationdesindicateurs Les indicateurs 2015 ont été choisis pour répondre à la listed informations exigées par la loi «Grenelle II» (conformément àl articleL 225 102 1duCodedecommerce)ainsiqueparrapportàlastratégieRSEduGroupeetunevolontéde serapprocheraumieuxd uneambition«core»vis à visdelaGRI G4 Ces indicateurs sont majoritairement renseignés pour un périmètremondial Toutefois pourcertains d entreeux difcilement reconnusdefaçonuniformeà l échellemondiale uneanalysesur lepérimètreFranceouSociétéGénéraleFrance(horsliales)aétéprivilégiée 3ULPWUHVHWUJ OHVGHFDOFXOGHVLQ GLFDWHXU VVR FLDXL effectif pris en compte dans l ens emble des indicateurssociaux (sauf précision explicite) correspond au nombre total decollaborateurs encontratàdurée indéterminée (CDI) ouencontratàduréedét erminée(CDD) incluantlescontratsd alternance qu ilsRNHDSORDSRNTARDSRD ST CD ETDBD CDR BBHCDSR C D SHK DRS KD SHN DSD KDnombre d accidents de travail(ausens delaréglementation locale) rapporté au nombre total d heures travaillées (effectif présent en * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I CDIet CDDmultiplié par la durée de travail annuel dans l entité enheures) multipliépar1000000 Le taux d absentéisme est le ratio entre le nombre de journéesd absencerémunéréesrapportéaunombretotaldejournéespayées enpourcentage Ilestcomptée njourscalendairesetestcalculésurl effectiftotal(effectifprésentmultipliépar365) Le périmètre des deux graphiques «Répartition de l effectifpar tranche d âge» (page 246) et «Répartition de l effectif parancienneté» (page 235) correspond au périmètre de consolidationRSE tel que déni ci dessus à l exclusion des effectifs d entités enAllemagne (GEFA PEMA Gmbh On Vista SGSS Gmbh) Corée duSud (SG Securities Korea) Maroc (Sogelease Eqdom) et Tunisie(UIB)pourlesquellescesinformationsnesontpasconsolidées 3UL PWUHVHWSULQFLSDO HV UJOHVGHJHVWLRQGHVLQG LFDWHXUVHQYLURQQHPHQWDXEn2015 lepérimètredecollectea évoluédufait del intégrationdeNewedgeainsiqueparl ajoutdenouveauxindicateurs Le périmètre de collecte des données environnementales prenden compte les liales non consolidées comptablement Le nombrede collaborateurs du Groupe inclus dans le p érimètre deQDONQSHMFenvironnemental est de 146492 (contre 145703 au niveaucomptable) Ilcomprend enplusdeslialesappartenantaupérimètrenancier consolidé les liales suivantes Ald Automotive Brazil AldAutomotive India Ald Automotive Turkey Ald Automotive Ukraine Concilian(France)etSGMauritanie La couverture du périmètre de collecte total correspond au ratiodu nombre de collaborateurs de toutes les entités ayant participéà la campagne de collecte sur le nombre de collaborateurs totalde SociétéGénérale Avec 146580collaborateurs recensés SociétéGénérale évaluele périmètrecouvert i e ayant renseignéaumoinslesdonnéesoccupantsetsurface à99 93%deseffectifs pourrappellechiffreétaitde99 4%en2014 5HWUDLWHPHQWG HVGRQQHVKL VWRULTXHVSociétéGénérale s était xé dès 2007 un objectif de réduction desesémissionsde COpar occupant de 26% sur la période 2007 2012 Uneréductionde15%aainsiétéobservéesurcettepériodesurlabase de l annéederéférence 2007 Cet objectifaensuite étéreportésurlapériode2012 2015 Ilaétéconsidéréqu ilrestaitdonc11%deréductionadditionnelleàatteindred icià2015 En2015 SociétéGénérale a intégréNewedgequin étaitpasprisencompte dans leQDONQSHMF2014 An d assurer la transparence de lacommunication et la comparabilité des données les émissions desDR CD EDBD CD K OHNCD RNS ORDSDR CRletableaudesémissionsetontnécessitéun retraitementan quelesdonnéeshistoriquesportentsurunpérimètrecomparableauxdonnées2015 De la même manière lesnouveauxindicateurs prisencomptepour le calcul des émissions de CO ont été intégrés aux donnéeshistoriques Ces retraitements ne corrigent pas les variations liées àlacroissanceouàlaréductiondel activitéauseinmêmedesentités Ledétaildesprincipauxretraitementseffectuésestprécisédansletableausuivant QGLFDWHXU5HWUDLWHPHQWGHVDQQHVHW6VWPHGHPDQDJHPHQWHQYLURQQHPHQWDOPérimètreetcouvertures3RXUODQQHLQWJUDWLRQGHVGRQQHVUHODWLYHV1HZHGJH7UDQVSRUWVa)Distancesparcouruesàtitreprofessionnel entrainChangementdeméthodeand améliorerl exhaustivitédesdonnéesrécupéréespourleréseauen2015 Applicationdecechangementdeméthodeauxannéesantérieures b)Distancesparcouruesàtitreprofessionnel enavionChangementdeméthodeand améliorerl exhaustivitédesdonnéesrécupéréespourleréseauen2015 Applicationdecechangementdeméthodeauxannéesantérieures c)DistancesparcouruesàtitreprofessionnelavecdesvoiturespersonnellesChangementdeméthodeand améliorerl exhaustivitédesdonnéesrécupéréespourleréseauen2015 Applicationdecechangementdeméthodeauxannéesantérieures &RQVRPPDWLRQVGQHUJLH7RXVWSHVGQHUJLH3RXUODQQHLQWJUDWLRQGHVGRQQHVUHODWLYH1HZHGJH3DSLHUVa)Quantitédepapierutilisépourlesrelevésdecompteàlaclientèleetquantitéd enveloppespersonnalisées(Nouvelindicateur)5HSULVHGHVGRQQHVSRXUOHVHQWLWVDDQWUHSRUWSRXUODSUHPLUHIRLVHQYDOXHVHQIRQFWLRQGXQRPEUHGpRFFXSDQWVSRXUOHVWURLVDQQHVDQWULHXUHVb)AutrestypesdepapierutiliséChangementdepérimètrepourlaFrance récupérationdetouslestypesdeSDSLHU&DOFXOGHODGLIIUHQFHHQWUHQRXYHDXHWDQFLHQSULPWUHHWUHSULVHGHFHWWHGLIIUHQFHVXUOHVDQQHVDQWULHXUHVDXSURUDWDSDURFFXSDQW IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( RQQHVHQYL URQQHPHQWDOHVUJOHVJQ U DOHVLes données environnementales sont calculées sur la base defactures derelevésen direct d informationsreçuesde fournisseursou sur la base d estimations Les contrôles et ratios suivants sontutilisésandepiloterlesdonnéesreportées en 2015 des contrôles de variance par rapport à l annéeOBCDSD NS S OOKHTR ONT SNTR KDR HCHBSDTRenvironnementaux Un message d alerte demandait aucontributeurdevérier ladonnéeenregistréeen casdevariationsupérieureà30% les données collectées relatives à l énergie au papier bureauetautransport sontrapportéesaunombred occupantsdéclaréparl entité les consommations d énergie (électricité vapeur d eau eauglacée fuel gaz) sont également rapportées à la surface(expriméeenm²) dans l optique d une abilisation permanente des données desTDRSHNRTKHSSHDRONRDRSSDCTDRUHdescommentairesécrits) permettent de cerner les différents périmètres desdonnées derecenserlesbonnespratiquesetdecomprendrelesvariationsd uneannéesurl autre Le nombre d occupants concernés correspond dans la mesure dupossible aunombremoyendepersonnessalariéesSociétéGénéraleNTRNTRSHSSSHKKSRTKDRHSDODCSKOHNCDCDQDONQSHMFouàdéfautaunombred occupantsau30septembre2015 La couverture du périmètre de collecte de chaque indicateurcorrespond au ratio du nombre de collaborateurs de toutes lesentités ayant complété l indicateur sur le nombre de collaborateursSNSKCD2NBHS&KDDenouveauxindicateursontétéintégrésoumodiésen2015 les chéquiers et les bordereaux de remise de chèque ont étéintégrésdanslesindicateurspapier l indicateurrelatifàlaquantitétotaledepapierreprographique pourlequel nous ne récupérions précédemment que les ramettes de80grammessurlepérimètreFranceuniquement aétémodiéanCDONCDTADRNHCDQDONQSHMF«Écofolio»etportedésormaissurtoustypedepapierinférieurouégalà224grammes Àl exceptionduréseauSociétéGénéraleFrance laplupartdeslialesconsolident leurs données directement dans l outil deQDONQSHMFCT&NTOD DR CNDR CD SRONS DSCD OOHD ONT K BD ENSl objet d unQDONQSHMFcentralisé par la Direction du DéveloppementTAKDUHdesdonnéesremontéesparlaDirectiondesachats HFDO FX OGHV PLVVLRQV GH&2Le calcul des émissions de COdu Groupe est catégorisé en troisgroupes le Scope 1 comprend les émissions directes liées à laconsommationd énergieetauxémissionsfugitivesdegazuorésdesservicescentraux le Scope 2 comprend les émissions indirectes liées à laconsommationd énergie(électricité vapeur d eaueteauglacéeexternes) leScope3comprendlesémissionsdeGESdelaconsommationdupapierdebureauetde sdéplacementsprofessionnels depuis2012 Lepérimètreestélargiàl ensembledupapier letransportmarchandise et les consommations d énergie des datacentershébergésenFrance LesémissionsdeCOsontcalculéesselonlaméthodeGHGProtocol * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 5332 57 ( p25* 1 60(7 (56 1 3(1 17685 (6 1)25 07 21662& (6(19 5211(0(17 (6(762& 7 (6&2162 (6) *8517 16 (533 257 ( *(67 216RFLW*QUDOH(HUFLFHFORVOHGFHPEUH T BSHNHDREn notre qualité d organisme tiers indépendant accrédité parKD 1 sous le numéro3 1050 et membre du réseau del un des commissaires aux comptes de SociétéGénérale nousvous présentons notre rapport sur les informations sociales environnementales et sociétales consolidées relatives à l exerciceclosle31décembre2015 présentéesdanslechapitre5durapportde gestion ci après les «Informations RSE» en application desdispositionsdel articleL 225 102 1duCodede commerce R ES PO NS AB I LI TÉ D E LA S OCI ÉT ÉIl appartient au conseil d administration d établir un rapport degestion comprenant les Informations RSE prévues à l articleR 225 105 1duCodedecommerce conformémentauxréférentielsutilisés par la société (ci après les «Référentiels») dont un résumégure dans le présent Document de Référence en annexe duchapitre(la«Noteméthodologique») I ND ÉP EN DA NC E E T CON TRÔ LE QU ALI T ÉNotreindépendanceestdénieparlestextesréglementaires leCodede déontologie de la profession ainsi que les dispositions prévuesà l article L 822 11 du Code de commerce Par ailleurs nousavons mis en place un système de contrôle qualité qui comprenddes politiques et des procédures documentées visant à assurer lerespect des règles déontologiques des normes professionnelles etdestexteslégauxetréglementairesapplicables R ES PO NS AB I LI TÉ D E L O RG AN IS M ET I E R S I ND ÉPE N DA NTIlnousappartient surlabasedenostravaux d attester que les Informations RSE requises sont présentesdans le rapport de gestion ou font l objet en cas d omission d une explication en application du troisième alinéa de l articleR 225 105duCodedecommerce(AttestationdeprésencedesInformationsRSE) d exprimer une conclusion d assurance modérée sur le faitque les Informations RSE prises dans leur ensemble sontprésentées dans tous leurs aspects signicatifs de manièresincère conformément aux Référentiels (Avis motivé sur lasincéritédesInformationsRSE) NR ST NS S DEEDBSTR O TD THOD CD RDOS ODRNDRentre septembre2015 et février2016 pour une durée d environquinzesemaines Nous avons conduit les travaux décrits ci après conformémentaux normes professionnelles applicables en France et à l arrêté du13mai 2013 déterminant les modalités dans lesquelles l organismetiersindépendant conduit samission etconcernantl avismotivédesincérité àlanormeinternationaleISAE3000WWHVWDWLRQGHSUVHQFHGHV QIRUPDWL RQV56(Nous avons pris connaissance sur la base d entretiens avecles responsables des directions concer nées de l exposé desorientations en matière de développement durable en fonction desconséquences sociales et environnementales liées à l activité de lasociété et de ses engagements sociétaux et le cas échéant desactionsouprogrammesquiendécoulent Nous avons comparé les Informations RSE présentées dans lerapportde gestion avec la liste prévuepar l article R 225 105 1 duCodedecommerce En cas d absence de certaines informations consolidées nousavonsvériéquedesexplicationsétaientfourniesconformémentauxdispositionsdel articleR 225 105alinéa3duCodedecommerce Nous avons vériéqueles Informations RSEcouvraientlepérimètreconsolidé àsavoirlasociétéainsiqueseslialesausensdel articleL 233 1 du Code de commerce et les sociétés qu elle contrôle ausens de l article L 233 3 du même code avec les limites préciséesdans la Note méthodologique annexée au chapitre CT ORDSdocumentderéférence Surlabasedecestravaux etcomptetenu deslimitesmentionnéesci dessus nousattestonsdelaprésencedanslerapportdegestiondesInformationsRSErequises YLV PRWLYVXUODVLQFULWGHV QIRUPDWL RQV56( STDDSSDCTDCDRSTNous avons mené une trentaine d entretiens avec les personnesresponsables de la préparation de s Informations RSE auprèsdes pôles BDDF IBFS et GBIS et des directions DéveloppementDurable RessourcesHumainesetAchats enchargedesprocessusde collecte des informations et le cas échéant responsables desprocéduresdecontrôleinterneetdegestiondesrisques an d apprécierlecaractèreappropriédesRéférentielsau regarddeleur pertinence leur exhaustivité leur abilité leur neutralité etleur caractère compréhensible en prenant en considération lecaséchéant lesbonnespratiquesdusecteur Portéed accréditationdisponiblesurwww cofrac frISAE3000 RRTQMBDDMFFDLDMSRNSGDQSGMTCHSRNQQDUHDVRNEGHRSNQHBKHMENQLSHNM IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( de vérier la mise en place d un processus de collecte decompilation de traitement et de contrôle visant à l exhaustivitéetàlacohérencedesInformationsRSEetprendreconnaissancedes procédures de contrôle interne et de gestion des risquesrelativesàl élaborationdesInformationsRSE Nousavonsdéterminélanatureetl étenduedenostestsetcontrôlesen fonction de la nature et de l importance des Informations RSEau regard des caractéristiques de la société des enjeux sociaux etenvironnementauxdesesactivités desesorientationsenmatièrededéveloppementdurableetdesbonnespratiquessectorielles Pour les Informations RSE que nous avons considérées les plusimportantes Au niveau de l entité consolidante et des pôles nous avonsconsultélessourcesdocumentairesetmenédesentretienspourcorroborer les informations qualitatives (organisation politiques actions etc ) nous avons mis en uvre d es procéduresanalytiquessurlesinformationsquantitativesetvérié surlabasedesondages lescalculsainsi quela consolidation des donnéesetnousavonsvériéleurcohérenceetleurconcordanceaveclesautresinformationsgurantdanslerapportdegestion Auniveaud unéchantillonreprésentatifd entitésquenousavonsRKDBSHNDR(4) D ENBSHN CD KDT BSHHS CD KDT BNSHATSHNauxindicateursconsolidés deleurimplantationetd uneanalysederisque nousavonsmenédesentretienspourvérierlacorrecteapplication des procédures et mis en uvre des tests de détailsur la base d échantillonnages consistant à vérier les calculseffectués et à rapprocher les données des pièces justicatives L échantillon d entités ainsi sélectionné représente 38% deseffectifs pour les données sociales 12% des consommationsd énergie pour les données environnementales et 9% du PNBconsolidépourlesdonnéesmétiers Pourles autres InformationsRSE consolidées nousavons appréciéleurcohérenceparrapportànotreconnaissancedelasociété Enn nousavonsappréciélapertinencedesexplicationsrelatives lecaséchéant àl absencetotaleoupartielledecertainesinformations Nous estimons que les méthodes d échantillonnage et taillesd échantillons que nous avons retenues en exerçant notre jugementprofessionnelnouspermettentdeformuleruneconclusiond assurancemodérée une assurance de niveau supérieur aurait nécessité destravauxdevéricationplusétendus Dufaitdurecoursàl utilisationdetechniques d échantillonnagesainsi quedesautres limites inhérentesau fonctionnement de tout système d information et de contrôleinterne le risque de non détection d une anomalie signicative danslesInformationsRSEnepeutêtretotalementéliminé CONC L USI O NSur la base de nos travaux nous n avons pas relevé d anomaliesignicativede natureàremettreencauselefaitquelesInformationsRSE prisesdansleurensemble sontprésentées demanièresincère conformémentauxRéférentiels OB SER VATI O NSansremettreencause laconclusionci dessus nousattirons votreattentionsurlesélémentssuivants L application des Principes de l Équateur est mature au sein desactivités de la banque d investissement En vue de couvrir à termel ensemble des activités de nancement et d investissement dugroupe la mise en uvre des engagements environnementaux etsociaux (E&S) de Société Générale sepoursuit avec la formalisationde nouvelles procédures Néanmoins l application des principesgénéraux E&S n est pas encore homogène au sein des autresactivitésetimplantationsgéographiques Paris LaDéfense le4mars2016L OrganismeT iersIndépendantERNST&YOUNGetAssociésHBTTCAssociéDéveloppementdurableHassanBaaj RRNBH QIRUPDWLRQVVRFLWDOHVHWPWLHUV l impactterritorial économiqueetsocial(lesoutienauxPME l offredeproduitsetservicessolidairesenFranceetàl international l inclusionnancièreenFrance lamicronanceàl international ladémarchePositiveImpactFinance) laloyautédespratiques(lesmesuresprisesenfaveurdelasantéetdelasécuritédesconsommateursetnotammentlapréventiondusurendettement lasécuriténumériqueetlaprotectiondesdonnées) lesengagementsenvironnementauxetsociauxdugroupedansl exercicedesesactivités(politiquessectorielles principesdel Équateur évaluationsE&Sdestransactionsetdesclients nancementsvertsàdestinationdesentreprises) lesrelationsaveclespartiesprenantes(lasatisfactionclientsetlamédiation) lapriseencomptedanslapolitiqued achatdesenjeuxsociauxetenvironnementaux QIRUPDWLRQVHQYLURQQHPHQWDOHV lapolitiquegénéraleenmatièreenvironnementale lesrejetsdegazàeffetdeserre(émissionsdeCOONBBTOS QIRUPDWLRQV VRFLDOHV l emploi (l effectif total les embauches et les licenciements) les politiques mises en uvre en matière de formation le nombre total d heures deformation ladémarcheduleadershipmodeletlesrésultatsdubaromètreemployeur (4)Lesentitéssélectionnéessont lPourlesdonnéessociales SGPM(France)etRosbank(Russie) lPourlesdonnéesenvironnementales Rosbank(Russie) lPourlesdonnéessociétalesetmétiers SGLondresGBIS(UK) SGNewYorkGBIS(États Unis) SGGSCBangalore(Inde)etRosbank(Russie) * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 8 T A B L E S D E C O N C O R D A N C E7% ( (&21&25 1&(56(57 & (*5(1( ( 1 &7(8562 (65(75289(5 QIRUPDWLRQVVRFLDOHV3DJHD(PSORLL effectiftotaletlarépartitiondessalariésparsexe âge zonegéographiqueLesembauchesetleslicenciements HVUPXQUDWLRQVHWOHXUYROXWLRQE2UJDQLVDWLRQGXWUDYDLO pRUJDQLVDWLRQGXWHPSVGHWUDYDLO pDEVHQWLVPHF5HODWLRQVVRFLDOHV pRUJDQLVDWLRQGXGLDORJXHVRFLDOQRWDPPHQWOHVSURFGXUHVGpLQIRUPDWLRQetdeconsultationdupersonneletdenégociationaveccelui ci HELODQGHVDFFRUGVFROOHFWLIVG6DQWHWVFXULW HVFRQGLWLRQVGHVDQWHWGHVFXULWDXWUDYDLO2SQDRR6DQW%LHQÇWUH HELODQGHVDFFRUGVVLJQVDYHFOHVRUJDQLVDWLRQVVQGLFDOHVRXOHVUHSUVHQWDQWVGXSHUVRQQHOHQPDWLUHGHVDQWHWVFXULWDXWUDYDLO HVDFFLGHQWVGXWUDYDLOQRWDPPHQWOHXUIUTXHQFHHWOHXUJUDYLWDLQVLTXHOHVPDODGLHVSURIHVVLRQQHOOHVH)RUPDWLRQ YHORSSHPHQWGHVFRPSWHQFHV HVSROLWLTXHVPLVHVHQzXYUHHQPDWLUHGHIRUPDWLRQLenombretotald heuresdeformationIJDOLWGHWUDLWHPHQWLesmesuresprisesenfaveurdel égalitéentrelesfemmesetleshommesLesmesuresprisesenfaveurdel égalitédel emploietdel insertiondeshandicapés DSROLWLTXHGHOXWWHFRQWUHOHVGLVFULPLQDWLRQVJ3URPRWLRQHWUHVSHFWGHVVWLSXODWLRQVGHVFRQYHQWLRQVGHOp2UJDQLVDWLRQ QWHUQDWLRQDOHGX7UDYDLOUHODWLYHVDXUHVSHFWGHODOLEHUWGpDVVRFLDWLRQHWGXGURLWGHQJRFLDWLRQFROOHFWLYHOpOLPLQDWLRQGHVGLVFULPLQDWLRQVHQPDWLUHGpHPSORLHWGHSURIHVVLRQOpOLPLQDWLRQGXWUDYDLOIRUFHWREOLJDWRLUHOpDEROLWLRQHIIHFWLYHGXWUDYDLOGHVHQIDQWV IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 1 &7(8562 (65(75289(5 QIRUPDWLRQVHQYLURQQHPHQWDOHV3DJHD3ROLWLTXHJQUDOHHQPDWLUHHQYLURQQHPHQWDOH pRUJDQLVDWLRQGHOD6RFLWSRXUSUHQGUHHQFRPSWHOHVTXHVWLRQVHQYLURQQHPHQWDOHVHWlecaséchéant lesdémarchesd évaluationoudecerticationenmatièred environnementLesactionsdeformationetd informationdessalariésmenéesenmatièredeprotectiondel environnement HPRQWDQWGHVSURYLVLRQVHWJDUDQWLHVSRXUULVTXHVHQPDWLUHGpHQYLURQQHPHQWVRXVUVHUYHTXHFHWWHinformationnesoitpasdenatureàcauserunpréjudicesérieuxàlasociétédansunlitigeencoursSDVGHSURYLVLRQVE3ROOXWLRQHWJHVWLRQGHVGFKHWVLesmesuresdeprévention deréductionouderéparationderejetsdansl air l eauetlesolaffectantgravementOpHQYLURQQHPHQWLesmesuresdeprévention derecyclageetd éliminationdesdéchets DSULVHHQFRPSWHGHVQXLVDQFHVVRQRUHVHWGHWRXWHIRUPHGHSROOXWLRQSURSUHOpDFWLYLWNonsignicatifdansl activitéexercéeF8WLOLVDWLRQGXUDEOHGHVUHVVRXUFHV DFRQVRPPDWLRQGpHDXHWOpDSSURYLVLRQQHPHQWHQHDXHQIRQFWLRQGHVFRQWUDLQWHVORFDOHVLaconsommationdesmatièrespremièresetlesmesuresprisespouraméliorerl efcacitédansleurutilisation(QWDQWTXHVRFLWGHVHUYLFHV6RFLW*QUDOHQpDSDVGpDFWLYLWGHSURGXFWLRQ6DFRQVRPPDWLRQGHPDWLUHVSUHPLUHVQpHVWdoncpassignicative Laconsommationd énergie lesmesuresprisespouraméliorerl efcacitéénergétiquesetlerecoursauxQHUJLHVUHQRXYHODEOHV pXWLOLVDWLRQGHVVROVNonsignicatifdansl activitéexercéeG&KDQJHPHQWFOLPDWLTXHLesrejetsdegazàeffetsdeserreL adaptationauxconséquencesduchangementclimatiqueLesconséquencesduchangementFOLPDWLTXHVXUQRVDFWLYLWVVRQWSULVHVHQFRPSWHGDQVOHFDGUHGHODJHVWLRQGHQRVULVTXHVRSUDWLRQQHOVH3URWHFWLRQGHODELRGLYHUVLW HVPHVXUHVSULVHVSRXUSUVHUYHURXGYHORSSHUODELRGLYHUVLW6RFLW*QUDOHQpHVWSDVFRQFHUQSRXUFRPSWHSURSUH QIRUPDWLRQVUHODWLYHVDXHQJDJHPHQWVVRFLWDXD PSDFWWHUULWRULDOFRQRPLTXHHW VRFLDOGHOpDFWLYLWGHODVRFLW(QPDWLUHGpHPSORLHWGHGYHORSSHPHQWUJLRQDO6XUOHVSRSXODWLRQVULYHUDLQHVHWORFDOHVE5HODWLRQVHQWUHWHQXHVDYHFOHVSHUVRQQHVRXOHVRUJDQLVDWLRQVLQWUHVVHVSDUOpDFWLYLWGHODVRFLW HVFRQGLWLRQVGXGLDORJXHDYHFFHVSHUVRQQHVRXRUJDQLVDWLRQV HVDFWLRQVGHSDUWHQDULDWVRXGHPFQDWF6RXVWUDLWDQFHHWIRXUQLVVHXUVLapriseencomptedanslapolitiqued achatsdesenjeuxsociauxetenvironnementaux pLPSRUWDQFHGHODVRXVWUDLWDQFHHWODSULVHHQFRPSWHGDQVOHVUHODWLRQVDYHFOHVIRXUQLVVHXUVHWOHVVRXVWUDLWDQWVGHOHXUUHVSRQVDELOLWVRFLDOHHWHQYLURQQHPHQWDOHG RDXWGHVSUDWLTXHV HVDFWLRQVHQJDJHVSRXUSUYHQLUODFRUUXSWLRQ HVPHVXUHVSULVHVHQIDYHXUGHODVDQWHWGHODVFXULWGHVFRQVRPPDWHXUVHXWUHVDFWLRQVHQJDJHVHQIDYHXUGHVGURLWVGHOp+RPPH * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 Étatsnanciersconsolidés2 Notesannexesauxét atsnanciersconsolidés3 RapportdesCommissairesauxcomptessurlescomptesconsolidés5DSSRUGHJHVLRQdeSociétéGénérale5 Comptesannuels6 Notesannexesauxcomptesannuels7 RapportdesCommissairesauxcomptessurlescomptesannuels * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 6 R P P D U H H D I Q D Q F H U F R Q R O v776) 11& (56&2162 v6% 1&2162 &7 )BILANCONSOLIDÉ PASSIF&2037( (568 77&2162 77 8568 771(7(7* 16(73(57(6&2037% 66 5(&7(0(17(1&3 78 35235(692 87 21 (6&3 78 35235(67% (8 (6) 8 (75625(5 (127(611((68v776) 11& (56&2162 v6127(35 1& 3 (65* (6 p9 87 21(7 (356(177 21 (6&2037(6&2162 6127(&2162 7 21127(35 075( (&2162 7 21127(&576 p&48 6 7 21127( 1)2507 216&203 0(17 5(6685 (6(17 76&2162 (6(7 (6(17 760 6(6(148 9 (1&(127((17 766758&785(6121&2162 (6127( 167580(176) 11& (56127(&7 )6(7366 )6) 11& (56 867(9 (8535568 77127( 167580(176) 11& (56 5 96127(&7 )6) 11& (56 6321 % (6 9(17(127( 867(9 (85 (6 167580(176) 11& (569 86(1 867(9 (85127(3576(7&51&(6127( (77(6127(352 8 76(7&+5*(6 p 17576127( 35& 7 216(73529 6 216127( 867(9 (85 (6 167580(176) 11& (569 868&270257 127((1**(0(176(7&7 )65(0 6(75(86(1*517 (127(&7 )6) 11& (567516)56127(&203(167 21 p&7 )6) 11& (56(7 (366 )6) 11& (56127(&+1&(6&2175&78( (6 (6366 )6) 11& (56127(875(6&7 9 76127(352 8 76(7&+5*(6 (&200 66 216127(352 8 76(7&+5*(6 (6875(6&7 9 76127(&7 9 76 p66851&(127(875(6&7 )6(7875(6366 )6127(&+5*(6(7917*(6 83(56211( 127()5 6 (3(56211( (77516&7 2169(& (6357 (6 (6127(917*(6 83(56211( 127(3 16 p917*(6(1&7 216127( 0376127(&3 78 35235(6127(&7 21635235(6(7 167580(176 (&3 78 35235(60 6127(568 7735&7 21(7 9 (1 (6127(875(6 1)2507 216127( 1)2507 216(&725 ( (127( 002% 67 216&25325( (6(7 1&25325( (6127(2357 216(1 (9 6(6127( 7 835 075( (&2162 7 21127(3529 6 216127(+2125 5(6 (6&200 66 5(68 &2037(6Les informations sur la gestion des risques associés aux instruments nanciers ainsi que les informations sur la gestion du capital et lerespect desratios réglementairesrequisespar le référentielIFRS telqu adoptédansl Unioneuropéenne sont présentéesdans le chapitre4duprésentDocumentderéférence(Risquesetadéquationdesfondspropres) Latypologiedesrisquesestdécritedanslechapitre3duprésentDocumentderéférence(Gouvernementd entreprise)page115 Ces informations font partie intégrante des notes annexes aux Etats nanciers consolidés du Groupe et sont couvertes par l opinion desCommissairesauxcomptessurlescomptesconsolidés ellessontidentiéescommetelledanslechapitre4duprésentDocumentderéférence IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 1 É T A T S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S% 1&2162 &7 )(EnMEUR)&DLVVHHWEDQTXHVFHQWUDOHVActifsnanciersàlajustevaleurparrésultat1RWHVHW QVWUXPHQWVGULYVGHFRXYHUWXUH1RWHActifsnanciersdisponiblesàlavente1RWHVHW3UÇWVHWFUDQFHVVXUOHVWDEOLVVHPHQWVGHFUGLW1RWHVHW3UÇWVHWFUDQFHVVXUODFOLHQWOH1RWHVHWFDUWGHUYDOXDWLRQGHVSRUWHIHXLOOHVFRXYHUWVHQWDXActifsnanciersdétenusjusqu àl échéance1RWHFWLIVGLPSWV1RWHXWUHVDFWLIV1RWHFWLIVQRQFRXUDQWVGHVWLQVÇWUHFGV3DUWLFLSDWLRQVGDQVOHVHQWUHSULVHVPLVHVHQTXLYDOHQFH PPRELOLVDWLRQVFRUSRUHOOHVHWLQFRUSRUHOOHV1RWHFDUWVGDFTXLVLWLRQ1RWH7RWDOMontantsretraitésparrapportauxétatsnancierspubliésen2014 suiteàl entréeenvigueurdel interprétationIFRIC21quis appliquedefaçonrétrospective(cf Note1) DR QSR DS BQMBDR RTQ K BKHDMSKD incluent les créances de location nancement qui étaient auparavant présentées sur une ligne distincte du bilan À des ns decomparabilité laprésentationdesdonnéesdel exercice2014aétémodiéeparrapportauxétatsnancierspubliés * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I BIL ANCONSOLIDÉ PASSIF(EnMEUR)%DQTXHVFHQWUDOHVPassifsnanciersàlajustevaleurparrésultat1RWHVHW QVWUXPHQWVGULYVGHFRXYHUWXUH1RWH HWWHVHQYHUVOHVWDEOLVVHPHQWVGHFUGLW1RWHVHW HWWHVHQYHUVODFOLHQWOH1RWHVHW HWWHVUHSUVHQWHVSDUXQWLWUH1RWHVHWFDUWGHUYDOXDWLRQGHVSRUWHIHXLOOHVFRXYHUWVHQWDX3DVVLIVGLPSWV1RWHXWUHVSDVVLIV1RWH HWWHVOLHVDXDFWLIVQRQFRXUDQWVGHVWLQVÇWUHFGVProvisionstechniquesdesentreprisesd assurance1RWH3URYLVLRQV1RWH HWWHVVXERUGRQQHV7RWDOGHWWHV&3 78 35235(6&DSLWDXSURSUHVSDUWGX*URXSH&DSLWDOHWUVHUYHVOLHV5VHUYHVFRQVROLGHV5VXOWDWGHOHHUFLFH6RXVWRWDO*DLQVHWSHUWHVFRPSWDELOLVVGLUHFWHPHQWHQFDSLWDXSURSUHV6RXVWRWDOFDSLWDXSURSUHVSDUWGX*URXSH3DUWLFLSDWLRQVQHGRQQDQWSDVOHFRQWUOH7RWDOFDSLWDXSURSUHV7RWDOMontantsretraitésparrapportauxétatsnancierspubliésen2014 suiteàl entréeenvigueurdel interprétationIFRIC21quis appliquedefaçonrétrospective(cf Note1) IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( &2037( (568 77&2162 (EnMEUR) QWUÇWVHWSURGXLWVDVVLPLOV1RWHIntérêtsetchargesassimilées1RWH&RPPLVVLRQVSURGXLWV1RWHCommissions(charges)1RWHRésultatnetdesopérationsnancièresDontgainsoupertesnetssurinstrumentsnanciersàlajustevaleurparrésultatNote3 172754481Dontgainsoupertesnetssuractifsnanciersdisponiblesàlavente(1)Note3 37383URGXLWVGHVDXWUHVDFWLYLWV1RWHChargesdesautresactivités1RWH3URGXLWQHWEDQFDLUH)UDLVGHSHUVRQQHO1RWHXWUHVIUDLVDGPLQLVWUDWLIV RWDWLRQVDXDPRUWLVVHPHQWVHWDXGSUFLDWLRQVGHVLPPRELOLVDWLRQVLQFRUSRUHOOHVHWFRUSRUHOOHV1RWH5VXOWDWEUXWGHSORLWDWLRQ&RWGXULVTXH1RWH5VXOWDWGHSORLWDWLRQ4XRWHSDUWGXUVXOWDWQHWGHVHQWUHSULVHVPLVHVHQTXLYDOHQFH1RWH*DLQVRXSHUWHVQHWVVXUDXWUHVDFWLIV3HUWHVGHYDOHXUVXUOHVFDUWVGDFTXLVLWLRQ1RWH5VXOWDWDYDQWLPSWVImpôtssurlesbénéces1RWH5VXOWDWQHWGHOHQVHPEOHFRQVROLG3DUWLFLSDWLRQVQHGRQQDQWSDVOHFRQWUOH5VXOWDWQHWSDUWGX*URXSH5VXOWDWSDUDFWLRQ1RWH5VXOWDWGLOXSDUDFWLRQ1RWHMontantsretraitésparrapportauxétatsnancierspubliésen2014 suiteàl entréeenvigueurdel interprétationIFRIC21quis appliquedefaçonrétrospective(cf Note1) Cemontantinclutdésormaislesdividendessurtitresàrevenusvariables Dont137millionsd eurosautitredelacontribution2015auFondsderésolutionunique(FRU) * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 77 8568 771( 7(7* 16( 73(57(6&2037% 66 5(&7(0(17(1& 3 78 35235(6(EnMEUR)5VXOWDWQHW*DLQVHWSHUWHVFRPSWDELOLVVGLUHFWHPHQWHQFDSLWDXSURSUHVHWTXLVHURQWUHFODVVVXOWULHXUHPHQWHQUVXOWDWFDUWVGHFRQYHUVLRQActifsnanciersdisponiblesàlaventeÉcartsderéévaluationdelapériode7031074Reclassementenrésultat(278)(438) QVWUXPHQWVGULYVGHFRXYHUWXUHÉcartsderéévaluationdelapériode(171)39Reclassementenrésultat(3)1254XRWHSDUWGHJDLQVHWSHUWHVVXUHQWLWVPLVHVHQTXLYDOHQFHFRPSWDELOLVVGLUHFWHPHQWHQFDSLWDXSURSUHVTXLVHURQWUHFODVVVXOWULHXUHPHQWHQUVXOWDW PSWVVXUOPHQWVTXLVHURQWUHFODVVVXOWULHXUHPHQWHQUVXOWDW*DLQVHWSHUWHVFRPSWDELOLVVGLUHFWHPHQWHQFDSLWDXSURSUHVetquineserontpasreclassésultérieurementenrésultatFDUWVDFWXDULHOVVXUDYDQWDJHVSRVWULHXUVOpHPSORL4XRWHSDUWGHJDLQVHWSHUWHVVXUHQWLWVPLVHVHQTXLYDOHQFHFRPSWDELOLVVGLUHFWHPHQWHQFDSLWDXSURSUHVHWTXLQHVHURQWSDVUHFODVVVXOWULHXUHPHQWHQUVXOWDW PSWVVXUOPHQWVTXLQHVHURQWSDVUHFODVVVXOWULHXUHPHQWHQUVXOWDW7RWDOGHVJDLQVHWSHUWHVFRPSWDELOLVVGLUHFWHPHQWHQFDSLWDXSURSUHV5VXOWDWQHWHWJDLQVHWSHUWHVFRPSWDELOLVVGLUHFWHPHQWHQFDSLWDXSURSUHVDontpartduGroupe51483450Dontparticipationsnedonnantpaslecontrôle386351Montantsretraitésparrapportauxétatsnancierspubliésen2014 suiteàl entréeenvigueurdel interprétationIFRIC21quis appliquedefaçonrétrospective(cf Note1) Lavariationdel écartdeconversions élèveà797millionsd eurosetsecomposede l+769millionsd eurosdevariationdel écartdeconversionenpartduGroupe quis expliqueprincipalementparladépréciationdel eurofaceaudollaraméricainpour800millionsd euros àlalivre sterlingpour34millionsd euros etauyen pour29millionsd euros partiellementcompenséeparl appréciationdel eurofaceau roublepour 46millionsd euros l+ 28millionsd euros de variation del écart de conversion dans les participations ne donnant pas le contrôle principalement liéeà la dépréciation del euro face à lacouronnetchèquepour29millionsd euros IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 92 87 21 (6& 3 78 35235(6&DSLWDOHWUVHUYHVOLHV(EnMEUR)&DSLWDOVRXVFULW3ULPHVHWUVHUYHVOLHVOLPLQDWLRQGHVWLWUHVDXWRGWHQXVXWUHVLQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHV7RWDO5VHUYHVFRQVROLGHV5VXOWDWGHOHHUFLFHSDUWGX*URXSH&DSLWDXSURSUHVDXHUMDQYLHUXJPHQWDWLRQGHFDSLWDOOLPLQDWLRQGHVWLWUHVDXWRGWHQXVPLVVLRQV5HPERXUVHPHQWVGLQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHV&RPSRVDQWHFDSLWDXSURSUHVGHVSODQVGRQWOHSDLHPHQWHVWIRQGVXUGHVDFWLRQV LVWULEXWLRQ(IIHWGHVDFTXLVLWLRQVHWGHVFHVVLRQVVXUOHVSDUWLFLSDWLRQVQHGRQQDQWSDVOHFRQWUOH2NTRSNSKCDRLNTUDLDMSRKHRTWQDKSHNMRUDKDRSHNMMHQDR*DLQVHWSHUWHVFRPSWDELOLVVGLUHFWHPHQWHQFDSLWDXSURSUHVXWUHVYDULDWLRQV(IIHWGHODSSOLFDWLRQUWURVSHFWLYHG )5 &5VXOWDW2NTRSNSK4XRWHSDUWGDQVOHVYDULDWLRQVGHFDSLWDXSURSUHVGHVHQWUHSULVHVDVVRFLHVHWdesco entreprisesmisesenéquivalence&DSLWDXSURSUHVDXGFHPEUHIIHFWDWLRQGXUVXOWDW&DSLWDXSURSUHVDXHUMDQYLHUXJPHQWDWLRQGHFDSLWDOFI1RWHOLPLQDWLRQGHVWLWUHVDXWRGWHQXVFI1RWHPLVVLRQV5HPERXUVHPHQWVGLQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHVFI1RWH&RPSRVDQWHFDSLWDXSURSUHVGHVSODQVGRQWOHSDLHPHQWHVWIRQGVXUGHVDFWLRQV LVWULEXWLRQFI1RWH(IIHWGHVDFTXLVLWLRQVHWGHVFHVVLRQVVXUOHVSDUWLFLSDWLRQVQHGRQQDQWSDVOHFRQWUOH2NTRSNSKCDRLNTUDLDMSRKHRTWQDKSHNMRUDKDRSHNMMHQDR*DLQVHWSHUWHVFRPSWDELOLVVGLUHFWHPHQWHQFDSLWDXSURSUHVXWUHVYDULDWLRQV5VXOWDW2NTRSNSK4XRWHSDUWGDQVOHVYDULDWLRQVGHFDSLWDXSURSUHVGHVHQWUHSULVHVDVVRFLHVHWGHVFRHQWUHSULVHVPLVHVHQTXLYDOHQFH&DSLWDXSURSUHVDXGFHPEUH IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( Montantsretraitésparrapportauxétatsnancierspubliésen2014 suiteàl entréeenvigueurdel interprétationIFRIC21quis appliquedefaçonrétrospective(cf Note1) Lemontant despaiementsenactionsdénoués parremised instrumentsdecapitauxpropres relatifsàl année2015estde61millionsd euros 60millionsd eurosdanslecadredesattributionsgratuitesd actionsetunmilliond eurosautitredesrémunérationsenactionsordinaires LeseffetsdesacquisitionsetcessionssurlesparticipationsnedonnantpaslecontrôlesontessentiellementrelatifsàdesopérationsderachatportantsurlesparticipationsnedonnantpaslecontrôleprincipalementdeBoursoramaetdeseslialesespagnoleetallemande SelftradeBanketOnVistapour 253millionsd euros dont 96millionsd eurosenpartduGroupe * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 7 % ( 8 (6) 8 (75625(5 ((EnMEUR)5VXOWDWQHW RWDWLRQVDXDPRUWLVVHPHQWVGHVLPPRELOLVDWLRQVFRUSRUHOOHVHWLQFRUSRUHOOHVFRPSULVORFDWLRQVVLPSOHV RWDWLRQVQHWWHVDXSURYLVLRQVQuote partdebénéce(perte)duGroupedanslessociétésmisesenéquivalence9DULDWLRQGHVLPSWVGLIIUV5VXOWDWQHWGHFHVVLRQVVXUDFWLIVGLVSRQLEOHVODYHQWHdétenusàlongtermeetlialesconsolidées9DULDWLRQGHVSURGXLWVFRQVWDWVGDYDQFHVariationdeschargesconstatéesd avance9DULDWLRQGHVSURGXLWVFRXUXVQRQHQFDLVVVVariationdeschargescouruesnondécaisséesXWUHVPRXYHPHQWVOPHQWVQRQPRQWDLUHVLQFOXVGDQVOHUVXOWDWQHWDSUVLPSWHWDXWUHVDMXVWHPHQWVhorsrésultatsurinstrumentsnanciersàlajustevaleurparrésultat(II)Résultatnetsurinstrumentsnanciersàlajustevaleurparrésultat2SUDWLRQVLQWHUEDQFDLUHV2SUDWLRQVDYHFODFOLHQWOHOpérationssurautresactifs passifsnanciersOpérationssurautresactifs passifsnonnanciersXJPHQWDWLRQVGLPLQXWLRQVQHWWHVGHVDFWLIVSDVVLIVRSUDWLRQQHOV ) 8 (75625(5 (1(73529(117 (6&7 9 762357 211( (6 Fluxdetrésorerieliésauxacquisitionsetcessionsd actifsnanciersetparticipations)OXGHWUVRUHULHOLVDXDFTXLVLWLRQVHWFHVVLRQVGLPPRELOLVDWLRQVFRUSRUHOOHVHWLQFRUSRUHOOHV) 8 (75625(5 (1(73529(117 (6&7 9 76 p 19(67 66(0(17%)OXGHWUVRUHULHSURYHQDQWGHVWLQDWLRQGHVDFWLRQQDLUHVAutresuxdetrésorerieprovenantdesactivitésdenancement) 8 (75625(5 (1(73529(117 (6&7 9 76 () 11&(0(17&) 8 1(7 ( 75625(5 ((7 (648 9 (176 (75625(5 (%&6ROGHQHWGHVFRPSWHVGHFDLVVHHWEDQTXHVFHQWUDOHV6ROGHQHWGHVFRPSWHVSUÇWVHWHPSUXQWVYXHVXUOHVWDEOLVVHPHQWVGHFUGLW75625(5 ((748 9 (176 (75625(5 ( 289(5785( ( p( (5& &(6ROGHQHWGHVFRPSWHVGHFDLVVHHWEDQTXHVFHQWUDOHV6ROGHQHWGHVFRPSWHVSUÇWVHWHPSUXQWVYXHVXUOHVWDEOLVVHPHQWVGHFUGLW75625(5 ((748 9 (176 (75625(5 ( & 785( ( p( (5& &(95 7 21 ( 75625(5 ((7 (648 9 (176 (75625(5 (Montantsretraitésparrapportauxétatsnancierspubliésen2014 suiteàl entréeenvigueurdel interprétationIFRIC21quis appliquedefaçonrétrospective(cf Note1) Lerésultatnetsurinstrumentsnanciersàlajustevaleurparrésultatcomprendlesrésultatsréalisésetlatents IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 2 N O T E S A N N E X E SA U X É T A T S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É SCescomptesconsolidésontétéarrêtésparleConseild administrationdu10février2016 127(35 1& 3 (65* (6 p9 87 21( 7 (356(177 21 (6&203 7(6&2162 6 1752 8&7 21Enapplicationdurèglementeuropéen1606 2002 du 19juillet 2002sur l application des normes comptables internationales le groupeSociétéGénérale («le Groupe») a établi ses comptes consolidésau titre de l exercice clos le 31décembre 2015 en conformité avecle référentiel IFRS(MSDQMSHNMK HMMBHK 1DONQSHMF 2SMCQCRtel qu adopté dans l Union européenne et applicable à cette date Ce référentiel est disponible sur le site internet de la Commissioneuropéenne à l adresse suivante http ec europa eu nance BBNTMSHMFHRHMCDWEQGSLLe Groupe a également continué à utiliser les dispositions de lanormeIAS39 tellequ adoptéedansl Unioneuropéenne relativesàl application de la comptabilité de macro couverture de juste valeur(IAS39hBQUDNTSvEnl absencedemodèleimposéparleréférentielIFRS leformatdesétatsdesynthèseutiliséestconformeauformatdesétatsdesynthèseproposé par l organisme français de normalisation comptable l Autorité des normes comptables dans sa Recommandationn°2013 04du7novembre2013 Lamonnaiedeprésentationdescomptesconsolidésestl euro La présentation des Notes annexes aux états nanciers consolidésa été modiée pour en améliorer la lisibilité et la cohérence conformément au communiqué de l Autorité européenne desmarchésdecapitauxdu27octobre2015relatifàl améliorationdelaqualitéde s annexes aux étatsnanciers etàlarecommandation du28octobre2015d el Autoritédesmarchésnancierssurl arrêtédescomptes2015 faisantréférenceàsonguidepubliéle1Djuillet2015surlapertinence lacohérenceetlalisibilitédesétatsnanciers Les informations présentées dans les annexes aux états nanciersconsolidés se concentrent sur celles qui revêtent un caractèrepertinent et matériel au regard des états nanciers du Groupe deRDR BSHHSR DS CDR BHBNRSBDR CR KDRTDKKDR BDKKDRBH RD RNSKHRDRTBNTRCDKOHNCDDSAKDTBHCDRRNTRORDSDKBNDRONCBDDSDKDRNTDKKDRNotes et celles annexées aux états nanciers consolidés publiés autitredel exercice2014 * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 5IUHQFH127(611( (68 776) 11& (56&2162 65IUHQFH1RWH3ULQFLSDOHVUJOHVGYDOXDWLRQHWGHSUVHQWDWLRQGHVFRPSWHVFRQVROLGV1RWH1RWH&RQVROLGDWLRQ1RWH3ULPWUHGHFRQVROLGDWLRQ1RWH1RWHFDUWVGDFTXLVLWLRQ1RWH1RWH QIRUPDWLRQVFRPSOPHQWDLUHVVXUOHVHQWLWVFRQVROLGHVHWOHVHQWLWVPLVHVHQTXLYDOHQFH1RWH1RWH(QWLWVVWUXFWXUHVQRQFRQVROLGHV1RWH1RWHInstrumentsnanciers1RWHActifsetpassifsnanciersàlajustevaleurparrésultat1RWHVHW1RWHInstrumentsnanciersdérivés1RWHVHW1RWHActifsnanciersdisponiblesàlavente1RWHVHW1RWHJustevaleurdesinstrumentsnanciersévaluésenjustevaleur1RWHVHW1RWH3UÇWVHWFUDQFHV1RWHVHW1RWH HWWHV1RWHVHW1RWHProduitsetchargesd intérêts1RWH1RWH SUFLDWLRQVHWSURYLVLRQV1RWHVHW1RWHJustevaleurdesinstrumentsnanciersévaluésaucoûtamorti1RWHVHW1RWH(QJDJHPHQWVHWFWLIVUHPLVHWUHXVHQJDUDQWLH1RWHVHW1RWHActifsnancierstransférés1RWH1RWHCompensationd actifsnanciersetdepassifsnanciers1RWH1RWHEchéancescontractuellesdespassifsnanciers1RWH1RWHXWUHVDFWLYLWV1RWHProduitsetchargesdecommissions1RWH1RWHProduitsetchargesdesautresactivités1RWH1RWHFWLYLWVGDVVXUDQFH1RWH1RWHXWUHVDFWLIVHWDXWUHVSDVVLIV1RWHVHW1RWH&KDUJHVHWDYDQWDJHVGXSHUVRQQHO1RWH)UDLVGHSHUVRQQHOHWWUDQVDFWLRQVDYHFOHVSDUWLHVOLHV1RWHVHW1RWHYDQWDJHVGXSHUVRQQHO1RWH1RWH3ODQVGDYDQWDJHVHQDFWLRQV1RWH1RWH PSWV1RWHVHW1RWH&DSLWDXSURSUHV1RWHFWLRQVSURSUHVHWLQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHVPLV1RWH1RWH5VXOWDWSDUDFWLRQHWGLYLGHQGHV1RWH1RWHXWUHVLQIRUPDWLRQV1RWH QIRUPDWLRQVHFWRULHOOH1RWH1RWH PPRELOLVDWLRQVFRUSRUHOOHVHWLQFRUSRUHOOHV1RWH1RWH2SUDWLRQVHQGHYLVHV1RWH1RWH WDLOGXSULPWUHGHFRQVROLGDWLRQ1RWH1RWH3URYLVLRQV1RWH1RWH+RQRUDLUHVGHVFRPPLVVDLUHVDXFRPSWHV1RWH IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 1289( (61250( 633 &% (612 50(6 )56(7 17(5 3577 216 )5 &33 &% (6&2 037(5 8( 5 19 ( 51RUPHVRXLQWHUSUWDWLRQVDatesdeSXEOLFDWLRQSDUOp 6%Datesd adoptionSDUOp8QLRQHXURSHQQHIFRIC21«Taxes»PDL13juin2014Améliorationsannuelles(2011 2013)desIFRS décembre2013GFHPEUHGFHPEUH )5 &7 (6ûCetteinterprétationdelanormeIAS37«Provisions passifséventuelset actifs éventuels» précise les conditions de comptabilisation d unedette relative à des taxes prélevées par une autorité publique Uneentité doit comptabiliser cette dette uniquement lorsque le faitgénérateur tel que prévu par la législation se produit Si l obligationde payer lataxe naît delaréalisation progressive del activité celle cidoitêtrecomptabiliséeaufuretàmesuresurlamêmepériode Enn si l obligationde payer estgénéréepar l atteinted uncertain seuil lepassifliéàcettetaxeneseraenregistréquelorsqueleseuilseraatteint DROHBHOKDRSDRBNBDDRRNSKDRRTHSDR la taxe bancaire de risque systémique et les contributions pourfrais de contrôle ACPR ne sont plus étalées sur l année et sontcomptabilisées en résultat au 1Djanvier de l exercice pourleurtotalité KBNSHATSHNRNBHKDCDRNKHCHSCDRRNBHSR2BKBTKDRTl assiettedesrevenusdel exerciceprécédent estcomptabiliséeintégralementenrésultatau1Djanvierdel exerciceencours KBNSHATSHNTDKKDTNCRCDRNKTSHNTHTDDSDDvigueur en 2015 estcomptabilisée intégralement enrésultat auDjanvierdel exerciceencours L application rétrospective de cette interprétation au 31décembre2014 a entraîné une augmentation de 74millions d euros des1RDQUDR BNMRNKHCDR CT &QNTOD et une diminution de 13millionsd eurosdu1RTKSSMDSOQSCT&QNTODLes tableaux suivants présentent les effets de l applicationrétrospective d IFRIC 21 pour le bilan et le compte de résultatconsolidéau31décembre2014 ACT I F(EnMEUR)SUV )5 &YDQW )5 & PSDFW )5 &&DLVVHHWEDQTXHVFHQWUDOHVActifsnanciersàlajustevaleurparrésultat QVWUXPHQWVGULYVGHFRXYHUWXUHActifsnanciersdisponiblesàlavente3UÇWVHWFUDQFHVVXUOHVWDEOLVVHPHQWVGHFUGLW3UÇWVHWFUDQFHVVXUODFOLHQWOHFDUWGHUYDOXDWLRQGHVSRUWHIHXLOOHVFRXYHUWVHQWDXActifsnanciersdétenusjusqu àl échéanceFWLIVGLPSWVXWUHVDFWLIVFWLIVQRQFRXUDQWVGHVWLQVÇWUHFGV3DUWLFLSDWLRQVGDQVOHVHQWUHSULVHVPLVHVHQTXLYDOHQFH PPRELOLVDWLRQVFRUSRUHOOHVHWLQFRUSRUHOOHVFDUWVGDFTXLVLWLRQ7RWDO * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 PA SS I F(EnMEUR)SUV )5 &YDQW )5 & PSDFW )5 &%DQTXHVFHQWUDOHVPassifsnanciersàlajustevaleurparrésultat QVWUXPHQWVGULYVGHFRXYHUWXUH HWWHVHQYHUVOHVWDEOLVVHPHQWVGHFUGLW HWWHVHQYHUVODFOLHQWOH HWWHVUHSUVHQWHVSDUXQWLWUHFDUWGHUYDOXDWLRQGHVSRUWHIHXLOOHVFRXYHUWVHQWDX3DVVLIVGLPSWVXWUHVSDVVLIV HWWHVOLHVDXDFWLIVQRQFRXUDQWVGHVWLQVÇWUHFGVProvisionstechniquesdesentreprisesd assurance3URYLVLRQV HWWHVVXERUGRQQHV7RWDOGHWWHV&3 78 35235(6&DSLWDXSURSUHVSDUWGX*URXSH&DSLWDOHWUVHUYHVOLHV5VHUYHVFRQVROLGHV5VXOWDWGHOHHUFLFH6RXVWRWDO*DLQVHWSHUWHVFRPSWDELOLVVGLUHFWHPHQWHQFDSLWDXSURSUHV6RXVWRWDOFDSLWDXSURSUHVSDUWGX*URXSH3DUWLFLSDWLRQVQHGRQQDQWSDVOHFRQWUOH7RWDOFDSLWDXSURSUHV7RWDOCOM PT E D E RÉ SULTAT C O NS OLI DÉ(EnMEUR)SUV )5 &YDQW )5 & PSDFW )5 &3URGXLWQHWEDQFDLUH)UDLVGHSHUVRQQHOXWUHVIUDLVDGPLQLVWUDWLIV RWDWLRQVDXDPRUWLVVHPHQWVHWDXGSUFLDWLRQVGHVLPPRELOLVDWLRQVLQFRUSRUHOOHVHWFRUSRUHOOHV5VXOWDWEUXWGHSORLWDWLRQ&RWGXULVTXH5VXOWDWGHSORLWDWLRQ4XRWHSDUWGXUVXOWDWQHWGHVHQWUHSULVHVPLVHVHQTXLYDOHQFH*DLQVRXSHUWHVQHWVVXUDXWUHVDFWLIV3HUWHVGHYDOHXUVXUOHVFDUWVGDFTXLVLWLRQ5VXOWDWDYD QWLPSWVImpôtssurlesbénéces5VXOWDWQHWGHOHQVHPEOHFRQVROLG3DUWLFLSDWLRQVQHGRQQDQWSDVOHFRQWUOH5VXOWDWQHWSDUWGX*URXSH5VXOWDWSDUDFWLRQ5VXOWDWGLOXSDUDFWLRQ IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 0v 25 7 216118( (6(6 )56Danslecadredelaprocédureannuelled améliorationdesnormesIFRS l IASBapubliéuneséried amendementsàdesnormesdéjàexistantes L applicationdecesamendementsn apaseudeconséquencessurlesétatsnanciersduGroupe 12 50(6&2 037% ( 62 8 17(5 3577 21633 48 (635 (*52 83( 16 () 8785L IASBapubliédesnormesetdesinterprétationsquin ontpastoutesétéadoptéesparl Unioneuropéenneau31décembre2015 Cesnormeset interprétations entreront en vigueur de manière obligatoire pour les exercices ouverts à compter du 1Dfévrier 2015 au plus tôt ou de leuradoptionparl Unioneuropéenne EllesnesontdoncpasappliquéesparleGroupeau31décembre2015 1250(6&2037% (6 17(535v77 2 16280(1(0(176237v635 â81 21(8523v(11(1RUPHVRXLQWHUSUWDWLRQV DWHVGDGRSWLRQparl UnionHXURSHQQH DWHVGpDSSOLFDWLRQHHUFLFHVRXYHUWVFRPSWHUGXAmendementsàIAS19«Régimeàprestationsdénies cotisationsdesmembresdupersonnel»GFHPEUHHUIYULHUPOLRUDWLRQVDQQXHOOHVGHV )56GFHPEUHHUIYULHUAmendementsàIFRS11«Acquisitiond unequote partdansuneactivitéconjointe»QRYHPEUHHUjanvier2016AmendementsàIAS16etIAS38«Claricationsurlesméthodesd amortissementacceptables»GFHPEUHHUjanvier2016POLRUDWLRQVDQQXHOOHVGHV )56GFHPEUHHUjanvier2016AmendementsàIAS1«Présentationdesétatsnanciers»GFHPEUHHUjanvier2016L applicationfuturedecesamendementsetaméliorationsnedevraitavoiraucuneffetsignicatifsurlerésultatnetetlescapitauxpropresduGroupe 0(1(0(176c 65v* 0(c35(677 216v) 1 (6&27 67 2 16(60(0%5(6DUPERSONNEL»Ces amendements concernent les cotisations des salariés auxrégimes à prestations dénies Leur objectif est de simplier lacomptabilisation de ces cotisations lorsqu elles sont indépendantesdunombred annéestravailléesparlessalariés 0v 25 7 216118( (6 (6 )5 6Dans le cadre de la procédure annuelle d amélioration des normesIFRS l IASB a publié une série d amendements à des normes déjàDHRSSDR0(1(0(176c )56&48 6 7 21â 17v5w761681(&7 9 7v&21 2 17(ûCes amendements clarient comment comptabiliser l acquisitiond une participation dans une activité conjointe qui constitue uneactivitéausensd IFRS3«Regroupementsd entreprises» Ilconvientalorsd appliquer àhauteurdelaquote partacquise lesprincipesdelanormeIFRS3 0(1(0(176c 6(7c 6& 5 ) &7 21685LESMÉTHODESD AMORTISSEMENTACCEPTABLES»L IASBconrmequel utilisationdelaméthodefondéesurlesrevenuspour calculer l amortissement d un actif n est pas appropriée saufexception Eneffet lesrevenusgénérésparuneactivitéayantrecoursà un actif intègrent des éléments autres que la consommation desbénéceséconomiquesintégrésàl actif 0v 257 216118( (6(6 )56Dans le cadre de la procédure annuelle d amélioration des normesIFRS l IASB a publié une série d amendements à des normes déjàDHRSSDR0(1(0(176c 635v6(177 21(6v776) 11& (56ûParcesamendements l IASBencouragelesentitésàrecouriràleurjugement professionnel quant au choix des informations à publierdansleursétatsnanciers L IASBpréciseleconceptdelamatérialitéet la manière de l appliquer pour éviter de publier des informationsnonmatériellespouvantnuireàlalisibilitédesétatsnanciers 1250(6&2037% (6(7 17(535v77 216121(1&25(237v(635 â81 21(8523v(11(8v&(0%5(1RUPHVRXLQWHUSUWDWLRQV DWHVGHSXEOLFDWLRQparl IASB DWHVGpDSSOLFDWLRQHHUFLFHVRXYHUWVFRPSWHUGXIFRS9«Instrumentsnanciers»QRYHPEUHRFWREUHGFHPEUHQRYHPEUHet24juillet2014HUjanvier2018IFRS15«Produitsdesactivitésordinairestirésdescontratsaveclesclients»PDLHUjanvier2018PHQGHPHQWV )56 )56HW 6(QWLWVGLQYHVWLVVHPHQWSSOLFDWLRQGHOHFHSWLRQODFRQVROLGDWLRQGFHPEUHHUjanvier2016 * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 )56 167580(176) 11& (56ûLa norme IFRS9 constitue une refonte de la norme IAS 39 IFRS9dénit les nouvelles règles de classement et d évaluation des actifset des passifs nanciers la nouvelle méthodologie de dépréciationpourrisquedecréditdesactifsnanciersainsiqueletraitementdesopérations de couverture à l exception des opérations de macro couverturepour lesquelles un projet denormeséparéeesten coursd étudeparl IASB Sous réserve de l adoption de la norme IFRS9 par l Unioneuropéenne les traitements suivants s appliqueront aux exercicesouvertsà compter du 1Djanvier2018 en substitutiondesprincipescomptables actuellement appliqués pour la comptabilisation desinstrumentsnanciersetdécritsdanslaNote3 Classementetévaluation Les actifs nanciers seront classés en trois catégories (coût amorti juste valeur par résultat et juste valeur par capitaux propres) enfonction des caractéristiques de leurs ux contractuels et de lamanière dont l entité gère ses instruments nanciers (modèled activitéouhATRHMDRRLNCDKvPardéfaut lesactifsnanciersserontclassésenjustevaleurparrésultat Les instruments de dettes (prêts créances ou titres de dettes)pourront être enregistrés au coût amorti à condition d être détenusen vue d en percevoir les ux de trésorerie contractuels et que cesderniers représententuniquementdesremboursementsdeprincipalet des intérêts sur le principal Les instruments de dettes pourrontégalementêtreenregistrésenjustevaleurparcapitauxpropresavecreclassement ultérieur en résultat à condition d être gérés à la foisdansunobjectifdecollectedesuxde trésoreriecontractuels etderevente et que ces ux de trésorerie représentent uniquement desremboursementsdeprincipaletdesintérêtssurleprincipal Les instruments de capitaux propres seront enregistrés à la justevaleur par résultat sauf en cas d option irrévocable pour uneévaluation à la juste valeur par capitaux propres (sous réserve queces instruments ne soient pas détenus à des ns de transaction etclasséscommetelsenactifsnanciersà la juste valeurparrésultat)sansreclassementultérieurenrésultat Lesdérivésincorporésneserontpluscomptabilisésséparémentdescontrats hôtes lorsque ces derniers seront des actifs nanciers desortequel ensembledel instrumenthybridedevraêtreenregistréenjustevaleurparrésultat Les règles de classement et d évaluation des passifs nanciersgurant dans la norme IAS 39 sont reprises sans modication dansla norme IFRS9 à l exception des passifs nanciers que l entitéchoisit d évaluer en juste valeur par résultat (option juste valeur)ONT KDRTDKR KDR BSR CD KTSHN KHR T HSHNR CTrisque de crédit propre seront enregistrés parmi les gains et pertescomptabilisés directement en capitaux propres sans reclassementTKSHDTDRTKSSLesdispositionsdelanormeIAS39relativesàladécomptabilisationdes actifs et passifs nanciers sont reprises sans modication danslanormeIFRS9 1HRTDCDBCHSLesinstrumentsdedetteclassésenactifsnanciersaucoûtamortiouenactifsnanciersàlajustevaleurparcapitauxpropres lescréancesdelocation ainsiquelesengagementsdenancementetlesgarantiesnancières donnés devront faire systématiquement l objet d unedépréciationoud uneprovisionpourpertedecréditattendue Ainsi lesactifsnanciersconcernésserontrépartisentroiscatégoriesenfonctiondeladégradationprogressivedurisquedecréditobservéedepuis leur comptabilisation initiale et une dépréciation devra êtreenregistrée sur les encoursde chacunede ces catégoriesselon lesmodalitéssuivantes SODRSFDlTous les actifs nanciers concernés seront initialementenregistrésdanscettecatégorie lUne dépréciation pourrisque decréditsera comptabiliséeàhauteurdespertesattenduesàunan lLes produits d intérêts seront reconnus en résultat selonla méthode du taux d intérêt effectif appliquée à la valeurcomptablebrutedel actifavantdépréciation SODRSFDlEncasd augmentationsignicativedurisquedecréditdepuisl entrée au bilan de l actif nancier ce der nier sera transférédanscettecatégorie lLa dépréciation pour risque de crédit sera alors augmentéeTHDTCDRODSDRSSDCTDRRTKCTDCDHDRHCTDKKDdel instrument(pertesattenduesàterminaison) lLes produits d intérêts seront reconnus en résultat selonla méthode du taux d intérêt effectif appliquée à la valeurcomptablebrutedel actifavantdépréciation SODRSFDlLes actifs nanciers pour lesquels une situation de défaut aétéidentiéeserontdéclassésdanscettecatégorie lLa dépréciation pour risque de crédit restera calculée àhauteur des pertes attendues sur la durée de vie résiduellede l instrument (pertes attendues à terminaison) et sonmontant sera ajusté le cas échéant pourtenir compte d unedégradationsupplémentairedurisquedecrédit lLesproduitsd intérêtsserontalorsreconnusenrésultatselonla méthode du taux d intérêt effectif appliquée à la valeurnettecompta bledel actifaprèsdépréciation L augmentationsignicative du risquedecrédit pourra êtreappréciéeinstrument par instrument ou bien sur la base de portefeuilleshomogènesd actifslorsquel appréciationindividuellenes avérerapaspertinente Uneapprocheparcontrepartie(avecapplicationduprincipede contagion à tous les encours sur la contrepartie considérée) seraégalementpossiblesielleaboutitàdeseffetssimilaires Le Groupe devra prendre en compte toutes les informationshistoriquesetprospectivesdontildisposeainsiquelesconséquencespotentiellesdel évolutiondesfacteursmacroéconomiquesauniveaud un portefeuille de sorte que toute augmentation signicative durisque de crédit sur un actif nancier puisse être appréciée de lamanièrelaplusanticipéepossible Il existera une présomption réfutable d augmentation signicativedu risque de crédit lorsqu un actif nancier fera l objet d un impayéde plus de trente jours Cependant le Groupe aura pu déterminerqu uneaugmentationsignicative du risquede crédit estintervenueavant même ce délai de trente jours qui ne constituera ainsi qu unindicateurultimededégradationdurisquedecrédit L application de la norme IFRS9 ne modierait pas la dénitiondu défaut actuellement retenue pour apprécier l existence d uneindicationobjectivededépréciationd un actifnancier Unactifsera IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( notammentprésuméendé fautaprèslasurvenanced unouplusieursimpayésdep lusdequatre vingt dixjours DBKBTKCDRODSDRSSDCTDRODCDBNRHCSHNCDRCNDRhistoriques maisaussilasituationprésenteainsi quedesprévisionsraisonnablesd évolutiondelaconjonctureéconomique Comptabilitédecouverture(horsopérationsdemacro couverture) La norme IFRS9 a également pour objet de mieux aligner lacomptabilité de couverture sur la gestion par l entité de ses risquesnanciers et non nanciers Elle étend notamment le champ desinstrumentsnanciersnondérivéspouvantêtrequaliésd instrumentsde couverture De même le périmètre des éléments pouvantêtre qualiés d éléments couverts est étendu à des composantsd instruments non nanciers La norme amende également lesmodalitésd appréciationdel efcacitédescouvertures Toutefois dans ses dispositions transitoires la norme offre lapossibilité de continuer à appliquer les dispositions d IAS 39 enmatièredecomptabilitédecouverture cechoixs appliquantalorsàSNTSDRKDRDKSHNRCDBNTDSTDPar ailleurs des informations supplémentaires seront requises danslesNotesannexespourdécrirelastratégiedegestionetdecouverturedesrisques ainsique leseffets de la comptabilité de couverturesurlesétatsnanciers 2UJDQLVDWLRQGXSURJUDPPHGHPLVHHQXYUHGHODQRUPH )56Le Groupe a initié dès 2013 des travaux préliminaires pourappréhender lesconséquencespotentiellesdelamiseen uvredela future norme IFRS9 À cet effet une structure projet a été miseen place par la Direction nancière et un programme conjoint entrela Direction des risques et la Direc tion nancière a été lancé pourinstruirelevoletdelanormedédiéaurisquedecrédit Dès la publication de la norme IFRS9 en juillet2014 les lièresRisque et Finance du Groupe se sont dotées d une organisationspéciquepourconduirelestravauxnécessairesàlamiseen uvredelanorme àcompterdu1Djanvier2018 Souslacoordinationdesinstancesdegouvernancemisesenplace le Groupe a mené des travaux d analyse de la norme (chantiersbancaires) et entamé des études de cadrage pour l adaptation desessystèmesd informationetdesesprocessus Classementetévaluation Les portefeuilles d actifs nanciers du Groupe ont fait l objet d unerevue pour déterminer surlabasedescaractéristiquesdeleurs uxcontractuelsd unepartetdelamanièredontilssontgérés(modèlesd activité ouhATRHMDRR LNCDKv) d autre part leur futur traitementcomptable sous IFRS9 Ces travaux ont également pour objetd identierlesconséquenceslesplussignicatives surlessystèmesd informationetsurlesoutilsdeconsolidationcomptable Ces travaux seront nalisés au cours de l année 2016 ainsi que lesspécications nécessaires à la mise en uvre des développementsdans les systèmes d information qui seront réalisés à compter decettemêmeannée 1HRTDCDBCHSEn2015 leGroupeaconstruituncadreméthodologiquedénissantlesrèglesd appréciationdela dégradationdu risquedecréditetdedéterminationdespertesattenduesàunanetàmaturitéenintégrantdes projections macroéconomiques pour tenir compte du cycle decrédit Les travaux de calibrage et de validation de ce cadre serontréaliséssurl année2016 Sur cette même année 2016 les développements informatiquesBDRRHDR RDNS DSDOHR SS T HDT CDR CHDBSHNRcentrales que dans les entités du Groupe pour permettre à termeKD BKBTK CDR ONHRHNR DS COBHSHNR DS K BNKKDBSD CDR CNDRsupplémentaires NTDSTDLeGroupeaanalyséaucoursdel année2015lesdifférentesoptionsoffertesparlanormeIFRS9poursapremièreapplicationconcernantle traitement comptable des opérations de couverture et naliserasesorientationsen2016 Le Groupe continueraàsuivrelestravauxdel IASB relatifs au traitement des opérations demacro couvertureetn envisagepasàcestadedemodierlestraitementsactuellementappliqués à ces opérations conformément à la norme IAS 39 tellequ adoptéedansl UnioneuropéenneetquelanormeIFRS9permetdemaintenir À ce stade du projet de mise en uvre de la norme IFRS9 les conséquences chiffrées de son application ne peuvent êtreraisonnablementestimées )563528 76(6&7 9 7v625 1 5(67 5 v6(6&2175769(& (6& (176ûCette norme dénit les principes de reconnaissance des revenusapplicablesàtouslescontratsconclusavecdesclients Ilconvientalorsde respecter 5 étapes identication du contrat conclu avec le client identication des obligations de performance incluses dans le contrat détermination du prix de transaction du contrat allocation du prix detransactionauxdifférentesobligationsdeperformanceetreconnaissancedurevenulorsqu uneobligationdeperformanceestremplie L analysedeseffetsdecettenormesurlerésultatnetetlescapitauxONODRCT&NTODDRSDBNTR0(1(0(176c )5 6 )56(7 6(17 7v6â 19(67 6 6(0(1733 &7 21( â( &(37 21c &2162 7 21ûCes amendements conrment que l exemption de comptabilisations applique également aux liales d entité d investissement qui sontelles mêmes des sociétés mères L IASBprécise égalementles casdans lesquels une entité d investissement doit consolider une lialeplutôtquedel évalueràlajustevaleurparlecomptederésultat 5(&2856 (6(67 07 216(78 8* (0(17Pourlapréparat iondescomptesconsolidésduGroupe l applicationdes principes et méthodes comptables décrits dans les NotesannexesconduitlaDirectionà formulerdeshypothèsesetàréaliserdes estimations qui peuvent avoir une incidence sur les montantscomptabilisés au compte de résultat ou parmi les gains et pertescomptabilisés directement en capitaux propres sur l évaluation desactifs etpassifsaubilanet sur lesinformationsprésentées danslesNotesannexesquis yrapportent Pourréalisercesestimationsetéme ttreceshypothèses laDirectionutilise les informations disponibles à la date d établissement descomptes consolidés et peut recourir à l exercice de son jugement Par nature les évaluations fondées sur ces estimations comportentdes risques et incertitudes quant à leur réalisation dans le futur desorte que les résultats futurs dénitifs des opérations concernéespourrontêtredifférentsdecesestimationsetavoiralorsuneincidencesignicativesurlesétatsnanciers * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 Le recours à des estimations concerne notamment les évaluationsRTHSDR lajuste valeur au bilan des instruments nanciers non cotés surun marché actif enregistrés dans les rubriques BSHER NT ORRHERnanciers à la juste valeur par résultat(MRSQTLDMSR CQHUR CDBNTUDQSTQDNTActifsnanciersdisponiblesàlavente(cf Notes3 1 3 2 3 3et 3 4)ainsique la juste valeur desinstruments évaluésaucoûtamortipourlesquelscetteinformationdoitêtreprésentéedanslesNotesannexes(cf Note3 9) le montant des dépréciations des actifs nanciers ( QSR DSBQMBDRActifsnanciersdisponibles à laventeActifsnanciersCSDMTR ITRPT KBGMBD) des immobilisations corporelles etincorporellesetdesécartsd acquisition(cf Notes2 2 3 8et8 2) les provisions enregistrées au passif du bilan (en particulier lesprovisions pour litiges dans un contexte juridique complexeet les provisions sur avantages du personnel) les provisionstechniquesdesentreprisesd assuranceainsiquelaparticipationauxbénécesdifférée(cf Notes3 8 4 3et5 2) le montant des actifs d impôts différés comptabilisés au bilan(cf Note6) la valeur initiale des écarts d acquisition constatés lors desregroupementsd entreprises(cf Notes2 1et2 2) la juste valeur retenue lors de la perte de contrôle d une lialeconsolidéepourréévaluerlaquote partéventuellementconservéeOKD&NTODCRBDSSDDSHSBE NSDLes informations sur la gestion des risques associés aux instruments nanciers ainsi que les informations sur la gestion du capital et lerespect desratios réglementairesrequisespar le référentielIFRS telqu adoptédansl Unioneuropéenne sont présentéesdans le chapitre4duprésentDocumentderéférence(Risquesetadéquationdesfondspropres) Latypologiedesrisquesestdécritedanslechapitre3duprésentDocumentderéférence(Gouvernementd entreprise)page115 Ces informations font partie intégrante des notes annexes aux Etats nanciers consolidés du Groupe et sont couvertes par l opinion desCommissairesauxcomptessurlescomptesconsolidés ellessontidentiéescommetelledanslechapitre4duprésentDocumentderéférence IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 127(&2162 7 2135 1& 3(6&2037% (6LescomptesconsolidésregroupentlescomptesdeSociétéGénérale desessuccursalesàl étrangeretdesentitésfrançaisesetétrangèressurlesquelles le Groupe exerceuncontrôle uncontrôle conjoint ouuneinuencenotable ( 17 7 6&2 162 (6 )LOLDOHVLes liales sont les entités contrôlées de manière exclusive par leGroupe Le Groupe contrôle une entité lorsque les conditionsRTHSDRRNSTHDR le Groupe détient le pouvoir sur l entité (capacité de dirigerses activités pertinentes à savoir celles qui ont une incidenceimportante sur les rendements de l entité) UHK CSDSHN CDdroitsdevoteoud autresdroits et le Groupe est exposé ou a droit à des rendements variables enraisondesesliensavecl entité et le Groupe a la capacité d exercer son pouvoir sur l entité demanièreàinuersurlemontantdesrendementsqu ilenobtient (LVWHQFHGXSRXYRLULepérimètredesdroitsdevoteprisenconsidérationpourapprécierla nature du contrôle exercé par le Groupe sur une entité et lesméthodes de consolidation applicables intègre l existence et l effetdedroitsdevotepotentielsdèslorsquecesdernierssontexerçablesà la date d appréciation du contrôle ou au plus tard lorsque lesCBHRHNR BNBDS K CHDBSHN CDR BSHHSR ODSHDSDR CNHDSêtre prises Ces droits de vote potentiels peuvent provenir parexemple d options d achat d actions ordinaires existantes sur lemarchéou du droit à convertirdes obligationsenactions ordinairesNTDKKDRLorsque les droits de vote ne sont pas pertinents pour déterminerl existence ou l absence de contrôle d une entité par le Groupe l évaluation de ce contrôle doit tenir compte de tous les faits etcirconstances y compris l existence d un ou plusieurs accordscontractuels Le pouvoir peut s exercer au travers de droitssubstantiels à savoir la capacité pratique de diriger les activitéspertinentesdel entitésansobstaclesnicontraintes Certains droits ontpour but de protéger les intérêtsde lapartie quiKDR CSHDS CNHSR ONSDBSHER RR SNTSDENHR CND KD ONTNH RTl entitéàlaquellelesdroitsserattachent Siplusieursinvestisseursontchacundesdroitseffectifsleurconférantla capacité de diriger unilatéralement des activités pertinentesdifférentes celuiquialacapacitéeffectivededirigerlesactivitésquiaffectent le plus les rendements de l entité est présumé détenir leONTNH(SRVLWLRQDXUHQGHPHQWVYDULDEOHVLe contrôle ne peut exister que si le Groupe est exposésignicativementàlavariabilitédesrendementsvariablesgénérésparsoninvestissementousonimplicationda nsl entité Lesrendementsvariables rassemblent toutes sortes d expositions (dividendes intérêts commissions ) ils peuvent être uniquement positifs uniquementnégatifs outantôtpositifsettantôtnégatifs LHQHQWUHSRXYRLUHWUHQGHPHQWVYDULDEOHVLe pouvoir sur les activit és pertinentes ne confère pas le contrôleauGroupesi cepouvoirne permetpasd inuersurles rendementsHAKDR TTDKR KD &NTOD DRS DONR D HRN CD RDR KHDRavec l entité Si le Groupe dispose de pouvoirs de décision qui luiont été délégués par des tiersexterneset qu ilexercecespouvoirsau bénéce principal de ces der niers il est présumé agir en tantqu agent des délégataires et en conséquence il ne contrôle pasl entité bien qu il soit décisionnaire Dans le cadre des activités degestiond actifs uneanalyseest menéepourdéterminersile gérantagit en tant qu agent ou en tant que principal dans la gestion desactifs du fonds ce dernier étant présumé contrôlé par le gérant sicelui ciestqualiédeprincipal &DVSDUWLFXOLHUGHVHQWLWVVWUXFWXUHVUne entité structurée est une entité conçue de telle manière queles droits de vote ne constituent pas le facteur déterminant pouridentier qui exerce le contrôle sur cette entité C est le cas parexemple lorsque les droits de vote concernent uniquement destâchesadministrativesetquelesactivitéspertinentesde l entitésontdirigéesaumoyend accordscontractuels Uneentitéstructuréeprésentesouventcertainescaractéristiquestellesqu uneactivitécirconscrite unobjetprécisetbiendéni descapitauxpropres insufsants pour lui permettre de nancer ses activitéssans devoir recourir à un soutien nancier subordonné Les entitésstructurées peuvent revêtir différentes formes juridiques sociétés decapitaux sociétés de personnes véhicules de titrisation organismescollectifsdeplacement entitéssanspersonnalitémorale L analyse du contrôle d une entité structurée doit alors tenircompte de tousles faits etcirconstances et prendre notamment enBNRHCSHN lesactivitésetl objectifdel entité lastructurationdel entité lesrisquesportésparl entitéetl expositionduGroupeàtoutoupartiedecesrisques lesavantagespotentielsprocurésauGroupeparl entité DRDSHSR RSTBSTDR N BNRNKHCDRRNS BDKKDR THD RNS ORcontrôléesdemanièreexclusiveparleGroupe 3DU WHQDULDWVDans le cadre d un partenariat (activité conjointe ou co entreprise) le Groupe exerce un contrôle conjoint sur l entité considérée si lesdécisions concernant les activités pertinentes de cette dernièrerequièrentleconsentementunanimedesdifférentespartiespartageantce contrôle La détermination du contrôle conjoint repose sur uneanalyse des droits et obligations des partenaires à l accord Dans lecas d une activité conjointe ou d une structure juridique communeINHMSNODQSHNM) lesdifférentespartiesquiexercentlecontrôleconjointontdesdroitssurlesactifsetdesobligationsautitredespassifs Danslecasd uneco entreprise(INHMSUDMSTQDKDRCHEEDSDROSHDRontdesdroitssurl actifnetdecelle ci * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 (QWUHSULVHVDVVRFLHVDRDSDOHRDRRRNBHDRRNSKDRDSHSR CRKDRTDKKDRKD&NTODexerce uneinuencenotable Cesentreprises associées sontmisesen équivalence dans les états nanciers consolidés du Groupe L inuencenotableestlepouvoirdeparticiperauxpolitiquesnancièreet opérationnelle d une entité sans toutefois en exercer un contrôleexclusifouuncontrôleconjoint L inuencenotablepeutnotammentrésulter d une représentation dans les organes de direction ou desurveillance de la participation aux décisions stratégiques del existence d opérations inter entreprises importantes de l éc hangede personnel de direction de liens de dépendance technique L inuence notable sur les politiques nancière et opérationnelled une entité est présumée lorsque le Groupe dispose directementouindirectementd unefractionaumoinségaleà20%desdroitsdeNSDCDBDSSDDSHS5* (6( 70 7+2 (6 (&21 62 7 21LescomptesconsolidéssontétablisàpartirdescomptesindividuelsdesentitéscomposantleGroupe Leslialesarrêtant leurscomptesencoursd annéeavecundécalagedeplusdetroismoisétablissentune situation intermédiaire au 31décembre leurs résultats étantdéterminés sur une base de douze mois Tous les soldes protsettransactions signicatifs entre les sociétés du Groupe font l objetd uneélimination Lesrésultatsdeslialesacquisessontinclusdanslesétatsnanciersconsolidésàpa rtirdeleurdated acquisitioneffectivetandisque lesrésultats des lialesquiont été vendues aucoursdel exercicesontinclusjusqu àladateàlaquellele contrôleoul inuencenotableontcesséd exister 0WKRGHVGHFRQVROLGDWLRQLesliales incluantlesentitésstructuréescontrôléesparle Groupe sontconsolidéesparintégrationglobale L intégration globale consiste da ns le bilan consolidé à substituerà la valeur des titresdeCapitauxpropres de la lialedétenus par leGroupe chacun des actifs et passifs de cette liale ainsi que l écartd acquisition reconnu lors de sa prise de contrôle par le Groupe(cf Note2 2) Danslecomptederésultatetdansl étatdurésultatnetet gains et pertes comptabilisés directement en Capitaux propres chacundesélémentsdechargesetdeproduitsdelalialeestagrégéDBBDTCT&NTODLapartdesparticipationsnedonnantpaslecontrôledanslesCapitauxpropresetdanslerésultatdelalialeestprésentéedistinctementaubilan et au compte de résultat consolidés Toutefois dans le cadredelaconsolidationdesentitésstructuréescontrôléesparleGroupe KDROSRCDBDRDSHSRTHDRNSORCSDTDROKD&NTODRNSenregistréesen#DSSDRCRKDAHKBNRNKHCDans le cas d une activité conjointe ou d une structure juridiquecommune (INHMS NODQSHNM) le Groupe comptabilise de manièredistincte sa quote part dans chacun des actifs et des passifs surlesquelsiladesdroitsetobligationsainsiquesaquote partdansleschargeset produitsafférents DR BNDSDOHRDR INHMS UDMSTQDR DS KDR DSDOHRDR RRNBHDRsont mises en équivalence dans les états nanciers consolidés duGroupe La mise en équivalence est une méthode comptable quiconsiste à comptabiliser initialement dans la rubrique QSHBHOSHNMRCMRKDRDMSQDOQHRDRLHRDRDMPTHUKDMBDdubilanconsolidélecoûtd acquisitiondelaparticipationduGroupedanslaco entrepriseoudans l entrepriseassociée incluant l écartd acquisition etàajusterparlasuite cecoûtinitial pour prendreencompteles changementsde la quote part du Groupe dans l actif netde l entité émettrice quisurviennentpostérieurementàsonacquisition Les participations dans les entreprises mises en équivalencesont soumises à un test de dépréciation dès lors qu il existe uneindication objective de dépréciation Si la valeur recouvrable de laparticipation (montant le plus élevé entre sa valeur d utilité et savaleurdemarchénettedesfraisdecession)estinférieureàsavaleurcomptable unedépréciationestalorscomptabiliséeendéductiondelavaleurcomptableaubilandelaparticipationmise enéquivalence Les dotations et reprises de dépréciation sont enregistrées dansK TAHTD0TNSDOQS CT QRTKSS MDS CDR DMSQDOQHRDR LHRDR DMPTHUKDMBDdanslecomptederésultatconsolidé Lesquotes parts du Groupedans le résultatnetet dansles gains etpertescomptabilisésdirectementenCapitauxpropresdel entitésontprésentéessur des lignesdistinctesdu comptederésultatconsolidé del étatconsolidéduRésultatnetetdesgainsetpertescomptabilisésdirectement en Capitaux propres Si la quote part du Groupe dansles pertes d une entreprise mise en équivalence devient égale ousupérieure à ses intérêts dans cette entreprise le Groupe cesse deprendre en compte sa quote part dans les pertes ultérieures saufs ily estcontraint envertu d uneobligationlégale ouimpliciteauquelcas ces pertes sont alors provisionnées Les plus ou moins valuesdégagées lors des cessions de sociétés mises en équivalence sontprésentéesparmiles&HMRNTODQSDRMDSRRTQTSQDRBSHER &RQYHUVLRQGHVFRPSWHVGHVHQWLWVWUDQJUHVLorsqu il est exprimé en devises le bilan des sociétés consolidéesest converti en euros surla base des coursde change ofciels àladate de clôture Les postes du compte de résultat sont convertisen euros sur la base du cours de change moyen du mois de leurKHRSHNCHEEDBDCDBNDRHNRTKDBOHSKKDRRDDRKDreportànouveauetlerésultatquirésultedel évolutiondescoursdechangeestenregistréeen&HMRDSODQSDRBNLOSAHKHRRCHQDBSDLDMSDM OHSTW OQNOQDR lBQSR CD BNMUDQRHNn Les pertes ou protsONDSCDKBNDRHNCDRCNSSHNRDBOHSKCDRRTBBTRKDRétrangères des banquesdu GroupeviennentégalementenvariationdesCapitauxpropresconsolidésdanscettemêmerubrique Conformément à l option offerte par la norme IFRS 1 le Groupe atransféré en réservesconsolidées lesécartsde conversion relatifsàlaconversiondescomptesdesentitésétrangèresau1Djanvier2004 DBD EHSD BRCDBDRRHNTKSHDTDCD BDRDSHSR KDRTKSSCDcessionnecomprendraquelareprisedesécarts de conversion quiaurontétégénérésàcompterdu1Djanvier2004 9DULDWLRQVGHVSRXUFHQWDJ HVGâLQWUWVGDQVXQHHQWLWFRQVR OLGHEncasd augmentationdupourcentaged intérêtduGroupedansuneliale l écartentrelecoûtd acquisitiondelaquote partsupplémentaired intérêtsetlaquote partacquisedel actifnetdel entitéàcettedateestenregistrédanslesRéservesconsolidées partduGroupeDe même en cas de baisse du pourcentage d intérêt du Groupedans une liale restant contrôlée de manière exclusive l écart entreleprixde cession et lavaleurcomptable de la quote part d intérêtscédésestenregistrédanslesRéservesconsolidées partduGroupeLes frais liés à ces opérations sont comptabilisés directement enBOHSTONODR IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( Lors de la perte de contrôle d une liale consolidée la quote partéventuellementconservéeparleGroupeestalorsévaluéeàsajustevaleur concomitamment à l enregistrement de la plus ou moins value de cession Cette plus ou moins value de cession présentéeparmi les&HMR NT ODQSDR MDSR RTQ TSQDR BSHER dans le compte derésultat consolidé inclut le cas échéant une quote part de l écartd acquisition précédemment affectée à l Unité Génératrice deTrésorerie (UGT) à laquelle appartient la liale Cette quote part estgénéralement déterminée sur la basedesbesoinsen fonds propresnormatifsrelatifsdelalialecédéeetdelapartiedel UGTconservée ( 1* * (0( 176 (5 &+7&&25 6 (6&7 211 5 (60 125 7 5(6 () (6&2 162 (635 17*5 7 21* 2% (Le Groupe a consenti à des actionnaires minoritaires de certainesliales du Groupe consolidées par intégration globale desengagementsderachatdeleursparticipations CesengagementsderachatcorrespondentpourleGroupeàdesengagementsoptionnels(ventes d options de vente) Le prix d exercice de ces options peutêtreunmontantxécontractuellement oubienpeutêtreétabliselonuneformule decalcul prédénie lors de l acquisition des titres delalialetenantcomptedel activitéfuturedecettedernière ouêtrexécomme devant être la juste valeur des titres de la liale au jour del exercicedesoptions Cesengagementssonttraitéscomptablementcommesuit en application des dispositions de la norme IAS 32 le Groupeenregistre un passif nancier au titre des options de ventevendues aux actionnaires minoritaires des entités contrôlées demanièreexclusive Cepassifestcomptabiliséinitialementpourlavaleuractualiséeduprixd exercice estimédesoptionsde venteCRKTAHTD TSQDRORRHER l obligationd enregistrerunpassifalorsmêmequelesoptionsdevente ne sont pas exercées conduit par cohérence à retenir lemême traitementcomptablequeceluiappliqué auxtransactionsrelatives aux participations ne donnant pas le contrôle Enconséquence lacontrepartie de cepassif est enregistrée endiminution des QSHBHOSHNMR MD CNMMMS OR KD BNMSQKD RNTRjacentesauxoptionsetpourlesoldeendiminutiondes1RDQUDRBNMRNKHCDROQSCT&QNTOD les variations ultérieures de ce passif liées à l évolution du prixd exercice estimé des options et de la valeur comptable desparticipations ne donnant pas le contrôle sont intégralementcomptabiliséesdansles1RDQUDRBNMRNKHCDROQSCT&QNTOD silerachatesteffectué lepassifestdénouéparledécaissementde trésorerie lié à l acquisition des intérêts des actionnairesminoritaires dansla liale concernée En revanche à l échéancede l engagement si le rachat n est pas effectué le passif estTK D BNSDOSHD CDR QSHBHOSHNMR MD CNMMMS OR KDBNMSQKDDSCDR1RDQUDRBNMRNKHCDROQSCT&QNTODONTKDTRpartsrespectives SSTDKDRNOSHNRDRNSORDDBDRKDRRTKSSREEDSRaux participations ne donnant pas le contrôle faisant l objetd optionsdeventesontprésentésdanslarubrique QSHBHOSHNMRMDCNMMMSORKDBNMSQKDaucomptederésultatconsolidé * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 127(35 075( ( &2162 7 21Le périmètre deconsolidation estprésentéparimplantation danslaNote8 4 Sontretenuesdanslepérimètredeconsolidation leslialesetentitésstructurées contrôlées par le Groupe les partenariats (activitésconjointes ou co entreprises) et les entreprises associées dont lesétats nanciers présentent un caractère signicatif par rapport auxcomptesconsolidésduGroupe notammentauregarddutotal bilanetdurésultatbrutd exploitation Les principales variations du périmètre de consolidation retenu au31décembre 2015 par rapportau périmètredu 31décembre 2014RNSKDRRTHSDR%2856 25 0 À compter du mois de juin la participation du Groupe dansBoursorama passe de 79 51% à 100% suite à l acquisitionde la totalité des parts du groupe Caixa En outre Boursoramaa procédé au rachat des parts minoritaires dans ses lialesSelftrade Bank et Onvista À travers ces opérations le Groupedevient l unique actionnaire de Boursorama qui détient elle même100%desesliales Par ailleurs Boursorama a fait l acquisition de la société dedéveloppement informatique et solutions logicielles Fiducéo Détenue à 100% l entité est consolidée parintégration globaledepuislepremiertrimestre ( 6&57(675 1* En application de la loi de séparation et de régulation desactivités bancaires du 26juillet 2013 qui prévoit notamment laROSHN CDRNOSHNRROBTKSHDRCDR ATDRDS CD KDTRactivités nécessaires aunancementde l économie lesactivitéspour compte propre de Société Générale ont été transférées àDescartesTradingetàsesdeuxsuccursalessituéesàLondresetHong Kong Détenueà100% DescartesTradingDRSBNRNKHCDparintégrationglobaledepuislesecondtrimestre 081 Le 11novembre 2015 le Groupe a cédé l intégralité de saparticipation dans Amundi suite à son introduction en BoursedécidéeparSociétéGénéraleetCréditAgricoleSA conformémentaupacted actionnairesmisenplaceàlacréationd Amundi Cetteopérationagénéréunproduitenregistréencomptederésultatsurlaligne&HMRNTODQSDRMDSRRTQTSQDRBSHERpourunmontantde161millionsd euros 1( ( * ( Le 2janvier 2015 Newedge USA a fusionné avec l entité SGAmericasSecurities Le 28octobre 2015 Newedge Group a fait l objet d unetransmissionuniverselledepatrimoinedansSociétéGénérale 872027 9( ALD Axus Finland a fait l acquisition la société de gestion deotte de véhicules Easy KM OY Détenue à 100% l entité estconsolidéeparintégrationglobaledepuislepremiertrimestre En application d IFRS 5 «Actifs noncourants détenus en vue de lavente et activités abandonnées» sontnotamment classésdans lesTAHTDR BSHER MNM BNTQMSR CDRSHMR SQD BCR DS#DSSDR KHDRTWBSHERMNMBNTQMSRCDRSHMRSQDBCR desactifsetpassifsliésàl activitédeBanquePrivéeenSuisse desactifsetpassifsliésauxactivitésdecréditàlaconsommationauBrésil LacessationdesactivitésdecréditàlaconsommationauBrésilentaméeendébutd annéesefaitprogressivementand honorer l ensemble des engagements envers les clients lescollaborateurs lesrégulateursetlespartenairescommerciaux 9 1( 0(1769 (1 5Le Groupe a dénoncé le 25février 2015 le protocole d accordliant Aviva France et Crédit du Nord dans Antarius compagnied assurance dédiée aux réseaux du Crédit du Nord actuellementdétenue conjointement par Aviva France et Crédit du Nord Cettedénonciation conduit à l exercice d une option d achat de laparticipation de 50% d Aviva France dans Antarius À l issue d undélaide deux ans prévupar les accords qui permettra d assurerletransfertdelagestionopérationnelledelacompagnieversSogécap Antarius sera détenue à 100% par le Groupe conjointement parSogécapetCréditduNord IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 127( & 576 p&48 6 7 2135 1& 3(6&2037% (6Le Groupe utilise la méthode de l acquisition an de comptabilisersesregroupementsd entreprises En date d acquisition les actifs passifs éléments de hors bilan et passifs éventuels identiables conformément à la normeIFRS3 «Regroupements d entreprises» de l entité acquise sontévalués individuellement à leur juste valeur quelle que soit leurdestination Les analyses et expertises nécessaires à l évaluationinitiale de ces éléments ainsi que leur correction éventuelle en casd informations nouvelles liées à des faits et circonstances existantsà la date d acquisition peuvent intervenir dans un délai de douzemois à compter de la date d acquisition À cette même date lesparticipations ne donnant pas le contrôle sont évaluées pour leurquote part dans la juste valeur des actifs et passifs identiables del entité acquise Cependant le Groupe peut également choisir lorsde chaque regroupement d entreprises d évaluer les participationsne donnantpaslecontrôleàleurjustevaleur unefractiondel écartd acquisitionleurétantalorsaffectéeencontrepartie Le coût d acquisition de l entité est évalué comme le total desjustes valeurs à la date d acquisition des actifs remis des passifsencourusouassumés etdesinstrumentsdecapitauxpropresémis enéchangeducontrôledel entitéacquise Lesfraisdirectementliésauxregroupementsd entreprisessontcomptabilisésdanslerésultatdelapériodeàl exceptiondeceuxliésàl émissiond instrumentsdeBOHSTONODRLes compléments de prix sont intégrés dans le coût d acquisitionpour leur juste valeur à la date de prise de contrôle même s ilsprésentent un caractère éventuel Cet enregistrement est effectuéO BNSDOSHD CDR BOHST ONODR NT CDR CDSSDR D ENBSHNdu mode de règlement de ces compléments de prix S ils sontqualiés de det tes les révisions ultérieures de ces complémentsde prix sont enregistrées en résultat pour les dettes nancièresrelevant de la norme IAS 39 et selon les normes appropriées pourles dettes ne relevant pas de la norme IAS 39 s ils sont qualiésd instruments de capitaux propres ces révisions ne donnent lieu àaucun enregistrement L écart positif entre le coût d acquisition del entité et la quote part acquise de son actif net réévalué est inscritàl ac tif du bilanconsolidé dans la rubriqueBQSRCBPTHRHSHNM encasd écartnégatif celui ciestimmédiatementenregistréenrésultat Endatedeprisedecontrôled el entité l éventuellequote partdanscette dernière antérieurement détenue par le Groupe est réévaluéeàsajustevaleurencontrepartiedu compte de résultat Dans le casd une acquisitionpar étape l écart d acquisition est ainsi dé terminéparréférenceàlajustevaleurendatedeprisedecontrôledel entité À la date d acquisition chaque écart d acquisition est affecté àune ou plusieurs Unité(s) Génératrice(s) de Trésorerie (UGT) devanttirer avantage de l acquisition En cas de réorganisation du Groupeentraînant une modication de la composition des UGT les écartsd acquisition rattachés à des unités scindées en plusieurs partiessont réaffectés à d autres unités nouvelles ou existantes Cetteréaffectation est généralement réalisée auOQNQS CDR ADRNHR DfondspropresnormatifsdesdifférentespartiesdesUGTscindées Lesécartsd acquisitionfontl objetd unerevuerégulièreparleGroupeet de tests de dépréciation dès l apparition d indices de perte devaleuretauminimum une foisparan Lesdépréciationséventuellesdecesécartssontdéterminéesparréférenceàlavaleurrecouvrabledela(oudes)UGTàlaquelle(auxquelles)ilssontrattachés Lorsquelavaleur recouvrable de la (ou des) UGTest inférieureà sa(leur) valeur comptable une dépréciation irréversible est enregistréedanslerésultat consolidéde la périodesurlaligne DQSDR CD UKDTQRTQKDRBQSRCBPTHRHSHNM * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 Letableauci dessousprésentel évolutionsurl année 2015 desvaleursnettesdesécarts d acquisition desUnitésGénératricesde Trésorerie(UGT)depuisle31décembre2014 (EnMEUR)9DOHXUQHWWHDXFTXLVLWLRQVHWDXWUHVDXJPHQWDWLRQV&HVVLRQV3HUWHVGHYDOHXU7UDQVIHUW9DOHXUQHWWHDX%DQTXHGHGWDLOHQ)UDQFH5VHDX6RFLW*QUDOH&UGLWGX1RUG%DQTXHGHGWDLOHW6HUYLFHV)LQDQFLHUV QWHUQDWLRQDX(XURSH5XVVLHIULTXHVLH%DVVLQPGLWHUUDQHQHW2XWUHPHUVVXUDQFHV)LQDQFHPHQWGTXLSHPHQWSURIHVVLRQQHO6HUYLFHV)LQDQFLHUV RFDWLRQDXWRPRELOHBanquedeGrandeClientèleetSolutionsInvestisseursActivitésdeMarchésetServicesauxInvestisseurs)LQDQFHPHQWHW&RQVHLO*HVWLRQGFWLIVHW%DQTXH3ULYH727 Montantsretraitésparrapportauxétatsnancierspubliésen2014suiteàlaréorganisationdupilierBanquedeGrandeClientèleetSolutionsInvestisseurs Suite à la réorganisation du pilier Banque de Grande Clientèle etSolutions Investisseurs en trois métiers en 2015 une refonte desUGT dece pilierest intervenue remplaçant lestroisanciennes UGT«BanquedeFinancementetd Investissement» «MétiersTitres»et«BanquePrivée»parlestroisnouvellesUGTsuivantes «Financement et Conseil» regroupant les activités denancement et de conseil de l ancienne UGT «Banque deFinancementetd Investissement» «ActivitésdeMarchésetServicesauxInvestisseurs» composéedesactivitésdemarchésetde sservicespost tradedel ancienneUGT «Banque de Financement et d Investissement» ainsi quetouteslesactivitésdel ancienneUGT«MétiersTitres» «Gestion d Actifs et Banque Privée» qui intègre pour sa partles activités de l ancienne UGT «Banque Privée» ainsi que lesactivités de Gestion d Actifs de Lyxor qui faisaient partie del ancienneUGT«BanquedeFinancementetd Investissement» Letableauci de ssousdétaillelerésultatdesréallocationsàl ouverturedesvaleursnettesd écartsd acquisitionauseindupilierBanquedeGrandeClientèleet SolutionsInvestisseursentre lesanciennesUGTprésentéesencolonnesetlesnouvellesUGTprésentéesenlignes (EnMEUR)%DQTXH3ULYH0WLHU7LWUHV%DQTXHGH)LQDQFHPHQWHWG QYHVWLVVHPHQW9DOHXUQHWWHau31 12 2014ActivitésdeMarchésetServicesauxInvestisseurs)LQDQFHPHQWHW&RQVHLO*HVWLRQGFWLIVHW%DQTXH3ULYH7RWDO IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( Au31décembre2015 lesécartsd acquisitionsontainsirépartisauseindes11UGTsuivantes 3LOLHUVFWLYLWV%DQTXHGHG WDLOHQ)UDQFH5VHDX6RFLW*QUDOH5VHDX GH %DQTXH GH GWDLO 6RFLW*QUDOH DFWLYLWV GH %DQTXH HQ OLJQH %RXUVRUDPD FUGLW laconsommationetàl équipementenFranceetservicesdegestiondeuxetdepaiements&UGLWGX1RUG5VHDXGH%DQTXHGHGWDLOGX&UGLWGX1RUGHWGHVHVEDQTXHVUJLRQDOHV%DQTXHGHG WDLOHW6HUYLFHV)LQDQFLHUV QWHUQDWLRQDX(XURSH%DQTXH GH GWDLO HWFUGLW OD FRQVRPPDWLRQ HQ (XURSH LQFOXDQW QRWDPPHQW OOOHPDJQH+DQVHDWLF %DQNBDK) l Italie(Fiditalia) laRépubliquetchèque(KB Essox) laRoumanie(BRD)etlaPologne(Eurobank)5XVVLHGroupebancaireintégréincluantRosbanketsesliales notammentDeltaCreditetRusnanceIULTXHVLH%DVVLQPGLWHUUDQHQHW2XWUHPHU%DQTXH GH GWDLO HW FUGLW OD FRQVRPPDWLRQ GDQV OD RQH IULTXH VLH %DVVLQ PGLWHUUDQHQHW2XWUHPHULQFOXDQWQRWDPPHQWOH0DURF6*0%OOJULH6*OD7XQLVLH8 %OH&DPHURXQ6*%&OD&WHGp YRLUH6*%& HWOH6QJDO6*%6VVXUDQFHVFWLYLWV GpDVVXUDQFH YLH HW GRPPDJHV HQ )UDQFH HW OpLQWHUQDWLRQDO QRWDPPHQW 6RJHFDS 6RJHVVXUetOradéaVie))LQDQFHPHQWGpTXLSHPHQWSURIHVVLRQQHO)LQDQFHPHQWGHVYHQWHVHWGHVELHQVGpTXLSHPHQWSURIHVVLRQQHODXVHLQGH6RFLW*QUDOH(TXLSPHQW)LQDQFH6HUYLFHV)LQDQFLHUV RFDWLRQDXWRPRELOHServicesdelocationlongueduréedevéhiculesetdegestiondeottesautomobiles(ALDAutomotive)%DQTXHGH*UDQGH&OLHQWOHHW6ROXWLRQV QYHVWLVVHXUVActivitésdeMarchésetServicesDX QYHVWLVVHXUVSolutions de marchés aux entreprises institutions nancières secteur public family ofces JDPPHFRPSOWHGHVHUYLFHVWLWUHVHWVHUYLFHVGHFRPSHQVDWLRQGpHFXWLRQGHSULPHbrokerageHWFRQVHUYDWLRQ)LQDQFHPHQWHW&RQVHLOConseiletnancementauxentreprises institutionsnancières secteurpublic*HVWLRQGFWLIVHW%DQTXH3ULYH*HVWLRQGFWLIVHW6ROXWLRQVGHJHVWLRQGHIRUWXQHHQ)UDQFHHWOLQWHUQDWLRQDOLeGrouperéaliseau31décembre2015untestannueldedépréciationdes UGT auxquelles ont été affectés des écarts d acquisition UneUGT se dénit comme le plus p etit groupe d actifs identiablegénérant des rentrées de trésorerie indépendantes de celles quidécoulent d autresactifsougroupesd actifsauseindel entreprise Les tests de dépréciation consistent àévaluer la valeur recouvrablede chaque UGT et à la comparer avec sa valeur comptable Unepertedevaleurestconstatéeenrésultatsilavaleurcomptabled uneUGT comprenant les écarts d acquisition qui lui sont affectés estsupérieure à sa valeur recouvrable La perte ainsi déterminée estaffectéeenprioritéàladépréciationdesécartsd acquisition Lavaleurrecouvrabled uneUGTestcalculéeselonlaméthodelaplusappropriée généralementlaméthodedesuxdetrésorerieactualisésdiscountedcash ows»)appliquéeglobalementàl échelledel UGT Les uxde trésoreriecorrespondent auxdividendes distribuablesparles entités composant l UGT en intégrant l objectif cible de fondspropres du Groupe alloués à chacune Ils sont déterminés sur labase d un plan d affaires élaboré à partir des budgets prévisionnelsà trois ans extrapolés sur une période de croissance soutenable(généralementdesixannéessupplémentaires)représentativeducycleéconomiquedel industriebancaire puisàl innisurlabased untauxdecroissanceàlongterme(valeurterminale) lesfondspropresallouéscorrespondentau31décembre2015à11%desencourspondérés letaux d actualisationest calculésurlabase d un tauxd intérêtsans risque auquel s ajoute une prime de risque fonction del activité sous jacente de l UGT concernée Cette prime derisque spécique à chaque activité est déterminée àpartir desséries de primes de risques actions publiées par la rechercheSG Cross Asset Research et de sa volatilité spécique (ADSestimée Le cas échéant une prime de risque souverain estégalementajoutéeautauxsansrisque représentantladifférenceentreletauxsansrisquedelazonederattachement(zonedollarouzoneeuroessentiellement)etle tauxd intérêtdesobligationsà long terme liquides émises par l État dans la monnaie derattachement ou leur moyenne pondérée par les fonds propresnormatifsdanslecadred uneUGTrecouvrantplusieursÉtats le taux de croissance utilisé pour la valeur terminale est fondésur une prévision de croissance de l économie et d inationsoutenableàlongterme LetestannueldedépréciationdesUGTn apasconduitàdéprécierlesécartsd acquisitionau31décembre2015 * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 Letableauci aprèsprésentelestauxd actualisationettauxdecroissanceàlongtermedifférenciéspourlesUGTauseindes3piliersduGroupe +SRWKVHVDXGFHPEUH7DXGpDFWXDOLVDWLRQ7DXGHFURLVVDQFHORQJWHUPH%DQTXHGHGWDLOHQ)UDQFH5VHDX6RFLW*QUDOHHW&UGLWGX1RUG%DQTXHGHGWDLOHW6HUYLFHV)LQDQFLHUV QWHUQDWLRQDX%DQTXHGHGWDLOHWFUGLWODFRQVRPPDWLRQVVXUDQFHV)LQDQFHPHQWGTXLSHPHQWSURIHVVLRQQHOHW6HUYLFHV)LQDQFLHUV RFDWLRQDXWRPRELOH%DQTXHGH*UDQGH&OLHQWOHHW6ROXWLRQV QYHVWLVVHXUVActivitésdeMarchésetServicesauxInvestisseurs)LQDQFHPHQWHW&RQVHLO*HVWLRQGpFWLIVHW%DQTXH3ULYHLesbudgetsprévisionnelss appuientsurlesprincipaleshypothèsesmétiersetmacro économiquessuivantes %DQTXHGHGWDLOHQ)UDQFH5VHDX6RFLW*QUDOHHW&UGLWGX1RUG0DOJU OHV FRQWUDLQWHV GH OpHQYLURQQHPHQW FRQRPLTXH GYHORSSHPHQW GHV IRQGV GH FRPPHUFH GHV UVHDX GH GWDLOviaGHV DFWLRQV GHconquêtecibléesetl activationderelaisdecroissance(NouvelleBanquePrivée épargnenancière protectiondesbiensetdespersonnes)FFOUDWLRQGHODWUDQVIRUPDWLRQGHVUVHDX)UDQFH)RUWHGLVFLSOLQHVXUOHVIUDLVJQUDXHWODPDWULVHGHVULVTXHV%DQTXHGHGWDLOHW6HUYLFHV)LQDQFLHUV QWHUQDWLRQDX(XURSHPoursuite de l adaptation de nos mo dèles an de capter les potentiels de croissance de la région et de renforcer les positionsFRQFXUUHQWLHOOHVGHQRVLPSODQWDWLRQV1RUPDOLVDWLRQGXFRWGXULVTXHHWIUDLVJQUDXPDLQWHQXVVRXVVWULFWFRQWUOH5XVVLHDans un contexte économique difcile poursuite du processus de transformation de Rosbank axée notamment sur l efcacitédudispositifretail lessystèmesd information laqualitédeserviceauxclientsetlamutualisationauseindudispositifrusse6WULFWFRQWUOHGHVIUDLVJQUDXHWGXFRWGXULVTXHIULTXHVLH%DVVLQPGLWHUUDQHQHW2XWUHPHUDéveloppementdenotredispositifcommercialandecapterlepotentieldel émergenced uneclassemoyenneAttentionmaintenuesurl efcacitéopérationnelleVVXUDQFHV3RXUVXLWH GpXQH FURLVVDQFH GQDPLTXH HW GX GYHORSSHPHQW OpLQWHUQDWLRQDO GX PRGOH GH EDQFDVVXUDQFH HQ VQHUJLH DYHFleréseaudeBanquededétail lenouveaudispositifdeBanquePrivéeetlesServicesFinanciersauxEntreprises)LQDQFHPHQWGpTXLSHPHQWSURIHVVLRQQHOMaintiendespositionsdeleadersursesmarchésConsolidationdelaprotabilitéencontinuantàciblerlesactivitésaumeilleurcouplerisque rentabilité6HUYLFHV)LQDQFLHUV RFDWLRQDXWRPRELOH3RXUVXLWHGXGQDPLVPHGDQVXQHQYLURQQHPHQWLQWHUQDWLRQDOWUVFRQFXUUHQWLHO%DQTXHGH*UDQGH&OLHQWOHHW6HUYLFHVDX QYHVWLVVHXUVActivitésdeMarchésHW6HUYLFHVDX QYHVWLVVHXUVAdaptationdesmétiersdemarchéàunenvironnementconcurrentieletpoursuitedesinvestissementsmétiersetréglementairesMaintiendesfranchisesleadersdemarchés(actions)5HQIRUFHPHQWGHODGQDPLTXHFRPPHUFLDOHGH6*66HQ(XURSHSRXUVXLWHGHVPHVXUHVGpRSWLPLVDWLRQHWLQYHVWLVVHPHQWGDQVOHVVVWPHVGpLQIRUPDWLRQ)LQDQFHPHQWHW&RQVHLO YHORSSHPHQWGHUHODLVGHFURLVVDQFHHWQRWDPPHQWGHVUHYHQXVFOLHQWVHWGHVVQHUJLHVMaintiendesfranchisesleadersdenancements(matièrespremières structurés)Maîtriseducoûtdurisquedansunenvironnementéconomiquedifcile*HVWLRQGpFWLIVHW%DQTXH3ULYH&URLVVDQFHGHOD%DQTXH3ULYHWLUHSDUXQHFROOHFWHSRVLWLYHHWOHPDLQWLHQGpXQERQQLYHDXGHPDUJH YHORSSHPHQW GHV VQHUJLHV DYHF OHV UVHDX GH %DQTXH GH GWDLO WDQW HQ )UDQFH TXp OpLQWHUQDWLRQDO HW DYHF OD %DQTXHdeFinancementetd Investissement IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( Des tests de sensibilité sont réalisés permettant notamment demesurer l impact sur la valeur recouvrable de chaque UGT de lavariation de certaines hypothèses telles que la croissance à longterme letauxd actualisationetlarentabilité Au31décembre2015 comptetenudesrisquesliésàl activitédansl environnementactuel lestestsdedépréciationontétéeffectuéssurlabased uneséried hypothèsesprudentesoudetestsdesensibilité Après prise en compte des dépréciations passées les valeursrecouvrables font preuve d une faible sensibilité à une variationsupplémentaire des hypothèses de taux d actualisation decroissanceàlongtermeetopérationnelles HRH une augmentation de 50 points de base appliquée à tous lestauxd actualisation desUGTindiquésdansletableauci dessusentraînerait une diminution de la valeur recouvrable totale de7 4% sans nécessiter de dépréciation additionnelle d aucuneUGT de même une réduction de 50 points de base des taux decroissanceàlongtermeentraîneraitunediminutionde2 2%delaKDT DBNTAKD RR BDRRHSD CD COBHSHNCCHSHNDKKDd aucuneUGT * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 127( 1)2507 216&203 0(17 5(6685 (6(17 76 &216 2 (6(7 (6(17 760 6(6 (1 48 9 (1&(Les informations présentées dans cette Noteconcernent les entitésstructuréesconsolidées lesparticipationsnedonnantpaslecontrôle KDRBNDSDOHRDRDSKDRDSDOHRDRRRNBHDRSont retenues dans cette Noteles entités contrôlées de manièreexclusive ou conjointe et les entités sous inuence notable dont lesétats nanciers présentent un caractère signicatif par rapport auxcomptes consolidés du Groupe Cette signicativité est notammentappréciée au regard du total bilan et du résultat brut d exploitationBNRNKHCRCT&NTOD(17 766758&785(6&2162 ( 6Lesentitésstructuréesconsolidéesincluentnotamment des organismes de placement collectif (SICAV FCP ) dont lagestionestassuréeparleslialesdeGestiond ActifsduGroupe des fonds communs de titrisation (FCT) qui émettent desinstrumentsnancierspouvantêtresouscritspardesinvestisseursetquiportentdesrisquesdecréditinhérents àuneexposition ouunpanierd expositionsquipeuventêtredivisésentranches desstructuresdenancementd actifsquiportentdesnancementsaéronautiques ferroviaires maritimesouimmobiliers Au 31décembre 2015 le Groupe n accorde à ces entités aucunsoutien nancier qui n aurait pas été octroyé dans un contexte demarchéhabituel 357 & 37 2161( 2111736 (&2175 (DR QSHBHOSHNMR MD CNMMMS OR KD BNMSQKDcorrespondent à lapart d intérêt dans les liales consolidées par intégration globale quin est pas attribuable directement ou indirectement au Groupe Ellesregroupent les instruments de capitaux propres émis par ces lialesDSNCSDTR OKD&NTODHRH TDKTNSDOS CDRRTKSSRDSréservesaccumuléset desgainset pertescomptabilisésdirectementencapitauxpropresrevenantauxporteursdecesinstruments Lesparticipationsnedonnantpaslecontrôles élèventà3638millionsd euros(3645millionsd eurosau31décembre2014)etreprésentent6% descapitauxpropres du Groupe au 31décembre 2015(6% au31décembre 2014) Lesprincipalesparticipations nedonnant pas lecontrôle du Groupe s élèvent à 2972millions d euros (2851millionsd eurosau31décembre2014)etconcernent leslialescotéesKomer níBanka BRD groupeSociétéGénéraleSAetSGMarocainedeBanques Sogecap avec les émissions en décembre2014 de titresRTANCNRODOSTDKRLespourcentagesd intérêtetdecontrôleduGroupedanscesentitéssontprésentésdanslaNote8 4 (17 760 6(6(148 9 (1&(&2 (175(35 6( 6(7(175(35 6( 6662& (6 1 )2507 216) 11& 5(65 680( 63285 (6&2 ( 175(35 6( 6( 7 ( 6( 17 5(35 6 (666 2& (6(EnMEUR)&RHQWUHSULVHV(QWUHSULVHVDVVRFLHV7RWDOHQWLWVPLVHVHQTXLYDOHQFH4XRWHSDUWGX*URXSHGDQV5VXOWDWQHW*DLQVHWSHUWHVFRPSWDELOLVVGLUHFWHPHQWHQFDSLWDXSURSUHVQHWVGLPSW5VXOWDWQHWHWJDLQVHWSHUWHVFRPSWDELOLVVGLUHFWHPHQWHQFDSLWDXSURSUHVLesco entreprisescorrespondentprincipalementàdesactivitésdepromotionimmobilière deGestiond Actifsetd assurance Jusqu àsasortiedupérimètredeconsolidation Amundiétaitlaprincipaleentrepriseassociée Lesmouvementsdelapériodesontliésàlacessiondel intégralitédestitresAmundiennovembre2015etauxopérationsdessociétésdeportefeuille (1**(0(1769( & ( 6357 (6 ( 63 285 (6&2 ( 175(35 6 (6( 7(175(35 6( 6662& (6(EnMEUR)Engagementsdenancementdonnés(QJDJHPHQWVGHJDUDQWLHGRQQVEngagementssurinstrumentsnanciersàtermeL évolutiondesengagementssurinstrumentsnanciersàtermes expliqueprincipalementp arlacessiond Amundien2015 IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 127( (17 766758&785(6 121&2162 (6Les informations présentées ci dessous concernent les entitésstructurées par le Groupe et qui ne sont pas contrôlées par cedernier Ces informations ont étéregroupéespartypologie d entitésexerçantdesactivités similaires le Financementd Actifs laGestiond ActifsetAutres(incluantlaTitrisationetlesstructuresd émission) LeFinancementd ActifsinclutlesGroupementsd IntérêtÉconomique(GIE) les sociétés de personnes et structures équivalentes quiportent des nancements aéronautiques ferroviaires maritimes ouimmobiliers La Gestion d Actifs regroupe les organismes de placement collectif(SICAV FCP )dontlagestionestassuréeparleslialesdeGestiond ActifsduGroupe La Titrisation regroupe les fonds communs de titrisation (FCT) etstructures équivalentes qui émettent des instruments nancierspouvantêtresouscritspardesinvestisseursetquiportentdesrisquesde crédit inhérents à une exposition ou un panier d expositions quipeuventêtredivisésentranches LesintérêtsduGroupedanslesentitésstructuréespardestierssontBKRRRCRKDRTAHTDRCTAHKBNRNKHCRDKNKDTSTD BSHERnanciersàlajustevaleurparrésultatNTPassifsnanciersàlajusteUKDTQ OQ QRTKSSActifs nanciers disponibles à la vente QSR DSBQMBDR#DSSDRv 17 576 16 (6(17 7 66758&785( 6121&2162 ( 6Les intérêts du Groupe dans une entité structurée non consolidéerecouvrentdeslienscontractuelsounoncontractuelsquil exposentàun risque devariation des rendements associés à la performanceCDBDSSDDSHSRSTBSTDCesintérêtscomprennent ladétentiond instrumentsdecapitauxpropresoudedettesquelquesoitleurrangdesubordination l apportdenancement(prêts créditsdetrésorerie engagementsdenancement lignesdeliquidité ) le rehaussement de crédit (garanties parts subordonnées dérivésdecrédit ) l octroidegarantie(engagementsdegarantie) KDRCHRTHARNADSSNTSNTOSHDCTHRTDCDHSHNCDRrendementsdel entitéstructuréeàl exclusiondesQDCHS#DETKS2VO(CDS)etdesoptionsachetésparleGroupe les contrats rémunérés par des commissions assises sur laperformancedel entitéstructurée lesconventionsd intégrationscale )LQDQFHPHQWGFWLIV*HVWLRQGFWLIVXWUHV(EnMEUR)7RWDO%LODQGHVHQWLWV9DOHXUQHWWHFRPSWDEOHGHVLQWUÇWVGX*URXSHGDQVFHVHQWLWVFWLIVActifsnanciersàlajustevaleurparrésultatActifsnanciersdisponiblesàlavente3UÇWVHWFUDQFHVVXUFOLHQWOHWDEOLVVHPHQWVGHFUGLWXWUHV3DVVLIVPassifsnanciersàlajustevaleurparrésultat HWWHVHQYHUVODFOLHQWOHWDEOLVVHPHQWVGHFUGLWXWUHVPourlaGestiond Actifs lavaleurliquidative(NAV DS RRDS5KTDCDRENCRAu 31décembre 2015 le Groupe n accorde à ces entités aucunsoutien nancier qui n aurait pas été octroyé dans un contexte demarchéhabituel L exposition maximale au risque de perte en lien avec les intérêtsCRTDDSHSRSTBSTDBNDRONC au coût amorti ou à la juste valeur des actifs nanciers nondérivésconclusavecl entitéstructuréeenfonctiondeleurmoded évaluationaubilan àlajustevaleurdesdérivésgurantàl actifdubilan aunominaldesCDSvendus(montantmaximumàpayer) au nominal des engagements de nancement ou de garantieCNR * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 )LQDQFHPHQWGFWLIV*HVWLRQGFWLIVXWUHV(EnMEUR)CoûtamortioujustevaleurVHORQOHXUYDOXDWLRQDXELODQGHVactifsnanciersnondérivésconclusavecl entitéstructurée XVWHYDOHXUdesdérivésgurantàl actifdubilan1RPLQDOGHV& 6YHQGXVPRQWDQWPDLPXPSDHUNominaldesengagementsdenancementoudegarantiedonnés(SRVLWLRQPDLPDOHDXULVTXHGHSHUWHJustevaleuràladatedeclôturedel exercice cettevaleurpouvantuctueraucoursdesexercicesultérieurs Les éléments de réduction de l exposition maximale au risque deODSDHBKTDS lenominaldesengagementsdegarantiereçus lajustevaleurdesactifsreçusengarantie la valeur comptable au passif du bilan des dépôts de garantiereçus Leursmontants plafonnésencasdelimitationlégaleoucontractuelledessommesréalisablesouappréhendables s élèventà1639millionsd eurosetconcernentessentiellementlenancementd actifs 1)2507 216685 (6( 17 766758&785 (6121&2162 ( 66321625 6 (635 (*5283(LeGroupepeutnepasdétenird intérêtsdansuneentitéstructuréemaisêtreconsidérécommesponsordecetteentités ilaouaeuunrôle destructureur depromoteurauprèsdesinvestisseurspotentiels degestionpourcomptedetiers de garant implicite ou explicite de la performance de l entité(notammentUHdes garanties de capital ou de rendementaccordéesauxporteursdepartsd OPCVM) Par ailleurs une entité structurée est réputée sponsorisée par leGroupedèslorsque sadénominationintègre le nom du Groupe oud unedesesliales Par contre les entités structurées par le Groupe en réponse à desbesoins spéciques exprimés par un ou plusieurs clients ou bienHDRSHRRDTRRNSOTSDRRONRNHRDROBDRCDHDRDSNSKAHKCDBDRDSHSRRSTBSTDRNBNRNKHCDRRONRNHRDRparleGroupeetdanslesquellescederniernedétientaucunintérêt s élèveà1679millionsd euros(dont806millionsd eurosautitredesfondsdeplacements) Les revenus tirés de ces entités (relevant essentiellement duFinancement d Actifs) s élèvent à 2millions d euros principalementissusdeladécomptabilisationd intérêtsdanscesentitésstructurées Justevaleuràladatedeclôturedel exercice cettevaleurpouvantuctueraucoursdesexercicesultérieurs IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 127( 167580(176) 1 1& (5635 1& 3(6&2037% (6& 66 (0(17 (6 167580( 176) 11& ( 56Lors de leur comptabilisation initiale les instruments nanciers sontclassés au bilan du Groupe dans des catégories qui déterminentleur traitement comptable et leur mode d évaluation ultérieur Ceclassementestfonctiondelanaturedesinstrumentsnanciersetdel objetdeleurdétention Les actifs nanciers sont classés dans l une des quatre catégoriesRTHSDR KDRActifs nanciers à la juste valeur par résultat il s agit desinstrumentsnanciersdétenusàdesnsdetransaction incluantpardéfautlesinstrumentsdérivésactifsquinesontpasqualiésd instruments de couverture ainsi que des actifs nanciers nondérivésqueleGroupeadésignésdèsl originepourêtreévaluésenjustevaleurparrésultat(optionjustevaleur) KDR QSR DS BQMBDR ils regroupent les actifs nanciers nondérivés à revenus xes ou déterminables qui ne sont pas cotéssur un marché actif et qui ne sont ni détenus à des ns detransaction ni destinés à la vente dès leur acquisition ou leuroctroi nidésignésdèsl originepourêtreévaluésàlajustevaleurparrésultat(optionjustevaleur) Ilssontévaluésaucoûtamortietpeuventfairel objetd unedépréciationpourrisquedecréditsurbaseindividuelleoucollective KDRActifs nanciers détenus jusqu à l échéance BD RNS KDRactifsnanciersnondérivés àrevenusxesoudéterminablesetassortisd unematuritéxe quisontcotéssurunmarchéactifetqueleGroupeal intentionetlesmoyensde détenir jusqu àleuréchéance Ilssontévaluésaucoûtamortietpeuventfairel objet le cas échéant d une dépréciation Le coût amorti intègre lesprimesetdécotes ainsiquelesfraisd acquisition KDRActifs nanciers disponibles à la vente BD RNS KDR BSHERnanciersnond érivésdétenuspourunepériodeindéterminéeetqueleGroupepeutêtreamenéàcéderàtoutmoment Pardéfaut cesontlesactifsnanciersquinesontclassésdansaucunedestroiscatégories précédentes Ces instruments sont évaluésà lajuste valeur par contrepartie des&HMR DS ODQSDR BNLOSAHKHRRCHQDBSDLDMS DM BOHSTW OQNOQDR DR DDTRBNTTRNT BTHRdes titres de dette sont enregistrés en résultat sur la base dutauxd intérêteffectiftandisquelesrevenusdestitresdecapitauxpropressontenregistrésenproduitsdedividendes Les passifs nanciers sont classés dans l une des deux catégoriesRTHSDR KDRPassifsnanciersévaluésàlajustevaleurparrésultat ils agitdespassifsnanciersencourusàdesnsdetransaction incluantpardéfautlesinstrumentsdérivéspassifsquinesontpasqualiésd instrumentsdecouverture ainsiquedespassifsnanciersnondérivésqueleGroupeadésignésdèsl originepourêtreévaluésenjustevaleurparrésultat(optionjustevaleur) KDR#DSSDR elles regroupent les autres passifs nanciers nondérivésetsontévaluéesaucoûtamorti Les actifs et passifs nanciers dérivés qualiés comptablementd instrumentsdecouverturesontprésentéssurdeslignesdistinctesCTAHKBE NSD5(& 6 6( 0(176 p&7 )6) 11& ( 56Lesactifsnanciersnepeuvent postérieurementàleurenregistrementinitialaubilanduGroupe êtrereclassésdanslacatégoriedes BSHERnanciersàlajustevaleurparrésultatUn actif nancier non dérivé enregistré initialement au bilan dans laTAHTDActifsnanciersàlajustevaleurparrésultatparmilesactifsnanciers détenus à des ns de transaction peut êtrereclassé horsdecettecatégoriedanslesconditionssuivantes siun actifnancierà revenus xesoudéterminablesinitialementdétenu à des ns de transaction n est plus postérieurement àsonacquisition négociablesurunmarchéactife tqueleGroupeadésormaisl intentionetlacapacitédeledétenirdansunavenirprévisible ou jusqu à son échéance alors cet actif nancierpeutêtrereclassédans la catégorie des QSRDS BQMBDRRNTRréserve du respect des critères d éligibilité propres à celle ci endatedetransfert si des circonstances rares entraînent un changement de lastratégie dedétentiond actifsnanciersnon dérivés initialementdétenus à des ns de transaction ces actifs peuvent êtrereclasséssoitdans lacatégoriedesActifs nanciers disponibles K UDMSD soit dans la catégorie desActifs nanciers détenusITRPT KBGMBD sous réserve du respect des critèresd éligibilitépropresàcelle ciendatedetransfert En aucun cas les instruments nanciers dérivés et les actifsnanciersàlajuste valeursuroptionne peuventêtrereclasséshorsde la catégorie desActifs et passifs nanciers à la juste valeur parQRTKSS Un actif nancier initialement enregistré dans la catégorieCDRActifs nanciers disponibles à la vente peut être transféré dansla catégorie desActifs nanciers détenus jusqu à l échéance RNTRréserve du respectdes critères d éligibilité propresà cette catégorieen date de transfert Par ailleurs si un actif nancier à revenusxes ou déterminables initialement enregistré dans la catégorie desActifs nanciers disponibles à la vente n est plus postérieurementà son acquisition négociable sur un marché actif et que le Groupea désormais l intention et la capacité de le détenir dans un avenirprévisibleoujusqu àsonéchéance alorscetactifnancierpeutêtrereclassé dans la catégorie des QSR DS BQMBDR RNTR RDD CTrespectdescritèresd éligibilitépropresàcelle ciendatedetransfert Lesactifsnanciersainsireclasséssonttransférésdansleurnouvellecatégorie à leur juste valeur à la date du reclassement et sontensuite évalués conformément aux dispositions applicables à cettenouvelle catégorie Le coût amorti des actifs nanciers reclassésdes catégoriesActifs nanciers à la juste valeur par résultat NTActifs nanciers disponibles à la vente vers la catégorie QSR DSBQMBDR ainsi que le coût amorti des actifs nanciers reclassésde la catégorieActifs nanciers à la juste valeur par résultat DR KcatégorieActifs nanciers disponibles à la vente sont déterminéssur la base des estimations des ux de trésorerie futurs attendusréalisées en date de reclassement L estimation de ces ux detrésoreriefuturs attendusdoit êtrerévisée àchaque clôture encasd augmentationdesestimationsd encaissementsfutursconsécutiveàune améliorationdeleur recouvrabilité le tauxd intérêt effectif estajustédemanièreprospective Enrevanche s ilexisteuneindicationobjectivededépréciationrésultantd unévénementsurvenuaprèsle * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 reclassement des actifsnanciers considérés et quecetévénementa une incidencenégativesurles uxde trésorerie futursinitialementattendus une dépréciation de l actif concer né est alors enregistréeDNSCTQHRPTDaucomptederésultat 867 (9 ( 85La juste valeur est le prixqui serait reçu pour la vente d un actif oupayépourletransfertd unpassiflorsd unetransactionnormaleentredesintervenantsdumarchéàladated évaluation Lesméthodesdevalorisationutilisées par leGroupepour la détermination de la justevaleurdesinstrumentsnancierssontprésentéesenNote3 4 &2 037% 67 21 1 7 (Lesachatsetlesventesd actifsnanciersclassésenActifsnanciers K ITRSD UKDTQ OQ QRTKSS DActifs nanciers détenus jusqu àKDTQ BGMBDDS DActifs nanciers disponibles à la vente RNScomptabilisésaubilanendatederèglement livraison Lesvariationsdejuste valeurentreladatede négociationetladatederèglement livraison sont enregistrées en résultat ou en capitaux propresen fonction de la classication comptable des actifs nanciersBNBDRDR QSRDSBQMBDRsontenregistrésaubilanenda tededécaissementdesfondsoud échéancedesprestationsfacturées Lorsdeleurcomptabilisationinitiale lesactifsetpassifsnancierssontévaluésàleurjustevaleurenintégrantlesfraisdirectementattribuablesà leur acquisition ou à leur émission (à l exception des instrumentsnancierscomptabilisésàlajustevaleurparrésultatpourlesquelscesfraissontenregistrésdirectementdanslecomptederésultat) Si la juste valeur initialeest fondéeprincipalement sur desdonnéesdemarché observables la différence entre cette juste valeur et le prix detransaction représentativedelamargecommerciale estcomptabiliséeimmédiatementenrésultat Enrevanche silesparamètresdevalorisationutilisés ne sont pas observables ou si les modèles de valorisation nesont pas reconnus parle marché lajustevaleurinitiale del instrumentnancierestréputéeêtreleprixdetransactionetlamargecommercialeest généralement enregistrée en résultat sur la durée de vie del instrument Pourcertainsinstruments comptetenudeleurcomplexité cette marge n est toutefois reconnue en résultat qu à leur maturité oulorsdeleurcessionéventuelleavantterme Lorsquelesparamètresdevalorisationdeviennentobservables la partiedela margecommercialenonencorecomptabiliséeestalorsenregistréeenrésultat &2037% 6 7 2 1 p&7 ) 628 (36 6 )6) 11& (56LeGroupedécomptabilisetoutoupartied unactifnancier(oud ungrouped actifssimilaires) lorsqueles droits contractuelsaux ux detrésoreriedel actifexpirentoulorsqueleGroupeatransférélesdroitscontractuels à recevoir les ux de trésorerie de l actif nancier et laquasi totalitédesrisquesetavantagesliésàlapropriétédecetactif Le Groupe décomptabilise également les actifs nanciers dont il aconservélesdroitscontractuelsàrecevoirlesuxdetrésoreriemaisa l obligation contractuelle de reverser ces mêmes ux à un tiersORRSGQNTFG FQDDLDMSu DS CNS HK SRE K TRHSNSKHSdesrisquesetavantages DanslecasoùleGroupeatransféré lesux de trésoreried unactifnanciermaisn anitransféréniconservélaquasi totalitédesrisquesetavantagesliésàlapropriétédel actifnancieretn apasconservéen pratique le contrôle de l actif nancier il décomptabilise l actifnancier et enregistre alors distinctement si nécessaire un actif ouunpassifreprésentantlesdroitset obligationscréésouconservésàl occasion du transfertdel actif SileGroupe aconservélecontrôledel actifnancier ilmaintientcedernieràsonbilanàhauteurdesonimplicationcontinuedanscetactif Lorsdeladécomptabilisationd unactifnancierdanssonintégralité un gain ou une perte de cession est enregistré dans le compte derésultatpourunmontantégalàladifférenceentrelavaleurcomptablede cet actif et la valeur de la contrepartie reçue corrigée le caséchéant de tout prot ou perte latent qui aurait été antérieurementcomptabilisédirectementencapitauxpropresetdelavaleurdetoutactifoupassifdegestion LeGroupedécomptabiliseunpassifnancier(ouunepartiedepassifnancier) lorsque ce passif nancier est éteint c est à dire lorsquel obligationpréciséeaucontratestéteinte estannuléeouestarrivéeàexpiration Un passif nancier peut également être d écomptabilisé en casde modication substantielle de ses conditions contractuelles oud échange avec le prêteur contre un instrument dont lesconditionscontractuellessontsubstantiellementdifférentes Les informations sur la gestion des risques associés aux instruments nanciers ainsi que les informations sur la gestion du capital et lerespect desratios réglementairesrequisespar le référentielIFRS telqu adoptédansl Unioneuropéenne sont présentéesdans le chapitre4duprésentDocumentderéférence(Risquesetadéquationdesfondspropres) Latypologiedesrisquesestdécritedanslechapitre3duprésentDocumentderéférence(Gouvernementd entreprise)page115 Ces informations font partie intégrante des notes annexes aux Etats nanciers consolidés du Groupe et sont couvertes par l opinion desCommissairesauxcomptessurlescomptesconsolidés ellessontidentiéescommetelledanslechapitre4duprésentDocumentderéférence IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 127(&7 )6 (7366 )6 ) 11& (56 867(9 (853 5568 77(EnMEUR)FWLI3DVVLIFWLI3DVVLI3RUWHIHXLOOHGHWUDQVDFWLRQInstrumentsnanciersàlajustevaleurparrésultatsuroption7RWDODonttitresreçus donnésenpensionlivrée1361571412651188701415453257()(8 ( (75 16&7 2135 1& 3(6&2037% (6Leportefeuilledetransactionregroupelesac tifsetpassifsnanciersquisont lorsdeleurcomptabilisationinitiale soitacquisouencourusavecl intentiondelesrevendreoudelesracheteràcourtterme soitdétenusdanslecadred uneactivitédemainteneurdemarché soitacquisou encourusdansle cadred unegestionspécialiséede portefeuille de transaction comprenant des instrumentsnanciers dérivés de s titres ou d autres instruments nanciersquisontgérésensemble etprésentantdesindicationsd unprolrécentdeprisedebénécesàcourtterme Les instruments nanciers dérivés sont classés par défaut enportefeuilledetransaction saufàpouvoirêtrequaliésd instrumentsCDBNTDSTDBE NSDLesinstrumentsnanciersduportefeuilledetransactionsontévaluésà leur juste valeur en da te de clôture et portés au bilan dans laTAHTDActifs ou passifs nanciers à la juste valeur par résultatLesvariations deleurjuste valeursontenregistréesenrésultatdansKTAHTDGainsoupertesnetssurinstrumentsnanciersàlajusteUKDTQOQQRTKSSACT IF(EnMEUR)2EOLJDWLRQVHWDXWUHVLQVWUXPHQWVGHGHWWHVFWLRQVHWDXWUHVLQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHVAutresactifsnanciersnondérivés ULYVGHWUDQVDFWLRQ7RWDODonttitresprêtés1567011001Cf Note3 2Instrumentsnanciersdérivés PAS SI F(EnMEUR) HWWHVUHSUVHQWHVSDUXQWLWUH HWWHVVXUWLWUHVHPSUXQWV2EOLJDWLRQVHWDXWUHVLQVWUXPHQWVGHGHWWHVYHQGXVGFRXYHUWFWLRQVHWDXWUHVLQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHVYHQGXVGFRXYHUWAutrespassifsnanciersnondérivés ULYVGHWUDQVDFWLRQ7RWDOCf Note3 2Instrumentsnanciersdérivés * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 167580 (176) 11& (56 867(9 (853556 8 77685237 2135 1& 3(6&2037% (6Aux actifs et passifs nanciers détenus à des ns de transactions ajoutent dans lesmêmes rubriquesdesétats nanciers les actifset passifs nanciers non dérivés que le Groupe a désignés dèsl originepourêtreévaluésenjustevaleurencontrepartiedu comptede résultat Les variations de leur juste valeur sont enregistréesD RTKSS CR K TAHTD&HMR NT ODQSDR MDSR RTQ HMRSQTLDMSRnanciersàlajustevaleurparrésultatL applicationdecetteoptionestlimitéeauxsituationssuivantes lorsqu elle permet l élimination ou la réduction signicative dedécalagesentrelestraitementscomptablesdecertains actifsetpassifsnanciers lorsqu elles appliqueàuninstrumentnancierhybridecomportantunou plusieursdérivés incorporés qui devraient alternativementfairel objetd unecomptabilisationdistincte lorsqu un groupe d actifs et ou de passifs nanciers est géré etsaperformanceestévaluéesurlabasedelajustevaleur Le Groupe évalue ainsi à la juste valeur en contrepartie du comptede résultat certaines émissions obligataires structurées du métierde Banque de Financement et d Investissement Ces émissionss inscrivent dans lecadre d une activitéexclusivementcommercialedontlesrisquessont couvertspardesretournementssurlemarchéau moyen d instruments nanciers gérés au sein des portefeuillesde transaction L utilisation de l option juste valeur permet ainsi degarantirlacohérenceentreletraitementcomptabledecesémissionset celui des instruments nanciers dérivés couvrant les risques demarchéinduitsparcesdernièresetquisontobligatoirementévaluésàlajustevaleur Le Groupe évalue également à la juste valeur en contrepartie ducomptederésultat les actifs nanciers représentatifs des contratsenunitésdecomptedeslialesd assurancevieduGroupeand éliminerle décalage de traitement comptable avec les passifs d assuranceafférents Conformément à la norme IFRS 4 les passifs d assurancesontcomptabilisésenappliquantlesnormescomptableslocales Lesrevalorisations des provisions techniques des contrats en unités decompte directement liées aux revalorisations des actifs nanciersdétenus en représentation de ces provisions sont donc enregistréesdanslecomptederésultat L utilisationdel optionjustevaleurpermetainsidecomptabiliserlesvariationsdejustevaleurdesactifsnancierspar résultat symétriquement à la comptabilisation des variations dupassifd assuranceassociéàcescontratsenunitésdecompte Par ailleurs pour simplier leur traitement comptable en évitantl enregistrement séparé des dérivés incorporés le Groupe appliquel option juste valeur aux obligations convertibles en actions qui nesontpasdétenuesàdesnsdetransaction ACT IF(EnMEUR)2EOLJDWLRQVHWDXWUHVLQVWUXPHQWVGHGHWWHVFWLRQVHWDXWUHVLQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHVAutresactifsnanciersFWLIVGLVWLQFWVSRXUUJLPHVGDYDQWDJHVGXSHUVRQQHO7RWDOPAS SI FLes passifs nanciers à la juste valeur par résultat sur option sontessentiellement constitués par les émissions structurées du groupeSociétéGénérale La variation de juste valeur attribuable au risquede crédit propre a généré un produit de 782millions d euros au31décembre 2015 Les écarts de réévaluation liés au risque decrédit émetteur du Groupe sont évalués à l aide d e modèles tenantcomptedesconditionslesplusrécentesderenancementeffectifdugroupeSociétéGénéralesurlesmarchésetdelamaturitérésiduelleCDRORRHERBNBDRAu31décembre 2015 ladifférenceentre lajustevaleurdespassifsnanciers à la juste valeur par résultat sur option (54050millionsd euroscontre44280millionsd eurosau31décembre2014)etleurmontant remboursable à maturité (53769millions d euros contre43767millionsd eurosau31décembre2014)s élèveà281millionsd euros(513millionsd eurosau31décembre2014) IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( * 16283( 57(61(76685 167580(176) 11& (56 867(9 (8535568 77(EnMEUR)5VXOWDWQHWVXUSRUWHIHXLOOHGHWUDQVDFWLRQRésultatnetsurinstrumentsnanciersàlajustevaleursuroptionRésultatsurinstrumentsnanciersdérivésdetransaction5VXOWDWQHWVXURSUDWLRQVGHFRXYHUWXUHRésultatnetsurinstrumentsnanciersdérivésdecouverturedejustevaleur(2004)6533Réévaluationdesélémentscouvertsattribuableauxrisquescouverts2248(5839)Partinefcacedelacouverturedeuxdetrésorerie Résultatnetdesopérationsdechange7RWDODanslamesureoùleschargesetproduitsprésentésdanslecomptederésultatsontclassésparnatureetnonpardestination lerésultatnetdes activitéssurinstrumentsnanciersàla juste valeur par résultatdoit être appréhendéglobalement Il convient de noterque les résultats ci dessus n intègrent pas le coût de renancementde cesinstrumentsnanciers quiestprésentéparmileschargesetproduitsd intérêts * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 127( 167580(176) 1 1& (56 5 9635 1& 3(6&2037% (6LesinstrumentsnanciersdérivéssontdesinstrumentsquiprésententKDRSNHRBBSHRSHTDRRTHSDR leur valeur uctue en fonction de la variation d un sous jacent(taux d intérêt cours de change actions indices matièrespremières notationsdecrédit etc ) ilsnerequièrentqu uninvestissementinitialfaibleounul leurrèglementintervientàunedatefuture Tous les instruments nanciers dérivés sont comptabilisés à leurjuste valeur au bilan parmi les actifs ou passifs nanciers Ils sontcomptabilisés par défaut comme des instruments de transaction saufàpouvoirêtrequaliésd instrumentsdecouverture &6357 &8 (5 (6 167580(176 5 96685&7 2 16352 35(6Les instruments nanciers dérivés ayant comme sous jacent lesactionsSociétéGénéraleoulesactionsdelialesduGroupeetquisontobligatoirementdénouésparl échanged unmontantxedetrésorerie(oud unautreactif nancier)contreunnombrexe d actionspropres(autres que des dérivés) sont qualiés d instruments de capitauxpropres Ces instruments ainsi que les primes et soultes payées oureçuesquis yrapportent sontinscritsdirectementencapitauxpropresdès leurenregistrement initial et ne fontl objet d aucune réévaluationultérieure Lesventesd optionsdeventesuractionspropresdonnentlieu à l enregistrement d une dette pour la valeur actuelle de leur prixd exerciceparcontrepartiedescapitauxpropres Les autres instruments nanciers dérivés ayant comme sous jacentdesactionspropressontquantàeuxcomptabilisésaubilanenjustevaleurcommelesinstrumentsnanciersdérivésn ayantpascommesous jacentdesactionspropres 75 7(0(17 (6 167580(176 5 96 1&253256Uninstrumentdérivéincorporéestunecomposanted uninstrumentnancierhybride Sicetinstrumentnancierhybriden estpasévaluéen juste valeur en contrepartie du compte de résultat le Groupesépare le dérivé incorporé de son contrat hôte dès lors que dèsl initiation de l opération les caractéristiques économiques et lesrisques associés de cet instrument dérivé ne sont pas étroitementliésauxcaractéristiques etrisques ducontrat hôteetqu ilrépondàladénitiond uninstrumentdérivé L instrumentnancierdérivéainsiséparéestcomptabiliséàsajustevaleuraubilanen BSHERNTORRHERnanciers à la juste valeur par résultat CR KDR BNCHSHNR CBHSDRci avant Lecontrat hôteestclassé et évalué parmiles actifsou lespassifsnanciersenfonctiondesacatégoriecomptable 167580 (176) 11& (56 5 96 (75 16&7 2135 1& 3(6&2037% (6Les instruments nanciers dérivés de transaction sont inscrits aubilan pour leur juste valeur dans les rubriques BSHER NT ORRHERnanciersà lajustevaleurparrésultat Lesvariationsde juste valeursont enregistrées au compte de résultat dans la rubrique&HMR NTpertesnetssurinstrumentsnanciersàlajustevaleurparrésultatLes variations de juste valeur constatées sur les instruments nanciersdérivésconclusavecdescontrepartiesquisesontultérieurementavéréesdéfaillantessontcomptabiliséesen&HMRNTODQSDRMDSRRTQHMRSQTLDMSRnanciersàlajustevaleurparrésultatjusqu àladated annulationdecesinstrumentsetdeconstatationaubilan pourleurjustevaleuràcettemêmedate descréancesoudettesvis à visdescontrepartiesconcernées LeséventuellesdépréciationsultérieuresdecescréancessontenregistréesenNSCTQHRPTDdanslecomptederésultat 7 (6 167580( 176) 1 1& ( 5 6 5 9 6 (75 16 &7 2 1(EnMEUR)FWLI3DVVLIFWLI3DVVLI QVWUXPHQWVGHWDXGLQWUÇWInstrumentsdechange QVWUXPHQWVVXUDFWLRQVHWLQGLFHV QVWUXPHQWVVXUPDWLUHVSUHPLUHV ULYVGHFUGLWAutresinstrumentsnanciersàterme7RWDOLeGroupeutilisedesdérivésdecréditdanslecadredelagestionduONSDEDTHKKD CD BCHSRBNQONQSD Ils permettent essentiellement deréduirelesconcentrationsindividuelles sectoriellesetgéographiquesetd assurerunegestionactivedesrisquesetducapitalalloué Tousles dérivés de crédit quelle que soit l intention de gestion sontévalués en juste valeur en contrepartie du compte de résultat et nepeuvent pas être qualiés comptablement de couverture d actifsnanciers Ils sont donc présentés pour leur juste valeur parmi lesinstrumentsnanciersdérivésdetransaction IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 167580(176) 11& (56 5 96 (&289(5785(35 1& 3(6&2037% (6An de couvrir certains risques de marché le Groupe met enplace des couvertures au moyen d instruments nanciers dé rivés Comptablement ces opérations peuvent être qualiées decouverture dejuste valeur ou de couverture de ux de trésorerieoudecouvertured uninvestissementnetàl étranger selonles risquesoulesinstrumentsàcouvrir Pourqualiercomptablementcesopérationscommedesopérationsdecouverture leGroupedocumentedefaçondétailléelarelationdecouverturedèssamiseenplace Cettedocumentationprécisel actif le passif ou la transaction future couverte le risque faisant l objetde la couverture etla stratégie associée degestionde ce risque letype d instrument nancier dérivé utilisé et la méthode d évaluationquiseraappliquéepourmesurerl efcacitédelacouverture L instrument nancier dérivédésigné commeinstrument de couverturedoit être hautement efcace an de compenser la variation dela justevaleur ou des ux de trésorerie découlant du risque couvert Cetteefcacitéestvériéelorsquelesvariationsdelajustevaleuroudesuxdetrésoreriedel élémentcouvertsontpresquetotalementcompenséespar les variations de la juste valeur ou des ux de trésorerie del instrumentdecouverture le rapportattendu entre lesdeux variationsétantcomprisdanslafourchette80% 125% L efcacitéestappréciéeà la mise en place de la couverture puis tout au long de sa durée devie Elle est mesurée trimestriellement de façon prospective (efcacitéescomptéesurlespériodesfutures)etrétrospective(efcacitéconstatéesurlespériodespassées) Sil efcacitésortdelafourchetteprécitée lacomptabilitédecouvertureestinterrompue Les instruments nanciers dérivés de couverture sont portés au bilanpourleurjustevaleurdanslarubrique(MRSQTLDMSRCQHURCDBNTUDQSTQD&28 9( 5785( ( 86 7(9 (85L objectifdecetterelationdecouvertureestdeseprémunircontreunevariationdéfavorabledelajustevaleurd unélémentquipourraitaffecterlecomptederésultatencasdesortiedel élémentcouvertdubilan Les variations de juste valeur de l instrument nancier dérivé decouverturesontenregistréesaucompte derésultatdanslarubriqueGainsou pertes netssur instruments nanciersà la juste valeur parQRTKSS maiss agissantdedérivésdetaux la partiecorrespondantau réescompte de l instrument nancier dérivé est présentée aucompte de résultat dans la rubrique QNCTHSR DS BGQFDR CHMSQSRm #QHUR CD BNTUDQSTQD symétriquement aux produits ou chargesd intérêtsrelatifsàl élémentcouvert Au bilan la valeur comptable de l élément couvert est ajustée desgainsoudespertes attribuables à laréévaluation durisque couvert KDRTDKR RNS BNRSSR CR K TAHTD&HMR NT ODQSDR MDSR RTQinstruments nanciers à la juste valeur par résultat du compte derésultat Dans la mesureoù la relationdecouverture est hautementefcace les variations de juste valeur de l élément couvert secompensent dans le compte de résultat avec les variations dejuste valeur de l instrument nancier dérivé de couverture l écartreprésentantungainouuneperted inefcacité L efcacité prospective de la couverture est évaluée par uneanalyse de sensibilité à partir deRBDMQHHprobables d évolution desparamètresdemarchéouparuneanalysederégressionissued unerelationstatistique(corrélation) entrecertainesdes composantesdel élémentcouvertetdel instrumentdecouverture L efcacité rétrospective est appréciée en comparant les variationsde juste valeur de l instrument de couverture avec les variations dejustevaleurdel élémentcouvert S il s avère que l instrument nancier dérivé ne respecte plusles critères d efcacité imposés dans le cadre d une relation decouverture ou si l instrument nancier dérivé est liquidé ou vendu la comptabilité de couverture cesse d être appliquée et ce surune base prospective La valeur au bilan de l élément d actif ou depassif ayant fait l objet de la couverture n est postérieurement plusajustée pour reéter les variations de juste valeur attribuable aurisque couvert et les ajustements cumulés au titre du traitementde couverture sont amortis sur la durée de vie restant à courir del élément antérieurement couvert La comptabilité de couverturecesse également d être appliquée si l élément couvert est venduavantl échéanceourembourséparanticipation &28 9(5785( () 8 (75 625(5 (Les couvertures de ux de trésorerie sur taux d intérêt pe rmettentdecouvrirdesélémentsexposésauxvariationsde uxdetrésoreriefutursliésàuninstrumentnanciercomptabiliséaubilan(prêts titresou dettes à taux variable) ou à une transaction future hautementprobable(tauxxesfuturs prixfuturs etc ) L objectifdecetterelationde couverture est de se prémunir contre une variation défavorabledes ux de trésorerie futurs d un élément susceptible d affecter lecompte de résultat Les variations de juste valeur des instrumentsnanciersdérivésdecouverturesontenregistréesparmiles&HMRDSODQSDRBNLOSAHKHRR CHQDBSDLDMSDMBOHSTWOQNOQDRONTKDTOSefcace tandisquelapartieinefcaceestconstatéeauposte&HMRoupertesnetssurinstrumentsnanciersàlajustevaleurparrésultatdu compte de résultat S agissant de dérivés de taux la partiecorrespondant au réescompte de l instrument nancier dérivé estinscrite au compte de résultat dans la rubrique QNCTHSR DS BGQFDRCHMSQSR m CQHUR CD BNTUDQSTQD symétriquement aux produits ouchargesd intérêtsrelatifsàl élémentcouvert L efcacité de lacouverture est mesurée pa rlaméthode du dérivéhypothétiquequiconsisteàcréerundérivéhypothétiquerépliq uantexactement les caractéristiques de l élément couvert (en termesde notionnel de date de rexation des taux de taux ) de sensinverseàl élémentcouvert etdontlaju stevaleur estnulleàlamiseenplacedelarelationdecouverture puisàcomparerlesvariationsde juste valeur attendues du dér ivé hypothétique avec celles del instr umentdecouverture(analysedesensibilité)ouàeffectueruneanalysederégressionpourl efcacitéprospe ctivedelacouverture En outre seule la «sur couverture» donne lieu à la constatationd uneinefcacité Lesmontantsinscritsencapitauxpropresautitredelaréévaluationdesinstrumentsnanciersdérivésdecouverturedeuxdetrésoreriesontrepris ultérieurement dans le poste QNCTHSR DS BGQFDR CHMSQSR CTcomptederésultataumêmerythmequelesuxdetrésoreriecouverts Lorsque l instrument nancier dérivé ne respecte plus les critèresd efcacitéimposésdanslecadred unerelationdecouvertureousil instrument nancier dérivéest liquidéou vendu la comptabilité decouverturecessed êtreappliquéeetce surunebaseprospective * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 Lesmontants inscrits précédemment dans lescapitauxpropres sontDBKRRRTONRSD QNCTHSRDSBGQFDRCHMSQSRducomptederésultataucoursdespériodessurlesquelleslamarged intérêtsubitl incidencedelavariabilité des ux de trésorerie découlant de l élément couvert Sil élémentcouvertestvenduourembourséavantl échéanceprévueou si la transaction future couverte n est plus hautement probable les gains et les pertes latents inscrits dans les capitaux propres sontimmédiatementcomptabilisésdanslecomptederésultat &28 9( 5785( p81 19( 67 66( 0( 171(7 p 75 1* (5 %( (1 ( 9 6(6L objectifdelacouvertured uninvestissementnetdansuneentrepriseétrangèreestdeseprémunircontrelerisquedechange L élément couvert est un investissement réalisé dans un pays dontla monnaie est différente de la monnaie fonctionnelle du Groupe Il s agit donc de couvrir la situation nette d une liale ou d unesuccursale étrangère contre un risque de change par rapport à ladevisefonctionnelledel entité La partie efcace des variations de juste valeur relatives auxinstrumentsnanciersdérivésqualiéscomptablementdecouvertured investissementnetestinscrite dansles capitauxpropresen&HMRDSODQSDR BNLOSAHKHRR CHQDBSDLDMSDM BOHSTW OQNOQDR SCHR TDlapartieinefcaceestportéeaucomptederésultat 0&52 &2 89(5785( ( 867(9 (85Les instruments nanciers dérivés de taux utilisés dans le cadre dece type de couverture ont pour objet de couvrir de façon globalele risque structurel de taux issu principalement des activités de laBanque de détail Pour le traitement comptable de ces opérations le Groupe applique les dispositions prévues par la norme IAS39telle qu adoptée dans l Union européenne (IAS39hBQUDNTSvpermettantainsidefaciliter l éligibilité aux relations de couverture de juste valeur desopérations de macro couverture réalisées dans le cadre de lagestion actif passif qui incluent les dépôts à vue de la clientèledanslespositionsàtauxxeainsicouvertes la réalisation des tests d efcacité prévus par la norme IAS39tellequ adoptéedansl Unioneuropéenne Letraitementcomptabledesinstrumentsnanciersdérivésqualiéscomptablement de macro cou verture de jus te valeur est similaireà celui des instruments nanciers dérivés de couverture de justevaleur Lesvariationsdejustevaleurdesportefeuillesd actifsetdepassifs nanciers macro couverts sont quant à elles enregistréesdans une ligne spécique du bilan intituléeBQS C D QUKTSHNMCDR ONQSDEDTHKKDR BNTUDQSR DM STW par la contrepa rtie du compteCDRTKSS 7 (6 167580( 176) 1 1& ( 5 6 5 9 6 (&289( 5785((EnMEUR)FWLI3DVVLIFWLI3DVVLI&RXYHUWXUHGHMXVWHYDOHXU QVWUXPHQWVGHWDXGLQWUÇWInstrumentsdechange QVWUXPHQWVVXUDFWLRQVHWLQGLFHVCouverturedeuxdetrésorerie QVWUXPHQWVGHWDXGLQWUÇWInstrumentsdechangeAutresinstrumentsnanciers7RWDO IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( Le Groupe met en place des relations de couverture qualiéescomptablementdecouverturedejustevaleurandecouvrirlesactifsetpassifsnanciersàtauxxecontrelesvariationsdetauxd intérêtà long terme essentiellement les prêts emprunts les émissions detitres et les titres à taux xe Les instruments de couverture utiliséssontprincipalementdesRVORdetauxd intérêt D &NTOD T SHSD CD BDSHDR CD RDR BSHHSR CD TD CDFinancement et d Investissement est exposé à la variation dans lefuturdesuxdetrésoreriesursesbesoinsderenancementàcourtetàmoyentermeetmetenplacedesrelationsdecouverturequaliéescomptablement de couverture de ux de trésorerie Le besoin derenancement hautement probable est déterminé en fonction dedonnées historiques établies par activité et représentatives desencoursdubilan Cesdonnéespeuventêtrerevuesàlahausseouàlabaisseenfonctiondel évolutiondesmodesdegestion Les tableaux suivants présentent le montant ventilé par dateprévisionnelle de tombée des uxde trésoreriefaisantl objet d unecouverture de ux de trésorerie et le montant des transactionshautementprobablescouvertes (EnMEUR) XVTXPRLV HPRLVDQ HDQDQV3OXVGHDQV)OXGHWUVRUHULHYDULDEOHVFRXYHUWVWDXfTransactionsfutureshautementprobablesAutres(change )TotaluxdetrésoreriecouvertsenRGKNVDCFD(EnMEUR) XVTXPRLV HPRLVDQ HDQDQV3OXVGHDQV)OXGHWUVRUHULHYDULDEOHVFRXYHUWVWDXfTransactionsfutureshautementprobablesAutres(change )TotaluxdetrésoreriecouvertsenRGKNVDCFD(1**(0(1766 85 167580(176) 11& ( 56 5 96127 211( 6(EnMEUR)2SUDWLRQVGHWUDQVDFWLRQ2SUDWLRQVGHFRXYHUWXUH2SUDWLRQVGHWUDQVDFWLRQ2SUDWLRQVGHFRXYHUWXUH QVWUXPHQWVGHWDXGLQWUÇW QVWUXPHQWVIHUPHVSwapsContratsàtermedetaux QVWUXPHQWVFRQGLWLRQQHOV QVWUXPHQWVGHFKDQJH QVWUXPHQWVIHUPHV QVWUXPHQWVFRQGLWLRQQHOV QVWUXPHQWVVXUDFWLRQVHWLQGLFHV QVWUXPHQWVIHUPHV QVWUXPHQWVFRQGLWLRQQHOV QVWUXPHQWVVXUPDWLUHVSUHPLUHV QVWUXPHQWVIHUPHV QVWUXPHQWVFRQGLWLRQQHOV ULYVGHFUGLWAutresinstrumentsnanciersàterme7RWDO * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 &+1&(6 (6(1** (0(176685 167580 (176) 11& (56 5 96127 211( 6(EnMEUR)0RLQVGHPRLV HPRLVPRLQVGHDQ HDQDQVPlusde5ans QVWUXPHQWVGHWDXGLQWUÇWInstrumentsdechange QVWUXPHQWVVXUDFWLRQVHWLQGLFHV QVWUXPHQWVVXUPDWLUHVSUHPLUHV ULYVGHFUGLWAutresinstrumentsnanciersàterme7RWDOCesélémentssontprésentésenfonctiondeséchéancescontractuellesdesinstrumentsnanciers IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 127(&7 )6) 11& (56 6321 % (6 9(17(35 1& 3(6&2037% (6Les actifs nanciers disponibles à la vente sont les actifs nanciersnondérivésdétenuspourunepériodeindéterminéeetqueleGroupepeutêtreamenéàcéderàtoutmoment Pardéfaut cesontlesactifsnanciers qui ne sont classés ni en QSR DS BQMBDR H D BSHERnanciersàlajustevaleurparrésultatHDActifsnanciersdétenusITRPTKBGMBDLes revenus courus ou acquis des titres de dettes sont enregistrésen résultat sur la base du taux d intérêt effectif parmi les(MSQSRDS OQNCTHSR RRHLHKR lOpérations sur instruments nanciers DRrevenus des titres decapitauxpropressont enregistrés quantàeuxCRKTAHTDGainsoupertesnetssuractifsnanciersdisponiblesKUDMSDducomptederésultat En date de clôture les actifs nanciers disponibles à la vente sontévalués à leur juste valeur et les variations de juste valeur horsDDTRRNSHRBHSDRD&HMRDSODQSDRBNLOSAHKHRRCHQDBSDLDMSDMBOHSTWOQNOQDR àl exceptiondesécartsdechangesurlesactifsmonétairesendevisesquisontenregistrésenrésultat En cas de cession de ces actifs nanciers les gains et pertes latentscomptabilisés en capitaux propres sont reclassés en résultat dans laTAHTDGainsoupertesnetssuractifsnanciersdisponiblesàlaventePar ailleurs s il existe en date de clôture une indication objectivede dépréciation d un actif nancier disponible à la vente découlantd un ou plusieurs événements postérieurs à sa comptabilisationinitiale la perte latente accumulée antérieurement en capitauxONODR DRS DBKRRD D RTKSS CR K TAHTDNS CT QHRPTDpour les instruments de dettes et dans la rubrique GHMR NT ODQSDRnets sur actifsnanciers disponibles à la vente pour lesinstrumentsde capitaux propres Les règles de dépréciation appliquées sontCBHSDRCRK NSD&7 )6) 11& (56 6321 % (6 9(17((EnMEUR)1HWdontdépréciation1HWdontdépréciation QVWUXPHQWVGHGHWWHV(266)(268) QVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHV(363)(1245)7LWUHVDFWLRQVGWHQXVORQJWHUPH(510)(525)7RWDOdonttitresprêtés119 YcomprislesOPCVM 02 89(0(176685&7 )6) 1 1& ( 56 6 32 1 % (6 9(17((EnMEUR)6ROGHDXHUMDQYLHUFTXLVLWLRQV&HVVLRQVUHPERXUVHPHQWV9DULDWLRQVGHSULPWUHHWDXWUHVGainsetpertessurvariationsdejustevaleurdelapériodecomptabilisésencapitauxpropres9DULDWLRQGHVGSUFLDWLRQVVXULQVWUXPHQWVGHGHWWHVFRPSWDELOLVHHQUVXOWDWDont augmentation(10)reprise38autres(26)3HUWHVGHYDOHXUVXULQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHVFRPSWDELOLVVHQUVXOWDWVariationdescréancesrattachéesDifférencesdechange6ROGHDXGFHPEUHLescessionssontvaloriséesselonlaméthodeducoûtmoyenpondéré * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 * 16283(57(61( 76(7352 8 76 p 17576685&7 )6) 11& (56 6321 % (6 9(17((EnMEUR)3URGXLWVGHGLYLGHQGHVVXULQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHV3OXVRXPRLQVYDOXHGHFHVVLRQVXULQVWUXPHQWVGHGHWWHV3OXVRXPRLQVYDOXHGHFHVVLRQVXULQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHV3HUWHGHYDOHXUGHVLQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHVParticipationauxbénécessuractifsnanciersdisponiblesàlaventedeslialesd assurance3OXVRXPRLQVYDOXHGHFHVVLRQVXULQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHVGWHQXVORQJWHUPH3HUWHGHYDOHXUGHVLQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHVGWHQXVORQJWHUPHTotalGainsetPertesnetssuractifsnanciersdisponiblesàlaventeProduitsd intérêtssuractifsnanciersdisponiblesàlaventeDont4millionsd eurosautitredesactivitésd assuranceen2015 Dont994millionsd eurosautitredesactivitésd assuranceen2015 Dont 98millionsd eurosautitredesactivitésd assuranceen2015 &20326 7 21 (6* 16( 73(57(6 7( 176&2037% 6 6 5(&7( 0(17( 1&3 78 35235(6(EnMEUR)3OXVYDOXHVODWHQWHV0RLQVYDOXHVODWHQWHV5YDOXDWLRQQHWWH*DLQVHWSHUWHVODWHQWVVXULQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHVGLVSRQLEOHVODYHQWH*DLQVHWSHUWHVODWHQWVVXULQVWUXPHQWVGHGHWWHGLVSRQLEOHVODYHQWH*DLQVHWSHUWHVODWHQWVGHVVRFLWVGDVVXUDQFH7RWDODont552millionsd eurosautitredesactionsVisaEurope(cf Note3 4 4) IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 127( 867(9 (85 (6 167580(176) 11& (56 9 86 (1 867(9 (8535 1& 3(6&2037% (6 ) 1 7 21 ( 867(9 (85La justevaleur est le prixqui serait reçu pour lavente d un actif oupayépourletransfertd unpassiflorsd unetransactionnormaleentredesintervenantsdemarchéàladated évaluation Enl absencedeprixobservablepourunactifouunpassifidentique lajustevaleurdesinstrumentsnanciersestdéterminéeàl aided uneautretechniqued évaluationquimaximisel utilisationdedonnéesdemarchéobservablesenretenantdeshypothèsesquelesintervenantsdumarchéutiliseraientpourxerleprixdel instrumentconsidéré + 5 5&+ ( ( 867 (9 ( 85Àdesnsd informationenannexedescomptesconsolidés lajustevaleur des instruments nanciers est présentée selonune hiérarchiedesjustesvaleursquireètel importancedesdonnéesutiliséespourréaliserlesévaluations Lahiérarchiede sjustesvaleurssecomposeCDRHDTRTHSR1LYHDX1 QVWUXPHQWVYDORULVVSDUGHVSULQRQajustés)cotéssurdesmarchésactifspourdesactifsouGHVSD VVLIVLGHQWLTXHVLes instruments évalués en juste valeur au bilan et présentés dansce niveau 1 comprennent notamment les actions cotées sur unmarchéactif les obligations d Étatsou d entreprisesquibénécientCD BNSSHNR DSDDR CHDBSDR BNSSHNRAQNJDQRCDKDQR KDRinstruments dérivés traités sur les marchés organisés (futures options) les parts de fonds (y compris les OPCVM) dont la valeurliquidativeestdisponibleendated arrêtédescomptes Uninstrumentnancierestconsidérécommecotésurunmarchéactifsi descourssontaisémentetrégulièrementdisponibles auprèsd uneBourse d un courtier d un négociateur d un secteur d activité d unserviced évaluationdesprixoud uneagenceréglementaireetquecesprix représententdestransactionsréelleset intervenantrégulièrementsurlemarchédansdesconditionsdeconcurrencenormale L appréciation du caractère inactif d un marché s appuie sur desindicateurstelsquelabaissesignicativeduvolumedestransactionset du niveau d activité sur le marché la forte dispersion des prixdisponibles dans le temps et entre les différents intervenants demarché mentionnésRTOQou l anciennetédes dernières transactionsobservéessurlemarchédansdesconditionsdeconcurrencenormale Lorsque l instrument nancier est traité sur différents marchés et quele Groupe a un accès immédiat à ces marchés la juste valeur del instrumentnancierestreprésentéeparleprixdumarchésurlequellesvolumesetniveauxd activitésontlesplusélevéspourcetinstrument DR SRBSHNR RTKSS CD RHSTSHNR CD DSDR ENBDR D RNSgénéralement pas prises en compte pour la détermination du prixdemarché Niveau2(N2) Instrumentsvalorisésàl aidededonnéesDXWUHVTXHOHVSULFRWVYLVVDXQLYHDXHWTXLVRQWREVHU YDEOHVSRXUOâDFWLIRXOHSD VVLIFRQFHUQVRLWdirectement(àsavoirdesprix)ouindirectement(àsavoirGHVGR QQHVGULYHVGHSULLesinstrumentsnancierscotéssurdesmarchésconsidéréscommeinsufsamment actifs ainsi que ceux négociés sur des marchés degré àgré sontprésentésdansceniveau2 Les prix publiésparunesourceexterne dérivésdel évaluationd instrumentssimilaires sontconsidéréscommedesdonnéesdérivéesdeprix SontnotammentprésentésdanslacatégorieN2lestitresévaluésenjustevaleuraubilan quinebénécientpasdecotationsdirectes(celapeut inclure des obligations d entreprises des titres adossés à desprêts hypothécaires des parts de fonds) ainsi que les instrumentsnanciers dérivés fermes et optionnels du marché de gré à gré contratsd échangedetauxd intérêt caps oors swaptions optionssuractions surindices surcoursdechange surmatièrespremières dérivés decrédit Ces instruments ont desmaturités correspondantaux zones de termes communément traitées dans le marché etpeuvent être simples ou bien présenter des prols de rémunérationpluscomplexes(optionsàbarrière produitsàsous jacentsmultiplesparexemple) lacomplexitérestantcependantlimitée Lestechniquesdevalorisationalors utilisées fontappelà des méthodes usuellesetpartagéesparlesprincipauxintervenantsdemarché Cette catégorie comprend également la juste valeur des prêts etcréances évalués au coût amorti au bilan et pour lesquels le risquedecréditdelacontrepartiefaitl objetd unecotation sousforme deQDCHS#DETKS2VO21LYHDX1 QVWUXPHQWVSRXUOHVTX HOVOHVGRQQHVXWLOLVHVSRXUODYDORULVDWLRQQHVRQWSDVEDVHVVXUGHVGRQQHVREVHU YDEOHVGHPDUFKGRQQHVGLWHVQRQREVHU YDEOHVIl s agit essentiellement d instruments nanciers évalués à la justevaleur au bilan pour lesquels la marge commerciale n est pascomptabiliséeimmédiatementenrésultat(cf Note3) Ainsi les instruments nanciers classés en catégorie N3comprennent les dérivés ayant des échéances plus longues quecelles traitées habituellement sur les marchés et ou dont les prolsderémunérationp résententdesspécicitésmarquées Demême lesdettes structurées valorisées en juste valeur au bilan sont classéesen N3 dès lors que les dérivés incorporés qui les concernent sontégalementvaloriséssurlabasedeméthodesutilisantdesparamètresNNARDAKDRS agissantde sdérivéscomplexes lesprincipauxinstrumentsenN3RNSKDRRTHSR Dérivés sur actions contrats optionnels de maturité longue et ouprésentantdesmécanismesderémunérationsurmesure Cesinstrumentssontsensiblesàdesparamètresdemarché(volatilités taux de dividende corrélations ) dont le marquage dépend enl absencedeprofondeurdemarchéetd uneobjectivationpossiblepar des prix régulièrement traités de méthodes propriétaires (parexempleextrapolationdedonnéesobservables analysehistorique) Lesproduitshybridesactions(c est à diredontaumoinsunsous jacent n est pas de type action) sont également classés en N3dans la mesure où les corrélations entre sous jacents différentssontgénéralementnonobservables Dérivés de taux d intérêt options long terme et ou exotiques produitssensiblesàlacorrélation(entredifférentstauxd intérêts * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 différents taux de change ou par exemple pour les produitsPTMSN pour lesquels les devises de règlement et des sous jacentssontdifférentes entretauxd intérêtsettauxdechange) ils sont susceptibles d être classés en N3 pour cause deparamètres de valorisation non observables compte tenu dela liquidité des couples concernés et de la maturité résiduelledes transactions (par exemple sont jugées non observables lescorrélationsTaux TauxsurlecoupleUSD JPY) Dérivés de crédit la catégorie N3 comprend ici principalementdesinstrumentssurpaniersexposésàlacorrélationdetempsdedéfaut(produitsdetype« SNCDETKS»danslequell acheteurdeprotectionestdédommagéàpartirduNDCETSTHRNSDONRRàlaqualitédecréditdessignaturescomposantlepanieretàleurcorrélation ou de typeh# DRONJDv TH RNS CDRCDO NKKSDQKHYDC #DAS AKHFSHNM de tranches «sur mesure» c est à direcréésspéciquementpourungrouped investisseursDS RSTBSTR D ENBSHN CD KDT ADRNH HRH TD KDR ONCTHSRsoumisàlavolatilitédeROQDCdecrédit Dérivéssurmatièrespremières sontinclusdanscettecatégoriedes produits faisant appel à des paramètres de volatilité ouCD BNKSHN N NARDAKDR NOSHNR RTRVOde matièrespremières instrumentssurpaniersdesous jacentsparexemple) &7 )6) 11& ( 569 86(1 867(9 (858% 1(EnMEUR)1D1D1DRDO1D1D1DRDO3RUWHIHXLOOHGHWUDQVDFWLRQ2EOLJDWLRQVHWDXWUHVLQVWUXPHQWVGHGHWWHVFWLRQVHWDXWUHVLQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHVAutresactifsnanciersnondérivésActifsnanciersàlajustevaleurSDUUVXOWDWVXURSWLRQ2EOLJDWLRQVHWDXWUHVLQVWUXPHQWVGHGHWWHVFWLRQVHWDXWUHVLQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHVAutresactifsnanciersFWLIVGLVWLQFWVSRXUUJLPHVGDYDQWDJHVGXSHUVRQQHO ULYVGHWUDQVDFWLRQ QVWUXPHQWVGHWDXGLQWUÇWInstrumentsdechange QVWUXPHQWVVXUDFWLRQVHWLQGLFHV QVWUXPHQWVVXUPDWLUHVSUHPLUHV ULYVGHFUGLWAutresinstrumentsnanciersàterme ULYVGHFRXYHUWXUH QVWUXPHQWVGHWDXGLQWUÇWInstrumentsdechange QVWUXPHQWVVXUDFWLRQVHWLQGLFHVAutresinstrumentsnanciersActifsnanciersdisponiblesàlavente QVWUXPHQWVGHGHWWHV QVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHV7LWUHVDFWLRQVGWHQXVORQJWHUPHTotaldesinstrumentsnanciersHQMXVWHYDOHXUODFWLI IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 366 )6) 11& ( 569 86(1 867(9 (858% 1(EnMEUR)1D1D1DRDO1D1D1DRDO3RUWHIHXLOOHGHWUDQVDFWLRQ HWWHVUHSUVHQWHVSDUXQWLWUH HWWHVVXUWLWUHVHPSUXQWV2EOLJDWLRQVHWDXWUHVLQVWUXPHQWVGHGHWWHVYHQGXVGFRXYHUWFWLRQVHWDXWUHVLQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHVYHQGXVGFRXYHUWAutrespassifsnanciersnondérivésPassifsnanciersàlajuste valeurSDUUVXOWDWVXURSWLRQ ULYVGHWUDQVDFWLRQ QVWUXPHQWVGHWDXGLQWUÇWInstrumentsdechange QVWUXPHQWVVXUDFWLRQVHWLQGLFHV QVWUXPHQWVVXUPDWLUHVSUHPLUHV ULYVGHFUGLWAutresinstrumentsnanciersàterme ULYVGHFRXYHUWXUH QVWUXPHQWVGHWDXGLQWUÇWInstrumentsdechange QVWUXPHQWVVXUDFWLRQVHWLQGLFHVAutresinstrumentsnanciersTotaldesinstrumentsnanciersHQMXVWHYDOHXUDXSDVVLI * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 7% ( 8 (95 7 21 (6 167580(176) 11& (56 (1 9(8&7 )6) 11& ( 569 86(1 867( 9 (858% 1(EnMEUR)ROGDMDTVRVVVRVPERVPVDVIVV1DDVIVGSV1D*DVSV IIVGDDDRVGSPDVROGDGPE3RUWHIHXLOOHGHWUDQVDFWLRQ2EOLJDWLRQVHWDXWUHVLQVWUXPHQWVGHGHWWHVFWLRQVHWDXWUHVLQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHVAutresactifsnanciersQRQGULYVActifsnanciersàlajustevaleurparUVXOWDWVXURSWLRQ2EOLJDWLRQVHWDXWUHVLQVWUXPHQWVGHGHWWHVFWLRQVHWDXWUHVLQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHVAutresactifsnanciersFWLIVGLVWLQFWVSRXUUJLPHVGDYDQWDJHVGXSHUVRQQHO ULYVGHWUDQVDFWLRQ QVWUXPHQWVGHWDXGLQWUÇWInstrumentsdechange QVWUXPHQWVVXUDFWLRQVHWLQGLFHV QVWUXPHQWVVXUPDWLUHVSUHPLUHV ULYVGHFUGLWXWUHVLQVWUXPHQWVnanciersàterme ULYVGHFRXYHUWXUHActifsnanciersGLVSRQLEOHVODYHQWH QVWUXPHQWVGHGHWWHV QVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHV7LWUHVDFWLRQVGWHQXVORQJWHUPH7RWDOGHVLQVWUXPHQWVnanciersenjusteYDOHXUODFWLI IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 36 6 )6) 1 1& (5 6 9 8 6(1 86 7(9 (858% 1(EnMEUR)ROGDMDvPVVRV5DDVV5PERVPVDVIVV1DDVIVGSV1D*DVSV IIVGDROGDGPE3RUWHIHXLOOHGHWUDQVDFWLRQ HWWHVUHSUVHQWHVSDUXQWLWUH HWWHVVXUWLWUHVHPSUXQWV2EOLJDWLRQVHWDXWUHVLQVWUXPHQWVGHGHWWHVYHQGXVGFRXYHUWFWLRQVHWDXWUHVLQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHVYHQGXVGFRXYHUWAutrespassifsnanciersQRQGULYVPassifsnanciersàODMXVWHYDOHXUSDUUVXOWDWVXURSWLRQ ULYVGHWUDQVDFWLRQ QVWUXPHQWVGHWDXGLQWUÇWInstrumentsdechange QVWUXPHQWVVXUDFWLRQVHWLQGLFHV QVWUXPHQWVVXUPDWLUHVSUHPLUHV ULYVGHFUGLWXWUHVLQVWUXPHQWVnanciersàterme ULYVGHFRXYHUWXUH7RWDOGHVLQVWUXPHQWVnanciersenjusteYDOHXUDXSDVVLI07+2 (6 (9 25 67 21 (6 167580 (176) 11& (56 867(9 (858% 1Pour les instruments nanciers évalués à la juste valeur au bilan lajustevaleurestdéterminée prioritairementen fonction deprixcotéssur un marché actif Ces prix peuvent être ajustés le cas échéants ils ne sont pas disponibles à la date de clôture ou si la valeur decompensationnereètepaslesprixdetransaction Cependant dufaitnotammentdelamultiplicitédescaractéristiquesdes instruments nanciers négociés de gré à gré sur les marchésnanciers un grand nombre de produits nanciers traités par leGroupenefaitpasl objetd unecotationdirectesurlesmarchés Pourcesproduits lajustevaleurestdéterminéeàl aidedetechniquesdevalorisationcourammentutiliséesparlesintervenantssurlemarchépourévaluerdesinstrumentsnancierstellesquel actualisationdesuxETSTRONTKDRRVORoulemodèledeKBJ2BGNKDRONTBDSHDRoptions et utilisant des paramètres de valorisation dont la valeur estestiméesurlabasedesconditionsdemarchéexistantàlaclôture Cesmodèlesdevalorisationfontl objetd unevalidationindépendanteparlesexpertsduDépartementdesrisquessuropérationsdemarchédeKHDBSHNCDRHRTDRCT&NTODParailleurs lesparamètresutilisésdanslesmodèlesdevalorisation qu ils proviennent de données observables sur les marchés ounon font l objet de contrôles par la Direction nancière de GBIS(Banque de Grande Clientèle et Solutions Investisseurs) en accordavecles méthodologiesdéniespar le Départementdesrisquessuropérationsdemarché Ces valorisations sont complétées le cas échéant par des réservesou ajustements (notammentAHCRJ ou liquidité) déterminés demanière raisonnable et appropriée après examen des informationsCHRONHAKDRS agissant des instruments nanciers dérivés et des opérations depension en juste valeur on recense également un ajustement deKDT ONT HRTD CD BNSDOSHD QDCHS UKTSHNM CITRSLDMSu #DAS UKTSHNM CITRSLDMS» CVA DVA) Le Groupe intègre danscet ajustement tous les clients et chambres de compensation Cetajustement tient par ailleurs compte des accords de compensationexistantpourchacunedescontreparties LaCVAestdéterminéesurlabase de l exposition attenduepositivede l entité du Groupe vis à vis de la contrepartie de la probabilitéde défaut de la contrepartie conditionnée à l absence de défaut del entité concernée et du montant des pertes en cas de défaut LaDVA est calculée de façon symétrique sur la base de l exposition * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 attendue négative Ces calculs sont réalisés sur la durée de vie del exposition potentielle et privilégient l utilisation de données demarchéobservablesetpertinentes De même un ajustement visant à prendre en compte les coûts oubénéces liés au nancement de ces opérations (FVA «TMCHMF5KTSHNM CITRSLDMS»)estégalementeffectué Les données à caractère observable doivent répondre auxBBSHRSHTDR RTHSDR HCODCSDR CHRONHAKDR CHEETRDRpubliquement basées surun consensus et ou étayées par des prixCDSRBSHNÀ titre d exemple les données de consensus fournies par descontreparties externes sont considérées comme observables si lemarchésous jacentestliquideetquelesprixfournissontconrméspar des transactionsréelles Surlesmaturitésélevées cesdonnéesdeconsensusnesontpasconsidéréescommeobservables ainsienest il des volatilités implicites utilisées pour valoriser les instrumentsoptionnels sur actions pour les horizons supérieurs à cinq ans En revanche lorsque la maturité résiduelle de l instrument devientinférieureàcinqans ildevientsensibleàdesparamètresobservables En cas de tensions particulières sur les marchés conduisant àl absence des données de référence habituelles pour valoriserun instrument nancier la Direction des risques peut être amenéeà mettre en uvre un nouveau modèle en fonction des donnéespertinentes disponibles à l instardesméthodes également utiliséesparlesautresacteursdumarché &7 2 16(7875(6 1 67580(176 (&3 78 352 35 (6Pourlestitrescotés lajustevaleurestégaleàleurcoursde Bourseà la date de clôture Pour les titres non cotés la juste valeur estdéterminée en fonction de l instrument nancier et en utilisant l unedesméthodesdevalorisationsuivantes évaluation sur la base d une transaction récente relative à lasociétéémettrice(entréerécented untiersaucapital évaluationàdired expert ) valorisation sur la base d une transaction récente rela tive ausecteur dans lequel évolue la société émettrice (multiple derésultats multipled actifs ) quote partd actifnetréévaluédétenue Pour les titres non cotés signicatifs les valorisations réalisées surla base des méthodes précitées sont complétées en utilisant desméthodologies fondées sur l actualisation des ux futurs généréspar l activité de la société émettrice et déterminés à partir deplans d affaires ou sur des multiples de valorisation de sociétésTHKDSDREn l absence de transaction récente sur des titres similaires lesBSHNR N BNSDR CD 5HR TNOD CSDTDR O KD &NTOD DSBKRRDRDActifsnanciersdisponiblesàlaventeNSSKTDRau 31décembre 2015 sur la base des conditions de l accord derachat de cette entité par Visa Inc conclu le 2novembre 2015 eten tenant compte des incertitudes sur les modalités de réalisationet de règlement de cette opération Ce rachat qui se dénouera enRNTRRDDCDRNOONASHNOKDRTSNHSRDTNODDRcompétentes sera alors réglé pour partie en trésorerie et pourpartieen actionsdepréférence Visa Incet seraassortid une clausede révision ultérieure du prix Les actions de préférence Visa Incseront convertibles en actions ordinaires dans un délai de quatre àdouze ans selon des modalités conditionnelles elles ne seront pascotées et leur cessibilité sera restreinte Au 31décembre 2015 KDR OHBHOKDR HBDSHSTCDR TH NS S DSDTDR O KD &NTODpour ajuster la valorisation des actions Visa Europe concernent lesBNCHSHNRDSTDKKDRCDRNOONASHNOKAKDOKDRTSNHSReuropéennes compétentes l illiquidité des actions de préférenceà recevoir et les facteurs qui détermineront le taux de conversionnal de ces dernières en actions ordinaires Visa Inc ainsi que laréalisationdesconditionsdelaclausedecomplémentdeprix Surlabase d estimationsetd hypothèses lesactions Visa Europeontétévalorisées pour un montant représentant 78% du montant nominalde trésorerie et d actions de préférence proposé dans l accord derachat générant en capitaux propres une plus value latente de552millionsd eurosavantimpôts 1 67580(176 ( ( 77(6 7(186 0 66 2 166 758&785( 6 6 * 1(6 86 7(9 (8 5(7 1 67580(176) 11& (56 5 96La juste valeur de ces instruments nanciers est déterminée parréférence auxcoursde cotationde clôtureouauxcours fournispardes courtiers à cette même date lorsqu ils sont disponibles Pourlesinstrumentsnanciersnoncotés lajustevaleurestdéterminéeàl aidedetechniquesdevalorisation S agissantdespassifsnanciersévaluésàlajustevaleur lesvalorisationsretenuesintègrentl effetdurisquedecréditémetteurduGroupe 875 (6 ( 77(6Pour les instruments nanciers cotés la juste valeur est égale aucours de cotation de clôture Pour les instruments nanciers noncotés la juste valeur est déterminée par l actualisation au taux demarché(incluantlesrisques decontrepartie de nonperformanceetdeliquidité)desuxdetrésoreriefuturs IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( (67 07 216 (35 1& 38 35 075(61212%6(59% (6Letableauci aprèsfournitpourlesinstrumentsenniveau3leurvalorisationaubilan ainsiquelesintervallesdevaleursdesprincipauxparamètresnonobservablespargrandeclassed instruments (EnMEUR) QVWUXPHQWVRGHWGULYVYDOXDWLRQDXELODQ3ULQFLSDXWSHVGHSURGXLWV7HFKQLTXHGHYDORULVDWLRQXWLOLVH3ULQFLSDOHVGRQQHVQRQREVHUYDEOHV QWHUYDOOHGHGRQQHVQRQREVHUYDEOHVPLQHWPDFWLI3DVVLIFWLRQVIRQGV303519079 QVWUXPHQWVGULYVVLPSOHVHWFRPSOHHVVXUIRQGVDFWLRQVRXSDQLHUVGDFWLRQV LIIUHQWVPRGOHVGHYDORULVDWLRQGHVRSWLRQVVXUIRQGVDFWLRQVRXSDQLHUVGDFWLRQV9RODWLOLWVGHVDFWLRQV LYLGHQGHVGHVDFWLRQV&RUUODWLRQV 100% 100%9RODWLOLWVGHVHedgeFunds9RODWLOLWVGHVMutualFunds7DXGpLQWUÇWVHWRXWDXdechange334611385Instrumentsdérivéshybridesaux change taux crédit0RGOHGHYDORULVDWLRQdesproduitshybrides&RUUODWLRQV QVWUXPHQWVGULYVsurtauxdechange0RGOHGHYDORULVDWLRQGHVoptionssurtauxdechangeVolatilitésdechange QVWUXPHQWVGULYVGHWDXGRQWOHQRWLRQQHOHVWLQGHVXUOHFRPSRUWHPHQWGHUHPERXUVHPHQWDQWLFLSd actifssous jacenteuropéens0RGOHGHYDORULVDWLRQGHSURGXLWVUHPERXUVHPHQWVDQWLFLSV7DXFRQVWDQWVGHUHPERXUVHPHQWVDQWLFLSV QVWUXPHQWVGULYVsurination0RGOHGHYDORULVDWLRQdesproduitsination&RUUODWLRQV&UGLWCDOettranchesd indicesTechniquedeprojectionGHODFRUUODWLRQHWGHPRGOLVDWLRQGXUHFRXYUHPHQW&RUUODWLRQGHVWHPSVGHGIDXW0% 100%9DULDQFHGXWDXGHUHFRXYUHPHQWGHVVRXVjacentsd unémetteurunique0% 100%XWUHVLQVWUXPHQWVGULYVGHFUGLW0RGOHGHGIDXWGHFUGLW&RUUODWLRQGHVWHPSVGHGIDXW0% 100%&RUUODWLRQquantoSpreadsGHFUGLWESESV0DWLUHVSUHPLUHV QVWUXPHQWVVXUSDQLHUGHPDWLUHVSUHPLUHV0RGOHGHYDORULVDWLRQGHVRSWLRQVVXUPDWLUHVSUHPLUHV&RUUODWLRQVLesinstrumentshybridessontventilésselonlesprincipalesdonnéesnonobservables 6(16 % 7 ( 867(9 (853285 (6 167580(176(11 9(8L évaluation des paramètres non observables est effectuée de façonprudente etplusparticulièrementdansuncontexteéconomiqueetdesconditionsdemarchétoujoursincertains Cecaractèrenonobservableinduittoutefoisuncertaindegréd incertitudesurleurévaluation Pour le quantier une sensibilité de la juste valeur a été estiméeau 31décembre 2015 sur les instruments évalués à partir deparamètres non observables Cette estimation a été effectuée enprenantencomptesoitunevariation«normée»desparamètresnonobservables calculéepourchacundesparamètressurunepositionnette soit des hypothèses en lien avec la politique d ajustementsadditionnelsdevalorisationdel instrumentnancierconcerné Lavariation«normée»correspond soit à l écart type des prix de consensus (TOTEM ) quicontribuentàévaluerleparamètrenéanmoinsconsidérécommenonobservable soitàl é cart typedesdonnéeshistoriquesutiliséespourévaluerleparamètre * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 6( 16 % 7 ( 867(9 (85 ( 6 1675 80(17 6(11 9 ( 881(95 7 215 6211% ( (635 075( 61212% 6( 59% ( 6(EnMEUR) PSDFWQJDWLI PSDFWSRVLWLIFWLRQVHWDXWUHVLQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHVHWGULYV9RODWLOLWVGHVDFWLRQV LYLGHQGHV&RUUODWLRQV9RODWLOLWVGHVHedgeFunds9RODWLOLWVGHVMutualFunds QVWUXPHQWVVXUWDXGLQWUÇWVHWRXWDXGHFKDQJHHWGULYVCorrélationsentretauxd intérêtet outauxdechangeVolatilitésdechange7DXFRQVWDQWVGHUHPERXUVHPHQWVDQWLFLSVCorrélationsentretauxd ination QVWUXPHQWVGHFUGLWHWGULYV&RUUODWLRQGHVWHPSVGHGIDXWVariancedutauxderecouvrementdessous jacentsd unémetteurunique&RUUODWLRQVquantoSpreadsGHFUGLW QVWUXPHQWVGULYVVXUPDWLUHVSUHPLUHV&RUUODWLRQVHQWUHPDWLUHVSUHPLUHVIl convient de noter que compte tenu des réfactions apportéesT HDT CD KNHRSHN BDSSD RDRHAHKHS DRS OKTR KDD CR KDsens d un impact favorable sur les résultats que dans le sens d unimpact défavorable Par ailleurs les montants ci dessus illustrentlesincertitudesde valorisationàladated évaluation surlabasedevariationsraisonnables ellesnepermettentpasdeprévoiroudéduireles variations futuresde lajuste valeur ou l impact de conditions demarchéextrême 05*( ))5(&255(6321 178 35 1& 38 35 075(61212%6(59% (6Le montant restant à comptabiliser dans le compte de résultat dûà la différence entre le prix de transaction et le montant qui seraitdéterminé à cette date au moyen de techniques de valorisation diminué des montants enregistrés dans le comptederésultat aprèslacomptabilisation initiale est présenté dans le tableau ci dessous Ce montantestenregistréen comptede résultat aufuret à mesurede l écoulement du temps ou lorsque les paramètres deviennentNARDAKDR(EnMEUR)0RQWDQWUHVWDQWFRPSWDELOLVHUHQUVXOWDWHQGEXWGHSULRGH0RQWDQWJQUSDUOHVQRXYHOOHVWUDQVDFWLRQVGHODSULRGH0RQWDQWHQUHJLVWUGDQVOHFRPSWHGHUVXOWDWGXUDQWODSULRGHDontamortissement(251)(216)Dontpassageàdesparamètresobservables(79)(28)Dontcessionsetarrivéesàéchéanceouàterminaison(307)(302)Dontdifférencesdechange11Montantrestantàcomptabiliserenrésultatennde période IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 127(35 76(7 &5 1&(635 1& 3(6&2037% (6Les prêts et créances regroupent les actifs nanciers non dérivés àrevenusxesoudéterminablesquinesontpascotéssurunmarchéactifetquinesontnidétenusàdesnsdetransaction nidestinésàla vente dèsleuracquisition ou leur octroi ni désignésdès l originepourêtreévaluésàlajustevaleurparrésultatsuroption Les prêts et créances sont présentés au bilan dans les QSR DSBQMBDR RTQ KDR SAKHRRDLDMSR CD BQCHS NT KDR QSR DS BQMBDRRTQ K BKHDMSKD suivant la nature de la contrepartie Après leurcomptabilisation initiale ils sont évalués au coût amorti sur la basedutauxd intérêteffectifetpeuventfairel objet lecaséchéant d uneCOBHSHNRTTDARDHCHHCTDKKDNTBNKKDBSHDBE NSDLes prêts et créances peuvent faire l objet de renégociationscommercialesenl absencedetoutedifculténancièreouinsolvabilitédu client emprunteur Ces opérations concernent alors des clientspour lesquels le Groupe acceptede renégocier la dette dans le butde conserver ou de développer une relation commerciale dans lerespect des règles d octroi en vigueur et sans aucun abandon decapital ou d intérêts courus Les prêts et créances ainsi renégociéssontdécomptabilisésendatederenégociationetlesnouveauxprêts contractualisésauxconditionsainsirenégociées leursontsubstituésaubilanàcettemêmedate Cesnouveauxprêtssontultérieurementévaluésaucoûtamortisurlabasedutauxd intérêteffectifdécoulantCDRNTDKKDRBNCHSHNRBNSBSTDKKDRDR QSR DS BQMBDR RTQ K BKHDMSKD HBKTDS KDR BBDR RT KDRopérations de location lorsque celles ci sont qualiées d opérationsde location nancement Les contrats de location consentis par leGroupesont qualiésde location nancement s ilsontpoureffetdetransférer aux locataires la quasi totalité des risques et avantagesinhérents à la propriété du bien loué À défaut elles sont qualiéesd opérationsdelocationsimple(cf Note4 2etNote8 2) Cescréancesdelocation nancementreprésententl investissementnet duGroupe entantque bailleur da nslecontrat de location égalà la valeur actualisée au taux implicite du contrat des pa iementsminimauxàrecevoirdulocataireaugmentésdetoutevaleurrésiduellenongarantie Encasdebaisseultérieuredesvaleursrésiduellesnongarantiesretenuespourlecalculdel investissementdubailleurdansle contrat de location nancement la valeur actualisée de cettebaisseestenregistréedanslarubriqueGQFDRCDRTSQDR BSHUHSRducomptederésultatparcontrepartied uneréductiondelacréancedelocation nancementàl actifdubilan 3576( 7&5 1&(6685 (67% 6 6( 0(176 (&5 7(EnMEUR)&RPSWHVRUGLQDLUHV3UÇWVHWFRPSWHV3UÇWVVXERUGRQQVHWSDUWLFLSDWLIV7LWUHVUHXVHQSHQVLRQOLYUHCréancesrattachées3UÇWVHWFUDQFHVVXUOHVWDEOLVVHPHQWVGHFUGLWDYDQWGSUFLDWLRQ SUFLDWLRQVXUFUDQFHVLQGLYLGXDOLVHV5YDOXDWLRQGHVOPHQWVFRXYHUWV3UÇWVHWFUDQFHVVXUOHVWDEOLVVHPHQWVGHFUGLWQHWAu31décembre2015 lemontantdescréancesindividuellesprésentantunrisqueavérés élèveà82millionsd euroscontre89millionsd eurosau31décembre2014 * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 3576( 7&5 1&(6685 & (17 ((EnMEUR)&RPSWHVRUGLQDLUHVGELWHXUVXWUHVFRQFRXUVODFOLHQWOHOpérationsdelocation nancementCréancesrattachées7LWUHVUHXVHQSHQVLRQOLYUH3UÇWVHWFUDQFHVODFOLHQWOHDYDQWGSUFLDWLRQ SUFLDWLRQVXUFUDQFHVLQGLYLGXDOLVHVDépréciationsurgroupesd actifshomogènes5YDOXDWLRQGHVOPHQWVFRXYHUWV3UÇWVHWFUDQFHVODFOLHQWOHQHWAu31décembre2015 lemontantdescréancesindividuellesprésentantunrisqueavérés élèveà24411millionsd euroscontre25689millionsd eurosau31décembre2014 7 (68 75(6&21&2856 & ( 17 ((EnMEUR)&UDQFHVFRPPHUFLDOHV&UGLWVGHWUVRUHULH&UGLWVOpHSRUWDWLRQ&UGLWVOpTXLSHPHQWCréditsàl habitat9DOHXUVUHXHVHQSHQVLRQXWUHVFUGLWVXWUHVFRQFRXUVODFOLHQWOH 1 )2507 216&203 0( 17 5 (687 75( ( 623 57 216 ( 2&7 21) 11&(0(17(EnMEUR)0RQWDQWGHVLQYHVWLVVHPHQWVEUXWVàmoinsd 1an82008169de1à5ans1641415519àplusde5ans603159069DOHXUDFWXDOLVHGHVSDLHPHQWVPLQLPDXUHFHYRLUàmoinsd 1an75017458de1à5ans1445013421àplusde5ans45594438Produitsnanciersnonacquis9DOHXUVUVLGXHOOHVQRQJDUDQWLHVUHYHQDQWDXEDLOOHXU IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 127( ( 7 7(635 1& 3(6&2037% (6Lesdettes regroupent lespassifsnanciers non dérivés qui ne sontpasévaluésàlajustevaleurparrésultat KKDR RNS ORDSDR T AHK CR KDR#DSSDR DMUDQR KDRSAKHRRDLDMSR CD BQCHS KDR#DSSDR DMUDQR K BKHDMSKD KDR#DSSDRQDOQRDMSDROQTMSHSQDDSKDR#DSSDRRTANQCNMMDRLesdettessubordonnéessontlesdettesmatérialiséesounonpardestitres àtermeouàduréeindéterminée dontleremboursementencasde liquidationdudébiteur n est possiblequ aprèsdésintéressementCDRTSDRBBHDRLesdettes sontenregistréesinitialement àleurcoûtquicorrespondà la juste valeur des montants empruntés nette des frais detransaction En date de clôture elles sont évaluées au coût amortien utilisant la méthode du taux d intérêt effectif ce qui conduitnotammentàamortirdemanièreactuariellelesprimesd émissionouderemboursementdesempruntsobligatairessurladuréedeviedesinstrumentsconcernés Lesencoursdedettesdescomptesd épargne logementetdesplansd épargne logementgurentparmiles comptesd épargneàrégimeROBHK T RDH CDR#DSSDR DMUDQR K BKHDMSKD Les engagementsgénérés par ces instruments donnent lieu le cas échéant à uneONHRHNBE NSD (77(6(19( 56 (67% 66 (0(176 (&5 7(EnMEUR)&RPSWHVRUGLQDLUHVDettesaujourlejour HWWHVWHUPHDettesrattachées5YDOXDWLRQGHVOPHQWVFRXYHUWV7LWUHVGRQQVHQSHQVLRQ7RWDO ( 77(6(19(56 & (17 ((EnMEUR)&RPSWHVGSDUJQHUJLPHVSFLDOÀvue5992357550Àterme2382222235XWUHVGSWVFOLHQWOHYXHXWUHVGSWVFOLHQWOHWHUPHDettesrattachées5YDOXDWLRQGHVOPHQWVFRXYHUWV7RWDOGSWVFOLHQWOH9DOHXUVGRQQHVHQSHQVLRQODFOLHQWOH7LWUHVGRQQVHQSHQVLRQODFOLHQWOH7RWDOCespostesincluentlesdépôtsrelatifsauxgouvernementsetadministrationscentrales * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 7 357< 3( (& (17 ((EnMEUR)XWUHVGSWVFOLHQWOHYXH6RFLWVHWHQWUHSUHQHXUVLQGLYLGXHOV3DUWLFXOLHUVClientèlenancièreXWUHV7RWDOCespostesincluentlesdépôtsrelatifsauxgouvernementsetadministrationscentrales ( 77(65( 356(17(635817 75((EnMEUR)%RQVGHFDLVVH(PSUXQWVREOLJDWDLUHVTitresdumarchéinterbancaireettitresdecréancesnégociablesDettesrattachées6RXVWRWDO5YDOXDWLRQGHVOPHQWVFRXYHUWV7RWDODontmontantdesdettesàtauxvariable3023532099 IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 127(352 8 76 (7&+5*(6 p 1757635 1& 3(6&2037% (6Lesproduitsetchargesd intérêtssontcomptabilisésdanslecompteCD RTKSS D (MSQSR DS OQNCTHSR RRHLHKR DS(MSQSR DS BGQFDRRRHLHKDRpourtouslesinstrumentsnanciersévaluésaucoûtamortien utilisant la méthode du taux d intérêt effectif (prêts et créances dettes actifs nanciers détenus jusqu à l échéance) ainsi que pourKDRSHSDRCDCDSSDBKRRRDActifsnanciersdisponiblesàlavente Le taux d intérêt effectif est le taux qui actualise exactement lesdécaissements ou encaissements de trésorerie futurs sur la duréedevieprévuedel instrumentnancierdemanièreàobtenirlavaleurcomptablenettedel actifoudupassifnancier Lecalculdecetauxprendenconsidérationlesuxdetrésorerieestiméssurlabasedesmodalités contractuelles de l instrument nancier sanstenir comptedes pertes sur crédit futureset il inclut par ailleurs les commissionspayées ou reçuesentre les partiesaucontrat dès lors qu elles sontassimilables à des intérêts les coûts de transaction directementrattachablesainsiquetouteslesprimesetdécotes Dèsqu unactifnancierouungrouped actifsnancierssimilairesaété déprécié à la suite d une perte de valeur les produits d intérêtsultérieurs sont comptabilisés sur la base du taux d intérêt effectifutilisé pour actualiserlesux de trésorerie futurs en vued évaluer laODSDCDKDTPar ailleurs hormiscelles relatives aux avantages du personnel lesprovisions inscrites aupassif du bilan génèrent comptablement deschargesd intérêtscalculéessurlabasedutauxd intérêtutilisépouractualiserlemontantattendudelasortiederessources (EnMEUR)3URGXLWV&KDUJHV1HW3URGXLWV&KDUJHV1HW2SUDWLRQVDYHFOHVWDEOLVVHPHQWVGHFUGLW&RPSWHVYXHHWSUÇWVHPSUXQWVLQWHUEDQFDLUHV7LWUHVHWYDOHXUVUHXVGRQQVHQSHQVLRQ2SUDWLRQVDYHFODFOLHQWOH&UDQFHVFRPPHUFLDOHVXWUHVFRQFRXUVODFOLHQWOH&RPSWHVRUGLQDLUHVGELWHXUV&RPSWHVGSDUJQHUJLPHVSFLDOXWUHVGHWWHVHQYHUVODFOLHQWOH7LWUHVHWYDOHXUVUHXVGRQQVHQSHQVLRQOpérationssurinstrumentsnanciersActifsnanciersdisponiblesàlaventeActifsnanciersdétenusjusqu àl échéance HWWHVUHSUVHQWHVSDUGHVWLWUHV HWWHVVXERUGRQQHVHWFRQYHUWLEOHV3UÇWVHPSUXQWVGHWLWUHV ULYVGHFRXYHUWXUHOpérationsdelocation nancementLocation nancementimmobilierLocation nancementmobilier7RWDOSURGXLWVFKDUJHVGLQWUÇWVDontproduitsd intérêtsrelatifsàdesactifsnanciersdépréciés436476Ces charges d intérêts intègrent le coût de renancement desinstrumentsnanciersàlajustevaleurparrésultat dontlesrésultatssontclassésengainsoupertesnetssurcesinstruments(cf Note3 1) DanslamesureoùleschargesetproduitsprésentésdanslecompteCDRTKSSRNSBKRRROSTDDSNOCDRSHSHNKDRTKSSnet des activités sur instruments nanciers à la juste valeur parrésultatdoitêtreappréhendéglobalement * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 7 (6352 8 76 p 17 5 766 85 (6875(6&21&2856 & (17 (M41&UGLWVGHWUVRUHULH&UGLWVOHSRUWDWLRQ&UGLWVGTXLSHPHQWCréditsàl habitatXWUHVFUGLWVODFOLHQWOH7RWDO IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 127( 35& 7 216( 73529 6 216 35& 7 216 (6&7 )6) 11& (5635 1& 3(6&2037% (6&7 )6) 11& ( 56 9 868&2 70257 À chaque date de clôture le Groupe détermine s il existe uneindication objective de dépréciation d un actif nancier ou d ungrouped actifsnanciersrésultantd unoudeplusieursévénementsintervenusaprèslacomptabilisationinitialedel actif(un«événementgénérateurdepertes»ou«événementdedéfaut»)etsicet(ouces)événement(s) a (ont) une incidence sur les ux de trésorerie futursestimés de l actif nancier ou dugroupe d actifs nanciers qui peutêtreestiméedefaçonable Le Groupe apprécie en premier lieu s il existe des indicationsobjectivesdedépréciationpourdesactifsnanciersindividuellementsignicatifs de même que individuellement ou collectivement pourdes actifs nanciers qui ne sont pas individuellement signicatifs Nonobstant l existence de garantie les critères d appréciation ducaractèreavéréd unrisquedecréditsurencoursindividuelsincluentlesélémentssuivants une dégradation signicative de la situation nancière de lacontrepartiequi entraîneuneforteprobabilitéque cette dernièrene puisse pas honorer en totalité ses engagements impliquantKNRTHRTDCDODSDONTKD&NTOD l octroi pour des raisons liées aux difcultés nancières del emprunteur deconcessionsauxclausesducontratdeprêtquin auraientpasétéoctroyéesdansd autrescirconstances la survenance d un ou plusieurs impayés depuis au moins 90 jours(à l exception des encours restructurés qui sont considérés pendantune période probatoire comme dépréciables au premier impayé) accompagnéeounondel ouvertured uneprocédurederecouvrement ou indépendamment de l existence de tout impayé l existenced un risque avéré de crédit ou de procédures contentieuses(dépôtdebilan règlementjudiciaire liquidationjudiciaire) LeGroupeappliqueleprincipedecontagionducaractèredépréciabled un actif nancier à l ensemble des encours sur la contrepartie endéfaut Danslecadred ungroupeclient lacontagions applique engénéralaussiàl ensembledesencourssurcegroupe S il existe des indications objectives d une perte de valeur sur desprêts et des créances ou sur des actifs nanciers classés en BSHERnanciersdétenusjusqu àl échéance le montantdeladépréciationestégalàladifférenceentrelavaleurcomptabledel actifetlavaleuractualisée des ux futurs de trésorerie estimés recouvrables entenant compte de l effet des garanties appeléesou susceptiblesdel être L actualisationdesuxestcalculéesurlabasedutauxd intérêteffectifd originedel actifnancier Lemontantdecettedépréciationest présenté en déduction de la valeur nette comptable de l actifnancier déprécié Les dotations et reprises de dépréciations sontenregistréesenNSCTQHRPTDdanslecomptederésultat Lareprisedansletempsdeseffetsde l actualisationconstituelarémunérationcomptabledescréancesdépréciéesetestenregistréeen(MSQSRDSOQNCTHSRRRHLHKRdanslecomptederésultat Danslecasoùiln existeraitpasd indicationobjectivededépréciationpour unactif nancier considéréindividuellement signicatif ounon leGroupeinclut cetactifnancierdansun groupe d actifsnanciersprésentant des caractéristiques de risque de crédit similaires et lessoumet collectivement à un test de dépréciation L existence ausein d un portefeuille homogène d un risque de crédit avéré sur unensembled instrumentsnanciersdonnealorslieuàl enregistrementd une dépréciation sans attendre que le risque ait individuellementEEDBSTDNTOKTRHDTRBBDRLes portefeuilles homogènes ainsi dépréciés peuvent notammentregrouper desencourssurdescontrepartiesdontlasituationnancières estfragiliséedepuislacomptabilisationinitialedecesactifsnancierssans qu une indication objective de dépréciation ait encore étéidentiéeauniveauindividuel(encourssensibles) oubien CDR DBNTR RT CDR BNSDOSHDR DKDS CD RDBSDTRéconomiques considérés comme étant en crise suite à lasurvenanced événementsgénérateursdepertes ouencore des encours sur des secteurs géographiques ou de s pays surlesquelsunedégradationdurisquedecréditaétéconstatée Lemontantdeladépréciationsurungrouped actifshomogènesestcalculésurlaba sed hypothèsesdetauxdepassageendé fautetdepertesencasdedéfaut ou lecaséchéant sur labased étudesCGNBLeshypothèsesainsiutiliséessontcalibréespourchaquegroupehomogène en fonction de leurs caractéristiques propres de leursensibilitéàlaconjonctureetdedonnéeshistoriques CesélémentssontrevusrégulièrementparladirectiondesRisquesetsontajustéspour prendre en compte l évolution de la situation économiqueayantaffectécesportefeuilles LesvariationsdesdépréciationsainsicalculéessontenregistréesenNSCTQHRPTDLes pertes probables encourues par le Groupe suite à l identicationd un risque avéré de crédit sur les engagements hors bilan denancementetdegarantiesontenregistréesenNSCTQHRPTDCRKDcomptederésultatencontrepartied uneprovisionaupassifdubilan 5(6758&785 7 2 16 (3576( 7&5 1&( 6Une restructuration pour difcultés nancières d un actif nancierclassé dans la catégorie QSR DS BQMBDR est une modicationcontractuelle du montant de la durée ou desconditions nancièresCD K SRBSHN HHSHKD BBDOSD O KD &NTOD D HRN CDRdifcultés nancières et de l insolvabilité de l emprunteur (que cetteinsolvabilité soit avérée ou à venir de façon certaine en l absencede restructuration) et qui n aurait pas été envisagée dans d autresBHBNRSBDRLes actifs nanciers ainsi restructurés sont classés en encoursdépréciésetlesclientsemprunteurssontconsidérésendéfaut Cesclassements sontmaintenuspendantunepériodeminimaled unanet au delà tant que le Groupe a une incertitude sur la capacité desemprunteursàhonorerleursengagements En date de restructuration la valeur comptable de l actif nancierrestructuré est réduite pour être ramenée au montant actualisé autauxd intérêteffectifd origine des nouveauxux futursdetrésorerie * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 estimésrecouvrables Cetteperte estenregistrée enNSCTQHRPTDdanslecomptederésultat Sontexclusdecesencoursrestructuréslesprêtset créancesayantfait l objet de renégociations commerciales et qui concernent desclientspourlesquels le Groupe accepte derenégocierladettedanslebutdeconserveroudedévelopperunerelationcommerciale danslerespect des règles d octroienvigueuret sansaucunabandondecapitaloud intérêtscourus &7 )6) 11& ( 56 6321 % ( 6 9( 17 (Unactifnancierdisponibleàlaventeestdépréciédèslorsqu ilexisteuneindicationobjectivededépréciation découlantd unouplusieursévénementsp ostérieursàlacomptabilisationinitialedecetactif Pour les instruments de capitaux propres cotés une baissesignicative ou p rolongée de leur cours en deçà de leur coûtd acquisitionconstitueuneindicationobjectivede dépréciation LeGroupeestimequec estnotammentlecaspourlesactionscotéesquiprésententàladatedeclôturedes perteslatentessupé rieuresà50%deleurcoût d acquisitionainsiquepourlesactionscotéesensituationdeperteslatentespendantunepériodecontinuedevingt quatremoisouplusprécéda ntladatedeclôture D au tresfacteurs comme par exemple la situation nancière de l émetteu r ou sesperspectivesd évolution peuventconduireleGroupeàestimerquesoninvestissementpourraitnepasê trerecouvréquandbienmêmeles critères mentionnés ci dessus ne seraient pas atteints Unechargede dépréciationestalors enregistréeaucomptederésultatà hauteur de la différence entre le cours coté du titre à la date declôtureetsoncoûtd acq uisition Pour lesinstrumentsdecapitauxpropres non cotés les critèresdedépréciation retenus sont identiques à ceux mentionnés ci dessus lavaleurdesinstrumentsàladatedeclôtureétantdéterminéesurlabasedesméthodesdevalorisationdécritesdanslaNote3 4 Lescritèresdedépréciationdesinstrumentsdedettessont similairesàceuxappliquéspourladépréciationdes actifsnanciersévaluésaucoûtamorti Lorsqu unediminutiondelajustevaleurd unactifnancierdisponibleàlaventeaétécomptabiliséedirectementda nslalignespéciquedesBOHSTONODRHSHSTKD&HMRDSODQSDR BNLOSAHKHRR CHQDBSDLDMSDMBOHSTWpropresetqu ilexisteparlasuiteuneindicationobjectivededépréciationde cet actif leGroupeinscrit en compte de résultatla perte latente cumulée comptabilisée antérieurement en capitauxONODR CR K TAHTDNS CT QHRPTD pour les instruments deCDSSDR DS CR KTAHTDGains oupertes netssur actifs nanciersCHRONMHAKDRKUDMSDpourlesinstrumentsdecapitauxpropres Le montant de cette perte cumulée est égal à la différence entre lecoûtd acquisition(netdetoutremboursementenprincipaletdetoutamortissement) et la juste valeur actuelle diminuée éventuellementde toute perte de valeur sur cet actif nancier préalablementcomptabiliséeenrésultat Les pertes de valeur comptabilisées en résultat rela tives à uninstrumentde capitauxpropres classé comme disponibleà la ventene sont pas reprises en résultat tant que l instrument nancier n apas été cédé Dès lors qu un instrument de capitaux propres aété déprécié toute perte de valeur complémentaire constitue unedépréciation additionnelle En revanche pour les instruments dedettes lespertesdevaleurfontl objetdereprisesparrésultatencasd appréciationultérieure deleurvaleuren lienavec une améliorationdurisquedecréditdel émetteur 7 (6 35& 7 216 p&7 )6) 1 1& (56(EnMEUR)6WRFNDX RWDWLRQV5HSULVHVGLVSRQLEOHV RWDWLRQVQHWWHV5HSULVHVXWLOLVHV&KDQJHHWYDULDWLRQVGHSULPWUH6WRFNDXWDEOLVVHPHQWVGHFUGLW&UGLWVODFOLHQWOHCréancesdelocation nancementetassimiléesGroupesd actifshomogènesFWLIVGLVSRQLEOHVODYHQWHXWUHV7RWDODont29millionsd eurosdedotationsnettesrelativesaurisquedecontrepartie Dontdotationsauxdépréciationssurinstrumentsdecapitauxpropresdétenushorsactivitéassurancepour28millionsd eurosetquisedécomposentcommesuit l12millionsd euros Pertedevaleursurtitresnondépréciésau31décembre2014 l16millionsd euros Pertedevaleurcomplémentairesurlestitresdéjàdépréciésau31décembre2014 IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 3529 6 21635 1& 3(6&2037% (6Les provisions sur instruments nanciers et litiges regroupent lesprovisions pour risque de crédit sur les engagements hors bilan denancement et de garantie accordés par le Groupe à des tiers lesprovisions relatives aux engagements sur les contrats d épargne logement ainsi que celles représentatives d autres passifs dontl échéance ou le montant ne sont pas xés de façon préciseet qui concernent essentiellement des litiges juridiques et desrestructurations Leurconstitutionestsubordonnéeàl existenced uneobligationduGroupeàl égardd untiersdontilestprobableoucertainqu elle provoquera une sortie de ressources au bénéce de ce tierssanscontrepartieaumoinséquivalenteattenduedecelui ci Le montant de la sortie de ressources attendue est actualisé pourdéterminer le montant de la provision dès lors que l effet de cetteactualisation présente un caractère signicatif Les dotations etreprisessur cesprovisionssontenregistréesenrésultatsurleslignescorrespondantàlanaturedesdépensesfuturesainsicouvertes Les informations relatives à la nature et au montant des risquesconcernésnesontpasfourniesdèslorsqueleGroupeestimequ ellespourraient lui causer un préjudice sérieux dans un litige l opposant àdestierssurlesujetfaisantl objetdelaprovision 7 (6 3529 6 216(EnMEUR)6WRFNDX RWDWLRQV5HSULVHVGLVSRQLEOHV RWDWLRQVQHWWHV5HSULVHVXWLOLVHV&KDQJHHWYDULDWLRQVGHSULPWUH6WRFNDXProvisionssurengagementshors bilanDYHFOHVWDEOLVVHPHQWVGHFUGLW3URYLVLRQVVXUHQJDJHPHQWVhors bilanaveclaclientèle3URYLVLRQVSRXUOLWLJHVXWUHVSURYLVLRQV3URYLVLRQVVXULQWUXPHQWVnanciersetlitigesDontdotationsnettesrelativesauxprovisionsPEL CELpour64millionsd eurosau31décembre2015(cf Note3 8 3) (1**(0(1766 85 (6&217576 p35*1( 2*(0(1735 1& 3(6&2037% (6Les comptes et les plans d épargne logement proposés en Franceàlaclientèledepartic uliers(personnes physiques)danslecadredela loi n°65 554 du 10juillet 1965 associent une phase de collectede ressources sous forme d épargne rémunérée et une phased emploi de ces ressources sous forme de prêts immobiliers cettedernière phase étant réglementairement conditionnée et dès lorsindissociable de la phase de collecte Les dépôts ainsi collectés etlesprêtsaccordéssontenregistrésaucoûtamorti CesinstrumentsgénèrentpourleGroupedesengagementsdedeuxnatures une obligation de prêter au client dans le futur à un tauxdéterminéxéàl ouvertureducontratetuneobligationderémunérerl épargnedanslefuturàuntauxxéàl ouvertureducontratpouruneduréeindéterminée Les engagements aux conséquences défavorables pour le Groupefont l objet de provisions présentées au passif du bilan et dont lesvariationssontenregistréesenmarged intérêtauseindu QNCTHSMDSAMBHQD Cesprovisionsnesontrelativesqu auxseulsengagementsliésauxcomptesetplansd épargne logementexistantsàladatedeBKBTKCDKONHRHNLes provisions sont calculées sur chaque génération de plansd épargne logement d une part sans compensation entre lesengagements relatifs à des générations différentes de plansd épargne logement et sur l ensemble des comptes d épargne logementquiconstituentuneseuleetmêmegénérationd autrepart Sur la phase d épargne les engagements provisionnables sontévaluéspardifférenceentrelesencoursd épargnemoye nsattenduset les encours d épargne minimums attendus ces deux encoursétantdéterminésstatistiquemententenantcomptedesobservationshistoriquesdescomportementseffectifsdesclients Sur la phase crédit les engagements provisionnables incluent lesencoursdecréditsdéjàréalisésmaisnonencoreéchusàladatedeclôtureainsiquelescréditsfutursconsidéréscommestatistiquementprobables sur la base des encours de dépôts au bilan à la date decalculd unepartetdesobservationshistoriquesdescomportementseffectifsdesclientsd autrepart Une provision est constituée dès lors que les résultats futursprévisionnels actualisés sont négatifs pour une génération donnée Cesrésultatssontmesurésparréférenceauxtauxoffertsàlaclientèleparticulière pour des instruments d épargne et de nancementéquivalents encohérenceavecladuréedevieestiméedesencoursetleurdatedemiseenplace * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 (1&285 6 ( 376&2 (&768 7 75 ( ( 6&2037 (6(73 16 p35*1( 2 *(0(17(EnMEUR)3ODQVGSDUJQHORJHPHQW3( DQFLHQQHWGHPRLQVGHDQVDQFLHQQHWFRPSULVHHQWUHHWDQVDQFLHQQHWGHSOXVGHDQV&RPSWHVGSDUJQHORJHPHQW&( 7RWDO(1&285 6 (&5 76 p+% 772&752<687 75( (6&203 7(6(73 16 p3 5*1( 2* (0(17(EnMEUR)QFLHQQHWGHPRLQVGHDQVQFLHQQHWFRPSULVHHQWUHHWDQVQFLHQQHWGHSOXVGHDQV7RWDO3529 6 216685(1** (0(17 6 68 &2 037( 6( 73 16 p 35*1( 2*( 0(17(EnMEUR) RWDWLRQV5HSULVHV3ODQVGSDUJQHORJHPHQW3( DQFLHQQHWGHPRLQVGHDQVDQFLHQQHWFRPSULVHHQWUHHWDQVDQFLHQQHWGHSOXVGHDQV&RPSWHVGSDUJQHORJHPHQW&( 7RWDOLestauxd intérêtlongs(auxquelsestsensibleleniveaudeprovisionnement) étant faiblessur2015 le provisionnementépargne logementestprincipalement lié aux risques attachés à l engagement de rémunérer les dépôts espèces Le niveau de provisionnement se monte à 1 48%desencourstotauxau31décembre2015 02 7 6 ( 7(50 17 21 (635 075( 6 p 9 87 21 ( 63529 6 21 6Les paramètres d estimation des comportements futurs des clientsrésultent d observations historiques de longue période (plus de dixans) Lavaleurdesparamètresainsidéterminéepeutêtreajustéeencasde changement de réglementation dèslors quece dernier peutremettre en question la capacité prédictive des données passéespourdéterminerlescomportementsfutursdesclients Lesvaleurs des différents paramètresdemarchéutilisés notammentlestauxd intérêtetlesmarges sontdéterminéesàpartirdedonnéesobservables et représentent à la date d évaluation la meilleureestimation retenue par SociétéGénérale des niveaux futurs de cesélémentspourlespériodesconcernées encohérenceaveclapolitiquedegestiondesrisquesdetauxd intérêtdelaBanquededétail Les taux d actualisation retenus sont déterminés à partir de laBNTADCDRRVORzérocouponcontreEuriboràladated évaluation moyennéssurunepériodededouzemois IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( &27 85 648(35 1& 3(6&2037% (6TAHTDNSCTQHRPTDcomprendlesdotationsnettesdesreprisesauxdépréciationsetprovisionspourrisquedecrédit lespertessurcréancesirrécouvrablesetlesrécupérationssurcréancesamortiesainsiquedesdotationsetreprisesdeprovisionspourautresrisques (EnMEUR)5LVTXHGHFRQWUHSDUWLH RWDWLRQVQHWWHVSRXUGSUFLDWLRQ3HUWHVQRQFRXYHUWHVsurcréancesirrécouvrables(245)(229)surautresrisques(48)(37)5FXSUDWLRQVsurcréancesirrécouvrables161163surautresrisques3XWUHVULVTXHV RWDWLRQVQHWWHVDXDXWUHVSURYLVLRQV7RWDOPourtenircomptedel évolutiond unensemblederisquesjuridiques dontnotammentlesenquêtesetprocéduresencoursavecdesautoritésaméricaineseteuropéennes ainsiqueladécisionduConseild Étatrelativeauprécompte leGroupeainscritàsonpassifuneprovisionpourlitigesquiafaitl objeten2015d unedotationcomplémentairede600millionsd eurospourlaporterà1700millionsd euros(incluantuneestimationdesfraisdeprocédureafférents) * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 127( 867(9 (85 (6 167580(176) 11& (569 868&270257 35 1& 3(6&2037% (6 ) 1 7 21 ( 867(9 (85La juste valeur est le prixqui serait reçu pour la vente d un actif oupayépourletransfertd unpassiflorsd unetransactionnormaleentredesintervenantsdumarchéàladated évaluation Enl absencedeprixobservablepourunactifouunpassifidentique lajustevaleurdesinstrumentsnanciersestdéterminéeàl aided uneautretechniqued évaluationquimaximisel utilisationdedonnéesdemarchéobservablesenretenantdeshypothèsesquelesintervenantsdumarchéutiliseraientpourxerleprixdel instrumentconsidéré CetteNoteprésentelajustevaleurdesinstrumentsnanciersquinesontpasévaluésàlajustevaleuraubilan ventiléeselonlahiérarchiedelajustevaleurdécritedanslaNote3 4 Cettejustevaleurnesauraitêtre interprétée comme un montant réalisable en cas de règlementimmédiatdelatotalitédecesinstrumentsnanciers Lesjustesvaleursdesinstrumentsnanciersincluent lecaséchéant lesintérêtscourus &7 )6) 11& ( 569 868&270257 (EnMEUR)9DOHXUFRPSWDEOH XVWHYDOHXU1LYHDX1LYHDX1LYHDX3UÇWVHWFUDQFHVVXUOHVWDEOLVVHPHQWVGHFUGLW3UÇWVHWFUDQFHVVXUODFOLHQWOHActifsnanciersdétenusjusqu àl échéanceTotalactifsnanciersvalorisésaucoûtamortiaubilan(EnMEUR)9DOHXUFRPSWDEOH XVWHYDOHXU1LYHDX1LYHDX1LYHDX3UÇWVHWFUDQFHVVXUOHVWDEOLVVHPHQWVGHFUGLW3UÇWVHWFUDQFHVVXUODFOLHQWOHActifsnanciersdétenusjusqu àl échéanceTotalactifsnanciersvalorisésaucoûtamortiaubilan IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 366 )6) 11& ( 569 868&270257 (EnMEUR)9DOHXUFRPSWDEOH XVWHYDOHXU1LYHDX1LYHDX1LYHDX HWWHVHQYHUVOHVWDEOLVVHPHQWVGHFUGLW HWWHVHQYHUVODFOLHQWOH HWWHVUHSUVHQWHVSDUXQWLWUH HWWHVVXERUGRQQHVTotalpassifsnanciersvalorisésaucoûtamortiaubilan(EnMEUR)9DOHXUFRPSWDEOH XVWHYDOHXU1LYHDX1LYHDX1LYHDX HWWHVHQYHUVOHVWDEOLVVHPHQWVGHFUGLW HWWHVHQYHUVODFOLHQWOH HWWHVUHSUVHQWHVSDUXQWLWUH HWWHVVXERUGRQQHVTotalpassifsnanciersvalorisésaucoûtamortiaubilan0 7+2 ( 6 (9 25 67 21 (6 167580(176) 11& (569 8 68&270257 35 76 &5 1&(6(72 3 5 7 216 ( 2 &7 2 1) 11&( 0( 17Lajustevaleur desprêtset descréancesainsiquedescréancesdelocation nancement aux établissements de crédit et aux grandesentreprisesestcalculée en l absencede marché actifdeces prêts enactualisantlesuxdetrésorerieattendusàuntauxd actualisationbasé sur les taux d intérêt du marché (taux actuariel de référencepublié par la Banque de France et taux zéro coupon) en vigueur àla clôture pour des prêts ayant sensiblement les mêmes modalitésetlesmêmesmaturités cestaux d intérêtétantajustésande tenircomptedurisquedecréditdel emprunteur La juste valeur des prêts et des créances ainsi que des créancesde location nancement sur la clientèle de la Banque de détail essentiellementconstituéed eparticuliersetdepetitesoumoyennesentreprisesestdét erminée enl absencedemarchéactifdecesprêts en actualisantles uxde trésorerie attendusauxtaux de marché envigueuràladatedeclôturepourlesprêtsdemême catégorieayantlesmêmesmaturités Pourlesprêts lescréances lescréancesdelocation nancementàtauxvariableetlesprêtsàtauxxedontladuréeinitialeestinférieureou égale à un an la juste valeur est présumée correspondre à lavaleurcomptable nette de dépréciations dès lors qu iln y a pas eudeuctuationsignicativedesROQDCRCDBCHSRTKDRBNSDOSHDRBNBDDRCDOTHRKDTDSDTAHK ( 77(6Lajustevaleurdesdettesestprésuméecorrespondre enl absencedemarché actif de ces dettes à la valeur des uxfuturs actualiséeauxtauxdemarchéenvigueuràladatedeclôture Dèslorsqueladetteestreprésentéeparuninstrumentcoté sajustevaleurestégaleàsoncoursdemarché Pour les dettes à taux variable et celles dont la durée initiale estinférieureouégaleàunan lajustevaleurestprésuméecorrespondreàlavaleurcomptable Delamêmemanière lajustevaleurindividuelledescomptesàvueestégaleàleurvaleurcomptable * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 127((1**(0(176(7&7 )65(0 6( 75(86(1*5 17 (35 1& 3(6&2037% (6(1**(0(176 () 11&(0(17Les engagements de nancement qui ne sont pas considéréscommedesinstrumentsnanciersdérivés niévaluésenjustevaleurpar résultat au titre d une activité de transaction sont initialementcomptabilisésàleurjustevaleur parlasuite cesengagementsfontl objet de provisions si nécessaire conformément aux principescomptablesrelatifsauxprovisions(cf Note3 8) (1**(0(176 (*5 17 (Le Groupe inscrit initialement à son bilan les garanties nancièresdonnées considérées comptablement comme des instrumentsnanciers non dérivés pour leur juste valeur Elles sont évaluéesultérieurement au montant le plus élevé entre le montant del obligation et le montant initialement enregistré diminué le caséchéantdel amortissementcumulédelacommissiondegarantie En cas d indication objective de perte de valeur les garantiesnancières données font l objet d une provision au passif du bilanBE NSD( 1* *( 0( 17 66857 75( 6LesachatsetlesventesdetitresclassésenActifsnanciersàlajusteUKDTQOQQRTKSSDActifsnanciersdétenusjusqu àleuréchéanceDS DActifs nanciers disponibles à la vente sont comptabilisés aubilanendate de règlement livraison Entre la date denégociation etladate de règlement livraison les engagements sur titresà recevoirou à livrer ne sont pas enregistrés au bilan Les variations de justevaleurdestitresenjustevaleurparrésultatetdestitresdisponiblesàlaventeentreladatedenégociationetladatederèglement livraisonsontenregistréesenrésultatouencapitauxpropresenfonctiondelaclassicationcomptabledestitresconcernés (1**(0( 176(1**(0(176 2 116(EnMEUR)Engagementsdenancement(QIDYHXUGWDEOLVVHPHQWVGHFUGLW(QIDYHXUGHODFOLHQWOHFacilitésd émission Ouverturesdecréditsconrmés145802118483Autres34052536(QJDJHPHQWVGHJDUDQWLH RQQVDXWDEOLVVHPHQWVGHFUGLW RQQVODFOLHQWOH(QJDJHPHQWVVXUWLWUHV7LWUHVOLYUHUYcomprislesgarantiesdecapitaletdeperformanceaccordéesauxdétenteursdespartsd OPCVMgéréspardesentitésduGroupe (1**(0(1765(86(EnMEUR)Engagementsdenancement5HXVGWDEOLVVHPHQWVGHFUGLW(QJDJHPHQWVGHJDUDQWLH5HXVGWDEOLVVHPHQWVGHFUGLWXWUHVHQJDJHPHQWVUHXV(QJDJHPHQWVVXUWLWUHV7LWUHVUHFHYRLUDont garanties reçues d États d autres organismes habilités et de la clientèle pour 44878millions d euros au 31décembre 2015 contre 36841millions d euros au31décembre2014 IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( &7 )65( 0 6(75(86(1*517 (&7 )65(0 6(1* 5 17 ((EnMEUR)9DOHXUFRPSWDEOHGHVDFWLIVUHPLVHQJDUDQWLHGHSDVVLIVValeurcomptabledesactifsremisengarantied opérationssurinstrumentsnanciersValeurcomptabledesactifsremisengarantied engagementshors bilan7RWDOLesactifsremisengarantiedepassifscorrespondentprincipalementàdescréancesremisesengarantiedepassifs(notammentauprèsdesBanquescentrales) Lesactifsremisengarantied opérationssurinstrumentsnancierscorrespondentprincipalementàdesdépôtsdegarantie &7 )65(86( 1*5 17 ((7 217 p( 17 73(87 6326 (5(EnMEUR) XVWHYDOHXUGHVWLWUHVUHXVHQSHQVLRQOLYUH * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 127(&7 )6) 11& (56 75 16)5635 1& 3(6&2037% (6Les actifs nanciers transférés qui sont intégralement conservés aubilanregroupentlescessionstemporairesdetitres(prêtsetpensionslivrées)ainsiquecertainescessionsdecréancesàdesvéhiculesdeSHSHRSHNBNRNKHCRLes opérations de cessions temporaires (prêts de titres et titresCNR D ODRHN KHD ORDSDR CR KDR SAKDT BHCDRRNTRneportentquesurdestitresreconnusàl actifdubilan Les titres faisant l objet d une mise en pension ou d un prêt sontmaintenus à l actif du bilan du Groupe dans leur poste d origine Danslecasdemisesenpension l obligationderestituerlessommesencaisséesestinscriteendettesaupassifdubilan àl exceptiondesNOSHNR HHSHDR CR KD BCD CDR BSHHSR CDSQCHMFTH RNSenregistréesparmilesPassifsnanciersàlajustevaleurparrésultatLes titres empruntés ou reçus en pension ne sont pas inscrits auAHK CT &NTOD 3NTSDENHR D BR CD BDRRHN TKSHDTD CDR SHSDRempruntés une dette de restitution de ces titres à leur prêteur estinscrite au passif du bilan du Groupe parmi lesPassifs nanciers àKITRSD UKDTQOQ QRTKSS Dansle casdes titres reçus en pension le droit à restitution des sommes délivrées par le Groupe est inscritD QSR DS BQMBDR à l actif du bilan à l exception des opérationsHHSHDR CR KD BCD CDR BSHHSR CD SQCHMFqui sont enregistréesparmilesActifsnanciersàlajustevaleurparrésultatLes prêts et emprunts de titres adossés contre espèces sontassimilésàdesopérationsdepensionslivréesetsontcomptabilisésetprésentéscommetelsaubilan Dansle cas des cessionstemporairesde titres le Groupe demeureexposé au risque de défaillance de l émetteur du titre (risque decrédit)ainsiqu auxuctuationsàlahausseouàlabaissedelavaleurdestitres(risquedemarché) Lestitresprêtésoudonnésenpensionne peuvent faire parallèlement l objet de mise en garantie dans lecadred uneautreopération &7 )6) 11& ( 5675 16 )5 6121 &2037% 663( 16 21 6 95(6(EnMEUR)9DOHXUFRPSWDEOHGHVDFWLIV9DOHXUFRPSWDEOHGHVGHWWHVDVVRFLHV9DOHXUFRPSWDEOHGHVDFWLIV9DOHXUFRPSWDEOHGHVGHWWHVDVVRFLHV7LWUHVGLVSRQLEOHVODYHQWHTitresàlajustevaleurparrésultat7RWDO35 7 6 ( 7 75(6(EnMEUR)9DOHXUFRPSWDEOHGHVDFWLIV9DOHXUFRPSWDEOHGHVGHWWHVDVVRFLHV9DOHXUFRPSWDEOHGHVDFWLIV9DOHXUFRPSWDEOHGHVGHWWHVDVVRFLHVTitresàlajustevaleurparrésultat7RWDO IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( &7 )6 (7 75 67 213285 (64 8( 6 (5 (&2856 (6 7(17( 856 (6 ( 77(666 2& (66( 0 7(8 6(8 6&7 )675 16 ) 563UÇWVODFOLHQWOH(EnMEUR)9DOHXUFRPSWDEOHGHVDFWLIV9DOHXUFRPSWDEOHGHVGHWWHVDVVRFLHV XVWHYDOHXUGHVDFWLIVWUDQVIUV XVWHYDOHXUGHVGHWWHVDVVRFLHV%3RVLWLRQQHWWH%En2015 uneopérationdetitrisationdecréances(prêtsàlaclientèle)a fait l objet d un renancement partiel auprès d investisseursexternes LesvéhiculesportantlescréancescédéessontconsolidésOKD&NTODLe Groupe reste exposé à la majorité des risques et avantages surcescréances parailleurs cesdernièresnepeuventfaireparallèlementl objetdemise engarantie ou de cession ferme dans le cadre d uneTSDNOSHN &7 )6) 11& (5675 16)56357 ( (0( 1728 17*5 ( 0(17 &2037% 6 6LeGroupen apasd actifsnancierstransféréssignicatifsquisoientpartiellementouintégralementdécomptabilisés * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 127(&20 3(167 21 p&7 )6) 1 1& (56( 7 ( 366 )6) 11& (5635 1& 3(6&2037% (6Un actif nancier et un passif nancier sont compensés et leur soldeDS DRSORDSTAHKKNRTDKD &NTODTCNHS HBNCHSHNDKDSjuridiquement exécutoire de compenserles montants comptabilisés etal intention soit deréglerl actifetlepassifsurunebasenette soitderéaliserl actifetderéglerlepassifsimultanément Ledroitdecompenserles montantscomptabilisés doit être exécutoire en toute circonstance tant dans le cadre des activités normales qu en cas de défaut d unedes parties À cet égard le Groupe inscrit notamment dans son bilanle montant net des instruments nanciers conclus avec certaineschambres de compensation lorsqu elles permettent effectivement unrèglement netUHdes appels de marges quotidiens en trésorerie oulorsqueleurmécanismederèglementbrutpossèdedescaractéristiquesquiéliminentourendentnégligeableslerisquede créditetlerisquedeliquiditéetfontparailleurs que lessommesàverser ouàrecevoirsonttraitéesdansunmêmeprocessusoucyclederèglement Les tableaux ci dessous présentent les actifs nanciers et passifsnanciers qui ont fait l objet d une compensation dans le bilanconsolidé du Groupe Les encours bruts de ces actifs nancierset passifs nanciers sont rapprochés avec les encours consolidésprésentés au bilan (montants nets au bilan) après indication desmontants qui ont été compensés au bilan pour ces différentsinstruments (montants compensés) et agrégation avec les encoursdes autres actifs et passifs nanciers qui ne font l objet d aucunecompensation ni convention cadre de compensation ou accordsimilaire(montantsdesactifsetpassifsnoncompensables) Ces tableaux indiquent également les montants qui seraientcompensablesenapplicationdeconventions cadresdecompensationetd accordssimilairesdontlescaractéristiquesnepermettentcependantpas cette compensation dans les comptes consolidés en applicationdes normes IFRS Cette information a pour objet de permettre unecomparaisonavecletraitementquiseraitapplicableselonlesprincipescomptablesgénéralementadmisauxÉtats Unis(42& Les positions nettesqui résultentde cesdifférentescompensationsn ont pas pour objet de mesurer l exposition du Groupe au risquede contrepartie sur ces instrumentsnanciers dansla mesure oùlagestiondecerisquemeten uvred autresmécanismesderéductionquiviennentencomplémentdesaccordsdecompensation 211 (68 &(0%5( &7 )0RDVGVDIVRRPSVDEOV(IIVGVRPSVDRVVOEOD0RDVVDEOD(IIVGVRRVDGGRPSVDRDRGVV PODV3RVR(EnMEUR)0RDVEV0RDVRPSVV VPVnanciersDEOD SVGDDVSVDEOD VPVnanciersreçusDDInstrumentsnanciersdérivés(cf Note3 2)7LWUHVSUÇWVFI1RWHVHW7LWUHVUHXVHQSHQVLRQFI1RWHVHW SWVGHJDUDQWLHYHUVVFI1RWHXWUHVDFWLIVQRQVRXPLVFRPSHQVDWLRQ7RWDODFWLIJustevaleurdesinstrumentsnanciersetdépôtsdegarantie plafonnéeàlavaleurnettecomptabledesexpositionsaubilanpourexcluretouteffetdesur couverture 366 )0RDVGVSDVVIVRRPSVDEOV(IIVGVRPSVDRVVOEOD0RDVVDEOD(IIVGVRRVDGGRPSVDRDRGVV PODV3RVR(EnMEUR)0RDVEV0RDVRPSVV VPVnanciersDEOD SVGDDVSVDEOD VPVnanciersdonnésDDInstrumentsnanciersdérivés(cf Note3 2) HWWHVVXUWLWUHVHPSUXQWVFI1RWH7LWUHVGRQQVHQSHQVLRQFI1RWHVHW SWVGHJDUDQWLHUHXVFI1RWHXWUHVSDVVLIVQRQVRXPLVFRPSHQVDWLRQ7RWDOGHWWHVJustevaleurdesinstrumentsnanciersetdépôtsdegarantie plafonnéeàlavaleurnettecomptabledesexpositionsaubilanpourexcluretouteffetdesur couverture IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 211(68 &(0%5( &7 )0RDVGVDIVRRPSVDEOV(IIVGVRPSVDRVVOEOD0RDVVDEOD(IIVGVRRVDGGRPSVDRDRGVVPODV3RVR(EnMEUR)0RDVEV0RDVRPSVV VPVnanciersauEOD SVGDDVSVDEOD VPVnanciersreçusDDInstrumentsnanciersdérivés(cf Note3 2)7LWUHVSUÇWVFI1RWHVHW7LWUHVUHXVHQSHQVLRQFI1RWHVHW SWVGHJDUDQWLHYHUVVFI1RWHXWUHVDFWLIVQRQVRXPLVFRPSHQVDWLRQ7RWDODFWLIMontantsretraitésparrapportauxétatsnancierspubliésen2014 suiteàl entréeenvigueurdel interprétationIFRIC21quis appliquedefaçonrétrospective(cf Note1) Justevaleurdesinstrumentsnanciersetdépôtsdegarantie plafonnéeàlavaleurnettecomptabledesexpositionsaubilanpourexcluretouteffetdesur couverture 36 6 )0RDVGVSDVVIVRRPSVDEOV(IIVGVRPSVDRVVOEOD0RDVVDEOD(IIVGVRRVDGGRPSVDRDRGVVPODV3RVR(EnMEUR)0RDVEV0RDVRPSVV VPVnanciersauEOD SVGDDVSVDEOD VPVnanciersdonnésDDInstrumentsnanciersdérivés(cf Note3 2) HWWHVVXUWLWUHVHPSUXQWVFI1RWH7LWUHVGRQQVHQSHQVLRQFI1RWHVHW SWVGHJDUDQWLHUHXVFI1RWHXWUHVSDVVLIVQRQVRXPLVFRPSHQVDWLRQ7RWDOGHWWHVMontantsretraitésparrapportauxétatsnancierspubliésen2014 suiteàl entréeenvigueurdel interprétationIFRIC21quis appliquedefaçonrétrospective(cf Note1) (4)Justevaleurdesinstrumentsnanciersetdépôtsdegarantie plafonnéeàlavaleurnettecomptabledesexpositionsaubilanpourexcluretouteffetdesur couverture * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 127(&+ 1&(6&2175 &78( (6 (6366 )6) 11& (56Lesmontantsprésentéssontlesmontantscontractuelshorsintérêtsprévisionnelsethorsdérivés (EnMEUR) XVTXPRLV HPRLVDQ HDQV3OXVGHDQV%DQTXHVFHQWUDOHVPassifsnanciersàlajustevaleurparrésultat horsdérivés HWWHVHQYHUVOHVWDEOLVVHPHQWVGHFUGLW HWWHVHQYHUVODFOLHQWOH HWWHVUHSUVHQWHVSDUXQWLWUH HWWHVVXERUGRQQHV7RWDO5HVVRXUFHVEngagementsdenancementdonnés(QJDJHPHQWVGHJDUDQWLHVGRQQV7RWDOGHVHQJDJHPHQWVGRQQV IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 127(875(6 &7 9 76127(352 8 76(7&+ 5*(6 (&200 66 21635 1& 3(6&2037% (6DRTAHTDRCD QNCTHSRDSBGQFDRCDBNLLHRRHNMRregroupe ntlescommissionssurprestationsdeservicesetengagementsquinesontpasassimilablesàdesintérêts Lescommissions assimilablesàdesintérêtsfontpartieintégrantedutauxd intérêteffectifdel instrumentnancier auquel elles se rapportent et sont enregistrées en(MSQSRDSOQNCTHSRRRHLHKRDS(MSQSRDSBGQFDRRRHLHKRBE NSDLe Groupe enregistre en résultat les produits et charges decommissionssurprestationsdeservicesenfonctiondelanaturedesODRSSHNRTTDKKDRDKKDRRDOONSDS Les commissions rémunérant des services continus tellescertaines commissions sur moyens de paiement les droits degardesurtitres endépôt oules commissionssurabonnementsaux servicesdigitaux sont étaléesen résultat sur la durée delaODRSSHNDCTD Les commissions rémunérant des services ponctuels tellesles commissions sur mouvements de fonds les commissionsd apport reçues les commissions d arbitrage ou les pénalitéssur incidents de paiement sont intégralement enregistrées enRTKSSTCKODRSSHNDRSKHRDDanslecadredesopérationsdesyndication letauxd intérêteffectifdelafractiondenancementconservéeàl actifduGroupeestalignésur celui des autres participants en y intégrant si nécessaire unequote part des commissions de prise ferme et de participation lesoldedecescommissions rémunérantles prestations rendues estalorsenregistréen QNCTHSRCDBNLLHRRHNMRàlandelapériodedesyndication Lescommissionsd arrangementsontprisesenrésultatàladatedeconclusionjuridiquedel opération (EnMEUR)3URGXLWV&KDUJHV1HW3URGXLWV&KDUJHV1HW2SUDWLRQVDYHFOHVWDEOLVVHPHQWVGHFUGLW2SUDWLRQVDYHFODFOLHQWOHOpérationssurinstrumentsnanciers2SUDWLRQVVXUWLWUHVOpérationssurmarchésprimairesOpérationsdechangeetsurinstrumentsnanciersdérivésEngagementsdenancementetdegarantie3UHVWDWLRQVGHVHUYLFHVXWUHV7RWDO 7 (6 352 8 76( 7&+5*(6 (&200 6 6 2 16(EnMEUR)LesproduitsdecommissionshorsTIE(Tauxd IntérêtEffectif)liésauxinstrumentsnanciersquinesontpascomptabilisésenjustevaleurparrésultatLesproduitsdecommissionsrelatifsauxactivitésdeducieouactivitésanaloguesLeschargesdecommissionshorsTIEliéesauxinstrumentsnanciersquinesontpascomptabilisésenjustevaleurparrésultatLeschargesdecommissionsrelativesauxactivitésdeducieouactivitésanalogues * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 127( 352 8 76( 7&+5*(6 (6875(6&7 9 7635 1& 3(6&2037% (6&7 9 76 ( 2 &7 2 1Les contrats de location consentis par le Groupe qui n ont pasONT DEEDS CD SRED T KNBSHDR K TRHSNSKHS CDR HRTDRet avantages inhérents à la propriété du bien loué sont qualiés delocationsimple DR AHDR CSDTR CR KD BCD CD BDR NOSHNR CD KNBSHNsimple incluant lesimmeublesde placement sont présentés parmiKDR(LLNAHKHRSHNMR BNQONQDKKDR DS HMBNQONQDKKDR T AHK ONT KDTcoûtd acquisitiondiminuédes amortissementsetde sdépréciationsBE NSDLesactifsdelocationsontamortishorsvaleurrésiduellesurladuréedu bail Les revenus des loyers sont enregistrés en produits demanière linéaire sur la durée du contrat de location tandis que letraitementcomptabledesproduitsfacturésautitredesprestationsdemaintenance connexesauxactivités delocationsimple apourobjetdereéter surla duréeducontrat deservice unemarge constanteentrecesproduitsetleschargesencouruespourrendreleservice Les immeubles de placement sont amortis en appliquant uneapproche par composants Chaque composant est amorti sur sapropreduréed utilitécompriseentredixetcinquanteans Lesproduitsetchargesetlesplusoumoins valuesdecessionsurlesimmeublesdeplacementetsurlesbienslouésenlocationsimpleainsique les produits et charges relatifs aux prestations de maintenanceconnexesauxactivités delocationsimplesont enregistrés parmiles QNCTHSR DS BGQFDR CDRTSQDR BSHUHSRdans leslignes BSHUHSR CDKNBSHNM HLLNAHKHQD DS BSHUHSR CD KNBSHNM LNAHKHQD CTSAKDT BHCDRRNTRCes mêmes lignes incluent également les pertes encourues en casde baisse des valeurs résiduelles non garanties sur les opérationsde location nancement ainsi que les produits et charges dedépréciationet les plus oumoins valuedecessionrelatifsauxbiensnonlouésaprèsrésiliationd opérationsdelocation nancement 875 (6&7 9 76Lesprincipescomptablesapplicablesauxactivitésd assurancesontprésentésdanslaNote4 3 Leslignes TSQDRBSHUHSRincluentégalementleschargesetproduitsrelatifs aux stocks physiques de matières premières que le Groupepeut être amené à détenir dans le cadre de ses activités sur lesinstrumentsdérivéssurmatièrespremières (EnMEUR)3URGXLWV&KDUJHV1HW3URGXLWV&KDUJHV1HW2SUDWLRQVGHSURPRWLRQLPPRELOLUHFWLYLWVGHORFDWLRQLPPRELOLUHFWLYLWVGHORFDWLRQPRELOLUHXWUHVDFWLYLWVDontactivitésd assurance11556(11344)12440(12012)7RWDO IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 127( &7 9 76 p6685 1&(35 1& 3(6&2037% (6&7 )6(736 6 )6) 11& ( 56Les actifs et passifs nanciers des entreprises d assurance duGroupe sont comptabilisés et évalués conformément aux dispositionsapplicablesauxinstrumentsnancierstellesquedécritesdanslaNote3 3529 6 2167(&+1 48(6 ( 6(175(35 6(6 p6 685 1&(Les provisions techniques correspondent aux engagements desentreprises d assurance vis à vis des assurés et des bénéciairesCDRBNSSREnapplicationde lanorme IFRS4 sur lescontrats d assurance lesprovisions techniques des contrats d assurance vie et d assurancenon vie restent calculées selon les mêmes méthodes que cellesdéniesparlaréglementationlocale Les risques couverts par les contrats d assurance vie sontmajoritairement des risques de décès d invalidité et d incapacitéde travail Les provisions techniques relatives à ces contrats sontconstituées principalement des provisions mathématiques quicorrespondentàladifférenceentrelavaleuractuelledesengagementsrespectivement pris par l assureur et par les assurés et celle desprovisionspoursinistresàpayer Les provisions techniques des contrats en unités de compte avecclause discrétionnaire de participation aux bénéces ou avec uneclaused assurancesignicative(mortalité invalidité )sontévaluéesen dated inventaireenfonctiondela valeur deréalisation des actifsservantdesupportsàcescontrats Les risques couverts par les contrats d assurance non vie sontmajoritairement des risques de protection habitations des risquesautomobiles et des garanties accidents de la vie Les provisionstechniques relatives à ces contrats regroupent des provisions pourprimesnonacquises(quote partdeprimesémisesserapportantauxexercicessuivants)etdesprovisionspoursinistresàpayer En application des principes dénis par la norme IFRS4 etconformémentàlaréglementationlocaleapplicableauregarddecettedernière les contrats d assurance avec une clause de participationauxbénécesdiscrétionnairefontl objetd une«comptabilitémiroir»consistant à comptabiliser au bilan dans le poste QSHBHOSHNM TWbénéces différée les écarts de valorisation positifs ou négatifs desactifs nanciers qui potentiellement reviennent aux assurés Cetteprovisionpourparticipationauxbénécesd ifféréeestdéterminéedesorte à reéter les droits potentiels des assurés sur les plus valueslatentesrelativesauxinstrumentsnanciersvalorisés enjuste valeurouleursparticipationspotentiellesauxpertesencasdemoins valuesKSDSDRAn d établir le caractère recouvrable de l actif de participationaux bénéces différée en cas de moins value latente nette leGroupe vérie alors que les besoins de liquidité survenant dans unenvironnement économique défavorable n imposent pas de vendredes actifs en situation de moins values latentes Pour cela lesapprochessuivantessontretenues lapremièreconsisteàsimulerdesRBDMQHHCDRSQDRRdéterministes(«normés»ou«extrêmes») Ondémontrequedanscesscenarii il n y a pas de réalisation de moins values signicatives au titredesactifsenstockàladated inventairedanslesRBDMQHHtestés l objectif de la seconde approcheest de s assurerqu à moyen long terme les ventes réalisées pour faire face aux besoins deliquidité ne génèrent pas de moins values signicatives Cetteapproche est vériée sur des projections réalisées à partir deRBDMQHHextrêmes par ailleurs le test d adéquation des passifs est effectuétrimestriellement au moyen d un modèle stochastique faisantappel à des hypothèses de paramètres conformes à ceuxutilisés pour la MCEV (QJDS NMRHRSDMS LADCCDC 5KTD Dtest prend en compte l ensemble des ux de trésorerie futurscontractuelsy comprislesfraisdegestion lescommissions lesoptionsetgarantiessurlescontrats &+ 5*( 6(7352 8 76Leschargesetproduitsrelatifsauxcontratsd assuranceémisparlesentreprisesd assuranceduGroupesontprésentésparmiles QNCTHSRDSBGQFDRCDRTSQDRBSHUHSRdanslecomptederésultat Lesautresproduits etchargessont présentésdanslesrubriquesauxquellesilsRD OONSDS DR HSHNR CD K ONHRHN ONT OSHBHOSHN Tbénécesdifféréesontprésentéesaucomptederésultatouparmiles&HMRDS ODQSDRBNLOSAHKHRRCHQDBSDLDMSDMB OHSTWOQNOQDRCRlesrubriquesdédiéesauxactifssous jacentsconcernés 7 (63529 6 2167(&+1 48(63529 6 2167(&+1 48(6 ( 6(175(35 6(6 p668 5 1&((EnMEUR)Provisionstechniquesdescontratsd assuranceenunitésdecompteProvisionstechniquesdesautrescontratsd assurancevieProvisionstechniquesdescontratsd assurancenon vieParticipationauxbénécesdifféréepassive7RWDO3DUWGHVUDVVXUHXUVProvisionstechniques(ycomprisparticipationauxbénécesdifférée)nettesdelapartdesréassureurs * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 7% ( 8 (95 7 216 (63529 6 2167(&+1 48( 6 ( 6(175(35 6(6 p6685 1&((EnMEUR)3URYLVLRQVWHFKQLTXHVGHVFRQWUDWVHQXQLWVGHFRPSWH3URYLVLRQVWHFKQLTXHVGHVDXWUHVFRQWUDWVGDVVXUDQFHYLH3URYLVLRQVWHFKQLTXHVGHVFRQWUDWVGDVVXUDQFHQRQYLH3URYLVLRQVGRXYHUWXUHDXHUMDQYLHU(horsparticipationauxbénécesdifférée)Chargedesprovisionsd assurance5HYDORULVDWLRQGHVFRQWUDWVHQXQLWVGHFRPSWHChargementsprélevéssurlescontratsenunitésdecompte7UDQVIHUWVHWDUELWUDJHV(QWUHVGHSRUWHIHXLOOHV3DUWLFLSDWLRQDXUVXOWDWVXWUHV3URYLVLRQVGHFOWXUHDXGFHPEUH(horsparticipationauxbénécesdifférée)Conformément à la norme IFRS4 et aux principes du Groupe KD+HAHKHSX CDPTBX 3DRS + 3sur la sufsance des passifs a étéréalisé au 31décembre 2015 Ce test a pour objectif de vérierque les passifs d assurance comptabilisés sont sufsants enutilisantlesestimations actuellesdeux detrésoreriefutursgénéréspar les contrats d assurance Il s effectue sur la base de modèlesstochastiquessimilairesàceuxutiliséspournosmodèlesdegestionactif passif Lerésultatdecetestau31décembre2015estprobant &+ 1&(635 85 (5 (6717&285 5 (63529 6 2167(&+1 4 8(6(EnMEUR) XVTXpPRLVDe3moisDQ HDQV3OXVGHDQV3URYLVLRQVWHFKQLTXHVGHVHQWUHSULVHVGpDVVXUDQFH1785( ( 63 &(0(1761(76 ( 6(175( 35 6(6 p6 685 1&((EnMEURavantéliminationdesopérationsintra Groupe)Actifsnanciersàlajustevaleurparrésultat QVWUXPHQWVGHGHWWHV QVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHV3UÇWVHWFUDQFHVVXUWDEOLVVHPHQWVGHFUGLWVActifsnanciersdisponiblesàlavente QVWUXPHQWVGHGHWWHV QVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHV3ODFHPHQWVLPPRELOLHUV7RWDOLesplacements réalisésauprèsdesociétésduGroupeenreprésentationdescontratsd assurancevieenunitésde comptesontmaintenusaubilan consolidéduGroupe traitementquin apasd incidencesignicativesurcedernier IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( * 16( 73(57(6 7( 176&203 7% 66 5(&7( 0(17(1& 3 78 35235(6(EnMEUR)3OXVYDOXHV0RLQVYDOXHV5YDOXDWLRQQHWWH*DLQVHWSHUWHVODWHQWVGHVVRFLWVGDVVXUDQFHsurinstrumentsdecapitauxpropresdisponiblesàlavente928(568)360surinstrumentsdedettesdisponiblesàlaventeetactifsreclassésenprêtsetcréances7908(521)7387Participationauxbénécesdifférée(8286)970(7316)568 777(&+1 48( (6&7 9 7 6 p66851&((EnMEUR)3ULPHVChargesdeprestations(ycomprisvariationsdeprovisions)3URGXLWVQHWVGHVSODFHPHQWVAutresproduits(charges)netstechniques&RQWULEXWLRQDXUVXOWDWGHSORLWDWLRQDYDQWOLPLQDWLRQGHVRSUDWLRQVLQWUD*URXSHOLPLQDWLRQGHVRSUDWLRQVLQWUD*URXSH&RQWULEXWLRQDXUVXOWDWGHSORLWDWLRQDSUVOLPLQDWLRQGHVRSUDWLRQVLQWUD*URXSHIl s agit essentiellement de l élimination des commissions versées par les compagnies d assurance aux réseaux de distribution et de l élimination des résultats nanciersdégagéssurlesplacementsréalisésauprèsdessociétésduGroupe 352 8 761(76 (&200 66 216(EnMEURavantéliminationdesopérationsintra Groupe)&RPPLVVLRQVHWKRQRUDLUHVUHXVChargementsd acquisitionChargementsdegestionXWUHV&RPPLVVLRQVHWKRQRUDLUHVSDVChargementsd acquisitionChargementsdegestionXWUHV7RWDOGHVFRPPLVVLRQVHWKRQRUDLUHV*(6 7 21 (65 648(6 p6685 1&(Ilexistedeuxprincipalescatégoriesderisquesd assurance lesrisquestechniques notammentlerisquedesouscriptionliéauxrisquesdetaricationetdedérivedelasinistralité enassurancenon vie comme en prévoyance les bénéces sont exposés auxrisques de dégradation de la sinistralité constatée par rapportàlasinistralitéanticip éelorsdel élaborationde starifs Lesdérivespeuvent être liées à des facteurs multiples et complexes telsque les évolutions du comportement des populations assurées(rachats transferts ) les modications de l environnementmacro économique les pandémies les catastrophes naturelles lamortalité lamorbidité lalongévité les risques liés aux marchés nanciers et à la gestion actif passif en assurance vie l assureur est exposé aux aléas desmarchésnanciers(mouvementsdetauxd intérêtetuctuationsdes marchés boursiers) qui peuvent être aggravés par lecomportementdesassurés Lamaîtrisedecesrisquesestauc urdel activitédelaligne métierAssurances Elleestconéeàdeséquipesqualiéesetexpérimentéesdotéesdemoyensinformatiquesimportantsetadaptés Lesrisquesfontl objetdesuivis etdeQDONQSHMFRréguliersauprèsdesDirectionsgénérales des entités concernées et des Directions générales deslignes métiers * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 En matière de risques de tarication et de dérive de la sinistralité quelquesgrandsprincipessontappliqués sécurisation du processus d acceptation des risques pourgarantir une adéquationA HMHSHN de la tarication en fonctiondu prol de risque de l assuré La correcte application de cesprocéduresestvériéedanslecadredemissionsd auditqualitéet d audit interne pluriannuelles Ces processus ont fait l objetd unecerticationISO suivi des ratios sinistres primes réalisé à fréquence régulière àOSHCDRSSHRSHTDRKANDRODDBHBDCDRTDBDDSSDanalyse (croissance du portefeuille niveau de provisionnementdessinistresdéclarésousurvenusmaisnondéclarés)permet lecaséchéant desréajustementsdetaricationssurlesexercicessuivants mise en place d un plan de réassurance an de protéger leGroupedessinistresmajeursoudessinistressériels Concernant la maîtrise des risques liés aux marchés nanciers elle est intégrée à la stratégie d investissement au même titre quela recherche de la performance à long terme L optimisation de cesdeux paramètres est fortement déterminée par les équilibres actif passif Les engagements au passif (garanties offertes aux clients durée de détention des contrats) ainsi que les niveaux des grandsONRSDRCTAHKENCRONODRRTKSSRONHRHNRRDDRvRNSétudiésauseindelaDirectiondesnancesetdesrisquesdelaligne métier Assurances La politique globale de gestion actif passif estvalidée par la Direction générale du Groupe lors d un Comité ALMsemestriel La maîtrise des risques et leur analyse sont organisées autour dequelquesgrandsprincipes gestiondesrisquesactif passif lsurveillancedesuxdetrésorerie àlongterme l adéquationde la duration dupassifrapportée à la duration de l actif aumêmetitrequel étudedespicsdetrésoreriesontétroitementcontrôléesandemaîtriserlesrisquesdeliquidité lsurveillance particulière sur les ux de rachat et simulationsCDRBDMQHHCDstress lsurveillance étroite des marchés action et simulations deRBDMQHHCDstress lcouverturedesrisquesdetaux(àlabaisseetàlahausse)pardesinstrumentsnanciers gestiondesrisquesnanciers sousformedelimites llimites de contreparties (ex limites suivant le paysd appartenance de l émetteur distinction entre émetteursRNTDHRDSOHRllimitesdeQSHMFémetteurs llimitespartypesd actifs(ex actions privateequityToutes ces stratégies sont analysées en simulant diversRBDMQHHde comportement des marchés nanciers et de comportementCDR RRTR CR KD BCD CDRSQDRR SDRSRet de modélisationsstochastiques Entréeenvigueurle1Djanvier2016 ladirectiveSolvabilité2s appliqueauxgroupesetcompagniesd assurance deréassurance mutuelleset institutions de prévoyance situés dans l Union européenne Cette nouvelle réglementation s impose à l ensemble des entitésBNBDDRCT&NTOD IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 127(875(6 &7 )6(7875(6 366 )6875( 6&7 )6(EnMEUR) SWVGHJDUDQWLHYHUVV&RPSWHVGHUJOHPHQWGELWHXUVVXURSUDWLRQVVXUWLWUHVChargespayéesoucomptabiliséesd avanceXWUHVGELWHXUVGLYHUV7RWDOEUXW SUFLDWLRQ7RWDOQHWIls agitprincipalementdedépôtsdegarantieverséssurinstrumentsnanciers Les débiteursdiversincluentnotammentlesmontantsrestantàrecevoirsurlesprimes échelonnéessur instruments dérivés conditionnels ainsi quelescréancesdiversesliéesauxactivitésd assurance 875(6366 )6(EnMEUR) SWVGHJDUDQWLHUHXV&RPSWHVGHUJOHPHQWFUGLWHXUVVXURSUDWLRQVVXUWLWUHVXWUHVRSUDWLRQVVXUWLWUHVChargesàpayersurengagementssociaux3URGXLWVFRQVWDWVGDYDQFHXWUHVFUGLWHXUVGLYHUV7RWDOMontantsretraitésparrapportauxétatsnancierspubliésen2014 suiteàl entréeenvigueurdel interprétationIFRIC21quis appliquedefaçonrétrospective(cf Note1) Ils agitprincipalementdedépôtsdegarantiereçussurinstrumentsnanciers Lescréditeursdiversincluentnotammentlesmontantsrestantàpayerdeprimeséchelonnéessurinstrumentsdérivésconditionnels ainsique lesdettesdiversesliéesauxactivitésd assurance * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 127(&+5*(6( 79 17*(6 83(56211( 35 1& 3(6&2037% (6Lesavantagesdupersonnelserépartissentenquatrecatégories les avantages à courtterme dont le règlement est attendudanslesdouzemoisquisuiventlandel exerciceaucoursduquellesmembres du personnel ont rendu les services correspondants tels les salaires les primes les congés annuels rémunérés lescharges sociales et scales afférentes ainsi que la participationetl intéressementdessalariés les avantages postérieurs à l emploi à prestations dénies ouà cotisations dénies tels que les régimes de retraite ou lesindemnitésde ndecarrière les avantages à long terme dont le règlement est attendu dansundélaisupérieuràdouzemois telslesrémunérationsvariablesdifférées payées ennuméraire et non indexées les primes pourmédaillesdutravailoulecompteépargnetemps lesindemnitésdendecontratdetravail IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 127()5 6 (3(56211( ( 775 16&7 216 9(& (6357 (6 (635 1& 3(6&2037% (6 TAHTDQHR CD ODQRNMMDKcomprend l ensemble des chargesliées au personnel et regroupe à ce titre les charges relatives auxavantages du personnel et celles liées aux paiements sur based actionsSociétéGénérale LachargereprésentativedesavantagesàcourttermeacquisparlesmembresdupersonnelestenregistréeenQHRCDODQRNMMDKKNRTDcesderniersontrendulesservicesrémunérésparcesavantages Les principes comptables applicables aux avantages postérieursà l emploi et aux avantages à long terme sont présentés dans laNote5 2 ceuxapplicablesauxpaiementssurbased actionsSociété&KDRNSORDSRCRK NSD)5 6 (3(56211( (EnMEUR)5PXQUDWLRQVGXSHUVRQQHOChargessocialesetscalesChargesderetraitenettes régimesàcotisationsdéniesChargesderetraitenettes régimesàprestationsdénies3DUWLFLSDWLRQLQWUHVVHPHQWDERQGHPHQWHWGFRWH7RWDO 75 16&7 2169(& (6357 ( 6 (635 1& 3(6&2037% (6DREHRCDODRNDKHBKTDSKDRSRBSHNRDBKDROSHDRKHDRtellesquedéniesparlanormeIAS24 LeGroupearetenucommepartiesliées d unepartlesadministrateurs les mandataires sociaux (le Président le Directeur général et lesdeuxDirecteursgénérauxdélégués)etlesconjointsetenfantsvivantsous leurs toits d autre part les liales suivantes liales contrôléesexclusivement ou conjointement sociétés sur lesquelles SociétéGénéraleexerceuneinuencenotable 5081 57 21 ( 6 5 * (176Ont été prisesen compte à cetitre lessommeseffectivement payées par le Groupe aux administrateurs et mand ataires sociauxautitre desrémunérations(ycomprislescotisationspatronales)etautresavantagesci dessousselonlanomenclaturedelanormeIAS24 paragraphe17 (EnMEUR)YDQWDJHVFRXUWWHUPHYDQWDJHVSRVWULHXUVOHPSORLYDQWDJHVORQJWHUPHIndemnitésdendecontratdetravail3DLHPHQWVHQDFWLRQV7RWDO75 16&7 21 69(& ( 6357 ( 6 (63(56211( 63+<6 4 8(6Lesseulestransactionsaveclesadministrateurs mandatairessociauxetlesmembresdeleursfamilles retenuesdanslaprésentenote sontlesmontantsdesprêtset cautionsen cours au31décembre 2015 quis élèventautotalà16 5millionsd euros Lesautrestransactionsaveccespersonnesn ontpasdecaractèresignicatif 02 1717727 ( 662 00(6 3529 6 211 (628&21677(635 (8 5635 (*52 83(6 2& 7* 15 (8 ) 16 89(56( 0(17 (3(16 21 6 (5( 75 7(628 p875(6917*(6Le montant total des sommes provisionnées ou constatées par legroupeSociétéGénéraleau31décembre2015enapplicationdelanorme IAS 19 révisée aux ns de versement de pensions retraitesouautresavantagesàdesmandatairessociauxdeSociétéGénérale(MM Cabannes SanchezInceraetlesdeuxadministrateursélusparlessalariés)s élèveà4 1millionsd euros * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 127( 9 17*(6 83(56211( Les entités du Groupe en France et à l étranger peuvent accorderàleurssalariés des avantages postérieurs à l emploi tels que les régimes deretraiteouindemnitésdendecarrière desavantagesàlongterme telsquelesrémunérationsvariablesdifférées lesmédaillesdutravailoulecompteépargnetemps desindemnitésdendecontratdetravail 7 (63529 6 216685917*(6 83(56211( (EnMEUR)RND RDRV5SVVGVSREOV RDRVV5SVVOVVvDVDDOVDDDRVGSPRND3URYLVLRQVVXUDYDQWDJHVGXSHUVRQQHO917*(632675 (856 p(03 2 35 1& 3(6&2037% (6Les avantages postérieurs à l emploi se décomposent en deuxcatégories les régimes à cotisations dénies et les régimes àprestationsdénies 5* 0( 63 2675 (85 6 p( 03 2 &27 6 7 21 6 ) 1 (6Lesrégimesderetraiteàcotisationsdéniessontceuxpourlesquelsl obligation du Groupe se limite uniquement au versement d unecotisation mais qui ne comportent aucun engagement du GroupeRT KD HDT CDR ODRSSHNR ENTHDR DR BNSHRSHNR DRDRconstituentdeschargesdel exercice 5* 0( 63 2675 (85 6 p( 03 2 35 (677 216 ) 1 (6Les régimes de retraite à prestationsdénies désignent les régimespour lesquels le Groupe s engage formellement ou par obligationimplicite sur un montant ou un niveau de prestations et supportedonclerisqueàmoyenoulongterme Une provision est enregistrée au passif du bilan en QNUHRHNMR ONTcouvrirl intégralitéde ces engagements de retraite Elle est évaluéerégulièrement par des actuaires indé pendants selon la méthodedes unités de crédit projetées Cette méthode d évaluation tientcompte d hypothèses démographiques de départs anticipés d augmentationsdesalairesetdetauxd actualisationetd ination Lorsquecesrégimessontnancéspardesfondsexternesrépondantà la dénition d actifs du régime la provision destinée à couvrir lesengagementsconcernésestdiminuéedelajustevaleurdecesfonds Les différences liées aux changements d hypothèses de calcul(départs anticipés taux d actualisation ) ainsi que les différencesconstatées entreleshypothèsesactuarielles et laréalitéconstituentdes écarts actuariels (gains ou pertes) Ces écarts actuariels ainsiquelerendementdesactifsdurégime duquelestdéduitlemontantdéjà comptabilisé en charges au titre des intérêts nets sur le passif(ou l actif) net et la variation de l effet du plafonnement de l actifsont des éléments de réestimation (ou de réévaluation) du passifnet(oudel actifnet) Cesélémentssontenregistrésimmédiatementet en totalité parmi les&HMR DS ODQSDR BNLOSAHKHRR CHQDBSDLDMSDM BOHSTW OQNOQDR Ces éléments ne peuvent être reclassésultérieurementenrésultat Dans les états nanciers consolidés du Groupe ces éléments qui nepeuventêtrereclassésultérieurementenrésultatsontprésentéssurunelignedistincte del état du résultatnetetgainsetpertes comptabilisésdirectementencapitauxpropres maissonttransférésenréservesdansle tableau d évolution des capitaux propres de sorte qu ils gurentdirectementparmiles1RDQUDRBNMRNKHCDRTORRHECTAHKEncasde miseenplace d un nouveau régime(ouavenant) le coûtdesservicespassésestcomptabiliséimmédiatementenrésultat La charge annuellecomptabilisée enQHR CDODQRNMMDK TSHSD CDRrégimesàprestationsdéniescomprend les droits supplémentaires acquis par chaque salarié (coût desservicesrendus) la variation de l engagement suite à une modication ou à uneréductiond unrégime(coûtdesservicespassés) le coût nancier correspondant à l effet de la désactualisationde l engagement et le produit d intérêt généré par les actifs durégime(intérêtsnetssurlepassifoul actifnet) l effetdesliquidationsderégimes IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 5* 0(63 26 7 5 (85 6 p( 03 2 &27 6 7 21 6 ) 1 (6Les principaux régimes postérieurs à l emploi à cotisations déniessesituentenFrance auRoyaume UnietauxÉtats Unis EnFrance ilsregroupentnotammentl assurance vieillesseobligatoireet les régimes de retraite nationaux ARRCO et AGIRC ainsi que lesrégimesderetraitemisenplaceparcertainesentitésduGroupepourlesquelsellesn ontqu uneobligationdecotiser(abondementPERCO) AuRoyaume Uni l employeurversedestauxdecotisationsvariablesen fonction de l âge des collaborateurs (de 2 5 à 10% du salaire)et peut abonder jusqu à 4 5% les versements complémentairesNKNSHDRCDRRKHRAux États Unis l employeur contribue à hauteur des cotisationspayéesvolontairementparlessalariésjusqu à100%surlespremiers8%decontributiondanslalimitede10000dollarsdesÉtats Unis 5* 0(63 26 7 5 (85 6 p( 03 2 35 (6 77 216 ) 1 (6Lesrégimesderetraitepostérieursàl emploicomprennentdesrégimesoffrant des prestations de retraite sous forme de rentes des régimesd indemnités de n de carrière ainsi que des régimes mixtes (BRGAKMBD) Lesprestationssousformederentesviennentencomplémentdespensionsderetraiteverséesparlesrégimesdebaseobligatoires Les principaux régimesde retraite àprestations dénies sont situésenFrance enSuisse auRoyaume UnietauxÉtats Unis En France le régime additif de l allocation complémentaire deretraite descadresde direction mis enplace en 1991 attribue auxbénéciaires une allocation annuelle à charge de SociétéGénérale telle que décrite dans la partie «Gouvernement d entreprise» Cette allocation est notamment fonction de l ancienneté au sein deSociétéGénérale et de la part de la rémunération xe excédant laTrancheBdel AGIRC En Suisse le régime est géré par une institution de prévoyance(la Fondation) composée de représentants patronaux et salariés L employeuretsessalariésversentdescotisationsàcetteFondation Les droits à retraite sont revalorisés selon un taux de rendementgarantiettransformésenrente(ouversésencapital)égalementselonun taux de conversion garanti (régime dit «BRGAKMBDu T EHSde cette garantie de rendement minimum le p lan est assimilé à unrégimeàprestationsdénies Depuis quelques années le groupe SociétéGénérale mèneactivementunepolitiquedetransformationdesrégimesàprestationsdéniesenrégimesàcotisationsd énies Ainsi auRoyaume Uni lerégimeàprestationsdéniesestferméauxnouveaux collaborateurs depuis près de vingt ans et les droits desderniers bénéciaires ontétégelés en2015 Lagestionest assuréeparunorganismeindépendant(3QTRSDDDemême auxÉtats Unis lesplansdepensionàprestationsdéniesontété fermésauxnouveaux collaborateursen2015etl acquisitiondedroitsaétégelée 5v&21& 7 21(6&7 )6(7366 )6 16&5 7 68% 1(EnMEUR)A ValeuractualiséedesengagementsnancésB Justevaleurdesactifsdenancement(actifsderégimeetactifsdistincts)C=A+BSoldedesrégimesnancésD Valeuractualiséedesengagementsnonnancés((IIHWGXSODIRQQHPHQWGDFWLI& ( 6ROGHQHWFRPSWDELOLVDXELODQ * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 &2032617(68&27(635(677 216v) 1 (6(EnMEUR)Coûtdesservicesdel annéeycomprischargessociales&RWLVDWLRQVVDODULDOHV&RWGHVVHUYLFHVSDVVVUGXFWLRQV(IIHWGHVOLTXLGDWLRQV QWUÇWVQHWV7UDQVIHUWGDFWLIVQRQUHFRQQXV&RPSRVDQWHVUHFRQQXHVHQUVXOWDWFDUWVDFWXDULHOVOLVDXDFWLIVÉcartsactuarielssuiteauxchangementsd hypothèsesdémographiquesÉcartsactuarielssuiteauxchangementsd hypothèseséconomiquesetnancièresFDUWVDFWXDULHOVGHSULHQFH(IIHWGXSODIRQQHPHQWGDFWLIV%&RPSRVDQWHVUHFRQQXHVHQJDLQVHWSHUWHVFRPSWDELOLVVGLUHFWHPHQWHQFDSLWDXSURSUHVC=A+BTotaldescomposantesducoûtdesprestationsdéniesRendementdesactifsdurégime duquelestdéduitlemontantdéjàcomptabiliséenchargesautitredesintérêtsnets 95 7 2 16(6366 )61(76(65v* 0(63267v5 (856c â(03 2 &2037% 6v68% 1 9DULDWLRQVGHODYDOHXUDFWXDOLVHGHVREOLJDWLRQV(EnMEUR)6ROGHDXHUMDQYLHUCoûtdesservicesdel annéeycomprischargessociales&RWLVDWLRQVVDODULDOHV&RWGHVVHUYLFHVSDVVVUGXFWLRQV(IIHWGHVOLTXLGDWLRQV QWUÇWVQHWVÉcartsactuarielssuiteauxchangementsd hypothèsesdémographiquesÉcartsactuarielssuiteauxchangementsd hypothèseséconomiquesetnancièresFDUWVDFWXDULHOVGHSULHQFH&RQYHUVLRQHQGHYLVHV3UHVWDWLRQVVHUYLHVModicationsdupérimètredeconsolidation7UDQVIHUWVHWDXWUHV6ROGHDXGFHPEUH IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 1 3 2Variationsdelajustevaleurdesactifsdenancement(desactifsdurégimeetdesactifsdistincts)(EnMEUR)6ROGHDXHUMDQYLHU23572007Chargesd intérêtliésauxactifsderégimeChargesd intérêtliésauxactifsdistinctsFDUWVDFWXDULHOVOLVDXDFWLIV&RQYHUVLRQHQGHYLVHV&RWLVDWLRQVVDODULDOHV&RWLVDWLRQVSDWURQDOHV3UHVWDWLRQVVHUYLHVModicationsdupérimètredeconsolidation7UDQVIHUWVHWDXWUHV6ROGHDXGFHPEUH23852357Dont142millionsd eurosautitredesactifsdistinctsau31décembre2015contre151millionsd eurosau31décembre2014 1)2507 216685 (6&7 )6() 11&(0(17(65v* 0(6(702 7v6() 11&(0(17(65v* 0(6 1 4 1Informationsgénéralessurlesactifsdenancement(tousrégimesconfondusetcotisationsfutures)Les actifs de nancement des régimes représentent environ 69%desengagementsduGroupe avecdestauxvariablesselonlespays Ainsi les engagements des régimes à prestations dénies duRoyaume Uni sont nancés à hauteur de 100% ceux des États Unis àprèsde77% alorsqu ilsnesont que de 66% enFrance etnonpré nancésenAllemagne La juste valeur des actifs de régimes se répartit à hauteur de 47%d obligations 40%d actions 1%demonétaireet12%autres LestitresSociétéGénéraledétenusendirectnesontpassignicatifs Lesexcédentsd actifsderégimess élèventàunmontantde32millionsd euros Les cotisations employeurs devant être versées pour 2016 sontestimées à 22millions d euros au titre des régimes d avantagespostérieursàl emploiàprestationsdénies Les stratégies de couverture des régimes sont dénies localementen lien avec les Directions nancières et les Ressources HumainesCDR DSHSR O CDR RSTBSTDRC GNB3QTRSDDR NCSHNRstructures paritaires ) le cas échéant Par ailleurs les stratégiesd investissementoudenancementdespassifssociauxsontsuiviesauniveauGroupeàtraversunegouvernanceglobale Descomités enprésencedereprésentantsdelaDirectiondesressourceshumaines delaDirectionnancièreetdelaDirectiondesrisquesontpourobjetdedénirlesdirectivesduGroupeenmatièred investissementetdegestiondespassifs de validerlesdécisions etdesuivrelesrisquesRRNBHRONTKD&NTODSelon les durations des régimes et les règlementations locales lesBSHER CD BNTDSTD RNS HDRSHR D BSHNR DSNT D ONCTHSR CDtaux garantisounon 1 4 2 RendementsréelsdesactifsdenancementLesrendementsréelssurlesactifsderégimesetlesactifsdistinctssedécomposent (EnMEUR)FWLIVGHVUJLPHVFWLIVGLVWLQFWVLeshypothèsesdetauxderendementattendussontdécritesauparagraphesuivant * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 35 1& 3 (6327u6(6&785 ( (6352 1(*v2*5 3 48(7DXGHVFRPSWH(XURSHPULTXHVVLH2FDQLHIULTXHTauxd inationlongterme(XURSHPULTXHVVLH2FDQLHIULTXHTauxdecroissancenetd inationdesmassessalariales(XURSHPULTXHV1VLH2FDQLHIULTXH XUHGHYLHDFWLYHPRHQQHUHVWDQWHGHVVDODULVHQDQQHV(XURSHPULTXHVVLH2FDQLHIULTXH XUDWLRQHQDQQHV(XURSHPULTXHVVLH2FDQLHIULTXHLes hypothèses par zone géographique sont des moyennespondéréesparlavaleuractualiséedesengagements Les courbes des taux d actualisation utilisées sont les courbes desobligationsBNQONQSDnotées AA(sourceMerrill Lynch) observéesnoctobrepourlesdevisesUSD GBPetEUR corrigéesndécembredans les cas où la variation des taux avait un impact signicatif Lestauxd inationutiliséssontlesobjectifslongtermesdesBanquescentralesdeszonesmonétairesci dessus Laduréedevieactivemoyennerestantedessalariésestcalculéeentenantégalementcomptedeshypothèsesdetauxderotation Les hypothèses ci dessus ont été appliquées sur les régimespostérieursàl emploi 1 6((66(16 % 7v6(6(1**(0(176895 7 216(635 1& 3 (6327u6(6&785 ( (6(Enpourcentagedel élémentmesuré)9DULDWLRQGHGXWDXGHVFRPSWH PSDFWVXUODYDOHXUDFWXDOLVHGHVHQJDJHPHQWVDXGFHPEUH1 14% 14%Variationde+1%dutauxd inationlongterme PSDFWVXUODYDOHXUDFWXDOLVHGHVHQJDJHPHQWVDXGFHPEUH1Variationde+1%dutauxdecroissancenetd inationdesmassessalariales PSDFWVXUODYDOHXUDFWXDOLVHGHVHQJDJHPHQWVDXGFHPEUH1Lessensibilitéspubliéessontdesmoyennesdesvariationsobservéespondéréesparlavaleuractualiséedesengagements IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 917*( 6 21*7( 50(35 1& 3(6&2037% (6Les avantages à long terme sont les avantages autres que lesavantages postérieurs à l emploi et lesindemnités de n de contratde travail qui sont versés aux salariés dans un délai supérieur àdouzemoisaprèslaclôturedel exercicependantlequelcesderniersNSDCTKDRRDHBDRBNDRONCSRLesavantagesàlongtermesontévaluésetcomptabilisésdemanièreidentique aux avantages postérieurs à l emploi au traitement prèsdes écarts actuariels qui sont comptabilisés immédiatement enRTKSSCes avantages comprennent notamment les programmes derémunérationdifféréeverséeennuméraireetnonindexéetelsquelesrémunérations variables long terme les comptes épargne temps etlesprimespourmédaillesdutravail Au 31décembre 2015 le solde net au bilan des avantages à longtermes élèveà464millionsd euros Lemontant totaldes charges desavantages à longterme s élève à134millionsd eurospourl exercice2015 * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 127( 3 1 6 p917*(6 (1&7 21635 1& 3(6&2037% (6Lespaiementssurbased actionsSociétéGénéraleenglobent lespaiementseninstrumentsdecapitauxpropres lesversementsenespècesdontlemontantdépenddel évolutiondelavaleurdesinstrumentsdecapitauxpropres Ces paiements sur base d actions donnent lieu à l enregistrementsystématique d une charge de personnel inscrite dans la rubriqueQHR CD ODQRNMMDK pour un montant égal à la juste valeur de larémunération sur base d actions accordée au salarié et selon desmodalitésquidépendentdumodederèglementdecespaiements Pour les paiements en actions dénoués par remise d instrumentsde capitaux propres (actions gratuites et options d achat oude souscription d actions Société Générale) la valeur de cesinstruments calculée en date de notication est étalée en chargessurlapérioded acquisitiondesdroitsparcontrepartiedelarubrique QHLDR DS QRDQUDR KHDR en capitaux propres À chaque date declôture le nombre de ces instruments est révisé pour tenir comptedes conditions de performance et de présence et ajuster le coûtglobal du plan initialement déterminé la chargecomptabilisée dansK TAHTDQHR CD ODQRNMMDK depuis l origine du plan est alorsajustéeenconséquence Pour les paiements en actions dénoués par règlement en espèces(rémunérations indexées sur le cours de l action Société Générale) la valeur des sommes à verser est étalée en charges dans laTAHTDQHR CD ODQRNMMDK sur la période d acquisition des droitsparcontrepartied uncomptededettesaupassifdubilanen TSQDRORRHER lGQFDR OXDQ RTQ DMFFDLDMSR RNBHTW Jusqu à sonrèglement cettedetteestréévaluéepourtenircomptedesconditionsdeperformanceetdeprésenceainsiquedesvariationsdevaleurdesactionssous jacentes Encasde couvertureparinstrumentsdé rivés la variation de valeur de ces derniers est enregistrée dans la mêmerubriqueducomptederésultatàhauteurdelapartefcace (3 1021 p&7 2115 76 5 Le Groupe peut permettre à ses salariés et retraités de participerà une augmentation de capital spécique dans le cadre du Planmondiald actionnariatsalarié Desactionsnouvellessontproposéesavec une décote en contrepartie d une période d incessibilité decinq ans L avantage consenti est enregistré dans les chargesde l exercice dans la rubriqueQHR CD ODQRNMMDK (Participation intéressement abondement et décote) Cet avantage se mesurecomme étant la différence entre la juste valeur des titres acquiset le prix d acquisition payé par le salarié le tout multiplié par lenombred actionseffectivementsouscrites La justevaleurdestitresacquis est déterminée en intégrant la conditionlégale d incessibilitéassociée surlabasedesparamètresdemarché(notammentletauxd emprunt) applicables aux acteurs de marché bénéciaires de cesSHSDR HBDRRHAKDR ONT DBNRSHSTD TD RHSTSHN CD KHAD CHRONRHSHNCDRSHSDR875 (63 (0(17 6%6 6685 (6&7 2 16Le Group e peut attribuer à certains de ses salariés des optionsd achat ou de souscription d actions des actions gratuites ou desrémunérationsindexéessurlecoursdel action Société Générale etrégléesenespèces Lesoptionssontévaluéesàleurjustevaleuràladatedenoticationaux salariés sans attendre que les conditions nécessaires à leurattributiondénitivesoientremplies niquelesbénéciairesexercentKDTRNOSHNRLes méthodes retenues pour la valorisation des plans du Groupesont le modèle binomial lorsque le Groupe dispose de statistiquessufsantes pour intégrerUHce modèle le comportement desbénéciairesdes options d un plan ou à défaut le modèle Black &ScholesouencoreMonteCarlo CetteévaluationestréaliséeparunBSTHDHCODCS02 1717 ( &+5*(( 15 (* 6 75((15 68 77(EnMEUR)3DGRPVSV3DGRPVRDOGVPV3DGRPVSV3DGRPVRDOGVPVChargesnettesprovenantdesplansd options desplansd achatd actionsHWGDWWULEXWLRQJUDWXLWHGDFWLRQV IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( (6 &5 37 2 1 (63 16 p2 37 21 6 p&+7(7 (62 86&5 3 7 21 p&7 21662& 7* 1 5 ( DWHGpVVHPEOH DWHGX&RQVHLOGpDGPLQLVWUDWLRQ1RPEUHWRWDOGpDFWLRQVpouvantêtresouscritesouachetéesdontnombred actionspouvantêtresouscritesouachetéesparlesmembresduComitéexécutifenpostelorsdeleurattribution415596155289177205NombretotaldebénéciairesdontmembresduComitéexécutifenpostelorsdeleurattribution10103RLQWGHGSDUWGpHHUFLFHGHVRSWLRQV DWHGpHSLUDWLRQPrixdesouscriptionoud achat(enEUR)Modalitésd exercice(lorsqueleplancomporteplusieurstranches) XVWHYDOHXUGXSULGXWLWUHODWWULEXWLRQ26%27%1RPEUHGpDFWLRQVVRXVFULWHVDX1RPEUHFXPXOGpRSWLRQVGHVRXVFULSWLRQRXd achatactionsannuléesoucaduquesOptionsdesouscriptionoud achatd actionsrestantesennd exercice LOXWLRQSRWHQWLHOOHGXFDSLWDO0 04%0 02%0%L exerciced uneoptiondonnedroitàuneactionSociétéGénérale Cetableautientcomptedesajustementseffectués suiteàlasuitedesaugmentationsdecapital Cettelignenetientpascomptedeslevéesréaliséesdepuisladated attribution Leprixdesouscriptionoud achatestégalàlamoyennedes20coursdebourseprécédantleConseild administration Ladilutionestlerésultatdeladivisiondunombred optionsrestantespouvantêtresouscritesparlenombred actionscomposantlecapitalsocial (4)Dont320000optionsattribuéesinitialementauxDirigeantsmandatairessociauxquiyontrenoncé * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 ( 6&5 37 2 1 (63 16 p775 % 87 2 1*5 78 7( p&7 21 662& 7*1 5 ( DWHGpVVHPEOH DWHGX&RQVHLOGpDGPLQLVWUDWLRQ1RPEUHWRWDOGpDFWLRQVDWWULEXHVNombretotaldebénéciaires DWHGpDFTXLVLWLRQGHVDFWLRQV55555515UHtranche)1515151515515Htranche)DatedendepériodeGHFRQVHUYDWLRQ&RQGLWLRQVGHSHUIRUPDQFHRXLRXLRXLRXLRXLRXL XVWHYDOHXU(enEUR)555515UHtranche)1515151515515Htranche)1RPEUHGpDFWLRQVDFTXLVHVDX1RPEUHFXPXOGpDFWLRQVDQQXOHVRXFDGXTXHVFWLRQVGHSHUIRUPDQFHrestantesennd exerciceR=Pourlesrésidentsscauxfrançais NR=Pourlesnon résidentsscauxfrançais «Pland attributiongratuited actionspourtous»bénéciantàl ensembledessalariésduGroupe soitprèsde159000personnesconcernéesdans79pays Applicableauxattributairesrésidentsscauxfrançaisuniquement LesconditionsdeperformanceapplicablessontdécritesdanslechapitresurleGouvernementd entreprise Plansd attributiond actionsauxsalariés (4)Laméthodedevalorisationutiliséepourlecalculdelajustevaleurestl arbitrage IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 127( 037635 1& 3(6&2037% (6 0 37 6&2 85 176Lacharged impôtcourantestdéterminéesurlabasedesbénécesimposables de chaque entité scale consolidée en appliquant lestaux et règles d imposition en vigueur dans le pays d implantationde l entité Cette charge inclut également les dotations nettes auxprovisionspourrisquesscauxafférentsàl impôtsurlesbénéces Lescréditsd impôtsurrevenusdecréancesetdeportefeuillestitres lorsqu ilssontutilisésenrèglementdel impôtsurlesbénécesdûautitredel exercice sontcomptabilisésdanslamêmerubriquequelesproduitsauxquelsilsserattachent Lacharged impôtcorrespondanteest maintenue dans la rubriqueImpôts sur lesbénécesdu compteCDRTKSS 0 37 6 )) 5 6Les impôts différés sont comptabilisés dès lors qu une différencetemporaire est identiée entre les valeurs comptables des actifs etpassifs gurant au bilan et leurs valeurs scales respectives lorsqueces différences ont une incidence sur les paiements futurs d impôts Lesimpôts différéssont calculésauniveau dechaque entitéscaleenappliquantlesrèglesd impositionenvigueurdanslepaysd implantationetenutilisantletauxd impôtvotéouquasivotéquidevraitêtreenvigueuraumomentoùladifférencetemporaireseretournera Cesimpôtsdifféréssontajustésencasdechangementdetauxd imposition Leurcalculnefait l objet d aucune actualisation Des actifs d impôts différés peuventrésulter de différences temporaires déductibles ou de pertes scalesreportables Les actifs d impôts différés ne sont comptabilisés que sil entitéscaleconcernéeauneperspectivederécupérationprobabledecesactifssurunhorizondéterminé notammentparl imputationdecesdifférences et pertes reportables sur des bénéces imposables futurs Lespertes scalesreportables font l objet d une revue annuelle tenantcomptedurégimescalapplicableàchaqueentitéscaleconcernéeetd uneprojectionréaliste des résultats scauxdecette dernièrefondéesur les perspectives de développement de leurs activités les actifsd impôtsdifférésquin avaientpasétécomptabilisésjusque làsontalorsreconnusau bilan s ildevientprobablequ un bénéce imposablefuturpermettraleurrécupération Enrevanche lavaleurcomptabledesactifsd impôtsdifférésdéjàinscritsaubilanestréduitedèslorsqu apparaîtunHRTDCDNBTOSHNOSHDKKDNTSNSKDLes impôts courants et différés sont comptabilisés en charges ouen produits d impôts dans la rubriqueImpôts sur les bénéces CTcompte de résultat consolidé Cependant les impôts différés serapportantàde schargesouproduitsenregistrésen&HMRDSODQSDRBNLOSAHKHRR CHQDBSDLDMS DM BOHSTW OQNOQDR RNS HRBHSR CRcettemêmerubriquedescapitauxpropres 7 ( &+5*( p 037(EnMEUR)ChargescalecouranteChargescaledifférée7RWDOGHODFKDUJHGLPSWMontantsretraitésparrapportauxétatsnancierspubliésen2014 suiteàl entréeenvigueurdel interprétationIFRIC21quis appliquedefaçonrétrospective(cf Note1) 5&21& 7 21( 175( (78 p 03712507 ) 8* 5283((7 (78 p 03 7( ))(&7 )(EnMEUR)5VXOWDWDYDQWLPSWKRUVUVXOWDWGHVVRFLWVPLVHVHQTXLYDOHQFHHWSHUWHVGHYDOHXUVXUOHVFDUWVGDFTXLVLWLRQDM417DXQRUPDOGLPSRVLWLRQDSSOLFDEOHDXVRFLWVIUDQDLVHVLQFOXDQWODFRQWULEXWLRQVRFLDOHGH LIIUHQFHVSHUPDQHQWHV LIIUHQWLHOVXUWLWUHVHRQUVRXLPSRVVWDXUGXLWDifférentieldetauxd impositionsurlesprotstaxésàl étrangerEffetdespertesdel exercicenondéductiblesetdel utilisationdesreportsdécitaires7DXHIIHFWLI*URXSHMontantsretraitésparrapportauxétatsnancierspubliésen2014 suiteàl entréeenvigueurdel interprétationIFRIC21quis appliquedefaçonrétrospective(cf Note1) EnFrance letauxnormaldel impôtsurlessociétésestde33 33% S y ajoutent une contribution sociale de 3 3 % (après applicationd un abattement de 0 76 million d euros) instaurée en 2000 ainsiqu une contribution exceptionnelle égale à 10 7 % de l impôt surles sociétés instaurée pour les exercices 2013 et 2014 (contre 5 %pour les exercices 2011 et 2012) pour les sociétés bénéciairesréalisantun chiffre d affairessupérieur à250millionsd euros LaLoideFinancesRecticativedu8août2014aprorogécettecontributionexceptionnellepourl exercice2015 * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 Lesplus valuesàlongtermesurtitresdeparticipa tionsontexonéréessous réserve de la taxation au taux d e droit commun d une quote part de frais et chargesde 12% du montant de la plus value bruteCDOTHRKNHCDHBDREn outre au titre du régime de s sociétés mères et liales lesdividendesreçusdessociétésdanslesquelleslaparticipationestaumoinségaleà5%sontexonéréssousréservedelataxationautauxdedroitcommund unequote partdefraisetchargesde5% Letauxd impositionretenupourcalculerlesstocksd impôtsdifférésdessociétésfrançaisess élèveà34 43%pourlesrésultatsimposésau tauxde droitcommun Pour lesrésultatsimposésautauxréduit letauxretenuestde4 13%comptetenudelanaturedesopérationsBNBDDR3529 6 216) 6& (635 1& 3(6&2037% (6Les provisions représentent des passifs dont l échéance ou lemontant ne sont pas xés de façon précise Leur constitution estsubordonnéeàl existenced uneobligationduGroupeàl égardd untiers dont il est probable ou certain qu elle provoquera une sortiede ressources au bénéce de ce tiers sans contrepartie au moinsTHKDSDSSDCTDC DBDKTHBHLe montant de la sortie de ressources attendue est alors actualisépour déterminer le montant de la provision dès lors que l effet decette actualisation présente un caractère signicatif Les dotationset reprises de provisions pour risques scaux sont enregistrées enCharge scale couranteCR K TAHTDImpôts sur les bénécesdu compte de résultat Les informations relatives à la nature et aumontant des risques concernés ne sont pas fournies dès lors queleGroupe estime qu ellespourraient lui causer un préjudice sérieuxdans un litige l opposant à des tiers surle sujet faisant l objetde laONHRHN(EnMEUR)RND RDRV5SVVGVSREOV RDRVV5SVVOVVDDDRVGSPRNDProvisionsscales 7 (6&7 )6(7366 )6 p 0376&7 )6 p 0376(EnMEUR)&UDQFHVGLPSWVHLJLEOHVFWLIVGLPSWVGLIIUVdontimpôtsdifféréssurreportsdécitaires34133547dontimpôtsdifféréssurdifférencestemporaires251526047RWDOMontantsretraitésparrapportauxétatsnancierspubliésen2014 suiteàl entréeenvigueurdel interprétationIFRIC21quis appliquedefaçonrétrospective(cf Note1) 366 )6 p 0376(EnMEUR) HWWHVGLPSWVHLJLEOHV3DVVLIVGLPSWVGLIIUV7RWDO IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 9(17 7 21351785( (6 0376 ))56 % 7628&5 76 5(&7(0(1735&3 78 35235(6(EnMEUR)(IIHWGLPSWVXUOPHQWVTXLVHURQWUHFODVVVXOWULHXUHPHQWHQUVXOWDWActifsnanciersdisponiblesàlavente QVWUXPHQWVGULYVGHFRXYHUWXUH4XRWHSDUWGHJDLQVHWSHUWHVFRPSWDELOLVVGLUHFWHPHQWHQFDSLWDXSURSUHVVXUHQWLWVPLVHVHQTXLYDOHQFHHWTXLVHURQWUHFODVVVXOWULHXUHPHQWHQUVXOWDW(IIHWGLPSWVXUOPHQWVTXLQHVHURQWSDVUHFODVVVXOWULHXUHPHQWHQUVXOWDWFDUWVDFWXDULHOVVXUDYDQWDJHVSRVWHPSORL7RWDO9(17 7 2135*5283() 6& (6 0376 ))566 855(32576 ) & 7 5(6356 (176 p&7 )DUB IL ANAu31décembre2015 comptetenudurégimescalapplicableàchaqueentitéconcernéeetd uneprojectionréalistedeleursrésultatsscaux laduréeprévisionnellederecouvrementdesactifsd impôtsdifférésestprésentéedansletableauci dessous (EnMEUR) XUHOJDOHGXUHSRUWHQDYDQW XUHSUYLVLRQQHOOHGHUHFRXYUHPHQWImpôtsdifférésactifssurreportsdécitairesdontgroupescalFrance2896illimité(1)10ansdontgroupescalÉtats Unisd Amérique20ans4ansdontautres223 EnapplicationdelaLoideFinances2013(art 24) l imputationdesdécitsestplafonnéeà1milliond eurosmajoréde50%delafractiondubénéceimposabledel exerciceexcédantceplafond Lafractionnonimputabledesdécitsestreportablesurlesexercicessuivantssanslimitedetempsetdanslesmêmesconditions * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 127(&3 78 35235(6127(&7 21635235(6(7 167580(176 (&3 78 35235(60 635 1& 3(6&2037% (6&7 2 16352 35 (6DR BSHNR 2NBHS&KD CSDTDR O KD &NTOD RNS ONSDRendéductiondescapitauxpropresconsolidésquelquesoitl objectifde leur détention et les résultats afférents sont éliminés du compteCDRTKSSBNRNKHCLetraitementdesrachatsetreventesd actionsémisespardeslialesCT&NTODDRSCBHSCRK NSD 1 67580(176 (&3 78 35235( 60 6Les instruments nanciers émis par le Groupe sont qualiés entotalité ou enpartie d instruments dede ttes ou decapitauxpropresselonqu ilexisteounonuneobligationcontractuellepourl émetteurCDCKHDCDKSRNDHDTCSDSDTRCDRSHSDRLorsqu ilssontqualiésd instrumentsdecapitauxpropres lestitresémisparSociétéGénéralesontprésentésaubilandanslaligneOHSKDS QRDQUDR KHDR S ils sont émis pardesliales ces instrumentsdecapitauxpropressontprésentésparmiles QSHBHOSHNMRMDC NMMMSOR KD BNMSQKD Les frais externes directement liés à l émissiond instruments de capitaux propres sont enregistrés directement endéductiondescapitauxproprespourleurmontantnetd impôt Lorsqu ils sont qualiés d instruments de dettes les titres émisRNS BKRRR D#DSSDR QDOQRDMSDR OQ TM SHSQD NT D#DSSDRRTANQCNMMDRenfonctiondeleurs caractéristiques Leurtraitementcomptableestidentiqueàceluidesautrespassifsnanciersévaluésaucoûtamorti(cf Note3 6) &7 21625 1 5(6 0 6(6356 2& 7*15 (6 (Ennombred actions)FWLRQVRUGLQDLUHVDontactionsdétenuesenpropreavecdroitsdevote(1)951356820041922Dontactionsdétenuesparlepersonnel5740040761740620NecomprendpaslesactionsSociétéGénéraledétenuesàdesnsdetransactionoudanslecadreducontratdeliquidité Au 31décembre 2015 le capital de SociétéGénérale S A entièrementlibérés élèveà1007 799641 25 eurosetsecomposede806239713actionsd unevaleurnominalede1 25euro Aucoursdupremiersemestre2015 SociétéGénéraleS A aréaliséune augmentation de capital par incorporation de réserves dans lecadredupland attributiond actionsgratuiteset conditionnellesauxsalariéspour1milliond euros Aucoursdudeuxièmesemestre2015 SociétéGénéraleS A aréaliséune augmentation de capital d un montant total de 0 175milliond euros résultant de la levée d options de souscription relativesaux plans de2009 et2010 et assortie d une prime d émission de3millionsd euros 7 75(6872 7( 186Au 31décembre 2015 les 12584692 actions détenues par lessociétés duGroupe à des ns d autocontrôle de transaction oudegestionactive desfondspropres représentent1 56% ducapitalde2NBHS&KD2 Lemontantportéendéductiondel actifnetrelatifàl acquisitionparle Groupe de ses propres instruments de capitaux propres fermesoudérivés estde449millionsd euros dont125millionsd eurosauSHSDCDRBSHHSRCDSRBSHNAu 31décembre 2015 aucun titre SociétéGénérale n est détenudans le cadre du contrat de liquidité qui dispose de 50millionsd eurosand intervenirsurletitreSociétéGénérale 92 87 21 ( p872&2175 (685 (EnMEUR)&RQWUDWGHOLTXLGLWFWLYLWVGHWUDQVDFWLRQXWRFRQWUOHHWJHVWLRQDFWLYHGHVIRQGVSURSUHV7RWDOCessionsnettesd achats3OXVYDOXHVQHWWHVGLPSWVVXUDFWLRQVSURSUHVHWGULYVVXUDFWLRQVSURSUHVLPSXWHVVXUOHVFDSLWDXSURSUHV IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 167580(176 (&3 78 35235(60 67 75 (66 8%2 5 211 6 85 ( 1 7(50 1(LestitressubordonnésàduréeindéterminéeémisparleGroupeetintégrantdesclausesdiscrétionnairesrelativesaupaiementdesintérêtssontqualiésd instrumentsdecapitauxpropres Au31décembre2015 le montant des titres subordonnésàdurée indéterminéeémispar le Groupeprésentésparmiles capitaux propresauseindesautresinstrumentsdecapitauxpropresestde315millionsd euros Iln yapasd évolutiondecemontantsurlapériode DWHGPLVVLRQ0RQWDQWHQGHYLVHVDX5DFKDWVSDUWLHOVHWUHPERXUVHPHQWVHQ0RQWDQWHQGHYLVHDX0RQWDQWHQ0(85DXFRXUVGRULJLQH5PXQUDWLRQHUjuillet19850(850(85TMO 0 25%avecTMO=MoyenneArithmétiqueGHV7DX0RHQV2EOLJDWDLUHVGHODSULRGHGX01 06au31 05précédantchaqueéchéanceQRYHPEUH086 086 0RHQQHGHVWDXGHGSW(XUR ROODUPRLVFRPPXQLTXVSDUOHVEDQTXHVGHUIUHQFHGFHPEUH0 30 33 936%jusqu enseptembre2016puispourleséchéancessuivantes letauxleplusfavorableentreletauxxeetuntauxvariable+margedénieFRPPHVXLW7DX0LG2VO 3DQV7 75 (66 83(56 8%25 211 6 85 ( 1 7(50 1(Comptetenuducaractèrediscrétionnairedeladécisiondeversementdelarémunérationdecestitres ilsontétéclassésencapitauxpropresdanslaligneOHSKDSQRDQUDRKHDRAu31décembre2015 lemontantdestitressupersubordonnésàduréeindéterminéeémisparleGroupeprésentésparmilescapitauxpropresauseindesautresinstrumentsdecapitauxpropresestde8457millionsd euros LadiminutiondumontantdestitressupersubordonnésàduréeindéterminéeémisparleGroupes expliquepardeuxremboursementsopéréssurlepremiersemestre2015etuneémissionaucoursdusecondsemestre DWHGPLVVLRQ0RQWDQWHQGHYLVHVDX5DFKDWVSDUWLHOVHWUHPERXUVHPHQWVHQ0RQWDQWHQGHYLVHDX0RQWDQWHQ0(85DXFRXUVGRULJLQH5PXQUDWLRQ26janvier20050(850(85SDUWLUGH(XULERUPRLVDQDYULO086 086 LERU86 PRLVDQSDUWLUGH LERU86 PRLVDQDYULO086 086 SDUWLUGH LERU86 PRLVDQGFHPEUH0(850(85SDUWLUGH(XULERUPRLVDQ16juin20080*%30*%3SDUWLUGH LERU*%3PRLVDQIYULHU086 086 SDUWLUGH LERU86 PRLVDQVHSWHPEUH0(850(85SDUWLUGH(XULERUPRLVDQRFWREUH086 086 VHSWHPEUH086 086 SDUWLUGXQRYHPEUH7DX0LGSwap86 DQVGFHPEUH086 086 SDUWLUGXGFHPEUH7DX0LGSwap86 DQV25juin2014086 086 6% àpartirdu27janvier2020Taux0LGSwap86 DQVDYULO0(850(85SDUWLUGXDYULO7DXMidSwap(85DQVVHSWHPEUH086 * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 875 (6 16 7580(176 (&3 78 352 35 (60 635 (6) ( 6Lestitressubordonnés àduréeindéterminéeémisparleslialesetintégrantdesclausesà caractèrediscrétionnairerelativesaupaiementdesintérêtssontqualiésd instrumentsdecapitauxpropres Au31décembre2015 lemontantdesautresinstrumentsdecapitauxpropresémisparleslialesduGroupeetprésentésparmiles QSHBHOSHNMRMDCNMMMSORKDBNMSQKDestde800millionsd euros DWHGPLVVLRQ0RQWDQW5PXQUDWLRQGFHPEUHFODXVHGHVWHSXSDXERXWGHDQV0(85SDUWLUGHWDXMid SwapDQVDQ6< 17+6( (602 89(0(176 (6 167580(176 (&3 78 35235(60 6Lesmouvements relatifs auxtitressupersubordonnés(TSS)etauxtitressupe rsubordonnésàduréeindéterminée(TSDI) enregistrésdansles1RDQUDRBNMRNKHCDROQSCT&QNTODRNSCSHKKRBHCDRRNTR(EnMEUR)76676 7RWDO5PXQUDWLRQYHUVHFRPSWDELOLVHHQGLYLGHQGHVOLJQH LVWULEXWLRQYROXWLRQGHVQRPLQDXHQFRQRPLHGLPSWVUHODWLYHODUPXQUDWLRQYHUVHUDXSRUWHXUVGHWLWUHVFRPSWDELOLVHHQUVHUYHV)UDLVGPLVVLRQVQHWVGLPSWUHODWLIVDXWLWUHVVXERUGRQQVPLVHQ IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 127(568 773 5 &7 21(7 9 (1 (635 1& 3(6&2037% (6Le bénéce par action est calculé en divisant le bénéce netattribuableauxactionnairesordinairesparlenombremoyenpondéréd actions ordinaires en circulation pendant la période à l exceptiondes actions propres Le bénéce net attribuable aux actionnairesordinairesestétablientenantcomptedesdroitsauxdividendesdesactionnairesprivilégiéstels quelesporteursd actions de préférenceNTCDSHSDRRTANCNRNTRTODRTANCNRBKRRRDBOHSTpropres Lebénéce dilué par actionreèteladilutionpotentielle quipourrait survenir en cas de conversion des instruments dilutifs enactions ordinaires Ilestainsitenu compte de l effet dilutifdesplansd options et d attribution d actions gratuites Cet effet dilutif a étédéterminéenapplicationdelaméthodedurachatd actions 568 7735&7 21(EnMEUR)5VXOWDWQHWSDUWGX*URXSH5VXOWDWQHWDWWULEXDEOHDXWLWUHVVXSHUVXERUGRQQV5VXOWDWQHWDWWULEXDEOHDXWLWUHVVXERUGRQQVGXUHLQGWHUPLQH)UDLVGPLVVLRQVUHODWLIVDXWLWUHVVXERUGRQQVRésultatnetrelatifaurachatdestitressubordonnésàduréeindéterminée5VXOWDWQHWDWWULEXDEOHDXDFWLRQQDLUHVSRUWHXUVGDFWLRQVRUGLQDLUHV1RPEUHPRHQSRQGUGpDFWLRQVRUGLQDLUHVHQFLUFXODWLRQ5VXOWDWSDUDFWLRQRUGLQDLUHDM411RPEUHPRHQGHWLWUHVRUGLQDLUHVUHWHQXDXWLWUHGHVOPHQWVGLOXWLIV1RPEUHPRHQSRQGUGpDFWLRQVRUGLQDLUHVSRXUOHFDOFXOGXUVXOWDWQHWGLOXSDUDFWLRQ5VXOWDWGLOXSDUDFWLRQRUGLQDLUHDM41Montantsretraitésparrapportauxétatsnancierspubliésen2014 suiteàl entréeenvigueurdel interprétationIFRIC21quis appliquedefaçonrétrospective(cf Note1) Horsactionsd autocontrôle Lenombred actionsretenudanslesélémentsdilutifsestcalculéselonlaméthodedu rachatd actions etprendencomptelesattributionsd actionsgratuitesetlesplansd optionsdesouscriptiond actions Lesplansd optionsdesouscriptiond actionsontun effetdilutifdépendantdu cours moyende l actionSociétéGénéralequis élèveau 31décembre2015 à 42 36euros Dans ce contexte au 31 décembre 2015 seules les actions attribuées sans conditionde performance du plan d option de souscription d actions de 2009 et 2010 sontCHKTSHDR 675 % 87 21 ( 9 (1 (6Lemontantdedividende sdistribuésen2015parleGroupes élèveà1891millionsd eurosetsedécomposedelamanièresuivante (EnMEUR)3DUWGX*URXSH3DUWLFLSDWLRQVQHGRQQDQWSDVOHFRQWUOH7RWDOFWLRQVRUGLQDLUHVDontpayéenactions Dontpayéennuméraire(943)(227)(1170)XWUHVLQVWUXPHQWVGHFDSLWDXSURSUHV7RWDO * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 127(875(6 1)2507 216127( 1)2507 216(&725 ( ( ) 1 7 21 ( p 1)2507 216(&725 ( (Le Groupe est géré sur une base matricielle reétant à la fois sesmétiersetlarépartitiongéographiquedesesactivités LesinformationsRDBSNHDKKDRRNSCNBORDSDRRNTRBDRCDTHDTLe Groupe inclut dans le résultat de chaque sous pôle d activitésles produits et charges d exploitation qui lui sont directement liés Les produits de chaque sous pôle à l exception du Hors Pôlesincluent également la rémunération des fonds propres qui leur sontalloués cetterémunérationétantdénieparréférenceautauxestimédu placement des fonds propres En contrepartie la rémunérationdes fonds propres comptables du sous pôle est réaffectée au HorsPôles Les transactionsentrelesdifférentssous pôless effectuentàdestermesetconditionsidentiquesàceuxprévalantpourdesclientsDSHDTRT&NTODLes pôles d activités du Groupe sont gérés à travers trois piliersstratégiques la Banque de détail en France qui regroupe les réseauxSociétéGénérale CréditduNord etBoursorama la Banque de détail et Services Financiers Internationaux quicomprend lla Banque de détail à l International incluant les activités decréditàlaconsommation lKDRBSHHSRCD2DHBDRHBHDR2OB HKHRRTSDOHRDR(location longue durée et gestion de ottes nancement debiensd équipementprofessionnel) llesactivitésd assurances la Banque de Grande Clientèle et Solutions Investisseurs quiregroupe llesactivitésdeMarchésetServicesauxInvestisseurs llesactivitésdeFinancementetConseil llaGestiond ActifsetBanquePrivée À ces piliers stratégiques s ajoutent les activités Hors Pôles quireprésententnotammentlafonctiondecentralenancièreduGroupe Àcetitre leursontrattachéslecoûtdeportagedestitresdeslialesetlesproduitsdedividendesafférents ainsiquelesproduitset chargesissusdelagestionactif passifetlesrésultatsdégagésparlesactivitésde gestion patrimoniale du Groupe (gestion de son portefeuille departicipations industrielles et bancaires et de ses actifs immobilierspatrimoniaux) Lesproduitsouchargesnerelevantpasdirectementdel activitédespôlessontintégrésdanslerésultatduHorsPôles Les résultats sectoriels sont présentés en tenant compte de l effetCDR SRBSHNRHSDDRT &NTODSCHRTD KDR BSHER DS ORRHERsectoriels sont présentés après leur élimination Le taux d impôtappliqué au résultat de chaque pôle d activités est calculé sur labase d un taux d impôt normatif moyen xéen début d exercice enfonctionde stauxd impôtdedroitcommunenvigueurdanschacundes pays où sont réalisés les résultats de chaque pôle d activités L écartavecletauxd impôtréelduGroupeestaffectéauHorsPôles Dans le cadre de l information sectorielle par zone géographique les produits etcharges ainsi quelesactifset passifs sectoriels sontventiléssurlabasedulieudecomptabilisationdel opération 1)2507 216(&725 ( (353 ((762863 (Lesdonnéesparpôlesetsous pôlestiennentcomptedelanouvelleorganisationdesactivitésduGroupe *URXSH6RFLW*QUDOH%DQTXHGHGWDLOHQ)UDQFH+RUV3OHV(EnMEUR)3URGXLWQHWEDQFDLUHChargesgénéralesd exploitation5VXOWDWEUXWGHSORLWDWLRQ&RWGXULVTXH5VXOWDWGHSORLWDWLRQ4XRWHSDUWGXUVXOWDWQHWGHVVRFLWVPLVHVHQTXLYDOHQFH*DLQVQHWVVXUDXWUHVDFWLIV3HUWHVGHYDOHXUVXUOHVFDUWVGDFTXLVLWLRQ5VXOWDWFRXUDQWDYDQWLPSWVImpôtssurlesbénéces5VXOWDWQHW3DUWLFLSDWLRQVQHGRQQDQWSDVOHFRQWUOH5VXOWDWQHWSDUWGX*URXSH IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( %DQTXHGHGWDLOHW6HUYLFHV)LQDQFLHUV QWHUQDWLRQDX%DQTXHGHGWDLOO QWHUQDWLRQDO6HUYLFHV)LQDQFLHUV6SFLDOLVVDX(QWUHSULVHVVVXUDQFHV(EnMEUR)3URGXLWQHWEDQFDLUHChargesgénéralesd exploitation5VXOWDWEUXWGHSORLWDWLRQ&RWGXULVTXH5VXOWDWGHSORLWDWLRQ4XRWHSDUWGXUVXOWDWQHWGHVVRFLWVPLVHVHQTXLYDOHQFH*DLQVQHWVVXUDXWUHVDFWLIV3HUWHVGHYDOHXUVXUOHVFDUWVGDFTXLVLWLRQ5VXOWDWFRXUDQWDYDQWLPSWVImpôtssurlesbénéces5VXOWDWQHW3DUWLFLSDWLRQVQHGRQQDQWSDVOHFRQWUOH5VXOWDWQHWSDUWGX*URXSH%DQTXHGH*UDQGH&OLHQWOHHW6ROXWLRQV QYHVWLVVHXUVFWLYLWVGH0DUFKVHW6HUYLFHVDX QYHVWLVVHXUV)LQDQFHPHQWHW&RQVHLO*HVWLRQGFWLIVHW%DQTXH3ULYH(EnMEUR)3URGXLWQHWEDQFDLUHChargesgénéralesd exploitation5VXOWDWEUXWGHSORLWDWLRQ&RWGXULVTXH5VXOWDWGHSORLWDWLRQ4XRWHSDUWGXUVXOWDWQHWGHVVRFLWVPLVHVHQTXLYDOHQFH*DLQVQHWVVXUDXWUHVDFWLIV3HUWHVGHYDOHXUVXUOHVFDUWVGDFTXLVLWLRQ5VXOWDWFRXUDQWDYDQWLPSWVImpôtssurlesbénéces5VXOWDWQHW3DUWLFLSDWLRQVQHGRQQDQWSDVOHFRQWUOH5VXOWDWQHWSDUWGX*URXSHMontantsretraitésparrapportauxétatsnancierspubliésen2014suiteà ll entréeenvigueurdel interprétationIFRIC21quis appliquedefaçonrétrospective lunemodicationdumodededéterminationdescapitauxpropresnormatifsdesmétiers ldeschangementsderèglesd allocationauseindupilierBanquededétailetServicesFinanciersInternationaux llaréorganisationauseindupilierBanquedeGrandeClientèleetSolutionsInvestisseursintervenuesurle1Dsemestre2015(cf Note2 2) Ycomprisdotationsauxamortissements Lesproduitsouchargesnerelevantpasdirectementdel activitédespôlessontintégrésdanslerésultatduHorsPôles Ainsi lesécartsderéévaluationdesdettesliéesaurisquedecréditpropre(+782millionsd eurosau31décembre2015)sontrattachésauHorsPôles Dont 200millionsd eurosautitreduretraitdesactivitésdecréditàlaconsommationauBrésilen2014 * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 *URXSH6RFLW*QUDOH%DQTXHGHGWDLOHQ)UDQFH+RUV3OHV(EnMEUR)FWLIVVHFWRULHOV3DVVLIVVHFWRULHOV%DQTXHGHGWDLOHW6HUYLFHV)LQDQFLHUV QWHUQDWLRQDX%DQTXHGHGWDLOO QWHUQDWLRQDO6HUYLFHV)LQDQFLHUV6SFLDOLVVDXHQWUHSULVHVVVXUDQFHV(EnMEUR)FWLIVVHFWRULHOV3DVVLIVVHFWRULHOV%DQTXHGH*UDQGH&OLHQWOHHW6ROXWLRQV QYHVWLVVHXUVFWLYLWVGH0DUFKVHW6HUYLFHVDX QYHVWLVVHXUV)LQDQFHPHQWHW&RQVHLO*HVWLRQGFWLIVHW%DQTXH3ULYH(EnMEUR)FWLIVVHFWRULHOV3DVVLIVVHFWRULHOVMontantsretraitésparrapportauxétatsnancierspubliésen2014suiteà ll entréeenvigueurdel interprétationIFRIC21quis appliquedefaçonrétrospective lunemodicationdumodededéterminationdescapitauxpropresnormatifsdesmétiers ldeschangementsderèglesd allocationauseindupilierBanquededétailetServicesFinanciersInternationaux llaréorganisationauseindupilierBanquedeGrandeClientèleetSolutionsInvestisseursintervenuesurle1ersemestre2015(cf Note2 2) (4)Lespassifssectorielscorrespondentauxdettes(totalpassifhorscapitauxpropres) Lesactifsoupassifsnerelevantpasdirectementdel activitédespôlessontintégrésdanslebilanduHorsPôles Ainsi lesécartsderéévaluationdesdettesliéesaurisquedecréditpropreetlesinstrumentsdérivésdecréditcouvrantlesportefeuillesdeprêtsetcréancessontrattachésauHorsPôles IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 1)2507 216(&725 ( (35=21(*2*5 3+ 48( &20326 7 21 831%35=21(*2 *5 3+ 48 ()UDQFH(XURSHP ULTXHV(EnMEUR)3URGXLWVQHWVGLQWUÇWVHWDVVLPLOV3URGXLWVQHWVGHFRPPLVVLRQVRésultatnetdesopérationsnancièresXWUHVSURGXLWVQHWVGHSORLWDWLRQ3URGXLWQHWEDQFDLUHVLH2FDQLHIULTXH7RWDO(EnMEUR)3URGXLWVQHWVGLQWUÇWVHWDVVLPLOV3URGXLWVQHWVGHFRPPLVVLRQVRésultatnetdesopérationsnancièresXWUHVSURGXLWVQHWVGHSORLWDWLRQ3URGXLWQHWEDQFDLUHLesdividendessurtitresàrevenusvariablesontétéreclassésde QNCTHSRMDSRCHMSQSRDSRRHLHKRàRésultatnetdesopérationsnancières &20326 7 21 (6*5* 76% 17 ( 635=21(*2*5 3+ 48()UDQFH(XURSHP ULTXHV(EnMEUR)FWLIVVHFWRULHOV3DVVLIVVHFWRULHOVVLH2FDQLHIULTXH7RWDO(EnMEUR)FWLIVVHFWRULHOV3DVVLIVVHFWRULHOVMontantsretraitésparrapportauxétatsnancierspubliésen2014 suiteàl entréeenvigueurdel interprétationIFRIC21quis appliquedefaçonrétrospective(cf Note1) (7)Lespassifssectorielscorrespondentauxdettes(totalpassifhorscapitauxpropres) * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 127( 002% 6 7 21 6&25325( (6 ( 7 1&25325( (635 1& 3(6&2037% (6Les immobilisations corporelles et incorporelles regroupent lesimmobilisations d exploitation et de placement Les biens mobiliersdétenusdanslecadred opérationsdelocationsimplesontprésentésparmi les immobilisations corporelles d exploitation tandis que lesimmeublesdétenusenvuedeleurlocationsontprésentésparmilesimmeublesdeplacement Lesimmobilisationscorporellesetincorporellessontinscritesàl actifdu bilan pourleur coûtd acquisitiondiminuédesamortissementsetCDRCOBHSHNRLecoûtd acquisitiondesimmobilisationsinclutlescoûtsd empruntscorrespondant à la période de construction des immobilisationsnécessitant une longue période de préparation de même que lesfrais directement attribuables Les subventions d investissementreçues sont déduites du coût des actifs concernés Les logicielscrééseninternesontinscritsàl actifdubilanpourleurcoûtdirectdedéveloppeme nt Dès qu elles sont en état d être utilisées les immobilisations sontamortiesselonuneapprocheparcomposants Chaquecomposantestamortisursapropreduréed utilité Pourlesimmeublesd exploitationlesduréesd amortissementsdesdifférentscomposantsretenuesparle Groupe sont comprises entre dix et cinquante ans Concernantlesautresimmobilisationsd exploitation lesduréesd amortissementretenues ont été déterminées en fonction des durées d utilité desbiens considérés qui ont généralement été estimées entre trois etvingtans Lecaséchéant lavaleuramortissabledechaquebienoucomposantestdiminuéedeleurvaleurrésiduelle Encasdebaisseoudehausseultérieuredelavaleurrésiduelleinitialementretenue l ajustementdela base amortissable vient modier d e manière prospective le pland amortissementdel actif LesdotationsauxamortissementssontportéesaucomptederésultatCRKTAHTD#NSSHNMRTWLNQSHRRDLDMSRDSTWCOQBHSHNMRCDRHLLNAHKHRSHNMRHMBNQONQDKKDRDSBNQONQDKKDRLesimmobilisations regroupéespa rUnitéGénératricedeTrésorerie font l objet de tests de dépréciation dès l apparition d indicesCD ODSD CD KDT DR CNSSHNR DS DOHRDR CD COBHSHN RNSenregistréesenrésultatsurlaligne#NSSHNMRTWLNQSHRRDLDMSRDSTWCOQBHSHNMRCDRHLLNAHKHRSHNMRHMBNQONQDKKDRDSBNQONQDKKDRLesplusoumoins valuesde cessiond immobilisationsd exploitationsontenregistréesen&HMRNTODQSDRMDSRRTQTSQDRBSHERLes résultats sur les actifs de location simple et les immeubles deplacement sont présentés dans les rubriques QNCTHSR CDR TSQDRBSHUHSRDSGQFDRCDRTSQDRBSHUHSR(cf Note4 2) 7% ( 8 (95 7 21 ( 6 002% 6 7 216(EnMEUR)DOEDTVRVVVRVDDRGDGSPODVVPVDOEDPRVVPVGSDRVGVOPVGDIVD RDRVDDPRVVPVGOD SDRVGOD5SVVGODDDRGDGSPODVVPVDODDOD PPRELOLVDWLRQVLQFRUSRUHOOHV PPRELOLVDWLRQVFRUSRUHOOHVd exploitation(horsactifsdelocationsimple)FWLIVGHORFDWLRQVLPSOHGHVVRFLWVdenancementsVSFLDOLVV PPHXEOHVdeplacement7RWDOLPPRELOLVDWLRQVFRUSRUHOOHVetincorporelles9(17 7 2 1 (63 ( 0(1760 1 08 5(&( 92 5685 (6&7 ) 6 ( 2 &7 2 16 03 ((EnMEUR)9HQWLODWLRQGXWRWDOGHVSDLHPHQWVPLQLPDXUHFHYRLUPRLQVGDQGHDQVSOXVGHDQV7RWDOGHVSDLHPHQWVPLQLPDXIXWXUVUHFHYRLU IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (127(2357 216 (1 (9 6(635 1& 3(6&2037% (6Endatedeclôture lesactifsetpassifsmonétaireslibellésendevisessont convertis dans la monnaie fonctionnelle de l entité au courscomptantdeladevise Lesécartsdechangelatentsouréaliséssontenregistrésenrésultatpa rmiles&HMRNTODQSDRMDSRRTQHMRSQTLDMSRnanciersàlajustevaleurparrésultatBE NSDLes opérations de changeà terme sont évaluées enjuste valeur enutilisant le cours de change à terme restant à courir de la deviseconcernée Les positions de change au comptant sont évaluéesselonlescoursdechangeofcielsaucomptantdendepériode Lesdifférencesde réévaluationainsi dégagées sontenregistrées danslecompte de résultat parmi les&HMR NT ODQSDR MDSR RTQ HMRSQTLDMSRnanciers à la juste valeur par résultat BE NSD RTE CR KDRcas où la comptabilité de couverture est applicable au titre de lacouvertured uninvestissementnetà l étranger libellé endevisesoud unecouverturedeuxdetrésorerie(cf Note3 2) Le montant en devises des actifs nanciers non monétaires libellésendevises notammentlesactionsetautresinstrumentsdecapitauxpropres qui ne sont pas évalués à la juste valeur par résultat estconverti dans la monnaie fonctionnelle de l entité en utilisant lecours de change de clôture Les écarts de change rela tifs à cesactifs nanciers sont enregistrés en&HMR DS ODQSDR BNLOSAHKHRRCHQDBSDLDMSDMBOHSTWOQNOQDRetnesontrapportésaucomptederésultatqu au momentdeleurcession ou de leur dépréciation ainsiqu en cas decouverture de justevaleur durisque dechange Ainsi si un actif nancier non monétaire est nancé par un passif libellédanslamêmedeviseetsi unerelationdecouverturedejustevaleuraétémiseenplaceentrecesdeuxinstrumentsnanciersautitredurisque de change l actifestalorsconvertiaucourscomptant dende période en comptabilisant l incidence des variations de changeDRTKSS(EnMEUR)FWLI3DVVLI HYLVHVUHFHYRLU HYLVHVOLYUHUFWLI3DVVLI HYLVHVUHFHYRLU HYLVHVOLYUHU(8586 *%3 38 &= 58%521XWUHVGHYLVHV7RWDOMontantsretraitésparrapportauxétatsnancierspubliésen2014 suiteàl entréeenvigueurdel interprétationIFRIC21quis appliquedefaçonrétrospective(cf Note1) 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 127( 7 835 075( (&2162 7 213DVV0RG3RDG*RS3RDGRO*RSXXXXIULTXHGX6XG6* 211(6%85*%DQTXH *OEDQLH%1 62& (7(*(1(5 ( %1 6%DQTXH *OJULH62& (7(*(1(5 ( *(5 (%DQTXH * 872027 9( *(5 (63)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *OOHPDJQH 581( 16*581 678& 69(50 (781*6*(6( 6&)70%&22% ( 76(5(1 *6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU * 872 (6 1* *0%)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV * 17(517 21 *52832 1*6*0%)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV * 17(517 21 66&2 *)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV * (6() 11*0%)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *%1 (876&(6 5)7)5(8**( (5%(*0%)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *% (6 1*81 6(59 &(*0%)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *&5352)(66 21 )8535 01*(0(1781 %(5781*6*(6( 6&)70%&2 *)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *&5322 *0%6RFLWGH&RXUWDJH * ()66%51&0%285*6RFLW)LQDQFLUH *(85235& 5( 1 (1*0% PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *(85235&*0% PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *(85235& (53(1*0% PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ **()*(6( 6&)7)85%67) 11 (581*0%)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV **() (6 1**0%)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV **()9(56 &(581*6 (167*0%VVXUDQFH0( 16(7 &%1 *0%&2 *)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *16(7 &*(6( 6&)7)85%1 %(7( *81*(10%6RFLWGH3RUWHIHXLOOH *6&(16(7 &6(59 &(&(17(5*0%6RFLWGH6HUYLFH * )9% 167 787)859(502*(16% 81**0%6RFLWGH6HUYLFH * 17(5 (6 1* ( 20%85**0%)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *0 475*0%&2 *6RFLW)LQDQFLUH *0 56 ))1*0%&2 *6RFLW)LQDQFLUH *10(1 2*0%6RFLWGH6HUYLFH *219 676RFLW)LQDQFLUH *219 67%1 6RFLWGH&RXUWDJH *219 67%(7( *81*2 1**0%6RFLWGH6HUYLFH *219 670( *0%6RFLWGH6HUYLFH *3(0*0%)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *32 (6 5( *581 678& 69(50 (781*6*(6( 6&)70%&22% ( 7( ( *6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *32 (6*581 678& 69(50 (781*6*(6( 6&)70%&22% ( 7( ( *6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *32 (6 ( *581 678& 69(50 (781*6*(6( 6&)70%&22% ( 7( ( *6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *5( % & 872*(501<8*)781*6%(6&51 76RFLW)LQDQFLUH *5( % & 872*(501<8*)781*6%(6&51 76RFLW)LQDQFLUH *5( % & 872*(501<8*)781*6%(6&51 76RFLW)LQDQFLUH *5( % & &56 (68*6RFLW)LQDQFLUH *5( % & 70(*(501<8*6RFLW)LQDQFLUH *6*())( 7(16RFLW)LQDQFLUH *6*(48 30(17) 11&( 17(517 21 *0%)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*(48 30(17) 11&(6&2 *)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*)51&)257%DQTXH *62*(&3 (876&(1 ( (5 6681*VVXUDQFH * 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (3DVV0RG3RDG*RS3RDGRO*RSXXXX62*(&35 648(6 9(56 (876&(1 ( (5 6681*VVXUDQFH *72670( *0%6RFLWGH6HUYLFH *75 (*(7*0%6RFLWGH6HUYLFH *62& (7(*(1(5 (6(&85 7 (66(59 &(6*0%)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *XVWUDOLH62& (7(*(1(5 (6(&85 7 (68675 37< 7 6RFLWGH&RXUWDJH *XWULFKH 872027 9()8535 01*(0(1781 (6 1**0%)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*(48 30(17 (6 1*8675 *0%)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV0( 6*9 (11(%DQTXH *%DKDPDV6*35 97(%1 1*%06 7 %DQTXH *%HOJLTXH86) 11&(635 )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *86619)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *%67 21(8523(1 19(670(17666RFLW)LQDQFLUH *0 )25 )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *3(0758& 75 (59(5885)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*%58( (6%DQTXH *6*(48 30(17) 11&(%(1( 8%9%( * 1%51&)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62& (7(*(1(5 ( 002%( 6RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 (35 97(%1 1*196%DQTXH *%QLQ62& (7(*(1(5 (%(1 1%DQTXH *%HUPXGHV&7 <675( 17(517 21 7 VVXUDQFH *&7 <675( 7 VVXUDQFH *%UVLO 872027 9(6)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV0( %1&2&& 48(6%DQTXH *%1&23(&81 6%DQTXH *%1&262& (7(*(1(5 (%56 6%DQTXH *&& 48(35202725 (9(1 6 7 )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *&2%5&5( &2%51&(63(& 7 6RFLW)LQDQFLUH *&5( (035((1 0(1726(6(59 &26 7 )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *025 (1262& ( (6121 066RFLW)LQDQFLUH *1( ( *(5(35(6(17&2(6 7 1( ( *(%5 6RFLWGH&RXUWDJH *6*(48 30(17) 11&(655(1 0(1720(5&17 )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*6 )81 2 ( 19(67 0(17208 7 0(5& 2 19(67 0(17212(7(5 256RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 (6&255(725 (&0% 27 78 26(9 25(602% 5 266RFLWGH&RXUWDJH *%XOJDULH5(* 21 85%1 (9( 230(17)81 )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*(35(66%1 %DQTXH *62& (7(*(1(5 ()&725 1*)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62*( (6(%8 *5 )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *%XUNLQD)DVR62& (7(*(1(5 (%85 1)62%DQTXH *&DPHURXQ62& (7(*(1(5 (&0(5281%DQTXH *&DQDGD6*&2167( 7 21&1 7 )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*0%52675867&2031<&1 1&6RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 (&1 %51&%DQTXH * 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 3DVV0RG3RDG*RS3RDGRO*RSXXXX62& (7(*(1(5 (&1 %DQTXH *62& (7(*(1(5 (&3 7 &1 1&6RFLWGH&RXUWDJH *&KLQH )25781(872 (6 1*5(17 1*61* &2 7 )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV0( )25781(6*)81 01*(0(17&2 7 6RFLW)LQDQFLUH0(362& (7(*(1(5 (& 1 0 7( %DQTXH *62& (7(*(1(5 ( (6 1*1 5(17 1*&2 7 )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *&KSUH935* 0 7( PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *&RUHGX6XG 1( ( *() 11& 21* 21* 7 6(28 %51&6RFLWGH&RXUWDJH * 6*6(& 7 6(28 %51&6RFLWGH&RXUWDJH *6*6(28 %DQTXH *6*6(&85 7 (6 25( 7 6RFLWGH&RXUWDJH *&WHG YRLUH6* (%148(6(1&27( 92 5(%DQTXH *62*(%2856((1&27( 92 5(6RFLWGH3RUWHIHXLOOH *&URDWLH 872027 9( 2223(57 91 ) 11& 6 (6 1*)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV0( 6* (6 1* 22)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62& (7(*(1(5 (63 76 %1 %DQTXH *&XUDDR6*62& (7(*(1(5 (&&(371&(196RFLW)LQDQFLUH * DQHPDUN 872027 9(6)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *1)) ((76)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *3(0 672*75 (58 ( 1 1*6)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*) 1166 1 6%51&)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *(PLUDWVUDEHV8QLV 1( ( *(*5283 8% %51&6RFLWGH&RXUWDJH * 62& (7(*(1(5 (%1 75867 8% %DQTXH *62& (7(*(1(5 ( 8% %DQTXH *(VSDJQH 872027 9(68)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV * 78505 (7662& ( (9 25(666RFLWGH&RXUWDJH0(3*(1() 068&856 (1(6316RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6( )75 (%1 66RFLWGH&RXUWDJH *6*(48 30(17) 11&( %(5 ()&6)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62&*(1 19(56 21(6) 11& (5666RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 (68&&856 (1(631%DQTXH *62 (35206RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *(VWRQLH 872027 9(((67 6)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV0( (WDWV8QLV(* 62 1*621625( 1&6RFLW)LQDQFLUH *17 686)81 1*&2536RFLW)LQDQFLUH *&* ) 11&( 1&6RFLW)LQDQFLUH *&* 12570(5 & 1&)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *& 66 &<&7 2&80(177 21 1&6RFLWGH6HUYLFH * <2566(701*(0(172 1*&2536RFLWGH3RUWHIHXLOOH * <2566(701*(0(17 1&6RFLW)LQDQFLUH *1( ( *()& 7 (601*(0(17 1&6RFLWGH6HUYLFH *1( ( *(86 &6RFLWGH&RXUWDJH *6*0(5 &6(48 7 (6&2536RFLW)LQDQFLUH * 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 3DVV0RG3RDG*RS3RDGRO*RSXXXX6*0(5 &623(57 21 6(59 &(6 1&6RFLWGH6HUYLFH *6*0(5 &66(&85 7 (62 1*6 &%DQTXH *6*0(5 &66(&85 7 (6 &6RFLWGH&RXUWDJH *6*0(5 &6 1&6RFLW)LQDQFLUH *6*&2167( 7 21 1&6RFLW)LQDQFLUH *6*(48 30(17) 11&(86&253)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*0257**() 11&(&2536RFLW)LQDQFLUH *6*5( 16851&( 17(50( 5<%52 (5*( &VVXUDQFH *6*6758&785( 352 8&76 1&)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6* 1&6RFLW)LQDQFLUH *6*%) 11&(12570(5 & 1&6RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 (1( <25 %DQTXH *62& (7(*(1(5 ((1(5*< &6RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 () 11& &253257 216RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 ( 19(670(17&253257 216RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 (12570(5 & 1&6RFLW)LQDQFLUH *7523 &1)81 1* 1&253257( 6RFLW)LQDQFLUH *6* ) &6RFLW)LQDQFLUH *7(1 (5237 21%21 352*506RFLW)LQDQFLUH *)LQODQGH86) 1 1 2<)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *(6< 02<)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *1)) ((72<)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *)UDQFH58( (6% (19(1866RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU * 5% )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV * %25 8 &6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(3 % *1<92586RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU * 872027 9(5866 (66)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV * 17(517 21 )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV * 35 06RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *081 *52836RFLW)LQDQFLUH0( 17 666RFLW)LQDQFLUH *175 86VVXUDQFH0(3175 86)21 6&7 2163 866RFLW)LQDQFLUH0(3175 86)21 62% *7 5(6RFLW)LQDQFLUH0(3175 862% 166RFLW)LQDQFLUH0(3175 865277 216(&725 ( (6RFLW)LQDQFLUH0(3435 06RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *9 9 19(672565(6(59((8523(6RFLW)LQDQFLUH0(3%148()51& 6(&200(5& (2&(1 1 (1%DQTXH *%148( 2 %%DQTXH *%148( < (51 (5%DQTXH *%148(18*(5%DQTXH *%148(328<11(%DQTXH0( %148(521( 3(6%DQTXH *%148(751(8 %DQTXH *%2856250 19(67 66(0(176RFLWGH6HUYLFH *%285625066RFLWGH&RXUWDJH *%5(01< (6(66)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *&(158(%66(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *&(158( 8*(1(5 028 16RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *&5%85872 PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ0(3 * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 3DVV0RG3RDG*RS3RDGRO*RSXXXX&55(5 PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ0(3&(175( 002352027 216RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *&575(8 276RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *&(0 1 (6&20%(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *&2(85(8523(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(3&203*1 () 11& (5( (%285%21)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *&203*1 ()21& (5( ( 0( 7(551((&)0 PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *&203*1 (*(1(5 ( ))&785*(6RFLWGH6HUYLFH *&203*1 (*(1(5 ( ( 2&7 21 (48 3(0(176)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *&217( PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ0(3&5( 125 & (6RFLW)LQDQFLUH *&5( 7 8125 %DQTXH * 5 1 9(56 ) (6RFLWGH3RUWHIHXLOOH * 5 1 9(56 ) (6RFLWGH3RUWHIHXLOOH * 5 1 9(56 ) (6RFLWGH3RUWHIHXLOOH * (6&57(675 1*6RFLW)LQDQFLUH * (9 (9 (& (5&6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU * 6321 6)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *(61 &20357 0(176*&5( 7& 066RFLW)LQDQFLUH *(72 (& 48(76RFLW)LQDQFLUH0(3(72 (*517 )(95 (56RFLW)LQDQFLUH0(3(72 (*517 8 (76RFLW)LQDQFLUH0(3(72 ( 6RFLW)LQDQFLUH *(72 (375 02 1(6RFLW)LQDQFLUH0(3(72 (7236RFLW)LQDQFLUH0(3)&& %75266RFLWGH3RUWHIHXLOOH *)&7% 1&26RFLW)LQDQFLUH *)&7&2 6RFLW)LQDQFLUH *)&7&203570(1762*(&36*6RFLW)LQDQFLUH *)&70 (86RFLW)LQDQFLUH *)&75%% )33 6RFLWGH3RUWHIHXLOOH *)&75( % & )5(1&60 %86 1(66)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *)&7 7(5 5*216RFLW)LQDQFLUH *)(( (5 <25&&6RFLW)LQDQFLUH *)(( (5 <256726RFLW)LQDQFLUH *)(1 & (6()LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *) 8&(26RFLWGH6HUYLFH *) 11& (5(8&6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *) 15(*6RFLWGH3RUWHIHXLOOH *) 166851&(61&6RFLWGH&RXUWDJH *)4)81 6RFLW)LQDQFLUH *)51) 11&()LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *)51) 11&( 2&7 21)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV ** <%(76RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU **(1(&76RFLWGH3RUWHIHXLOOH **(1(%148(%DQTXH **(1(& )51&()LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV **(1(&562& (7(*(1(5 ( (&2857*( 66851&((7 (5(66851&(VVXUDQFH **(1(&20 )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV **(1() 06RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU **(1() 0022 1*6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU **(1() 11&(6RFLWGH3RUWHIHXLOOH **(1(* 6 PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ * 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 (3DVV0RG3RDG*RS3RDGRO*RSXXXX*(1(* 6 PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ **(1(9 6RFLWGH3RUWHIHXLOOH **(1(9 0< PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ **(1 1)26RFLWGH3RUWHIHXLOOH * 035 00(1*(0(176RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU * 125 )()51&(VVXUDQFH * 17(5(8523(&216( 6RFLW)LQDQFLUH * 19(67 5 002% (505200(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU * 19(67 5 002% (512501 (6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU * 66<* (1 6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(3 2 % 19(67 66(0(176RFLW)LQDQFLUH * %148(3267 () 11&(0(17)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV0( &52 %2 6((6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU * )21& (5( ( ()(16(6RFLWGH3RUWHIHXLOOH * 0 ( ( 1(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU * (60(61*(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(3 %(&36RFLWGH3RUWHIHXLOOH * 5 6RFLWGH3RUWHIHXLOOH0( <2566(701*(0(176RFLW)LQDQFLUH * <25 17(517 21 66(701*(0(176RFLW)LQDQFLUH *1( ( *(*52836RFLWGH&RXUWDJH *1 &(%52&6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *1 &(&55266RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *1226RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *125% 002% (56RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *125% 62)(5* (6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *125 0026RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *21< PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ0(323& 62*(&3 0026RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *23(5 PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *25 (9 (VVXUDQFH *2539 02%)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *3&7 026RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *35( 6RFLWGH6HUYLFH *357 & 37 216 002% (5(6521( 3(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *3 360( & &3 7 )51&()LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *35*06RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *35 0 6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *35 25 66RFLW)LQDQFLUH *352 (&7 06RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *5( % & 872)51&(6RFLW)LQDQFLUH *5( % & &21680(5)51&(6RFLW)LQDQFLUH *5 935 06RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6*(0&20 (6()LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6 17& 56RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36 17057 16RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(365 7117(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(365 6( 1(& &<6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *661721< 20 1( (728592 (6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU4366&235 05(6 (1&(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *66 ( 58( 25056RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(366 2 5(7 17 48(7(57 5(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(3661220(1*(0(176RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU * 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 3DVV0RG3RDG*RS3RDGRO*RSXXXX6612501 (% 776RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6612501 (5(6 (1&(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6635166(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6662*(35207(57 5(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *667285 6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU436& &17( PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *6&&66*1( PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *6&&9(79(18(&5 (6 (*8 ( 7(67( (%8&6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6&&9&7(86RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36&&9% 0(175(35 6(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36&&9%66(16 (6021766RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6&&9% 19 ( (05&1 6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6&&9&(1&5 7( 276RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6&&9&5 7(5(% 77 216RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6&&9&575(8 27(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6&&9&575(8 276% 6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6&&9(7(59 (58( 89 *(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6&&9 (6(&5 9 166RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6&&9 (637 26 25 () (85< (68%5 66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6&&9 (668&5(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36&&905&4352 (&7 06RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6&&90548(7352 (&7 06RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6&&93285& (8%5211(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6&&95 9(5*5((16RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6&&99(51 621576RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& 0357 & 37 2166RFLWGH3RUWHIHXLOOH0( 6& %25 8 &6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& %25 8 &6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& 435 0352027 216RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 6& %(5*(211(5 (6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& 95 &806RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& %5 (27( (9 (6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& &3&285528(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& &(175( 002352027 215(6 (1&(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& &5 7(* 51 (5(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& &( (68 12<0(1 (6)51&(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& 5(8 5278 (125 6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 858( 8%&6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& (703(61275( 0(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& (75(&<6 171 &2 66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& (85235&87(%251(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& (85235&67057 1 8728&6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& *2866 19 (6 17 8676RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& (*( 352 (&7 06RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 017 &200(5&(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 0548( (6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& 92 6 (56RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& (0(8 (6*51 635(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& (35& (%25 (528*(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& (6 5 16 5 66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& (63257(6 8 (016RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& (65(6 (1&(6*(1(92 6(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& (86 1758( (35 66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(3 IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 3DVV0RG3RDG*RS3RDGRO*RSXXXX6& 16&2(85 (9 (6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 25(( (6 &66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& <21 211(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& 05&2866 6%( ( 0(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& 1225(6 (1&(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 35 6&7(8 (65(17 (566RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 352 (&7 0% 776RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 352 (&7 0( (00(66(*8 16RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 352 (&7 005&4&2(85 (9 (6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& 3521<6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& 48 17(66(1&(9 (6&85(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& 5( 06*5(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 5(6 (1&( 8 21 216RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& 5 1(7026( (6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 6 1728(1 8021( 2 6(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& 6 17 (1 6 6216RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 6 173 (55( (6&2536&36RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 6&6 002% (5 (175(35 6(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 62*( 7(57 5(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& 62*(& 36RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 62*(&7 06RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 62*(35207 17 48(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 62*(3520& 3&(175(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 7(55(61289( (6)51& (11(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 728 286(&(175( 6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 9 (1&(&036 (0566RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(36& 9( 5 PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ0(36& 8&( (&55( 25 27(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6() 6RFLW)LQDQFLUH *6*8660116RFLW)LQDQFLUH *6*5( (677(6RFLWGH6HUYLFH *6*&7 216(8526( (&7 216RFLW)LQDQFLUH *6*&3 7 (9( 233(0(176RFLWGH3RUWHIHXLOOH *6*&21680(5) 11&(6RFLWGH3RUWHIHXLOOH *6*(852&76RFLWGH&RXUWDJH *6*(8523(10257**( 19(670(1766RFLW)LQDQFLUH *6*) 11& 6(59 &(62 1*6RFLWGH3RUWHIHXLOOH *6*021(7 5(3 86(6RFLW)LQDQFLUH *6*237 21(8523(6RFLWGH&RXUWDJH *6*6(&85 7 (635 6666RFLWGH&RXUWDJH *6*6(59 &(6)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*9 25 3&7 216)51&(6RFLW)LQDQFLUH *6*%) 11&(66RFLW)LQDQFLUH *61&%2138 766RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *61&%2138 766RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *61&&235 05(6 (1&(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *61& 0(1*(0(17)25806( 1( 66< (6028 1(86RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(361& 858(0 &( (76RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *61& 66<)25806RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(361& 66<)25806RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(361&352026( 1(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(362& (7(121<0( (&5( 7 1 8675 ()51& 6(& )%DQTXH *62& (7(& 9 ( (&216758&7 219(17(1138516RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *62& (7(& 9 ( 002% (5( (6&20%(8 (7 *(5<6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU * * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 3DVV0RG3RDG*RS3RDGRO*RSXXXX62& (7(& 9 ( 002% (5( 20 216RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *62& (7(& 9 ( 002% (5()217(1<(67 (11(6 259(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(362& (7(& 9 ( 002% (5(1286RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *62& (7(& 9 ( 002% (5(728 6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *62& (7(& 9 ( 002% (5(92*5(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *62& (7(& 9 ( 002% (5(92 7 5(3 6%285*6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *62& (7( (%2856(* %(57 832176RFLW)LQDQFLUH *62& (7( ( 58(( 285 9 6RFLWGH3RUWHIHXLOOH *62& (7( (67(55 16(7 00(8% (635 6 (1667 3 PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *62& (7((1120&2 (&7 )35166(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *62& (7() 11& (5( 1 <6((7 (*(67 216RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 (%DQTXH *62& (7(*(1(5 (&3 7 357(1 5(66RFLWGH3RUWHIHXLOOH *62& (7(*(1(5 ( (%148(817 (6%DQTXH *62& (7(*(1(5 ((1(5* (6RFLWGH&RXUWDJH *62& (7(*(1(5 ((48 30(17) 11&(6)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62& (7(*(1(5 (357 & 37 216 1 8675 ( (66RFLWGH3RUWHIHXLOOH *62& (7(*(1(5 (6&)6RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 (6(&85 7 (66(59 &(6)51&(6RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 (6(&85 7 (66(59 &(62 1*6RFLWGH3RUWHIHXLOOH *62& (7(*(1(5 (6(&85 7 (66(59 &(61(766(79 8(6RFLWGH6HUYLFH *62& (7(*(1(5 (6))LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62& (7( 002% (5( 8%28 (95 866011 PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *62& (7( 002% (5(85% (725% 6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *62& (7(056( 6( (&5( 7%DQTXH *62*(%(8 2 5( PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *62*(3(5 9 PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *62*(3(5 9 PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *62*(3(5 9 PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *62*(3(5 9 9 PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *62*(&0386 PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *62*(&3VVXUDQFH *62*(&3&7 2166RFLW)LQDQFLUH *62*(&3 21*7(50(1r6RFLW)LQDQFLUH *62*() 02 1*6RFLWGH3RUWHIHXLOOH *62*() 085)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62*() 11&(0(17)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62*() 1(5*6*3285 () 11&(0(17DESINVESTISSEMENTSECONOMISANTL ENERGIE)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62*()217(1< PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *62*( (6()51&()LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62*(05&( PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *62*(3 06RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(362*(357 & 37 2166RFLWGH3RUWHIHXLOOH *62*(35206RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *62*(3520(175(35 6(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *62*(3520(175(35 6(65(* 2166RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *62*(3520% 776RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *62*(3520357(1 5(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *62*(35205(6 (1&(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *62*(35206(59 &(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *62*(6685VVXUDQFH *62*(9 002 PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *62* 1)262& (7( (*(67 21(7 19(67 66(0(176)21& (56 PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ * IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 3DVV0RG3RDG*RS3RDGRO*RSXXXX623 % 6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *675 (6()LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *7(06<6)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *85%1 60((7&200(5&(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *85%1 60((7&200(5&(352027 216RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *9 0 19(67 PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *9285 &6RFLWGH3RUWHIHXLOOH *6* <25 &5)81 6RFLWGH3RUWHIHXLOOH *6& 5 935 05(6 (1&(66RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 5 935 0% 776RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6& 8 20 1( (6721(06RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(3%148(&28572 6%DQTXH *62& (7(*(1(5 (3285 ( (9( 233(0(17 (623(57 216 (&5( 7% 002% (562*(% 6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *62*(35200(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0( 62& (7( (63 162166RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU0(3*RUJLH%1 5(38% &%DQTXH **(25* 10 &2031< &)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *0(576 3 59( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV **KDQD62& (7(*(1(5 (*1 0 7( %DQTXH **LEUDOWDU0%526* %5 75120 1((6 0 7( 6RFLWGH6HUYLFH *6*0%526%1 * %5 75 0 7( %DQTXH **UFH 872027 9(6 (6(2)&56)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62*(&3*5((&(VVXUDQFH **XHUQHVH50 6&253 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *& 6 17(517 21 0 7( 6RFLWGH6HUYLFH *0%526*8(516(<120 1((6 7 6RFLWGH6HUYLFH *7* 0 7( 6RFLWGH6HUYLFH *6*0%526%1 &11( 6 1 6 7 *8(516(<%51&%DQTXH *50 6 6(&85 7 (6&2 7 6RFLW)LQDQFLUH **XLQH6* (%148(6(1*8 1((%DQTXH **XLQH(TXDWRULDOH6* (%148(6(1*8 1(((48725 (%DQTXH *+RQJ RQJ (6&57(675 1*21* 21*%51&6RFLW)LQDQFLUH *1( ( *(%52 (521* 21* 7 6RFLWGH&RXUWDJH *1( ( *() 11& 21* 21* 7 6RFLWGH&RXUWDJH *1( ( *(*528321* 21*%51&6RFLWGH&RXUWDJH *6*21* 21*%DQTXH *6*6(&85 7 (6 120 1((6 7 6RFLWGH&RXUWDJH *6*6(&85 7 (621* 21* 7 6RFLWGH&RXUWDJH *6*6(&85 7 (66 17(517 21 2 1*6 7 21* 21*6RFLWGH&RXUWDJH *62& (7(*(1(5 (6 7 6RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 (%1 1 7586721* 21*%51&%DQTXH *7 19(670(17621* 21* 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *7 19(670(17621* 21* 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *7 19(670(17621* 21* 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH * * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 3DVV0RG3RDG*RS3RDGRO*RSXXXX7 19(670(17621* 21* 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *+RQJULH 872027 9(0*<5256* )7)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV0( 6*(48 30(17) 11&(81*5<57)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV0( 6*(48 30(17 (6 1*81*5< 7 )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV0( «OHV&DPDQV(* 62 1*62))625( 7 6RFLW)LQDQFLUH *%5 *(9 ( 0 7( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62& (7(*(1(5 (6(&85 7 (612573& ) & 7 %DQTXH *«OHV9LHUJHV%ULWDQQLTXHV 7166(59 &(6 0 7( 6RFLWGH6HUYLFH * QGH 872027 9(35 97( 0 7( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV0( 1( ( *(%52 (5 1 37( 7 6RFLWGH&RXUWDJH *6*6 2 1*6 1 397 7 6RFLWGH&RXUWDJH *6*080% %DQTXH *62& (7(*(1(5 (* 2% 62 87 21&(175(35 97(6RFLWGH6HUYLFH * UODQGH 5( 0 7( VVXUDQFH0( &21 25&(7* 2% 23325781 7<81 775867&21 25&(7* 2% 23325781 7<)81 6RFLW)LQDQFLUH * ()66%51& 8% 16RFLW)LQDQFLUH * 125 )( 7 VVXUDQFH * 5 6 639 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *5( % & 35 0(5866 0%66RFLW)LQDQFLUH *6* 8% 1%DQTXH *6*%7) 11&( 5( 1 0 7( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*66 5( 1 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 (( * 1* 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH * WDOLH 872027 9( 7 65 )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *&* 7 636RFLW)LQDQFLUH *) 7 63)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *)5(5 (6 1*63)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*(48 30(17) 11&( 7 <63)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*)&725 1*63)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6* (6 1*63)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*0 1%DQTXH *6*%) 11&( 7 636RFLW)LQDQFLUH *62&(&365335(6(171*(1(5 (3(5 7 VVXUDQFH *62& (7(*(1(5 ( 7 2 1*63)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62& (7(*(1(5 (6(&85 7 (66(59 &(663%DQTXH *62*(66856VVXUDQFH * DSRQ <2566(701*(0(17 31&2 7 6RFLWGH3RUWHIHXLOOH *1( ( *( 31 1&6RFLWGH&RXUWDJH *6*72 <2%DQTXH *62& (7(*(1(5 (6(&85 7 (612573& ) & 7 72 <2%51&%DQTXH * HUVH& 5 6 9 7 6RFLW)LQDQFLUH *( 0)25 0 7( 6RFLWGH6HUYLFH *120 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *120 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *120 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH * IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 3DVV0RG3RDG*RS3RDGRO*RSXXXX &253257(6(59 &(6 0 7( 6RFLWGH6HUYLFH * <25067(5)81 6RFLW)LQDQFLUH *1( 0( 75867((6 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *6*0%526)281 7 216 7 6RFLW)LQDQFLUH *6*0%526%1 &11( 6 1 6 7 %DQTXH *6*0%526)81 01*(56 (56(< 7 6RFLWGH3RUWHIHXLOOH *6*0%526120 1((6 (56(< 7 6RFLW)LQDQFLUH *6*0%5263523(57 (6 (56(< 7 6RFLW)LQDQFLUH *6*0%52675867&2031<&11( 6 1 6 7 6RFLW)LQDQFLUH *6*75867((6 (56(< 0 7( 6RFLWGH6HUYLFH *62 (17 6 19(670(1762 87 2163&&6RFLW)LQDQFLUH * HWWRQLH 872027 9(6 )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV0( LEDQ6* (%148(8 %1%DQTXH0( LWXDQLH8% 872027 9()LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV0( XHPERXUJ () 6RFLW)LQDQFLUH *86 8(0%285*6)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *&%2166RFLW)LQDQFLUH *&2 ( 66(&85 7 (666RFLW)LQDQFLUH *(8523(1)81 6(59 &(666RFLW)LQDQFLUH * ) 1165 6RFLW)LQDQFLUH * <2566(701*(0(17 8(0%285*66RFLW)LQDQFLUH *5( % & 872 (6(*(501<6)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *526 19(676RFLW)LQDQFLUH *6* 668(56RFLW)LQDQFLUH *6*%766(7%6( )81 1*66RFLW)LQDQFLUH *6*%76(&85 7 (66RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 (%1 75867%DQTXH *62& (7(*(1(5 (&3 7 05 (7) 11&(6RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 () 11& 1*1 675 %87 216RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 ( *6RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 ( )( 16851&(%52 (566RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 (35 97( ( 701*(0(1766RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 (5(6VVXUDQFH *62*( )(VVXUDQFH * ( 19(670(17666RFLW)LQDQFLUH * 9() 66RFLW)LQDQFLUH *&29 %6RFLW)LQDQFLUH *6*%7& 6RFLW)LQDQFLUH *%5721&3 7 &6RFLW)LQDQFLUH *0DFGRLQH25 6 %1 6 23 (%DQTXH *0DGDJDVFDU%1 <)031 52621952756*%DQTXH *0DOWH 1*0 7 19(670(17 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH * 1*0 7 19(670(17 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *0DURF 872027 9(6052&)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *7(1&2857*(VVXUDQFH *)21& 002 PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ * * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 3DVV0RG3RDG*RS3RDGRO*RSXXXX 052& 1(9 (VVXUDQFH *6*052& 1( (%148(6%DQTXH *62& (7(*(1(5 ( ( (6 1*8052&)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62& (7(*(1(5 (71*(52))625(6RFLW)LQDQFLUH *62*(&3 7 *(67 216RFLW)LQDQFLUH *62*() 11&(0(17052&)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62& (7( (48 3(0(17 20(67 48((70(1*(5(4 20)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *0DXULFH6*6(&85 7 (6%52 1*0 0 7( 6RFLWGH&RXUWDJH *0HLTXH 872027 9(6 (&9)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV * ) ((76 (&962)20(15)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*)30( &26 (5 (&96RFLW)LQDQFLUH *0ROGDYLH02% 6%1&*5283(62& (7(*(1(5 (%DQTXH *0RQDFR&5( 7 8125 021&2%DQTXH *60&021&2%DQTXH *62& 7*15 (68&&856 (021&2%DQTXH *62& (7(*(1(5 (35 97(%1 1*021&2%DQTXH *0RQWQJUR62& (7(*(1(5 (%1 0217(1(*52 %DQTXH *1RUYJH 872027 9(6)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *1)) ((76)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*) 1166)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *1RXYHOOH&DOGRQLH&5( & )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62& (7(*(1(5 (& ( 21 (11( (%148(%DQTXH *1RXYHOOH=ODQGH6*0%52675867&2031<1( ( 1 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *3DV%DV 95(1* 19(670(176%9)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *86) 11&(1 %9)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *861( (5 1 %9)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *%5 *17 19(670(176%96RFLW)LQDQFLUH *(5)677)( 19(670(176%9)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *0217 6 19(670(17%9)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*067(5 0%DQTXH *6*(48 30(17) 11&(%(1( 8%9)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62*( (6(%9)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62*( (6() 06)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *7<1(925%96RFLW)LQDQFLUH *25 () 11&(%96RFLW)LQDQFLUH *3KLOLSSLQHV 62& (7(*(1(5 (01 2))625(%51&%DQTXH *3RORJQH 872027 9(32 6 6322)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *(852%1 6)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *3(032 6 63226RFLWGH6HUYLFH *6*(48 30(17 (6 1*32 6 6322)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62& (7(*(1(5 (62 32 6&(%DQTXH *62*(&35 648(6 9(56632 &< 12 WPOLSCEVVXUDQFH * IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 3DVV0RG3RDG*RS3RDGRO*RSXXXX62*(&3632 &< 12 32 6&(VVXUDQFH *3ROQVLH)UDQDLVH%148( (32 <1(6 (%DQTXH *62*( (6(% 366)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *3RUWXJDO6* 872027 9(62& ( (*(5 (&20(5& 2( 8*8(5 (%(16)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *5SXEOLTXHWFKTXH 872027 9(652)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *&7366RFLWGH6HUYLFH *(662652)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *)&725 1* %6RFLW)LQDQFLUH * %3(1 1 632 (&126766RFLW)LQDQFLUH * %5( (677(6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU * 20(5&1 %1 6%DQTXH * 20(5&1 32 672916VVXUDQFH *02 53<50 679(%1 6325 7( 166RFLW)LQDQFLUH *136RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *3(035632 652)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *3527266RFLW)LQDQFLUH *6*(48 30(17) 11&(&(&5(38% &652)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62*(3520&(6 5(38% 6526RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *62*(35200 & (6526RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *7516)250( )81 6RFLW)LQDQFLUH *916RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *5RXPDQLH 872027 9(65 )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *%5 *5283(62& (7(*(1(5 (6%DQTXH *%5 66(701*(0(176 66RFLWGH3RUWHIHXLOOH *%5 ) 11&( )166RFLW)LQDQFLUH *6&%5 62*( (6( )16)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6&52*5 8 02% 5(65 6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *62& (7(*(1(5 ((8523(1%86 1(666(59 &(666RFLWGH6HUYLFH *62*(35205201 65 6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *5RDXPH8QL&56RFLW)LQDQFLUH * 872027 9(*52833 &)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV * 872027 9( 0 7( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV * )81 1* 0 7( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *%5 *(9 ( 0 7( 8 %51&)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *%5 *17 19(670(176%98 %51&6RFLW)LQDQFLUH * (6&57(675 1* 21 21%51&6RFLW)LQDQFLUH *25 () 11&(%98 %51&6RFLW)LQDQFLUH * % (6(2 1*6 0 7( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV * % (6 1* 0 7( 3571(56 3)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV * 1* 19(670(17 7 6RFLW)LQDQFLUH * 1* 19(670(17 7 6RFLW)LQDQFLUH * <2566(701*(0(178 36RFLW)LQDQFLUH *6( )75 (8 120 1((6 0 7(66RFLW)LQDQFLUH *6( )75 (8 05 (7 1*6(59 &(6RFLWGH6HUYLFH *6( )75 (8 6(59 &(66RFLWGH6HUYLFH *6*(48 30(17) 11&( (&(0%(5 0 7( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*(48 30(17) 11&( (6 1* 0 7( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*(48 30(17) 11&(23(57 1* (6 1* 0 7( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV * * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 3DVV0RG3RDG*RS3RDGRO*RSXXXX6*(48 30(17) 11&(5(17 0 7( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*) 11& 6(59 &(6 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *6*0%526 21 21120 1((6 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *6*0%526%1 0 7( %DQTXH *6*0%526 0 7( 2 1*%DQTXH *6*0%52675867&2031< 7 6RFLW)LQDQFLUH *6*( 7&5(%(1() 7675867((&2031< 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *6* 19(670(17 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *6* (6 1*66(76 0 7( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6* (6 1*&(175 0 7( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6* (6 1*&(175 0 7( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6* (6 1* (&(0%(5 0 7( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6* (6 1* 81( 0 7( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6* (6 1*05& 0 7( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6* (6 1*86 0 7( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6* (6 1*87 7 (6 0 7( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6* (6 1* )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6* (6 1* )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6* 21 5(6%DQTXH *6*) 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *62&*(1120 1((68 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 ((48 30(17) 11&( 0 7( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *62& (7(*(1(5 ( 19(670(1768 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *62& (7(*(1(5 (1( ( *(8 7 6RFLWGH&RXUWDJH *62& (7(*(1(5 (6(&85 7 (66(59 &(68 0 7( 6RFLWGH&RXUWDJH *675%8 120 1((6 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *7 262 1* 7 6RFLW)LQDQFLUH *7 266(&85 7 (6 7 6RFLWGH&RXUWDJH *7 19(670(17621* 21* 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *7 (6 1* 81( 0 7( )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *76758&785( 66(7) 11&( 0 7( 6RFLW)LQDQFLUH *7(( ))( 0 7( 3571(56 3)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *7(05605 7 0( 0 7( 3571(56 36RFLW)LQDQFLUH *7(6785105 7 0( 0 7( 3571(56 36RFLW)LQDQFLUH *7<1(925%98 %51&6RFLW)LQDQFLUH *7()(1&85&3571(56 36RFLW)LQDQFLUH *5XVVLH 872027 9(222)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *972 &&6RFLWGH6HUYLFH *%6*9 (6 1* &)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *& 26( 2 17672& &2031<6*) 11&(6RFLW)LQDQFLUH0( &5( 7 167 787 212%<( 1<211<56&271<6 67(06RFLW)LQDQFLUH * 1 511&26RFLW)LQDQFLUH * &586) 11&()LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV * &586) 11&(%1 )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *30 6(59 &( PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *352( 7 19(67 & PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *5%)&725 1* &)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *5% (6 1* &)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *5( 19(67 &6RFLW)RQFLUHHWGH)LQDQFHPHQW PPRELOLHU *6*675 291 ( &VVXUDQFH *62& (7(*(1(5 (675 291 ( 1 &VVXUDQFH *626129 & PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ * IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 3DVV0RG3RDG*RS3RDGRO*RSXXXX9 0217 & PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *3 6&526%1 %DQTXH *&200(5& %1 ( 7&5( 7 2 17672& &2031<%DQTXH *5%6(59 &( & PPRELOLHUGHSORLWDWLRQ *5%63(& ( (326 75< &6RFLW)LQDQFLUH *6QJDO6* (%148(686(1(* %DQTXH *6HUELH 872027 9( 22%(2*5 )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV0( 62& (7(*(1(5 (%1 65% %DQTXH *6LQJDSRXU1( ( *() 11& 6 1*325(37( 7 6RFLWGH&RXUWDJH *6*6(&85 7 (66 1*325(37( 7 6RFLWGH&RXUWDJH *6*6 1*3285%DQTXH *62& (7(*(1(5 (%1 758676 1*325(%51&%DQTXH *6ORYDTXLH 872027 9(652)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV * 872027 9(6 29 652)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV * 20(5&1 %1 %57 6 9%DQTXH *3(06 29 632 652)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*(48 30(17) 11&(&(&5(38% &65225*1 &1 2 6 29 5838% &%51&)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *758& &(17(592 (1632 6526RFLWGH6HUYLFH *6ORYQLH 872027 9(23(57 21 (6 1* 22)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6 % (6 1* 22)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6 %%1 %DQTXH *6XGH 872027 9(%)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *1)) ((7%)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *3(0758& 2&75 (587<51 1*%)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*) 11666 ( 6%51&)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6XLVVH 872027 9(*)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *1( ( *(*528335 685 &%51&6RFLWGH&RXUWDJH *3(0758& 81 75 (59(50 (781**0%)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *526%1 6 7(5 1 %DQTXH *6*(48 30(17) 11&(6& ( *)LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV *6*85 &%DQTXH *62& (7(*(1(5 (35 97(%1 1*68 66(6%DQTXH *62& (7(*(1(5 (35 97(%1 1* 8*1269 (56%DQTXH *7DLZDQ6*6(&85 7 (621* 21* 0 7( 6RFLWGH&RXUWDJH *6*7 3( %DQTXH *7FKDG62& (7(*(1(5 (7& %DQTXH *7KDLODQGH6*%1* 2 %DQTXH *7RJR62& (7(*(1(5 (72*2%DQTXH *7XQLVLH81 21 17(517 21 ( (%148(6%DQTXH * * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 3DVV0RG3RDG*RS3RDGRO*RSXXXX7XUTXLH 872027 9(785 07 &5(7121 06 5 (7 )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV0( 6* 671%8 %DQTXH *8NUDLQH) 567 (6( 7 )LQDQFHPHQWV6SFLDOLVV0( IG IntégrationGlobale QP Quote Partd actifs passifs produitsetcharges MEP MiseenEquivalence(partenariat) MEI MiseenEquivalence(inuencenotable) 2TBBTRKDRSHSRKHTHCDRSHSRCBNRNKHCDR(4)SHSRBCDRTransmissionsuniversellesdepatrimoineetFusionsEntitésentréesdanslepérimètredeconsolidationRegroupe120SCIfrançaisesmisesenéquivalencedontlestauxd intérêtetdecontrôlesontcomprisentre20%et100%Regroupe197fondsHTHCSHNDBNTR IDOCUMEN TDERÉFÉRENCE2016I* 5 2 8 3 ( 6 2 & v 7 v * v 1 v 5 ( 77 6 ) 1 1 & ( 5 6N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S I1 2 7 ( 127(3529 6 21635 1& 3(6&2037% (6 TORRHECTAHKKDONRSD QNUHRHNMRregroupelesprovisionssurinstrumentsnanciers lesprovisionspourlitiges lesprovisionssuravantagesdupersonneletlesprovisionsscales 7 (6 3529 6 216(EnMEUR)Provisionssurinstrumentsnanciersetlitiges(cf Note3 8)3URYLVLRQVVXUDYDQWDJHVGXSHUVRQQHOFI1RWHProvisionsscales(cf Note6)7RWDO * 5 2 8 3 ( 62 & v 7v * v 1 v 5 (IDOCUMENTDERÉFÉRENCE2016I 1 2 7 ( I N O T E S A N N E X E S A U X É TAT S F I N A N C I E R S C O N S O L I D É S 77 6 ) 1 1 & ( 5 6 127( +2125 5(6 (6&200 66 5(68 &2037(6Les comptes de Société Générale sont certiés conjointement parles cabinets Ernst & Young et Autres représenté par Mme IsabelleSantenac etDeloitte&Associés représentéparM José LuisGarcia Sur proposition du Conseil d administration l Assemblée généraledu 22mai 2012 a nommé la Société Ernst & Young et Autres et arenouvelé le mandat de la Société Deloitte & Associés pour uneOHNCDCDRHRLeConseild administrationaarrêtéennovembre2003un dispositifapplicableauxrelationsentrelessociétésduGroupe etErnst&YoungetAutres Deloitte&Associésetlesmembresdeleursréseaux quiaétémodiéenmai2006andetenircomptedel évolutionduCodededéontologie Cesrèglesprévoientqueseulesleslialesétrangèresdu Groupe puissent faireappelà nos auditeurs pour des diligencesnondirectementliéesàlamissiondeCommissaireauxcomptesdèslors que le principe d indépendance est respecté conformément auCodededéontologieapplicableenFrance Chaque année sont présentés au Comité d audit et de contrôleinterne(CACI)leshonorairesverséspartypedemissionauxréseauxdontfontpartielesCommissairesauxcomptes Par ailleurs an d éviter la formation de liens trop étroits entre lesauditeursetlemanagementetdepouvoirdisposerd unregardneufsurlescomptesdesentitésdu Groupe une nouvellerépartitiondessectionsd auditàmi mandataétémiseenoeuvreauseinduCollège qui a conduit à une rotation de s cabinets en charge de celles ci àcompterdu1Djanvier2015 Plusdedeuxtiersdupérimètre(lialesetactivités)aainsifaitl objetd unchangementd auditeurdepuis2009 Enn les Directions nancières des entités ou des activités seprononcent annuellement sur la qualité des audits de Deloitte& Associés et Ernst & Young et Autres Les conclusions de cetteenquêtesontprésentéesauCACI 02 17176 ( 6+2125 5(6 (6&200 66 5( 68 &203 7( 6) *85 178&2037( (56 8 77(MontantsHTenMEUR)(UQVW